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Politique de Défense: Des capacités européennes très insuffisantes

Politique de Défense:  Des capacités européennes très insuffisantes

Les menaces militaire désormais très claires de Poutine vis-à-vis de l’Europe reposent évidemment la question de la stratégie de défense commune. Quantitativement et qualitativement, les capacités de défense de l’Europe face notamment à la Russie paraissent notoirement insuffisantes.
Un rapport de l’Institut international pour les études stratégiques est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump.

L’Europe manque de forces armées et ses capacités de défense demeurent insuffisantes, selon l’étude d’un groupe de réflexion britannique parue vendredi 8 novembre. Et ce même si ses dépenses ont augmenté depuis l’invasion russe de l’Ukraine. Ce rapport de l’Institut international pour les études stratégiques(Nouvelle fenêtre) (IISS) est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump et les appels à renforcer la défense du continent se multiplient.

Les principales forces armées européennes « restent en sous-effectif, trop d’entre elles continuant de perdre des troupes sans inciter suffisamment la jeune génération à s’engager », écrit l’IISS.  »Elles continuent de s’appuyer sur les Etats-Unis à divers degrés dans tous les domaines militaires », déplore ce groupe d’experts.

Certes  »les membres européens de l’Otan ont accru leurs dépenses de 50% » depuis l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, mais l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 a mis à nu de nombreuses faiblesses dans la capacité de l’Europe à assurer sa propre sûreté. L’arsenal a été  »sévèrement réduit après la fin de la guerre froide » et  »l’industrie de la défense en Europe s’est également contractée », selon l’étude.

La production dans certains secteurs, notamment la défense aérienne et l’artillerie, a toutefois considérablement augmenté depuis 2022, les fabricants d’armes répondant aux besoins de l’Ukraine. Par exemple, la fabrication annuelle de munitions 155 mm de Rheinmetall a été multipliée par dix pour atteindre 700 000 unités. Enfin, la moitié des commandes des pays européens de l’Otan vont actuellement à des entreprises européennes, contre 34% pour des systèmes américains.

Défense: Des capacités européennes très insuffisantes

Défense:  Des capacités européennes très insuffisantes

Les menaces militaire désormais très claires de Poutine vis-à-vis de l’Europe reposent évidemment la question de la stratégie de défense commune. Quantitativement et qualitativement, les capacités de défense de l’Europe face notamment à la Russie paraissent notoirement insuffisantes.
Un rapport de l’Institut international pour les études stratégiques est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump.

L’Europe manque de forces armées et ses capacités de défense demeurent insuffisantes, selon l’étude d’un groupe de réflexion britannique parue vendredi 8 novembre. Et ce même si ses dépenses ont augmenté depuis l’invasion russe de l’Ukraine. Ce rapport de l’Institut international pour les études stratégiques(Nouvelle fenêtre) (IISS) est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump et les appels à renforcer la défense du continent se multiplient.

Les principales forces armées européennes « restent en sous-effectif, trop d’entre elles continuant de perdre des troupes sans inciter suffisamment la jeune génération à s’engager », écrit l’IISS.  »Elles continuent de s’appuyer sur les Etats-Unis à divers degrés dans tous les domaines militaires », déplore ce groupe d’experts.

Certes  »les membres européens de l’Otan ont accru leurs dépenses de 50% » depuis l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, mais l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 a mis à nu de nombreuses faiblesses dans la capacité de l’Europe à assurer sa propre sûreté. L’arsenal a été  »sévèrement réduit après la fin de la guerre froide » et  »l’industrie de la défense en Europe s’est également contractée », selon l’étude.

La production dans certains secteurs, notamment la défense aérienne et l’artillerie, a toutefois considérablement augmenté depuis 2022, les fabricants d’armes répondant aux besoins de l’Ukraine. Par exemple, la fabrication annuelle de munitions 155 mm de Rheinmetall a été multipliée par dix pour atteindre 700 000 unités. Enfin, la moitié des commandes des pays européens de l’Otan vont actuellement à des entreprises européennes, contre 34% pour des systèmes américains.

Défense: Des capacités européennes très insuffisantes

Défense:  Des capacités européennes très insuffisantes

Les menaces militaire désormais très claires de Poutine vis-à-vis de l’Europe reposent évidemment la question de la stratégie de défense commune. Quantitativement et qualitativement, les capacités de défense de l’Europe face notamment à la Russie paraissent notoirement insuffisantes.
Un rapport de l’Institut international pour les études stratégiques est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump.

L’Europe manque de forces armées et ses capacités de défense demeurent insuffisantes, selon l’étude d’un groupe de réflexion britannique parue vendredi 8 novembre. Et ce même si ses dépenses ont augmenté depuis l’invasion russe de l’Ukraine. Ce rapport de l’Institut international pour les études stratégiques(Nouvelle fenêtre) (IISS) est publié à l’heure où les pays européens s’interrogent sur la persistance du soutien militaire américain à l’Ukraine, après l’élection de Donald Trump et les appels à renforcer la défense du continent se multiplient.

Les principales forces armées européennes « restent en sous-effectif, trop d’entre elles continuant de perdre des troupes sans inciter suffisamment la jeune génération à s’engager », écrit l’IISS.  »Elles continuent de s’appuyer sur les Etats-Unis à divers degrés dans tous les domaines militaires », déplore ce groupe d’experts.

Certes  »les membres européens de l’Otan ont accru leurs dépenses de 50% » depuis l’annexion de la Crimée par la Russie en 2014, mais l’invasion russe de l’Ukraine en 2022 a mis à nu de nombreuses faiblesses dans la capacité de l’Europe à assurer sa propre sûreté. L’arsenal a été  »sévèrement réduit après la fin de la guerre froide » et  »l’industrie de la défense en Europe s’est également contractée », selon l’étude.

La production dans certains secteurs, notamment la défense aérienne et l’artillerie, a toutefois considérablement augmenté depuis 2022, les fabricants d’armes répondant aux besoins de l’Ukraine. Par exemple, la fabrication annuelle de munitions 155 mm de Rheinmetall a été multipliée par dix pour atteindre 700 000 unités. Enfin, la moitié des commandes des pays européens de l’Otan vont actuellement à des entreprises européennes, contre 34% pour des systèmes américains.

Immobilier: des baisse de prix encore insuffisantes pour relancer le marché

Immobilier: des baisses de prix encore insuffisantes pour relancer le marché

Le marché immobilier est en partie immobilisé car l’offre ne rencontre plus la demande, en tout cas suffisamment. Pour l’année à venir la baisse des prix amorcés en 2023 devrait continuer mais sera grandement insuffisante pour redonner du crédit à la demande. Nombreux d’acheteurs sont en effet handicapés évidemment par la hausse des taux d’intérêt qui ampute largement leur pouvoir d’achat . Et dans nombre de cas les éjectent même du marché. D’où la tension accrue sur le secteur de la location.

Les prix ont certes diminué de cinq à 10 % en moyenne mais c’est encore insuffisant pour permettre aux acheteurs d’atteindre la solvabilité nécessaire face au très haut niveau des prix.

Le nombre de ventes de logements anciens est passé sous la barre des 900.000 transactions d’après le baromètre, une première depuis sept ans. La Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim) estime ainsi que 875.000 ventes ont été conclues dans l’ancien, soit une baisse de 21,5% par rapport à 2022 (1,1 million de transactions). Il s’agit de la plus forte baisse observée sur les cinquante dernières années, avec 240.000 ventes de moins sur 12 mois glissants.

« On enregistre la plus forte décélération des ventes de logements anciens depuis l’après-guerre », a déclaré à l’AFP Loïc Cantin, président de la Fédération nationale de l’immobilier (Fnaim).

Il estime désormais que l’année 2024 doit être celle « du réajustement des prix du marché, si les taux d’intérêt conservent la stabilité annoncée ».

L’effondrement des prix est directement lié à la baisse du pouvoir d’achat immobilier des ménages. Selon la Fnaim, les Français ont perdu 15% de pouvoir d’achat immobilier en 2 ans. Pour rappel, l’année 2023 a été marquée par la hausse des taux de crédit, dopée par la politique monétaire restrictive de la Banque centrale européenne (BCE), destinée à éteindre la flambée de l’inflation, consécutive à l’éclatement du conflit en Ukraine.

Pour l’année 2024, les prix vont encore s’inscrire dans une légère tendance baissière mais nettement insuffisante pour relancer l’activité. Il faudra sans doute attendre 2025 pour enregistrer des baisses de prix suffisamment significatives pour augmenter la solvabilité de nombre d’acteurs. Une solvabilité qui passe notamment aussi par la baisse des taux d’intérêt

« Il y a un an, aucun ménage ne se retrouvait avec des taux d’intérêts au-dessus 2,7% sur 20 ans. Aujourd’hui, 70% des dossiers sont au-dessus des 4,10%-4,5% sur 20 ans (hors assurance et avant négociation) », rappelait fin octobre Maël Bernier, porte-parole du courtier Meilleurtaux.com.

Russie : Pour Kiev, les sanctions sont insuffisantes

Russie : Pour Kiev, les sanctions sont insuffisantes

Kiev condamne l’attitude relativement attentiste vis-à-vis des sanctions juridiques qu’elle réclame contre Poutine mais surtout vis-à-vis des actifs russes dans les pays occidentaux qui sont encore bien loin d’être gelés.

Kiev réclame un tribunal spécial pour juger Poutine et souhaite que les actifs russes actuellement dans les pays développés puissent servir à la reconstruction du pays.

Ces reproches tombent dans un contexte où le président ukrainien Volodymyr Zelensky fustige également les lenteurs dans la livraison d’armement, notamment lourd, à savoir des avions de chasse et des missiles longue portée que Kiev ne cesse de réclamer. « Si nous ne sommes pas dans le ciel et que la Russie y est, elle nous arrête depuis le ciel », a déclaré Volodymyr Zelensky, lors de cette même conférence annuelle Yalta European Strategy (YES) à Kiev.

Déserts médicaux : les politiques de régulation géographiques insuffisantes

Déserts médicaux : les politiques de régulation géographiques insuffisantes

Les politiques de régulation géographiques insuffisantes estime le député socialiste Guillaume Garot, co-signataire d’une proposition de loi transpartisane pour lutter contre les déserts médicaux ( intreview JDD).
Le socialiste Guillaume Garot porte, avec plus de 200 députés de tous bords, un texte transpartisan sur la même thématique.


Pourquoi est-il essentiel à vos yeux d’avancer dans le sens de cette régulation ?

La désertification médicale nourrit un sentiment d’abandon très fort qui fait le terreau de l’abstention aux élections ou, pire, de l’extrémisme. Il est impératif de pouvoir refonder le pacte républicain en garantissant à chacun l’accès à des soins près de chez lui. Notre République s’est construite, après 1945, par cette formidable promesse d’égalité de tous à la santé. Il existe aujourd’hui des entailles profondes à ce pacte ; il s’agit donc de le rebâtir avec des mesures fortes et nécessaires.

Cette liberté ne serait pas remise en cause dans son fondement, mais elle serait adaptée aux défis du moment

Concrètement, en quoi consiste la régulation que vous défendez ?</strong
Il s’agit d’encadrer la liberté d'installation de nos médecins. Cette liberté ne serait pas remise en cause dans son fondement, mais elle serait adaptée aux défis du moment. Concrètement, nous disons aux médecins : « N’allez plus vous installer là où l’offre de soins est correctement pourvue, mais allez là où vous voudrez où vos patients vous attendent. »

Certains voient dans votre mesure une coercition, une manière de contraindre les médecins…
Est-ce que les pharmaciens, les infirmiers, les kinés nous parlent de coercition lorsque, eux aussi, sont soumis à une régulation de leur installation et de l’exercice de leurs pratiques ?

Cette mesure ne figure pas dans le texte de Frédéric Valletoux. Quelle va être votre attitude en commission ?
Nous présenterons des amendements pour enrichir le texte et faire en sorte que la régulation, qui est attendue par beaucoup de Français, puisse voir le jour à l’issue du débat dans l’hémicycle qui doit permettre de rassembler une majorité. Ce sentiment d’urgence traverse beaucoup de bancs aujourd’hui. Notre proposition de loi réunit 205 co-signataires issus des neuf groupes de l’Assemblée nationale, des Républicains à La France insoumise ! Il faut traiter ces problèmes. Tout ce que nous avons fait les uns et les autres, depuis des années, n’a pas produit les effets attendus.

Il y a aujourd’hui un autre texte qui, opportunément, est mis dans le débat ; nous l’amendrons

Les politiques fondées sur l’incitation à l’installation ont été utiles mais n’ont pas été suffisantes. Nous devons aujourd’hui passer une nouvelle étape. Il faudra discuter des modalités avec les professionnels, mais nous avons besoin d’actionner ce levier de la régulation. Je reconnais que nous sommes face à un problème de nombre de médecins – il faut en former davantage –, mais nous avons aussi un problème de répartition. C’est le sens de notre mesure.

Mais votre proposition de loi n’est pas inscrite à l’ordre du jour du Parlement…
Nous le regrettons. Alors qu’elle est déjà le fruit d’un compromis entre les différentes sensibilités. Dans nos groupes de travail, il a fallu se mettre d’accord alors que nous n’étions pas dans les mêmes logiques politiques. L’inscription à l’ordre du jour n’a hélas pas été le choix de la présidente de l’Assemblée nationale. Il y a aujourd’hui un autre texte qui, opportunément, est mis dans le débat ; nous l’amendrons.

En avez-vous discuté avec Frédéric Valletoux ?
Oui, à de nombreuses reprises. Le travail est respectueux et les échanges de qualité. Sur beaucoup de sujets, nous pouvons nous retrouver : l’idée d’un préavis obligatoire avant le départ d’un médecin, la limitation du cumul des aides à l’installation, la démocratisation de l’accès aux études de médecine… Sur ça, il y a des terrains d’entente. Après, il reste en effet le sujet de la régulation de l’installation. Le débat aura lieu en séance publique, dans l’hémicycle. Ne le craignons pas. Que chacun s’exprime et que l’Assemblée vote.

François Braun reste opposé à la régulation. Après c’est le ministre qui parle, et l’Assemblée nationale parlera aussi

Vous avez rencontré le ministre de la Santé, François Braun, mercredi. Quelle est sa position ?
Il reste opposé à la régulation. Après c’est le ministre qui parle, et l’Assemblée nationale parlera aussi. Emmanuel Macron a également parlé. Je dis au ministre et aux députés de la majorité : « Regardez ce que le président de la République a dit dans des termes qui ne sont pas si éloignés de ce que nous proposons. » Dans La Nouvelle République en avril, il déclarait ne pas croire à la « coercition nationale » mais affirmait « penser qu’il faut être plus contraignant dans des zones qui sont déjà très richement dotées ».

Ce qu’il s’est passé cette semaine en commission des affaires sociales sur les retraites peut-il avoir un impact sur l’examen de la proposition de loi de Frédéric Valletoux ?
C’est possible. Mais je le redis, nous sommes dans une démarche ouverte pour aboutir à de vraies mesures. Il y a certes l’étape en commission – qui n’est, au vu de sa composition, pas très ouverte à la régulation –, mais il y a surtout le débat en séance publique la semaine suivante. Quant au 8 juin (le jour de l’examen de la proposition de loi Liot sur la réforme des retraites, NDLR), ce sera un autre rendez-vous important pour chacun des parlementaires.

Salaires dans les PME : des hausses très insuffisantes par rapport à l’inflation

Salaires dans les PME : des hausses très insuffisantes par rapport à l’inflation

Alors que l’inflation aura atteint de l’ordre de 6 % au moins en 2022, les augmentations de salaires ne permettront pas globalement de rattraper la hausse des prix. Dans les grandes entreprises et les secteurs très tendus les augmentation moyenne sont de l’ordre de 4 à 5 %. Par contre dans les PME, le rattrapage des salaires doit se contenter d’environ 3 %. Soit une perte sèche de salaires de 3 % au moins.

Il faudrait d’ailleurs relativiser ces rattrapages compte tenu du caractère un peu obsolète de l’indicateur de l’INSEE qui sous-estime l’augmentation des prix de la consommation en raison notamment de l’évolution structurelle de la consommation des ménages.( Par exemple les dépenses contraintes prennent une place de plus en plus importante dans les dépenses des ménages.

D’après le pool d’experts-comptables le Cercle Perspectives, qui a épluché les bulletins de paie de ses clients, les entreprises de moins de 50 salariés ont certes augmenté les salaires au premier semestre 2022, mais pas au point de compenser l’inflation.

Les dix-sept cabinets d’expertise comptable ont épluché plus de 433.000 fiches de paie de leurs clients pour analyser leurs pratiques salariales.

Une enquête du Cercle Perspectives, qui regroupe dix-sept cabinets d’expertise comptable parmi les plus gros (In Extenso, Cogep, Orcom…), et que « Les Echos » dévoilent en exclusivité révèle que les dirigeants de TPE-PME ont accordé une hausse de salaire moyenne de +3,10 % sur le premier semestre 2022.

Pour aboutir à cette donnée, ces professionnels du chiffre, totalisant 350.000 clients, ont passé au peigne fin 433.684 fiches de paie de salariés en faisant un comparatif entre décembre 2021 et juin 2022, avant que les données soient compilées par l’Institut d’études Init.

Covid France : des mesures insuffisantes

Covid France : des mesures insuffisantes

 

 

27 NOVEMBRE 2021,encore en hausse avec 37.218 NOUVEAUX CAS à comparer aux 6500 cas  il y a un mois en France . Et de nouvelles mesures qui ne sont pas à la hauteur des enjeux.

On peut se demander pourquoi l’Europe est devenue l’épicentre de la pandémie mondiale alors que le taux de vaccination est en général plus important qu’ailleurs. La principale raison tient au laxisme des autorités qui ont levé de façon très prématurée les mesures restrictives.

 

Du coup l’immense brassage de population a permis à une nouvelle vague de se développer. La France est concernée comme les autres pays européens mais avec quelques semaines de décalage. Il y a en effet quelques semaines seulement le nombre de contaminés ne dépassait pas 5000 par jour en France et il dépasse largement maintenant les 30 000 quotidiennement. Sur la tendance on va atteindre 60 à 70 000 contaminés d’ici un mois. Soit la situation avec un décalage du Royaume-Uni ou  de l’Allemagne.

 

De toute évidence le gouvernement ne veut pas contrarier une opinion publique défavorable à des mesures très restrictives, il a simplement amplifié les mesures existantes.

 

Parmi les principales mesures :

 

La dose de rappel de vaccin anti-Covid, qui n’est aujourd’hui accessible qu’aux plus de 65 ans, sera ouverte à tous les adultes dès samedi. À compter du 15 janvier 2022, en l’absence de rappel, le passe sanitaire sera invalide sept mois après la dernière injection. Quant à la durée de validité des tests négatifs, ouvrant droit au passe, elle va être ramenée à 24 heures (au lieu de 72 heures). Le port du masque est, par ailleurs, de nouveau obligatoire «partout en intérieur».

À l’extérieur également dans les grands rassemblements sur décision du préfet. On peut le vérifier dans les stades où les trois quarts des personnes hurlent mais sans masque !

Les labos réduiront des livraisons déjà très insuffisantes

Les labos réduiront des livraisons déjà très insuffisantes

 

L’union européenne qui avait déjà fortement sous-estimé les besoins en vaccins formulés cet été a été informée par plusieurs laboratoires dont AstraZeneca  que les livraisons seront encore inférieures aux prévisions.

En cause, le fait que la demande mondiale ne cesse d’augmenter sous l’effet de la nouvelle remontée de la pandémie et que les prévisions européennes ont été formulées à un moment où on espérait la sortie du tunnel vers septembre. Au lieu de cela , le Coronavirus a repris de la force notamment sous l’effet de la percée des variants britanniques, sud-africains et brésiliens.

Il y a une double inadéquation de l’offre à la demande notamment en France où nombre de centres de vaccination ne servent strictement à rien et ont d’ailleurs arrêté les inscriptions pour demande de rendez-vous.

“Les volumes initiaux seront inférieurs à ceux qui étaient prévus en raison d’une baisse des rendements sur un site de production au sein de notre chaîne d’approvisionnement en Europe”, a expliqué un porte-parole du laboratoire anglo-suédois dans une déclaration écrite, confirmant une information donnée par le journal allemand Bild.

“Nous fournirons des dizaines de millions de doses à l’Union européenne en février et mars car nous continuons à augmenter les volumes de production”, a-t-il ajouté. Le vaccin d’AstraZeneca n’a pas encore été approuvé dans l’UE. L’Agence européenne des médicaments (EMA) doit se prononcer vendredi prochain.

Le Parlement prend des mesures anti-coronavirus très insuffisantes

Le Parlement prend des mesures anti-coronavirus très insuffisantes

À l’évidence quand on prend connaissance des mesures anti Coronavirus par le Parlement, il y a un grand décalage entre la situation de guerre déclarée par le président de la république et les mesures réglementaires. Certes, on a déclaré les l’état d’urgence sanitaire mais le contenu paraît particulièrement faiblard par rapport à l’enjeu.

Ainsi en est-il de la possibilité de réquisition pour imposer à des entreprises de fabriquer prioritairement des médicaments et des équipements de santé. Ainsi en est-il aussi pour l’absence de décision concernant un confinement beaucoup plus rigoureux. Par exemple,  l’instauration d’un couvre-feu généralisé en France. Par contre, on a traité du jour de carence encore des élections municipales comme si c’était vraiment des priorités. Des sujets complètement accessoires qui pourront être traités beaucoup plus tard en fonction de l’évolution de la situation.

Pour les municipales,  la situation est d’ailleurs ubuesque puisque le Parlement considère que les élus du premier tour le sont définitivement. Par contre, ils n’ont pas le droit se  réunir pour élire leur maire et assurer leur mission. Pour c eux qui n’ont pas été élus, le scrutin a été renvoyé au mois de juin sans qu’on sache évidemment cette date est pertinente ou pas

 

Finalement un plan qui ressemble à une auberge espagnole et pas du tout à la hauteur des enjeux. -Exemple: le plan de 45 milliards également voté pour soutenir les entreprises et les ménages. Le texte instaure le chômage partiel pour les salariés – financé par l’État et l’Unedic à hauteur de 84% du salaire net dans la limite de 4,5 Smic et 100% pour les salariés au Smic. Le montant total provisionné pour les deux mois à venir s’élève à date à 8,2 milliards d’euros.

Un fonds de solidarité doté d’un milliard d’euros (financé à hauteur de 750 millions d’euros par l’Etat et 250 millions par les régions) est créé à destination des commerçants, artisans et des petites entreprises de moins d’un million d’euros de chiffre d’affaires ayant connu une baisse de leurs revenus d’au moins 70% entre mars 2019 et mars 2020. Une indemnité de 1.500 euros sera versée aux entreprises éligibles. Le gouvernement a aussi annoncé un report des charges fiscales et sociales pour les entreprises touchées, ce qui représente, pour l’Etat, un effort de trésorerie de l’ordre de 35 milliards d’euros.

Notons que dans le même temps l’Allemagne est en train de décider d’un plan de relance de 300 milliards. Ces décisions du Parlement ne ressemblent nullement un plan de guerre ou alors à une guerre en dentelle. Il Faudrait par exemple des réquisitions d’entreprises et de personnels autrement plus importantes. Il conviendrait aussi de mettre totalement l’armée au service du pays. Pourquoi s’extasier devant cet hôpital militaire qui a mis une quinzaine de jours à se construire avec des toiles de tente. En cas de guerre réelle, il en faudrait bien également 10 ou 20 fois plus.  Les mesures prises n’ont pas l’ampleur nécessaire comte tenu des enjeux et le rythme  est notoirement trop lent. Globalement des mesures toujours trop tardives et trop insuffisantes.

Le chef de guerre, Macron lui-même comme d’habitude est plus généreux en discours qu’ en actions. Une action trop consacrée chaque jour en bla-bla devant les caméras. On peut légitimement s’interroger sur les compétences de chef de guerre de Macron, lui qui n’a jamais effectué le moindre service militaire. Notons que son ministre des affaires étrangères, ancien ministre des armées, lui s’est fait pistonné par son père faire son service militaire proche de son domicile (ref.Wikipédia) ! Ne parlons pas de la ministre actuel des armées, Laurence Parly ,qui ne doit avoir une idée assez ésotérique de la discipline militaire. Les seuls combats qu’elle a menés étaient ceux des cabinets ministériels pour servir sa carrière.

BCE : de nouvelles mesures insuffisantes

BCE : de  nouvelles  mesures insuffisantes

 

Contrairement à ce qui était attendu la BCE n’augmentera pas le volume de ses rachats d’actifs. Peu de changements non plus en ce qui concerne les taux., D’où la déception des les investisseurs et la baisse significative des bourses européennes.  Le président de la BCE, Mario Draghi, a précisé que les achats incluraient désormais des titres émis par des collectivités locales et que le principal des titres acquis serait réinvesti au fur et à mesure de leur arrivée à échéance.   »Cela contribuera à la fois à des conditions de liquidité favorables et à une politique monétaire appropriée », a-t-il dit lors d’une conférence de presse, sans préciser le montant attendu de ces réinvestissements.  Depuis mars, la BCE consacre 60 milliards d’euros par mois à ce programme dit d’assouplissement quantitatif (« quantitative easing », QE), censé initialement s’achever en septembre 2016. Mario Draghi a expliqué que le Conseil des gouverneurs avait décidé de ne pas augmenter ce montant parce qu’il avait jugé suffisants la prolongation du programme et le réinvestissement de ses produits. « Notre programme d’achats d’actifs est souple. Il peut toujours être ajusté. Nous avons décidé que l’extension de notre horizon et particulièrement le réinvestissement du principal seraient suffisants », a-t-il dit. Le programme d’achats d’actifs restera en vigueur jusqu’à la fin mars 2017 « et au-delà si nécessaire », a-t-il poursuivi, en soulignant que la priorité des autorités monétaires restait un taux d’inflation légèrement inférieur à 2% à moyen terme.  La banque centrale avait annoncé à la mi-journée une réduction du taux de sa facilité de dépôt à -0,3% contre -0,2%; ce taux négatif revient à faire payer les banques commerciales qui choisissent de déposer leurs liquidités excédentaires à la BCE plutôt que de les prêter à des entreprises ou des ménages.  Le taux de refinancement reste inchangé, à 0,05%, tout comme celui de la facilité de prêt marginal, à 0,30%.

 

Des recettes fiscales insuffisantes du fait de la croissance

Des recettes fiscales insuffisantes du fait de la croissance

 

Une nouvelle fois la Cour des comptes critique les prévisions de recettes fiscales ( celles de 2014 notamment) surestimées comme la croissance. En fait uen vieille recette pour équilibre les projets de budget.  Sans doute aussi pourquoi en 2015 Sapin veut rester sur une hausse prudente du PIB à 1%. La Cour des comptes a donc une nouvelle fois demandé au gouvernement de « fortement » améliorer la qualité de ses prévisions fiscales après un exercice budgétaire 2014 encore marqué par des recettes de l’impôt inférieures aux attentes. Dans son rapport sur l’exécution du budget 2014 de l’Etat publié mercredi, la Cour souligne aussi que si le gouvernement est parvenu à stabiliser les dépenses du budget l’an passé, il a eu recours pour cela à des « débudgétisations importantes et des reports de charges accrus » sur 2015. Elle fait état, sur ce point, de l’affectation de deux milliards d’euros du programme des investissements d’avenir (PIA) au ministère de la Défense pour pallier l’absence de recettes exceptionnelles budgétées, en l’occurrence le produit d’une vente aux enchères de licences radios qui a été reportée. Le déficit 2014 du budget de l’Etat a atteint 85,6 milliards d’euros, 10,7 milliards de plus qu’en 2013, une évolution qui marque un coup d’arrêt au mouvement de baisse amorcé en 2010. Hors dépenses exceptionnelles, le déficit a été supérieur de 5,5 milliards à celui de 2013, estime la Cour. Elle l’attribue pour l’essentiel à une baisse de 9,7 milliards d’euros des recettes fiscales nettes, la première depuis 2009, alors qu’elles étaient attendues stables, sur fond de croissance et inflation bien inférieures aux attentes. Bâti sur une hypothèse de croissance économique de 0,9% et d’inflation (hors tabac) de 1,3%, le budget 2014 a été une première fois modifié en juin sur la base d’un PIB annuel relevé à +1%, puis une seconde fois en fin d’année quand le gouvernement, prenant en compte le ralentissement de l’été, l’a ramené à 0,4% (+0,5% pour l’inflation).  L’Insee a annoncé ce mois-ci que la croissance française de 2014 avait finalement été limitée à 0,2%. La Cour des comptes estime que, « faute d’avoir révisé dès le début de l’été ses hypothèses macroéconomiques optimistes et les prévisions de recettes en conséquence, le gouvernement s’est abstenu d’ajuster plus fortement les dépenses, ce qui aurait permis de contenir le dérapage du solde budgétaire ».

SNCM : offres insuffisantes

SNCM : offres insuffisantes

 

 

 

Impossible de trouver un repreneur satisfaisant. En cause d’abord l’hypothèque constitué pat le remboursement de 400 millions d’aides publiques ( toujours  exigé par Bruxelles), ensuite le nombre de salariés repris entre 500 et 1000 sur 2000 actuellement. En question aussi la délégation de service public.  Le tribunal de commerce de Marseille a donc estimé mercredi que les offres de reprise de la SNCM étaient « insatisfaisantes » et mis en délibéré « à quinzaine » sa décision sur l’avenir de la compagnie maritime, en redressement judiciaire depuis novembre. « Le président du tribunal a indiqué aux repreneurs que les offres des trois repreneurs potentiels n’étaient pas recevables et, qu’en conséquence, il les rejetait », a dit à Reuters le délégué CFE-CGC de l’entreprise, Maurice Perrin. Lors de l’audience qui s’est tenue à huis clos, le procureur de la République a suggéré de pérenniser les activités de la SNCM jusqu’à la fin de l’été, le temps d’obtenir des candidats à la reprise d’améliorer leurs dossiers ou de lancer un nouvel appel d’offres. Le juge consulaire peut suivre les recommandations du procureur en prolongeant la période d’observation, mais aussi statuer sur une reprise des activités par l’un des repreneurs encore en lice ou prononcer la liquidation de l’entreprise. Selon Maurice Perrin, le financement de la compagnie, qui assure notamment des liaisons avec la Corse, est assuré jusqu’à fin septembre si la collectivité de Corse continue d’assurer le paiement de la délégation de service public (DSP). « Je suis légaliste, j’attendrai donc la décision du tribunal en espérant qu’il ne suivra pas les suggestions du procureur », a réagi l’un des repreneurs potentiels, Christian Garin. L’offre de la société d’investissement Med Partners portée par cet ancien président du port de Marseille apparaissait comme la « mieux disante » en terme d’emplois pour la SNCM, qui compte 2.000 salariés, dont 1.500 en CDI. Elle prévoyait d’en sauvegarder 902 en CDI, contre 708 pour la compagnie Baja Ferries et environ 500 pour le transporteur corse Patrick Rocca.  Les trois offres posaient cependant comme « condition suspensive » un accord avec la Commission européenne, qui réclame le remboursement de 440 millions d’euros d’aides publiques qu’elle juge illégales.  Bruxelles exige que les plans de reprise répondent au principe de discontinuité et n’a pas encore communiqué sa position sur les offres formulées pour la SNCM, filiale de Transdev, coentreprise entre Veolia et la Caisse des dépôts. « On attend d’avoir des nouvelles de l’Europe. C’est un préalable minimum car personne ne peut se passer de cette réponse », a résumé Patrick Rocca. Sans un feu vert qui permettrait au repreneur de s’exonérer du passif européen, la compagnie aurait du mal à échapper à la liquidation. D’autant que le tribunal administratif de Bastia a annulé, le 7 avril, la DSP signée par l’Office des transports de la Corse (OTC) avec le groupement SNCM-Méridionale pour assurer le service public entre le continent et la Corse. Cette DSP, qui représente 96 millions d’euros par an et doit prendre fin au 1er octobre 2016, avait été attribuée pour la période 2014-2023 dans le cadre d’une procédure qui a fait l’objet d’un recours en annulation de la compagnie concurrente, Corsica Ferries

 

Pacte de responsabilités : des négociations insuffisantes (Macron)

Pacte de responsabilités : des négociations insuffisantes (Macron)

 

D’une certaine manière Macron reconnait que le pacte de responsabilité est un demi échec compte tenu de l’insuffisance du nombre de branches impliquées. Pourtant ce pacte et le CICE constitue la base de la politique économique du gouvernement.. « Nous ne sommes pas dans une économie planifiée. Notre choix, c’est de dire qu’on va faire 50 milliards d’économie par rapport au tendanciel et on va investir 40 milliards d’euros dans les marges des entreprises. Les partenaires sociaux s’étaient engagés à négocier branche par branche. Ce que nous constatons, c’est que ces négociations sont toujours insuffisantes », a-t-il critiqué.  L’intérêt principal étant notamment de moderniser le marché du travail actuel. « Il faut aller vers la flexisécurité », a plaidé le ministre de l’Économie. « Pour les chefs d’entreprise, il faut donner plus de visibilité, plus de capacité à s’adapter et surtout reconnaître qu’il y ait un droit à l’erreur économique », a-t-il détaillé en évoquant des plans sociaux avec plus de visibilité pour les grandes entreprises, accélérer et sécuriser les désaccords entre les deux parties, améliorer les négociations pour adapter l’organisation ou encore simplifier les choses pour donner plus de flexibilité.  Une flexibilité pour les entreprises qui va avec une forme de sécurité pour les employés. « Si on veut que notre économie soit plus adaptable, plus flexible avec en même temps un vrai niveau de sécurité, il faut bien former les salariés. C’est l’ambition d’une vraie réforme de l’ambition professionnelle et reconnaître l’existence d’un compte personnalisé », a défendu Emmanuel Macron. 

 

Sécurité routière : des mesures insuffisantes

Sécurité routière : des mesures insuffisantes

 

Des mesures finalement décidées à la va-vite sous la pression de  l’augmentation du nombre de morts en 2014. D’abord un abaissement du taux d’alcool pour les nouveaux conducteurs (franchement on se demande pourquoi seulement les nouveaux !).  Il est clair par ailleurs que des vitesses limites devraient être adaptées au caractère de dangerosité de chaque route et portion de route), ce qui imposerait une remise en cause totale du concept de vitesse limite généralisée qui n’a aucun sens.  Ensuite une expérimentation pour passer à 80km-H sur certaines routes. Pour prendre des mesures effaces il faudrait  identifier les facteurs explicatifs avec bien davantage de précisions, ce qui supposerait de se doter dun véritable observatoire scientifique et d’un outil statistique  fiable. .Enfin ne pas oublier qu’environ 20% des jeunes roulent sans permis et ou sans assurance.   En 2014, 120 personnes de plus qu’en 2013 ont été tuées sur les routes françaises. Face à cette première augmentation depuis douze ans, le gouvernement a décidé d’agir en imposant de nouvelles mesures, notamment sur le contrôle de l’alcoolémie et les radars.  Après une année record en 2013, le nombre de morts sur les routes françaises a augmenté de 3,7% en 2014, avec 3.388 personnes tués. Il s’agit de la première année de hausse depuis douze ans, a annoncé lundi 26 janvier le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve devant le Conseil national de la sécurité routière (CNSR).  Si 120 personnes de plus qu’en 2013 sont mortes, l’année avait marqué un record à la baisse depuis 1948, année des premières statistiques. « 2014 n’est pas aussi sombre qu’on pourrait le croire dans la mesure où c’est la deuxième moins mauvaise année » depuis que des statistiques sont établies, a ainsi  souligné Bernard Cazeneuve. Ces chiffres ne sont « pas à la hauteur des objectifs que nous nous étions fixés », a déclaré le ministre, qui « maintient » l’objectif fixé l’an dernier de faire baisser à 2.000 le nombre de morts sur les routes en 2020.  Afin de remplir cet objectif, le ministre de l’Intérieur a détaillé devant le Conseil national de la sécurité routière une série de mesures. Le gouvernement prévoit ainsi d’interdire oreillettes, casques et écouteurs au volant. Concernant la consommation d’alcool, le taux d’alcoolémie maximum autorisé pour les jeunes sera réduit à 0,2 g/L de sang (contre 0,5g/L), soit moins d’un verre d’alcool, et les débits de boisson qui ferment après 2 heures du matin auront l’obligation, sous peine de sanction pouvant entraîner une fermeture temporaire voire définitive, de mettre des éthylotests à disposition. De nouveaux radars devraient également remplacer ceux existant, permettant de prendre une photo du conducteur. Une mesure qui sera également facilitée par une nouvelle réglementation concernant les vitres sur-teintées.

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