Archive pour le Tag 'Instagram'

Facebook et Instagram payants !

Facebook et Instagram payants !

C’est la mode pour l’instant, les grandes plates-formes essayent de fidéliser les utilisateurs avec des abonnements payants. Jusqu’alors, c’était surtout la publicité qui permettait la très haute rentabilité. Mais la publicité se diversifie de plus en plus et en période de crise elle a tendance à se réduire. D’où cette idée qui n’est peut-être pas aussi lumineuse qu’en apparence de rendre payant les accès aux réseaux sociaux. On note aussi par ailleurs les mêmes interrogations sur X (ex tweet). La difficulté supplémentaire pour les grandes plates-formes c’est aussi qu’il faut se soumettre à la réglementation plus contraignante de l’union européenne concernant l’utilisation des données.

Facebook et Instagram ( Meta) vont donc proposer une version payante à 10 euros par mois
Meta a annoncé ce lundi qu’il allait modifier son modèle économique pour proposer une version payante de ses deux réseaux sociaux permettant à ses utilisateurs de ne plus voir de publicités.

Les utilisateurs « auront le choix de continuer à utiliser gratuitement » les deux réseaux sociaux avec des publicités personnalisées, « ou de s’abonner pour ne plus voir de publicités », a indiqué l’entreprise dans un communiqué.

Pour ceux choisissant la deuxième option pour l’ensemble de leurs comptes Instagram ou Facebook, ils devront débourser 9,99 euros par mois, par personne, s’ils règlent via ordinateur, ou 12,99 euros s’ils passent par les applications mobiles sur smartphones, a précisé le géant américain. Attention néanmoins, à partir du 1er mars, chaque compte supplémentaire ajouté à l’abonnement alourdira la facture mensuelle de 6 à 8 euros.

Les géants de l’internet, Meta et Google, ont bâti leur empire sur les recettes générées par des publicités finement ciblées grâce aux données personnelles qu’ils récoltent sur leurs milliards d’utilisateurs. Mais ce modèle économique est maintenant menacé car l’UE lutte depuis des années contre le pistage des internautes sans leur consentement, d’abord avec le règlement européen sur la protection des données (RGPD) de 2016, puis avec le règlement sur les marchés numériques (DMA), entré en vigueur cet été. Les plateformes numériques concernées ont d’ailleurs jusqu’au 6 mars 2024 pour s’y conformer.

Meta (Facebook, Instagram…) : Chute des bénéfices

Meta (Facebook, Instagram…) : Chute des bénéfices


Comme pour les grands du numérique, les bénéfices de méta (Facebook) plongent. Plusieurs raisons à cela, la conjoncture morose sur le plan économique qui réduit très nettement les recettes de publicité. Aussi le tassement du nombre d’utilisateurs enfin le relatif fiasco pour l’instant de metaver, projet d’avenir qui devait révolutionner Internet et auquel même à l’intérieur de chez Facebook on ne croit guère sauf pour quelques applications.Enfin la très forte concurrence du chinois Tok-Tok désormais en tête des réseaux sociaux

Alors que Google a affiché des résultats trimestriels décevants qui ont fait chuter son cours de Bourse, Meta, la maison mère de Facebook et d’Instagram, a vu lui aussi son bénéfice net fondre à 4,4

Comme Google, le géant des réseaux sociaux fait face à la stagnation du nombre de ses utilisateurs et aux coupes dans les budgets publicitaires. Le titre du groupe californien perdait plus de 11% à Wall Street mercredi lors des échanges électroniques après la clôture de la Bourse, même si son chiffre d’affaires est ressorti à 27,7 milliards de dollars, (-4%), conformément aux attentes du marché.
L’ascension fulgurante de TikTok a aussi entamé la domination de Google et de Meta sur ce marché numérique. En 2021, l’application de divertissement a dépassé Google en tant que site web le plus populaire au monde, d’après Cloudflare, un fournisseur de services sur internet. Les grandes plateformes ont bien tenté de copier les formats de TikTok (Instagram a les « Reels » et YouTube les « Shorts »), mais elles peinent à transformer l’investissement en profits.
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Panne géante de Facebook, Instagram, Messenger et WhatsApp

Panne géante de Facebook, Instagram, , Messenger et WhatsApp

Une  panne de plus de six heures, affectant des dizaines de millions d’utilisateurs dans le monde qui devrait être intégrée dans la réflexion sur les risques d’une cyber attaque mondiale.

Facebook, Instagram, WhatsApp et Messenger, les deux réseaux sociaux et les deux messageries du géant californien, ont subi une panne massive de plusieurs heures lundi, affectant des dizaines de millions d’utilisateurs dans le monde. Durant plus de six heures, les applications comme les sites web étaient concernés. Le service commençait toutefois à être rétabli vers minuit.

L’incident de ce lundi, qui a débuté vers 18 heures, est d’une ampleur toute autre au vu de sa durée et du fait qu’il concerne l’ensemble de la famille d’applications du groupe Facebook. C’est la panne c’est «la plus importante jamais observée» par Downdetector, un site de suivi de ce genre d’incidents, qui a recensé plus de 5,6 millions de signalements venus du monde entier rien qu’entre 15 heures 15 et 16 heures 30 GMT.

Pendant près de six heures, les internautes n’arrivaient plus à se connecter aux serveurs des sites et applications de Facebook. Sur les réseaux sociaux, plusieurs spécialistes estiment que le groupe a fait face à une panne de DNS (Domain Name System). Il s’agit d’un service qui fait le lien entre le nom de domaine d’un site web, tapé par l’internaute, et l’adresse IP dudit site, qui est une suite de chiffres. Si le DNS est défaillant, le navigateur est perdu et ne sait pas où il doit se rendre.

La panne a touché un grand nombre de sites web ou de jeux mobiles.

Instagram :Une application dangereuse pour la jeunesse

 Instagram :Une application dangereuse pour la jeunesse

D’après un article du Wall Street Journal (extrait )

 

Les travaux menés par Facebook ces trois dernières années ont montré que l’application était particulièrement dangereuse pour certaines adolescentes. D’après une diapositive de 2019 que le Wall Street Journal a pu consulter, les chercheurs estimaient en effet que, chez un tiers des adolescentes, Instagram amplifiait les complexes physiques. Les jeunes interrogés estimaient également que l’application provoquait une augmentation des cas d’anxiété et de dépression, selon ces travaux.

En public, en revanche, les dirigeants de Facebook minimisaient régulièrement les effets négatifs d’Instagram et n’ont jamais communiqué les conclusions des recherches. En mars dernier, Mark Zuckerberg a annoncé que son groupe « commençait d’envisager » une version d’Instagram adaptée aux moins de 13 ans.

« L’article paru ce jour dans le WSJ et consacré aux recherches que nous menons pour comprendre l’expérience des jeunes sur [Instagram] donne une image négative de nos conclusions, mais soulève des questions importantes, a tweeté mardi Adam Mosseri, le directeur général d’Instagram. Nous ne renions pas ce travail et pensons que les entreprises devraient être plus nombreuses à le mener. »

Le réseau social a également publié un post expliquant que ses travaux internes étaient cohérents avec des études externes estimant que les réseaux sociaux ont des conséquences « en demi-teinte » sur le bien-être. Facebook n’a pas souhaité réagir aux déclarations des parlementaires.

En avril, des élus démocrates avaient écrit à Mark Zuckerberg, critiquant la volonté du groupe de lancer un Instagram pour enfants. En mai, les procureurs généraux de 44 Etats et territoires lui avaient demandé de renoncer à son projet.

En août, Richard Blumenthal et Marsha Blackburn avaient demandé à Mark Zuckerberg de publier les études internes consacrées à l’impact des applications du groupe sur la santé mentale des jeunes. Tous deux avaient déjà critiqué Facebook par le passé. Le groupe leur avait répondu dans un courrier de six pages… qui ne comportait pas une ligne des conclusions des travaux.

« Une chose est sûre : Facebook est incapable d’être à la hauteur de ses responsabilités, ont déploré l’élu du Connecticut et la sénatrice du Tennessee dans leur communiqué commun. L’enquête du Wall Street Journal montre que la direction de Facebook n’a qu’un seul but, la croissance à tout prix, et fait passer le profit avant la santé et la vie des enfants et des jeunes. »

« Quand on lui a donné l’occasion de dire en toute transparence ce qu’il savait de l’impact d’Instagram sur les jeunes, Facebook a fourni des réponses évasives et trompeuses, dissimulant les preuves de nocivité », ajoutent-ils.

Le sous-comité chargé de la protection des consommateurs est une émanation de la commission du commerce du Sénat.

L’enquête du Wall Street Journal s’appuie sur de nombreux documents internes. Une partie de ces documents a été transmise à la SEC, le gendarme de la bourse américaine, et au Congrès par une personne qui souhaite bénéficier de la protection fédérale accordée aux lanceurs d’alerte, avait déjà relaté le Wall Street Journal.

« Ces documents montrent clairement que Facebook a pris, en toute connaissance de cause, des décisions qui ont permis la diffusion de fausses informations et de contenus nocifs. Les informations anonymes transmises en toute légalité, à l’instar de celles dont nous parlons aujourd’hui, sont indispensables aux autorités et au Congrès », souligne John Tye, avocat de Whistleblower Aid qui a transmis les documents à la SEC.

Facebook n’a pas immédiatement répondu à la demande de commentaire sur le communiqué des sénateurs.

Mardi, après la parution de l’article du Wall Street Journal, les parlementaires des deux côtés de l’Atlantique ont dit leur inquiétude.

« C’est épouvantable, a déploré Ed Markey, sénateur démocrate du Massachusetts, sur Twitter. J’exige des réponses de Mark Zuckerberg. »

Damian Collins, parlementaire britannique qui milite pour une loi sur la sécurité en ligne, a également fustigé le réseau social, soulignant dans un communiqué que l’article du Wall Street Journal « démontrait que l’entreprise, une fois encore, vise le profit, quitte à faire du mal ».

« Les recherches [de Facebook] révèlent qu’une grande partie des jeunes utilisateurs d’Instagram disent que l’application dégrade l’image qu’ils ont d’eux, mais tout ce que veut l’entreprise, c’est qu’ils s’y connectent encore et encore. »

(Traduit à partir de la version originale en anglais par Marion Issard)

Traduit à partir de la version originale en anglais

Facebook, Instagram et Whatsapp en panne : catastrophe internationale !

Facebook, Instagram et Whatsapp en panne : catastrophe internationale !

 

Plusieurs réseaux sociaux Facebook, Instagram et WhatsApp, ont été inaccessible dimanche rapporte dimanche 14 avril downdetector.com, un site spécialisé dans le suivi des incidents rencontrés sur internet. Une véritable catastrophe internationale évidemment car nombreux d’utilisateurs ont été privés de publication de leurs photos en compagnie de leur chien. Des photos pourtant tellement attendues par tous leurs amis tellement impatients de témoigner  leur enthousiasme en diffusant le célèbre «  j’aime «. On objectera  à juste titre qu’une partie certes très minime de ces réseaux sociaux sert d’autres objets que l’auto contemplation mais ces utilisations sont marginales. Pour l’essentiel, ces réseaux sociaux diffusent des informations et autres images sans aucun intérêt à un réseau virtuel d’amis dont la plupart ne se connaissent pas. Bref c’est la nouvelle convivialité virtuelle qui échange des banalités semble à des fins existentielles. Mais des infos revendus à des fins commerciales  Amazon et autres.  Au « cogito ergo sum » s’est substitué » je surfe donc je suis ». De ce point de vue, là technologie a fait bien davantage de progrès que le contenu et les milliards de tuyaux qui permettent la communication ne transportent en fait surtout  l’insignifiance.

 

Facebook, Instagram, tweeter (etc.) : le triomphe du nombrilisme

Facebook, Instagram, tweeter (etc.) : le triomphe du nombrilisme

 

Les réseaux sociaux constituent un formidable espace ou le pire côtoie le meilleur. Une source d’enrichissement extraordinaire, de débat aussi. Force est de constater cependant ces réseaux sociaux ont rendu possible le triomphe du nombrilisme. On se demande quelle valeur ajoutée personnelle ou collective on peut trouver à se photographier soi-même à adresser des messages creux, à diffuser sa vie personnelle sans contenu informatif réel sinon pour satisfaire un égocentrisme maladif qui traduit le recentrage général sur individualisme désuet ; Une sorte de narcissisme existentiel qui se satisfait par exemple d’appuyer sur un bouton « j’aime » pour avoir l’illusion d’exister dans une société pourtant de plus en plus virtuelle. Une manière sans doute de se rassurer. Je twette donc j’existe s’est substitué au cogito de Descartes. Bien sûr nombre applications sont autrement plus enrichissantes, plus utiles à la démocratie. Mais la masse des utilisateurs se centre sur les réseaux sociaux ; les internautes contente concernent un peu plus de la moiti de la population (95% en France ; 40 % de la population mondiale utilisent les réseaux sociaux (60% en France). En moyenne, les français consacrent une heure par semaine aux réseaux sociaux. La masse des connexions concerne ces réseaux (avec les sites commerciaux comme Amazon ou le Bon coin). Chez les jeunes, la dépendance est telle que la connexion avec ces réseaux sociaux est assurée 24 heures sur 24. Le smartphone est intégrée  comme une partie du corps à tel point que s’en séparer ne serait ce qu’une minute provoque un traumatisme. Le smartphone remplace le vide par le vide en substituant une virtualité sans beaucoup d’intérêt à une réalité socialement insignifiante. Le phénomène le plus remarquable c’est que c’est sur ce vide existentiel qu’ont prospéré, les plus grandes multinationales,  les grands groupes de numérique qui en profitent pour transformer cette agora en clientèle potentiel grâce à l’étalage existentiel des internautes.




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