Archive pour le Tag 'insuffisant'

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Environnement : bilan insuffisant pour la France (OCDE)

Environnement : bilan insuffisant pour la France (OCDE)

 

 

En matière d’environnement l’OCDE constate quelques progrès pour la France mais souligne de nombreuses contradictions « L’agriculture intensive, l’urbanisation, l’artificialisation des sols et l’expansion des infrastructures de transport continuent de produire des effets néfastes sur la pollution de l’eau, de l’air et sur les écosystèmes », note le rapport, qui pointe de « nombreuses pressions » sur l’environnement.Et d’égrener que la France est « l’un des plus gros consommateurs de produits phytosanitaires du monde », que les concentrations d’ozone, de dioxyde d’azote et de particules fines dans l’air « dépassent régulièrement » les normes de protection pour la santé humaine, ou encore que l’artificialisation des sols « s’est accélérée », appauvrissant la biodiversité. En matière énergétique, la France « n’est pas sur la bonne voie «pour atteindre ses objectifs de développement des énergies renouvelables et de maîtrise de la consommation d’énergie. En cause, selon l’OCDE, à la fois des carences dans la gouvernance des questions environnementales et un manque de volontarisme sur la fiscalité écologique. « Il reste une marge de progression pour verdir plus largement la fiscalité française », et « la modernisation de l’organisation territoriale et la simplification des réglementations environnementales sont d’autres évolutions bienvenues qui devraient être poursuivies », juge le rapport.

(Avec AFP)

 

Euro 2016-France Suisse : du mieux mais encore insuffisant

Euro 2016-France Suisse : du mieux mais encore insuffisant

 

Par rapport aux deux premiers matchs de l’euro 2016, matchs au contenu très insignifiants les bleus ont rendu une meilleure copie lors de leur affrontement avec les Suisses qui s’est terminé par un match nul sans but. À noter une première mi-temps surtout de meilleure facture  caractérisée enfin par un plus grand engagement. Par contre en deuxième mi-temps la France a renoué avec son laisser aller laissant l’initiative le plus souvent aux Suisses. Globalement la France manque d’engagement sur la durée,  aussi de justesse même si plusieurs tirs cadraient au cours de la rencontre France Suisse auraient dû connaître un meilleur sort. Ce qui est en cause aussi c’est sans doute le projet de jeu essentiellement fondé sur la défense mais très insuffisant aussi bien au milieu qu’en attaque. La défense qui cette fois n’a pas été prise en défaut compte tenu de la très grande faiblesse de l’attaque Suisse mais qui paraît encore très fébrile. Au milieu tout repose surtout sur des actions individuelles et des coups de boutoirs i. En attaque on a noté une certaine amélioration mais aussi un jeu limité par l’absence de monte des latéraux. Au plan individuel, il y a lieu d’être inquiet par les défenseurs surtout Evra, aussi Sagna qui méritent une note en dessous de la moyenne pour le match France Suisse. Les centraux se sont mieux comportés mais n’ont pas eu grand-chose à faire. À noter cependant la bonne prestation de Koscielny. Dans le milieu Pogba a montré toute l’étendue de son talent individuel mais surtout en première mi-temps. Griezman  sans doute très fatigué n’a guère brillé. Pour conclure ce n’est pas avec un tel projet de jeu et avec une telle inefficacité que l’équipe de France pourra prétendre jouer les premiers rôles dans cet euro 2016. Didier Deschamps porte sans doute une responsabilité vis-à-vis du contenu du jeu sans parler de son entêtement vis-à-vis  de certains joueurs comme Evra visiblement hors de forme ou encore comme Matuidi qui paraît très fatigué.

Pacte de responsabilité : insuffisant selon Noyer (Banque de France)

Pacte de responsabilité : insuffisant  selon Noyer (Banque de France)

 

Enfin un haut responsable dit tout haut ce que nombre de patrons  pensent  tous bas ( et 90% des français) ; Noyer de la Banque de France estime  que le pacte de responsabilité ne suffira pas pour redresser la compétitivité, la croissance et l’emploi. Les chefs d’entreprise (les vrais  pas les anciens fonctionnaires nommés grâce à leur passage en cabinet ministériel) savent que c’est un véritable choc fiscal qu’il faut, tout de suite et sans cathédrale administrative. En clair Noyer souhaite de vraies réformes structurelles et notamment moins de fonctionnaires. Dommage qu’il ne commence pas à faire le ménage à la Banque de France dont les sureffectifs surpayés sont supportés par le contribuable.  Le pacte de responsabilité proposé par François Hollande est un « pas dans la bonne direction » pour doper l’économie française mais il n’est pas suffisant et devra « absolument » s’accompagner de réformes structurelles fortes, estime donc  Christian Noyer. Dans une interview dans l’édition de vendredi des Echos, diffusée jeudi soir sur le site internet du journal, le gouverneur de la Banque de France déclare que la croissance de l’économie française devrait s’inscrire « autour de 0,9% » cette année, validant ainsi le scénario retenu par le gouvernement dans son budget. « La vraie question qui se pose est celle de son accélération », dit-il en soulignant qu’il faudra pour cela surmonter « deux types de problèmes fondamentaux »: la détérioration de la productivité et les rigidités de l’économie. Dans ce contexte, il estime que le pacte de responsabilité, qui repose sur une baisse de 30 milliards d’euros des charges des entreprises, « est un pas dans la bonne direction ». « Mais il en faudra d’autres », s’empresse d’ajouter Christian Noyer. Il fait valoir que le crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE), équivalant à une baisse de 20 milliards des charges des entreprises, a permis de redresser « un peu » le niveau de leurs marges mais sans qu’elles reviennent à leur moyenne de long terme. « Ce pacte doit absolument s’accompagner de réformes structurelles fortes pour s’attaquer aux rigidités », dit-il. En attendant, il juge que les baisses de charges annoncées « apporteront un surplus de croissance d’environ un point de PIB dans les deux à trois ans à venir et la création de plusieurs centaines de milliers d’emplois. » Alors que le gouvernement entend obtenir en échange des engagements des entreprises en termes d’investissements et d’emplois, il estime qu’il faudra laisser chacune d’entre elles libre d’utiliser cette baisse de charges « en fonction de sa propre situation ». « Certaines en profiteront pour baisser leurs prix, d’autres pour restaurer leurs marges, investir ou embaucher. C’est ainsi que la mesure aura le plus d’effet », indique-t-il.

Grèce : budget de rigueur insuffisant

Grèce : budget de rigueur insuffisant

 

 

Toujours sous perfusion financière, la Grèce peine a atteindre les objectifs fixés par la troïka des préteurs. Cela en dépit des efforts sociaux et économiques. Classé désormais en « pays en voie de développement » la Grèce s’efforce de concilier rigueur et acceptabilité sociale. La marge est très étroite. Le Parlement grec a  en effet adopté samedi un nouveau budget de rigueur pour 2014, sur fond de crispation avec ses créanciers de l’UE et du FMI insatisfaits du cours des réformes, là où Athènes voit au contraire d’importants progrès.  L’Union européenne a jeté une ombre sur ce dénouement en annonçant dans le même temps que la troïka des créanciers du pays différait sa mission à Athènes au mois de janvier, entraînant le gel du versement d’un prêt d’un milliard d’euros en discussion depuis septembre, faute d’avoir obtenu la mise en œuvre de réformes demandées.  Le Premier ministre s’est employé à réfuter cette vision pessimiste, assurant devant le Parlement que « la Grèce avait réalisé nombre de réformes que beaucoup pensaient impossibles ».  Il n’a pas caché que les discussions avec les bailleurs de fonds du pays, UE-BCE-FMI, étaient « difficiles », évoquant même « le moment le plus difficile », tout en se disant confiant dans l’aboutissement des négociations. Antonis Samaras aurait cependant souhaité parvenir à un accord avant que le pays ne prenne pour six mois la présidence de l’Union européenne le 1er janvier prochain.  Là où la Grèce brandit ses performances macroéconomiques, comme son déficit budgétaire, passé de 15% du PIB en 2009 à 2,2% prévu en 2013, ou l’amélioration de sa compétitivité grâce à une baisse drastique des salaires, ses bailleurs de fonds ne quittent pas des yeux la liste des prérequis au versement des prêts.  Or plusieurs de ces conditions font l’objet de divergences entre la troïka et Athènes: le sort d’un moratoire sur les saisies immobilières en vigueur depuis plusieurs années, l’avenir de trois entreprises publiques déficitaires, le montant du trou budgétaire pour 2014 et les mesures pour y faire face.  L’exécutif grec, qui doit également veiller à ne pas contrarier sa maigre majorité, avait d’ailleurs pris soin de repousser à la semaine prochaine la discussion sur les deux sujets potentiellement explosifs que sont le moratoire sur les saisies et un nouvel impôt foncier.  Le budget de la Grèce pour 2014 n’a donc pas reçu l’aval de la troïka et pourrait être amendé dans les prochains mois avec de nouvelles mesures d’austérité auxquelles le gouvernement grec serine pourtant être vigoureusement opposé.   »Ce budget ne sera pas amendé par la troïka (UE-BCE-FMI) mais par le gouvernement du Syriza », le principal parti d’opposition de la gauche radicale, a promis son dirigeant Alexis Tsipras devant les députés.   »Voter pour le budget signifie que le désastre va continuer », a ajouté le leader de la formation donnée au coude à coude avec les conservateurs de la Nouvelle démocratie dans les sondages.  Ce discours alarmiste n’a pas mobilisé les foules devant le Parlement. La traditionnelle mobilisation contre le budget à l’initiative des syndicats a rassemblé à peine 200 personnes contre des milliers les années passées.  Le budget prévoit en l’état une hausse de 2,1 milliards des revenus tirés des impôts pour une baisse de 3,1 milliards des dépenses, via des coups de rabot dans les secteurs de la santé, des assurances sociales et de l’éducation.  Il table sur un PIB en légère progression de +0,6%, après six années consécutives de récession dont une contraction de -4% prévue pour cette année.  La Grèce devrait également se retrouver dans une situation inédite depuis longtemps: être en capacité de subvenir à ses dépenses ordinaires grâce à la réalisation d’un excédent budgétaire primaire (hors service de la dette) d’environ 3 milliards d’euros en 2014 après un premier excédent de 812 millions cette année.  Les responsables grecs commencent à évoquer une sortie des plans d’aide internationaux, à l’échéance du second programme de sauvetage en juillet 2014, et assurent préparer un retour du pays sur les marchés. Quelque 240 milliards de prêts ont été injectés dans le pays depuis son placement sous perfusion de l’Europe et du FMI en 2010.

FMI : accord budgétaire Etats-Unis insuffisant

FMI : accord budgétaire Etats-Unis insuffisant

L’accord budgétaire validé par le Congrès des Etats-Unis est bienvenu mais insuffisant, a jugé mercredi le Fonds monétaire international (FMI) en demandant aux élus américains de se mettre d’accord sur un « plan complet » d’assainissement des finances publiques.   »Nous nous réjouissons des mesures prises par le Congrès américain pour empêcher des hausses d’impôts et des réductions des dépenses publiques brusques », indique un porte-parole du Fonds, Gerry Rice, dans un communiqué.   »L’inaction du Congrès aurait fait échouer la reprise économique » du pays, ajoute M. Rice.   »Néanmoins, il faut en faire davantage pour remettre les finances publiques américaines sur la voie de la viabilité sans nuire à la reprise économique, fragile », poursuit-il.   »Il faudrait en particulier, note le porte-parole du Fonds, que soit adopté aussi vite que possible un plan complet permettant d’assurer à la fois une hausse des ressources de l’Etat et une maîtrise des dépenses de protection sociale à moyen terme ».  Pour M. Rice, enfin, il est également « essentiel » que les Etats-Unis relèvent « rapidement » la limite légale de leur dette publique, qui a été atteinte lundi, et que les élus fassent disparaître « les incertitudes restantes » relatives à l’évolution du budget de l’Etat fédéral à court terme.

 

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