Archive pour le Tag 'insignifiant'

Borne: discours plat et insignifiant

Borne: discours plat et insignifiant


Pour sa première interview depuis sa reconduction comme première ministre, Élisabeth Borne a fait dans l’insignifiance totale à tel point que la plupart des médias n’ont pas repris ses propos.

Macron avait déjà eu du mal à attirer l’attention de l’opinion publique dans ses discours de Nouméa. En faisant du « macron » encore pire, Borne confirme son manque total de compétence et d’épaisseur politique.
Pour résumer , elle a repris la curieuse affirmation du chef de l’État concernant la présence d’un enseignant dans sa classe ! Concernant l’affaire des policiers elle soutient évidemment les forces de l’ordre mais aussi la justice. Elle affirme que la France sera prête pour les jeux olympiques.

Elle dément les mauvaises relations supposées avec le chef de l’État et rassure l’opinion : elle a été au travail pendant toute la période passée et continue de l’être

Quand elle prend position, elle se plante comme sur la baisse des prix qu’elle prévoit pour la rentrée alors que les chiffres démontrent que les prix augmentent même si l’inflation ralentit.

Bref un tissu de banalités de la part d’une première ministre qui confirme qu’elle n’a vraiment pas l’étoffe de la fonction. Ce qui convient parfaitement à Macron qui peut s’essuyer les pieds sa première collaboratrice.

Pour preuve du manque d’autorité de la première ministre, le repas dessiné aux membres du gouvernement a été privé de la présence de plusieurs ministres de droite !

Élisabeth Borne : un bilan insignifiant

Élisabeth Borne : un bilan insignifiant

.Franceinfo dresse péniblement  le bilan de son action aux ministères Transports et de la Transition écologique . Un bilan très mince pour ne pas dire insignifiant

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Avant d’être nommée Première ministre, lundi 16 mai, Elisabeth Borne a fait partie du défilé de ministres de la Transition écologique lors du dernier quinquennat d’Emmanuel Macron. Entre Nicolas Hulot, François de Rugy et Barbara Pompili, elle a occupé les postes de ministre chargée des Transports, de mai 2017 à juillet 2019, puis elle a remplacé François de Rugy à la tête du ministère de la Transition écologique et solidaire de juillet 2019 à juillet 2020, pour ensuite être relayée par Barbara Pompili.

Emmanuel Macron l’a affirmé pendant la campagne présidentielle : elle sera désormais en charge de la planification écologique. Mais qu’a-t-elle accompli entre 2017 et 2020 ? « Grande connaisseuse des dossiers et ouverte au dialogue avec les parties prenantes, elle a pourtant obtenu peu d’avancées mémorables dans le domaine de la lutte contre le changement climatique », répond pour sa part le Réseau action climat dans un communiqué. Franceinfo fait le bilan.

Lors de ses deux mandats aux Transports et à la Transition écologique, les aides publiques en faveur des mobilités bas carbone et les dépenses globalement « favorables au climat » ont augmenté, suivant une tendance générale lors de la décennie, note un rapport de l’I4CE, l’Institut de l’économie pour le climat. L’organisme liste une série de dépenses telles que  »l’augmentation rapide des aides à l’acquisition des véhicules propres depuis 2018″ ou le soutien du ferroviaire au travers du « rachat de 20 milliards d’euros de la dette de SNCF Réseau en 2020« 

Toutefois, ces investissements n’ont pas permis de faire baisser suffisamment les émissions de gaz à effet de serre, responsables du dérèglement climatique, en 2017, 2018 et 2019. Sur les trois années pendant lesquelles Elisabeth Borne a joué un rôle dans la politique écologique du pays, les émissions de CO2 de la France n’ont pas atteint les objectifs de baisse fixés par la première Stratégie nationale bas carbone, la feuille de route française pour respecter l’accord de Paris.

Déjà sermonné en 2017, le gouvernement a de nouveau été contraint de prendre des mesures pour réduire la pollution de l’air, sous astreinte de 10 millions d’euros par semestre de retard. Peu après la fin du mandat d’Elisabeth Borne au ministère de la Transition écologique en juillet 2020, le Conseil d’Etat a constaté « que le gouvernement [n'avait] toujours pas pris les mesures demandées pour réduire la pollution de l’air dans huit zones en France »avait dénoncé la haute juridiction.

Durant ses mois en charge de ces enjeux, la ministre a mis un point final à des projets controversés. Le 7 novembre 2019, elle a annoncé l’abandon d’EuropaCity, vaste complexe de loisirs, d’hôtels et de commerces qui devait ouvrir à Gonesse (Val-d’Oise) et devenu le symbole de l’urbanisation des surfaces agricoles. Quelques jours avant de passer la main à Barbara Pompili, Elisabeth Borne a également acté l’arrêt définitif de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin). « Avec l’arrêt des deux réacteurs de Fessenheim, nous engageons à 50% la réduction de la part du nucléaire d’ici 2035 tout en développant massivement les énergies renouvelables. Pourquoi ? Parce qu’un système électrique plus diversifié est un système plus résilient »avait-elle alors défendu devant l’Assemblée nationale.

Pendant ses mandats, Elisabeth Borne a également mené à bien trois projets de loi initiés avant son arrivée. Il s’agit tout d’abord de la loi Energie-climat, adoptée le 8 novembre 2019. Le texte a fixé l’objectif d’une baisse de 40% de la consommation d’énergies fossiles d’ici à 2030 en France – contre 30% précédemment –, la fermeture des dernières centrales à charbon en 2022, mais aussi le report de 2025 à 2035 de la réduction à 50% de la part du nucléaire dans la production électrique. Toutefois, « elle n’a pas pu imprimer sa marque sur un texte dont les principaux objectifs avaient déjà été annoncés par Nicolas Hulot dès 2017″, notait Le Monde.

Quelques semaines plus tard, elle a également porté la loi d’Orientation des mobilités jusqu’à sa publication au Journal officiel, le 26 décembre 2019.  »En France, cela faisait plus de trente ans qu’on n’avait pas eu de loi sur les enjeux transports et mobilité », a salué auprès de franceinfo David Zambon, directeur chargé des infrastructures au sein du Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (Cerema). Clément Sénéchal, porte-parole de Greenpeace, modère de son côté la portée de la loi, auprès de franceinfo : « Elle ne comportait pas de mesures structurantes pour ramener ce secteur dans les clous des accords de Paris. Preuve en est, il déroge toujours aux objectifs. »

Enfin, elle était en poste lors de la promulgation, le 10 février 2020, de la loi relative à la Lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire. Mais cette « loi plutôt ambitieuse, qui encourage la réparation des produits, interdit la destruction des invendus non alimentaires, lutte contre les dépôts sauvages dans la nature ou renforce l’application du principe pollueur-payeur » a davantage été « préparée et portée par sa secrétaire d’Etat Brune Poirson », analyse Libération.

Un plan en faveur de la pratique du vélo !

Fin avril 2020, peu avant la sortie du premier confinement, Elisabeth Borne a annoncé un plan de 20 millions d’euros pour faciliter la pratique du vélo. « Pour encourager ce mouvement [vers le vélo], nous renforçons la sécurité des cyclistes en soutenant le développement des pistes cyclables temporaires et nous incitons le plus grand nombre à utiliser le vélo en prenant en charge des réparations, l’installation de places de stationnement ou encore des formations »a-t-elle alors défendu.

La vérité c’est que la plupart des mesures un peu importantes sont passées largement au-dessus de la tête d’Élisabeth Borne qui a toujours su naviguer pour pratiquer en même temps la langue de bois et l immobilisme.

 

Hausse prix des carburants : un geste insignifiant du gouvernement

Hausse prix des carburants : un geste insignifiant du gouvernement

 

À bas bruit , le prix du litre du carburant se dirige doucement vers les deux euros (ainsi parfois atteint à l’intérieur de Paris) ; leprix des carburants a atteint des chiffres record qui dépassent même ceux qui avaient justifié le mouvement des filets jaunes. Plus généralement, cette hausse spécifique participe de l’inflation à laquelle ne répond pas le gouvernement. Pire,  il en profite puisque plus les prix du carburant s’envolent et plus les recettes fiscales progressent. Pris au dépourvu sans doute ,Jean Castex, a annoncé mardi 25 janvier que le barème de l’indemnité kilométrique serait rehaussé de 10% « dès cette semaine », par un arrêté.

 

À noter cependant que cette disposition ne prendra effet qu’après la déclaration d’impôt de 2022 c’est-à-dire en 2023. D’autre part qu’elle ne concernera qu’une partie assez limitée des automobilistes.

De toute évidence c’est mesure n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Il faudra bien se résoudre à un moment ou un autre à diminuer’certaines taxes provisoirement par exemple la TVA ou encore instaurer des taxes flottantes évoluant en fonction de l’évolution des prix.

 

Plus globalement comme déjà indiqué, c’est la question de l’inflation qui est posée. Une inflation qui aura atteint dollar de 3 % sur un an en France et qui pour l’instant n ‘est compensée que par une hausse en général de 1 % sur les salaires, les retraites et l’épargne. Bref une perte sèche de 2 %.

Croissance : tassement mondial (FMI)

 

Croissance : tassement mondial

 

 

Le fonds monétaire international a procédé à une révision générale des prévisions de croissance notamment dans les deux plus importantes zones économiques que  sont des États-Unis et la Chine. En cause, une crise sanitaire dans les effets sont encore loin d’être terminée et alors que la pandémie n’est pas encore complètement contrôlée loin s’en faut avec l’apparition du virus omicron.

 

Le deuxième facteur de refroidissement de la croissance tient sans doute au resserrement prévu des politiques monétaires. Les banques centrales ont en effet déversé sans compter des liquidités massives sur l’économie qu’il faut maintenant amortir. Un amortissement qui se fait de façon classique par le relèvement des taux d’intérêt et l’inflation.

Demeurent aussi des difficultés d’ordre logistique du fait de la recomposition d’une partie des processus de production et de répulsion.

Fondamentalement; un autre danger menace celui de l’éclatement de bulle financière gonflée précisément pendant la période de politiques accommodantes des banques centrales qui ont accordé des fonds de manière très généreuse et dont une partie a été utilisée de manière très spéculative.

Le Fonds monétaire international a donc  révisé à la baisse (-0,5 point) ses prévisions de croissance du PIB planétaire pour 2022 de 4,9% à 4,4%. L’activité aux Etats-Unis et en Chine devrait être beaucoup moins robuste que prévu.

Parmi les révisions à la baisse il faut signaler celle des États-Unis.. Après un plongeon a en 2020 (-3,4%), un redressement spectaculaire en 2021 (5,6%) un tassement des prévisions est à prévoir; le FMI a fortement révisé à baisse ses prévisions de croissance à 4% contre 5,2% en octobre dernier.

De son côté,l’économie chinoise devrait fortement marquer le pas en 2022. Après un pic à 8,1% en 2021la croissance du PIB attendue est de 4,8% cette année contre 5,6% lors des projections d’automne dernier.

La croissance en Europe pourrait passer de 5,2% en 2021 à 3,9% en 2022 et 2,5% en 2023. Le FMI a révisé à la baisse ses prévisions de croissance du PIB pour cette année de 0,4 point par rapport à l’automne dernier. Toutes les grandes économies de la zone euro ont enregistré une dégradation des projections par le FMI. Parmi les baisses les plus marquées figure l’Allemagne (-0,8 point).

La première économie de la zone euro devrait néanmoins voir son PIB augmenter entre 2021 et 2022 de 2,7% à 3,8%. Si le rebond l’année dernière est moins spectaculaire que celui de la France (6,7%), il faut néanmoins rappeler que le plongeon de l’activité en Allemagne a été nettement moins violent. En revanche, l’industrie outre-Rhin est toujours empêtrée dans de fortes difficultés d’approvisionnement. de l’Etat fédéral en fin d’année dernière succédant à Angela Merkel.

En France aussi, la croissance du PIB pourrait être moins robuste qu’attendu. Après une énorme chute (-8% en 2020) et un rebond en partie mécanique de 6,7% en 2021, la croissance devrait ralentir plus que prévu selon le FMI. Les économistes basés à Washington tablent sur une croissance de 3,5% cette année contre 3,9% en octobre 2021.

. Dans le sud de l’Europe, l’activité devrait également être moins robuste qu’anticipé. L’Italie (3,8% en 2022) et l’Espagne (5,8% en 2022) ont également vu leurs chiffres de croissance revus à la baisse (respectivement de -0,4 point et -0,6 point).

Le rattrapage économique suite à la profonde récession de 2020 et la remonté des prix du pétrole et ceux des matières premières ont fait ressurgir le spectre de l’inflation aux Etats-Unis et dans les autres pays riches. Au total, le FMI table sur une hausse de l’indice des prix de 3,9% en 2022 contre 3,1% en 2021 et 0,7% en 2020 dans les économies avancées. L’inflation devrait marquer le pas à partir de 2023 à 2,1%.

Baisse du chômage en novembre : insignifiant

Baisse du chômage en novembre : insignifiant

 

Les évolutions du chômage sont trop faibles pour qu’on puisse les interpréter. La baisse de La situation s’est un petit peu améliorée et Vient après la hausse d’octobre. En outre et surtout le nombre total de chômeurs incluant les petits boulots ont eu tendance à augmenter sur un an. Officiellement on compte donc tour de 6 millions de chômeurs dont il faut rappeler que seulement la moitié sont indemnisés et sans parler du halo du chômage c’est-à-dire des personnes sans emploi non-inscrit à pôle emploi soit autour de1  à 1,5 millions de personnes. r. Après une hausse de 0,2 % en octobre, le nombre de demandeurs d’emploi inscrits en catégorie A (sans activité) dans la France entière a diminué de 0,8 % (-30.000) en novembre pour s’établir à 3,7 millions de personnes, selon les chiffres mensuels de Pôle emploi publiés par le ministère du Travail mercredi. Sur les trois derniers mois, la baisse est encore plus conséquente puisque qu’elle est de 2,3%. Ce bon résultat doit toutefois être nuancé. Et pour cause, le nombre de personnes inscrites en catégorie B et C a au contraire augmenté. Il s’agit des personnes tenues de chercher un emploi qui sont en activité réduite, qui font des petits boulots de plus ou moins 78 heures par mois. Le ministère du Travail a en effet recensé, en France métropolitaine, une hausse de 2,2% des demandeurs d’emplois en catégorie B et de 0,6 pour la catégorie C. Et pour les deux catégories, l’institut public recense 2,1 millions de personnes. Bref, au total, le nombre de demandeurs d’emploi toutes catégories confondues (A, B et C) s’établit en France à 5,919 millions contre 5,923 en octobre. Ces données sont à prendre avec beaucoup de prudence du fait de leur forte volatilité d’un mois à l’autre.




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