Archive pour le Tag 'instrumentalise'

Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Politique : Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un éventuel débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

Bardella instrumentalise l’épouvantail Mélenchon

 

Bardella ne fait pas dans la dentelle en instrumentalisant l’épouvantail Mélenchon afin d’obtenir une majorité absolue à l’Assemblée nationale. Pire, il fait tout pour mettre en vedette Mélenchon au point d’ailleurs de le sélectionner pour un débat télévisé. La ficelle est évidemment un peu grosse car chacun sait que Mélenchon fait peur à beaucoup de monde et d’une certaine façon discrédite son propre camp à chacune de ses positions radicales.

Du coup, mettre en avant Mélenchon, c’est souligner toutes les contradictions de la gauche, ses excès, son gauchisme et son irresponsabilité.

De ce point de vue , Mélenchon reste aussi ambigu en ne cessant de cultiver les  cohérences. D’un côté , il affirme laisser la gestion du nouveau Front populaire à d’autres mais d’un autre côté il ne cesse de multiplier les interventions médiatiques fracassantes qui sont autant de bâtons mis dans les roues de la gauche. À tel point d’ailleurs qu( on se demande si Mélenchon veut réellement le meilleur score de la gauche pour le second tour des législatives. Ce second tour n’est sans doute qu’un épiphénomène pour lui qui vise surtout  2027 voire l’illusoire révolution et à défaut la chienlit dans le pays.

Invité du «20 heures» de TF1 lundi soir, le président du RN Jordan Bardella, q de manière caricaturale  a dénoncé une «alliance un peu contre-nature entre Jean-Luc Mélenchon et Emmanuel Macron qui est très surprenante.» «Une alliance du déshonneur dans un sens comme dans l’autre», a raillé le nationaliste, selon qui «les Français ne sont pas dupes et doivent avoir de la clarté dans les prochains jours». Un peu plus tôt, il avait publié sur ses réseaux sociaux un montage des deux figures se serrant la main tout sourire derrière la bannière du Nouveau Front populaire (NFP).

Poutine instrumentalise la justice des pays démocratiques

Poutine instrumentalise la justice des pays démocratiques

 

Poursuivi pour diffamation par la chaîne RT (ex-Russia Today), le politiste Nicolas Tenzer demande, dans une tribune au « Monde », que la France se dote d’une législation contre les « procédures de musellement » de la part d’Etats étrangers, alors que son affaire doit être jugée à Paris, le 30 septembre.(extrait)

 

Tribune.

 

Est-il possible qu’un Etat étranger utilise la justice française pour faire taire ceux qui le critiquent ? C’est l’un des sujets qui sera posé devant la 17e chambre du tribunal judiciaire de Paris le 30 septembre. J’aurai à y répondre de deux tweets critiques à l’encontre de la chaîne de télévision RT [anciennement Russia Today]. D’autres procédures similaires ont été lancées contre des agents publics, intellectuels et personnalités politiques. Déjà, cette chaîne a été déboutée de certaines plaintes pour irrecevabilité.

Il s’agit d’une affaire d’Etat en un double sens : la plainte provient d’un Etat et c’est l’institution première de l’Etat de droit, la justice, qui est instrumentalisée dans cette tentative de grande ampleur.

Je ne développerai pas mes arguments d’espèce que je réserve à la justice en laquelle j’ai toujours eu une confiance totale. Dans un cas précédent – une plainte émise par un blogueur indulgent pour les régimes de Bachar Al-Assad et de Vladimir Poutine –, en 2019, celle-ci m’avait relaxé et accordé des dommages et intérêts. Par coïncidence, l’avocat du plaignant était le même que celui de Russia Today.

Le cas est de portée générale : ces plaintes se multiplient en France et ailleurs et, si un coup d’arrêt n’est pas porté par la loi, indépendamment du résultat des procédures en cours, elles continueront de prospérer. Au Royaume-Uni, la journaliste d’investigation Catherine Belton, autrice de Putin’s People (William Collins, 2020, non traduit) – un ouvrage exceptionnel et unanimement loué par la critique sur le régime russe –, et son éditeur sont poursuivis par quatre oligarques et une société russes. Le Parlement européen et la commissaire aux droits de l’homme du Conseil de l’Europe ont alerté sur les procédures bâillons, mieux connues par leur acronyme anglais de Slapp (strategic lawsuits against public participation). Celles engagées par des Etats étrangers ou leurs relais, des entreprises et des personnalités, sont assurément encore plus préoccupantes.

 

Quant à Russia Today, que Twitter désormais identifie comme « média affilié à un Etat, la Russie », le président de la République Emmanuel Macron, le 29 mai 2017, la qualifiait d’« organe d’influence et de propagande ». Russia Today – à l’instar de [l’agence russe d’information] Sputnik – appartient à une agence gouvernementale et reçoit l’ensemble de ses financements de l’Etat russe. Elle a des antennes dans plusieurs pays – certains ne lui ont pas accordé l’autorisation d’émettre –, et étend ses ramifications sur les réseaux sociaux où son audience est la plus forte.

Macron instrumentalise les « leçons » des résistants des Glières

Macron instrumentalise  les   »leçons » des résistants des Glières

 

Comme trop souvent Macron utilise un événement historique pour l’instrumentaliser au service de sa vision de l’actualité. Ce qu’il a fait en rendant hommage dimanche aux résistants qui ont combattu le régime nazi et la France de Vichy lors de la Seconde Guerre mondiale sur le plateau des Glières en Haute-Savoie. Macron ne s’est pas limité aux faits historiques et à l’hommage qu’on doit rendre à leurs acteurs. Même s’il n’a pas fait de lien explicite avec l’actualité, Macron a utilisé les leçons de ces événements pour donner une légitimité à sa vision politique. Notons que sur ce point le président de la république devrait se montrer modeste car non seulement il n’a pas combattu lors d’un conflit mais il n’a même pas fait son service militaire. Une situation inédite pour celui qui est aussi le chef des armées. Pas étonnant s’il ne milite que pour un service national réduit à la portion congrue plus proche d’un séjour en colonie de vacances que de service militaire. Le président de la République, qui n’a pas fait de parallèle explicite avec l’actualité du moment mais a insisté sur un certain nombre de causes, a prononcé un discours au ton grave retraçant l’historique de ce haut-lieu de la résistance, en présence du ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer. Macron n’a pas manqué d’évoquer cette unité nationale qui lui fait défaut mais dont il est grandement responsable. “Les Français voient là l’unité nationale et c’est ce à quoi ils aspirent”, a déclaré la tête de liste du camp présidentiel pour les élections européennes du 26 mai qui s’exprimait sur BFMTV. “Dans ce décor comme destiné à être le théâtre d’une épopée à la fois sublime et tragique, quelques centaines d’hommes avaient décidé de se lever”, a déclaré Emmanuel Macron. “Si nous sommes là, au pied de ce plateau (…), c’est parce que 75 ans après, le peuple de France n’oublie rien de votre sacrifice. Si nous sommes là, c’est pour dire avec force que la leçon d’honneur et de courage que vous nous avez donnée est intacte”, a-t-il ajouté. Le président a également évoqué la leçon “de l’enracinement” transmise par les maquisards des Glières qui “ont défendu l’honneur, la liberté, la civilisation en même temps qu’une montagne, que leur terre, que ce lieu”. “Et il continue à être ainsi de nos idéaux, ils n’existent qu’ancrés, pétris dans notre terre (…)”, a-t-il dit. Le chef de l’Etat a également- à bon compte- voulu retenir la “leçon de l’égalité” léguée par les combattants venus de tous horizons (paysans, réfractaires du travail obligatoire en Allemagne nazie, communistes, francs-tireurs et partisans, républicains espagnols), a notamment énuméré Emmanuel Macron, “que rien ne prédisposait à se rencontrer” et qui se sont retrouvés “égaux et frères dans le combat”.“L’égalité, la vraie, la nôtre, est bien de mesurer la valeur des hommes à ce qu’ils peuvent sacrifier à une cause qui les dépasse” (…)”, a dit le président. Une belle phrase mais un peu en décalage dans la relation de la théorie à la pratique dans la période actuelle




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