Archive pour le Tag 'inscrire'

Référendum–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Référendum–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Macron ne cesse de rechercher des combines pour remonter dans l’estime des Français. Ainsi sa dernière trouvaille vise à inscrire l’IVG dans la constitution. L’objectif est de trouver un thème consensuel pour lui permettre de recueillir une majorité lors d’un référendum. Précédemment par exemple il est envisageait un thème sur l’immigration ou sur l’environnement.

La manœuvre est évidemment très grossière dans la mesure où l’IVG est juridiquement assurée dans son principe et n’est contesté par personne. C’est un peu comme si on demandait aux Français « voulez-vous du beau temps ? ».

C’est évidemment un détournement démagogique de la démocratie. Macron évite évidemment les thèmes sensibles qui justement ont besoin d’un arbitrage.

Par ailleurs, cette manie bien française de changer à tout bout de champ la constitution n’est pas sans poser un problème de stabilité juridique.

Certes l’IVG est un droit, au surplus non contesté, mais on pourrait alors pour des motifs politiciens insérer dans la constitution nombre de droits qui n’y figurent pas. Mais des droits déjà légalisés qui n’ont pas leur place dans la constitution.

Démagogie–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Démagogie–nouvelle trouvaille de Macron pour inscrire l’IVG dans la constitution

Macron ne cesse de rechercher des combines pour remonter dans l’estime des Français. Ainsi sa dernière trouvaille vise à inscrire l’IVG dans la constitution. L’objectif est de trouver un thème consensuel pour lui permettre de recueillir une majorité lors d’un référendum. Précédemment par exemple il est envisageait un thème sur l’immigration ou sur l’environnement.

La manœuvre est évidemment très grossière dans la mesure où l’IVG est juridiquement assurée dans son principe et n’est contesté par personne. C’est un peu comme si on demandait aux Français « voulez-vous du beau temps ? ».

C’est évidemment un détournement démagogique de la démocratie. Macron évite évidemment les thèmes sensibles qui justement ont besoin d’un arbitrage.

Par ailleurs, cette manie bien française de changer à tout bout de champ la constitution n’est pas sans poser un problème de stabilité juridique.

Certes l’IVG est un droit, au surplus non contesté, mais on pourrait alors pour des motifs politiciens insérer dans la constitution nombre de droits qui n’y figurent pas. Mais des droits déjà légalisés qui n’ont pas leur place dans la constitution.

Intérêt général et subsidiarité : Les deux principes à inscrire dans la constitution

Intérêt général et  subsidiarité : Les deux principes à inscrire dans la constitution

 

 

Inscrire ces deux « valeurs actions » dans la Constitution par voie de référendum serait le moyen le plus efficace de redonner « à l’action collective la confiance perdue en sa force », plaide, dans une tribune au « Monde », Jean-Marie Spaeth, ancien responsable à la CFDT et ex-président de l’Assurance-maladie.

 

Tribune.

Qu’il s’agisse des partis politiques, de droite comme de gauche, ou des organisations syndicales et associatives, il y a aujourd’hui consensus. Consensus pour considérer que notre pays est fracturé et qu’il y a une défiance croissante de nos concitoyens à l’égard des responsables, des gouvernants et des institutions. Les Français auraient décidé de s’organiser en petits îlots distincts. A coups de « il n’y a qu’à » ou « il faut qu’on », peu de propositions prospectives et réelles émergent. Les décisions des différents gouvernements et organisations, syndicales ou patronales, ont peu de prise sur la réalité et ne déclenchent pas plus de dynamiques sociales que d’enthousiasme. La remobilisation du pays autour des « valeurs actions » républicaines, humanistes et démocratiques est urgente !

Une valeur action est une ambition, un état d’esprit, une grille d’analyse des mesures proposées et des actes réalisés, qu’il s’agisse de ceux des partis politiques, des élus ou des acteurs sociaux. La période actuelle doit voir émerger deux valeurs actions comme ciment de la société : l’intérêt général et la subsidiarité. Couramment, l’expression « intérêt général » désigne les intérêts, valeurs et objectifs partagés par l’ensemble des membres d’une société et qui procurent le bien-être. Une forme d’utilitarisme moderne qui recherche « le plus grand bonheur du plus grand nombre », selon la formule des deux philosophes britanniques Jeremy Bentham (1748-1832) et Joseph Priestley (1733-1804).

Ambiguïté savamment entretenue

En France, l’intérêt général est une notion floue qui n’est pas un engagement constitutionnel. L’on entretient savamment une ambiguïté entre services publics, mission de service public et intérêt général. Le service public est un moyen, ce n’est pas une référence universelle. Lorsque, par exemple, l’un préconise de diminuer les prélèvements obligatoires, l’autre de limiter l’endettement à x % du PIB, et le troisième de diminuer le nombre de fonctionnaires, la seule question qui vaille d’être posée demeure : en quoi ces mesures contribuent-elles à l’intérêt général ?


La recherche par les financiers de la rentabilité maximale du capital les a conduits à vampiriser l’économie de marché et à mettre les entreprises sous tutelle. En quoi la recherche d’un rendement à deux chiffres du capital contribue-t-elle à l’intérêt général ? Idem lorsque l’on organise des grèves catégorielles minoritaires pour bloquer des services indispensables : là aussi, où est la dimension d’intérêt général qui peut les justifier ? Donner une définition claire, opérationnelle, ambitieuse, de l’intérêt général et l’inscrire dans la Constitution, c’est donner une clé de lecture et d’analyse de toutes les décisions, publiques ou privées, ayant un impact sur le vivre-ensemble. Cela touche plus particulièrement l’éducation, la sécurité, les domaines de l’économie et du social. L’intérêt général doit figurer dans notre Constitution.

Chômage : une solution, ne plus inscrire les demandeurs d’emplois

Chômage : une solution,  ne plus inscrire les demandeurs d’emplois

 

Comme disait déjà  Mitterrand » on a tout essayé ». Et tout raté ,. Et c’est pire avec Hollande plus de 600 000 chômeurs en plus soit 20% . Il ya aura bien une inversion un jour mais pas susceptible d’absorber les 5 à 7 millions de chômeurs. Quelques dizaines de milliers de chômeurs en moins en 2016 peut-être même en 2015 si les chômeurs ne s’inscrivent plus. Une idée déjà  avancée par l’austère mais servile INSEE qui notait dans une  dernière note de conjoncture que les chiffres seraient meilleurs si les séniors s’inscrivaient moins. On récidive avec la déclaration de Rebsamen : « les chiffres de mai sosnt mauvais mais inexploitable car les chômeurs se sosnt trop inscrits ». Incroyable mais vrai ; Effectivement ils ont davantage réactualisés leur situation. Or on sait qu’il y a habituellement 50 000 chômeurs radiés par mois ,. La radiation vraie variable d’ajustement pour montrer que ça va mieux. Les chômeurs se sont davantage inscrits mais c’est une  « anomalie » pour le ministère du travail.  Les chiffres du chômage du mois de mai ne sont pas bons. Selon les chiffres publiés par le ministère du Travail mercredi 24 juin, le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A (sans emploi) s’établit à 3.552.200 personnes en France métropolitaine, fin mai 2015. En un mois, le chômage a grimpé de +0.5% (16.200 demandeurs d’emploi en plus). Sur un an, il grimpe de 5%. Le ministère ajoute toutefois que ces chiffres ne sont pas interprétables. En cause, une anomalie qui aurait faussé la collecte des données. Rien à voir avec le bug de l’été 2013 à cause d’un dysfonctionnement chez SFR à cause duquel des chômeurs n’avaient pas pu être joints. Cette fois, aucun problème technique mais la perplexité de Pôle emploi après avoir envoyé le SMS de relance habituel aux chômeurs tardant à actualiser leur situation. Peu de retours, beaucoup moins que d’habitude, peut-être à cause des ponts de mai. Intrigué, Pôle emploi décide d’envoyer un deuxième SMS de rappel puis un troisième, ce qui ne se fait jamais, normalement. Et là, surprise, c’est l’affluence de réponses de retardataires avec comme effet de faire gonfler brutalement les statistiques. Sans ces SMS successifs, on serait resté le mois dernier sur une progression inférieure à 10.000 du nombre des demandeurs d’emploi. Le ministère du Travail s’interroge donc sur ce système de relance par SMS. Est-il encore bien adapté ? Apparemment non, puisqu’il faut s’y reprendre à trois fois pour y arriver. Ne faudrait-il pas réfléchir à un autre mode de comptage des chômeurs ?




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