Archive pour le Tag 'inspirée'

Israël : L’Iran se félicite de l’opération du Hezbollah qu’elle a inspirée

Israël : L’Iran se félicite de l’opération du Hezbollah qu’elle a inspirée

Faute sans doute d’avoir les moyens de répliquer directement à Israël après la mort sur son sol du responsable du Hamas, une nouvelle fois l’Iran a instrumentalisé Hezbollah pour  lancer des centaines d’engins explosifs vers Israël.

Du coup, l’Iran se félicite de cette opération qui en réalité est la sienne et qui vise surtout à montrer à l’opinion publique au Moyen-Orient la puissance théorique de Téhéran.

En réalité d’Iran n’est pas en capacité de mener une guerre contre Israël compte tenu de la faiblesse de son armée mais aussi d’un climat interne délétère caractérisé par un affaiblissement économique et par un discrédit auprès de la population. Sans parler des divisions internes chez les religieux qui dirigent le pays.

À la place l’ Iran a donc sollicité le Hezbollah qui a expédié une salve de drones et de rockets  sur Israël précisant toutefois dimanche avec prudence que la réplique était terminée. Le Hezbollah n’est pas non plus en situation de gagner une guerre contre Israël et sa position interne est fragilisée par l’écroulement du pays

L’Iran a salué ce lundi 26 août l’attaque menée la veille par le Hezbollah libanais, son allié, contre des positions israéliennes, affirmant qu’Israël avait perdu son «pouvoir offensif et dissuasif» !

Hamas- Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

Hamas- Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

On découvre chaque jour un peu plus le caractère particulièrement barbare des terroristes du Hamas manipulés par l’Iran. Les palestiniens sont en effet instrumentalisé par l’Iran d’abord qui essaye de masquer ainsi ses graves problèmes économiques, sociaux et sociétaux. Ensuite, qui compte sur la rue dans les pays arabes pour déstabiliser les régimes en place notamment sunnites.

Les premières victimes ont été les juifs d’Israël, les seconds seront les civils palestiniens mais pour l’Iran la vie ne compte pas ni à l’intérieur du pays ni à l’extérieur. Seul compte la doctrine inhumaine de l’ordre religieux chite. Le véritable enjeu est sans doute d’abattre Israël mais bien au-delà pour l’Iran de prendre la main politiquement et culturellement dans les pays musulmans. Un enjeu majeur qui justifie la sauvagerie sans nom.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré mardi soir que l’attaque du Hamas contre Israël était d’« une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », lors d’un entretien téléphonique avec le président américain, Joe Biden.

« Nous avons été frappés samedi par une attaque d’une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », a déclaré Benjamin Netanyahu, dans une vidéo publiée par son bureau. « Des centaines de massacres, des familles anéanties dans leur lit, dans leur maison, des femmes brutalement violées et assassinées, plus d’une centaine d’enlèvements (…), ils ont pris des dizaines d’enfants, les ont ligotés, brûlés et exécutés, ils ont décapité des soldats », a-t-il ajouté parlant au téléphone avec Joe Biden.

Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

On découvre chaque jour un peu plus le caractère particulièrement barbare des terroristes du Hamas manipulés par l’Iran. Les palestiniens sont en effet instrumentalisé par l’Iran d’abord qui essaye de masquer ainsi ses graves problèmes économiques, sociaux et sociétaux. Ensuite, qui compte sur la rue dans les pays arabes pour déstabiliser les régimes en place notamment sunnites.

Les premières victimes ont été les juifs d’Israël, les seconds seront les civils palestiniens mais pour l’Iran la vie ne compte pas ni à l’intérieur du pays ni à l’extérieur. Seul compte la doctrine inhumaine de l’ordre religieux chite. Le véritable enjeu est sans doute d’abattre Israël mais bien au-delà pour l’Iran de prendre la main politiquement et culturellement dans les pays musulmans. Un enjeu majeur qui justifie la sauvagerie sans nom.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré mardi soir que l’attaque du Hamas contre Israël était d’« une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », lors d’un entretien téléphonique avec le président américain, Joe Biden.

« Nous avons été frappés samedi par une attaque d’une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », a déclaré Benjamin Netanyahu, dans une vidéo publiée par son bureau. « Des centaines de massacres, des familles anéanties dans leur lit, dans leur maison, des femmes brutalement violées et assassinées, plus d’une centaine d’enlèvements (…), ils ont pris des dizaines d’enfants, les ont ligotés, brûlés et exécutés, ils ont décapité des soldats », a-t-il ajouté parlant au téléphone avec Joe Biden.

Hamas: Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

Hamas: Une double sauvagerie sans nom inspirée par l’Iran

On découvre chaque jour un peu plus le caractère particulièrement barbare des terroristes du Hamas manipulés par l’Iran. Les palestiniens sont en effet instrumentalisé par l’Iran d’abord qui essaye de masquer ainsi ses graves problèmes économiques, sociaux et sociétaux. Ensuite, qui compte sur la rue dans les pays arabes pour déstabiliser les régimes en place notamment sunnites.

Les premières victimes ont été les juifs d’Israël, les seconds seront les civils palestiniens mais pour l’Iran la vie ne compte pas ni à l’intérieur du pays ni à l’extérieur. Seul compte la doctrine inhumaine de l’ordre religieux chite. Le véritable enjeu est sans doute d’abattre Israël mais bien au-delà pour l’Iran de prendre la main politiquement et culturellement dans les pays musulmans. Un enjeu majeur qui justifie la sauvagerie sans nom.

Le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a déclaré mardi soir que l’attaque du Hamas contre Israël était d’« une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », lors d’un entretien téléphonique avec le président américain, Joe Biden.

« Nous avons été frappés samedi par une attaque d’une sauvagerie jamais vue depuis la Shoah », a déclaré Benjamin Netanyahu, dans une vidéo publiée par son bureau. « Des centaines de massacres, des familles anéanties dans leur lit, dans leur maison, des femmes brutalement violées et assassinées, plus d’une centaine d’enlèvements (…), ils ont pris des dizaines d’enfants, les ont ligotés, brûlés et exécutés, ils ont décapité des soldats », a-t-il ajouté parlant au téléphone avec Joe Biden.

La littérature française encore inspirée par le Nouveau Roman

La littérature française encore inspirée  par le Nouveau Roman 

L’essayiste et critique,  Tiphaine Samoyault   évoque Dans le Monde la postérité et l’actualité du mouvement littéraire.

 

 

On doit à l’essayiste et critique littéraire Tiphaine Samoyault la biographie de Roland Barthes (Seuil, 2015), dont le parcours a accompagné le Nouveau Roman. Elle estime qu’on peut repérer plus de continuités que de ruptures entre ce courant et la littérature contemporaine.


Le Nouveau Roman est-il un « astre mort » ou exerce-t-il encore une influence sur la littérature actuelle ?

La littérature française demeure profondément travaillée par le Nouveau Roman. On lui reproche le soupçon qu’il a fait peser sur le genre du roman lui-même. Mais l’autofiction ou la littérature documentaire sont dans le droit-fil de ce soupçon. Cette méfiance ne lui était d’ailleurs pas propre, mais reprenait un héritage du surréalisme, de Breton, de Valéry ou de Proust… On pourrait imaginer que Nathalie Sarraute rompt en 1983 avec le Nouveau Roman quand elle écrit Enfanceun texte de souvenirs [Gallimard].

En réalité, elle adopte exactement les mêmes techniques narratives que dans ses autres livres en les rendant compatibles avec l’une des plus belles autobiographies écrites au XXe siècle. L’autofiction, l’introspection, le rapport à la mémoire restent donc inscrits dans le sillage du Nouveau Roman. La manière dont Claude Ollier cherche à déranger le français par les langues étrangères a, elle aussi, quelque chose de très actuel. Christine Angot continue à se réclamer de Duras et de Sarraute. Claude Simon, auteur énormément étudié, a un effet considérable auprès de nombreux écrivains, comme Laurent Mauvignier ou Pierre Bergounioux.

Certains écrivains contemporains se réfèrent peut-être à des œuvres, ou à des auteurs. Mais qu’en est-il de la théorie ?

Le Nouveau Roman a été identifié comme courant autour d’un certain nombre de manifestes et de règles, qui n’émanaient que d’une seule personne, Alain Robbe-Grillet, mais qui réunissaient ces auteurs autour du désir d’en finir avec un certain réalisme. Il s’est créé une sorte de label où l’on voit à l’œuvre une stratégie, au sens sociologique du terme. Cela a très bien fonctionné à une époque d’expansion capitalistique où il fallait faire marcher la littérature avec des labels. Mais ce n’est que la partie émergée d’une double tendance de la littérature française : soupçon sur le genre roman et expérimentation linguistique. Cela existe encore.

Trouvez-vous que « Nouveau Roman. Correspondance 1946-1999 » fait comprendre cette continuité ?

Un des grands mérites de l’ouvrage tient à ce qu’il fait remonter l’histoire du Nouveau Roman à 1946, à un moment de refondation. Il s’agit de reconstruire sur des ruines, après la Libération, quand l’humanisme a été tellement mis à mal que l’on questionne les notions de sujet et d’histoire. Une époque où la littérature occupait encore une place centrale dans la définition des valeurs communes.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol