Archive pour le Tag 'inquiétudes'

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Croissance Etats-Unis : inquiétudes après le tassement des emplois

Croissance Etats-Unis : inquiétudes après le tassement des emplois 

Le taux de croissance se tasse aux Etats Unis et témoigne des grandes incertitudes concernant l’économie mondiale. Les créations d’emploi aux Etats-Unis sont tombées en mars à leur plus bas niveau depuis décembre 2013, ce qui renforce l’impression de fragilité de la reprise économique américaine dans un contexte marqué par la vigueur du dollar et pourrait inciter la Réserve fédérale à ne pas précipiter une hausse des taux d’intérêt. Le nombre de créations d’emploi dans le secteur non-agricole s’est élevé à 126.000 le mois dernier, selon les chiffres publiés vendredi par le département du Travail.  La croissance aux Etats Unis a été moins dynamique au 4ème trimestre et au début 2015. En cause la hausse du dollar , aussi une activité qui s’est réduite au plan mondial. Du coup la FED va sans doute décider de reculer la date de remontée des taux, vraisemblablement fin 2015 voire en 2016.D’autant que l’inflation est largement sous contrôle.  Une bonne nouvelle pour le reste du monde car le relèvement des taux américains entraineraient mécanique la hausse ailleurs en particulier en Europe.   - La croissance économique s’est essoufflée aux Etats-Unis au quatrième trimestre 2014, la moindre reconstitution des stocks et le ralentissement des investissements des entreprises ayant constitué des freins à l’activité, seulement partiellement desserrés par la vigueur des dépenses des ménages. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé de 2,2% en rythme annualisé, chiffre conforme à l’estimation donnée le mois dernier, a annoncé vendredi le département du Commerce. La croissance avait été de 5% au troisième trimestre. L’administration américaine a aussi fait état d’une baisse de 1,6% des bénéfices après impôt des entreprises, soit le recul le plus prononcé depuis le premier trimestre 2011, les profits des grandes entreprises étant grevés par le dollar fort. Les bénéfices réalisés à l’étranger ont ainsi diminué de 36,1 milliards de dollars alors qu’ils avaient progressé de 16,5 milliards au troisième trimestre. Sur l’ensemble de 2014, les bénéfices après impôt ont reculé de 8,3%, la plus forte baisse annuelle depuis 2008. Un ralentissement prolongé de la croissance conjugué à une faible inflation pourrait inciter la Réserve fédérale à retarder le relèvement de ses taux d’intérêt. Elle maintient ses taux directeurs à un niveau proche de zéro depuis décembre 2008. Les responsables de la Fed ont abaissé la semaine dernière leurs prévisions de croissance pour les trois années allant de 2015 à 2017. Le rythme modéré de la croissance semble s’être prolongé durant le premier trimestre 2015. L’activité au cours des deux premiers mois a notamment été ralentie par la vigueur du dollar, la morosité économique persistante en Europe et en Asie, la rigueur de l’hiver aux Etats-Unis et le conflit social, désormais réglé, dans les ports de la côte Ouest. Le dollar en particulier, qui a pris 7,8% entre juin et décembre face aux devises des principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, devrait continuer à poser des difficultés aux entreprises américaines. Les estimations pour la croissance du PIB au premier trimestre varient dans une fourchette de 0,9% à 1,4%. Au cours du quatrième trimestre 2014, les entreprises américaines ont accumulé l’équivalent de 80 milliards de dollars de stocks, soit un montant inférieur aux 88,4 milliards estimés par les autorités fédérales le mois dernier. En conséquence, les stocks ont contribué négativement pour 0,1 point à la croissance du PIB, alors qu’ils étaient censés apporter 0,1 point selon les précédentes estimations. La progression des dépenses d’équipement des entreprises a été moindre que prévu, de 0,6% au lieu de 0,9%. Ce résultat est probablement lié à la hausse du dollar et à l’effondrement des cours du pétrole, qui a fait chuter les activités d’exploration et de forage. La consommation des ménages, qui représente plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, a en revanche progressé de 4,4% au quatrième trimestre et non de 4,2% comme cela avait été estimé auparavant. Il s’agit de la hausse la plus rapide depuis le premier trimestre 2006. Hors alimentation et énergie, les prix n’ont pourtant augmenté que de 1,1%, soit le rythme le plus faible depuis le deuxième trimestre 2013. La consommation des ménages semble néanmoins avoir décéléré au premier trimestre 2015, le froid et la neige ayant dissuadé les Américains de se rendre dans les magasins. Malgré une demande mondiale en berne, la croissance des exportations a été revue à la hausse. En raison de la forte consommation des ménages, les importations ont elles aussi été plus fournies que prévu, ce qui a entraîné un déficit commercial pénalisant pour la croissance du PIB. « Il ne fait aucun doute que l’économie reflète les effets négatifs du raffermissement du dollar et de l’effondrement des cours du pétrole. Les bénéfices des entreprises sont sous pression et les embauches sont ajustées en conséquence », a expliqué Jim Baird, responsable de l’investissement chez Plante Moran Financial Advisors.

 

Sondage Etats-Unis : inquiétudes sociales

Sondage Etats-Unis : inquiétudes sociales

Les Etats Unis sont sortis de la récession mais le moral est encore loin d’être au beau fixe pour r des ménages toujours dubitatifs sur leur pouvoir d’achat.  Un quart des familles américaines se disent en état de stress économique malgré la fin de la récession et la plupart n’attendent pas d’augmentation salariale dans l’année qui vient, selon une étude publiée jeudi par la Réserve fédérale. Cette enquête à grande échelle sur la situation financière des ménages montre aussi que 42% d’entre eux ont reporté des achats importants et que 18% ont renoncé à une décision majeure, comme un mariage ou l’achat d’une maison, du fait de la crise.  Les trois quarts des répondants à l’enquête en ligne disent s’attendre à ce que leurs revenus stagnent ou baissent sur l’année à venir et 36% pensent qu’ils devront décaler l’âge de leur retraite. Ces données, si elles se vérifient, signifieraient que l’économie est loin de générer la croissance salariale que la présidente de la Fed Janet Yellen veut voir avant de commencer à relever les taux d’intérêt. L’enquête, effectuée par le cabinet GfK à l’automne dernier et pondérée pour être représentative de la population américaine, avait été commandée par la banque centrale pour mesurer précisément la perception qu’ont les ménages de leur situation financière et des conditions économiques. Soixante pour cent des 4.100 répondants jugent qu’ils vont bien ou vivent confortablement, mais un tiers jugent leur situation financière dégradée par rapport à ce qu’elle était il y a cinq ans. Ces résultats pourraient aider à comprendre le redressement difficile de la consommation des ménages ou le lent rebond du marché immobilier après la crise financière de 2007-2009. Plus de la moitié des répondants disent avoir puisé dans leur épargne en conséquence de la récession, et plus d’un tiers ont dû se passer de soins médicaux pour des raisons financières.

 

Sondage moral des français : inquiétudes chez les patrons

Sondage moral des français : inquiétudes chez les patrons

 

D’après un sondage de BFM Business,l’inquiétude est nettement plus perceptible du côté des chefs d’entreprise que du côté des ménages. Chez les Français, ce n’est certes pas l’euphorie (le nombre de pessimistes est supérieur au nombre d’optimistes), mais il y a tout de même quelques motifs de satisfaction en cette rentrée.  Le premier motif est sans conteste le bas niveau de l’inflation, qui a une répercussion positive (et perçue comme telle) sur le pouvoir d’achat. Un certain soulagement est également perceptible sur l’emploi, alors qu’à l’inverse, l’espoir d’une amélioration véritable sur le front du logement, qui était réel au printemps, est quelque peu déçu. L’ambiance est sensiblement plus tendue chez les patrons. Les perspectives de profit se sont littéralement effondrées ces derniers jours: la reprise des commandes n’est toujours pas au rendez vous, les tensions autour de la Syrie font craindre une flambée du pétrole et surtout les patrons sont tétanisées par le flot d’annonces réglementaires et fiscales qui, pour le moment, ne leur offrent aucune visibilité.

 

Pays émergents : inquiétudes du FMI

Pays émergents : inquiétudes du FMI

Christine Lagarde s’inquiète pour les pays émergents. La directrice générale du FMI a déclaré, lors d’un discours prononcé au symposium de Jackson Hole (Etats-Unis), que la fin des mesures exceptionnelles, entreprises par les grandes banques centrales pour soutenir l’économie, risque de nuire à ces pays. « Le jour viendra où ces politiques d’assouplissement monétaire exceptionnel (…) devront prendre fin », a-t-elle affirmé. « Tout comme leur lancement, la fin (de ces mesures) nous amènera sur un territoire inconnu ». « Cela représente des risques sérieux » pour les pays émergents, a-t-elle ajouté. « Même avec les plus grands efforts, le barrage pourrait ne pas être étanche », a-t-elle souligné.  Actuellement les différentes monnaies des pays émergents ont lourdement chuté sur les marchés, notamment la roupie indienne ou encore le real brésilien. L’annonce de la Réserve fédérale (Fed) américaine d’un prochain ralentissement de son soutien massif à l’économie, pourrait être le facteur qui a déclenché ce mouvement. Les économistes de Capital Economics, estiment ainsi qu’il s’agit de la raison « la plus évidente ». Constat partagé par Guido Mantega, le ministre brésilien des Finances. Les différents gouvernements ont commencé à prendre des mesures. La Banque centrale indienne est intervenue pour soutenir la roupie. Son homologue brésilienne a décidé, à partir de ce vendredi 23 août, d’injecter au moins 60 milliards de dollars, soit 45 milliards d’euros, sur le marché des changes.

Wall Street Etats Unis : inquiétudes sur la croissance

Wall Street Etats Unis : inquiétudes sur la croissance

« Les investisseurs les plus optimistes ont traîné des pieds en cette fin de semaine en raison de résultats d’entreprises mitigés et d’un chiffre plus faible que prévu sur le PIB du premier trimestre aux Etats-Unis », ont remarqué les analystes de Charles Schwab.   »Les statistiques diffusées avant la séance ne font qu’offrir la confirmation de ce qu’on savait déjà: l’économie américaine peine à décoller mais reste à un rythme de croisière assuré », a expliqué Gregori Volokhine, de Meeschaert New York.  Le PIB des Etats-Unis a en effet progressé de 2,5% en rythme annualisé cet hiver. Cela représente une nette accélération par rapport au trimestre précédent, quand le PIB américain avait crû de 0,4%, mais cela reste en dessous des attentes des analystes.  Les investisseurs ont toutefois été un peu rassurés par le chiffre sur la consommation des ménages, qui a connu pendant les trois premiers mois de l’année sa progression la plus forte en plus de deux ans (3,2% en rythme annualisé), et a fourni à elle seule plus de 2,2 points de croissance au pays.  De plus, a remarqué Patrick O’Hare de Briefing.com, « une croissance faible devrait pousser la Fed (banque centrale américaine) à prolonger sa politique actuelle, qui est toujours une source de soutien au marché ».  Le marché a par ailleurs digéré une baisse du moral des ménages aux Etats-Unis en avril, qui s’est établi à son niveau le plus faible depuis janvier, mais est apparu nettement meilleur que les attentes des analystes.

Nucléaire: inquiétudes pour 42% des Français

Nucléaire: inquiétudes pour  42% des Français

, 42% se disent inquiets à propos des centrales nucléaires de notre territoire, dans un sondage IFOP pour Sud-Ouest Dimanche. Tout en restant relativement élevé, le niveau d’inquiétude suscitée par les centrales nucléaires françaises a néanmoins sensiblement reflué depuis deux ans, constate le journal. Ainsi quand en avril 2011, soit deux semaines après l’accident de Fukushima (Japon), 56% des Français se déclaraient inquiets à l’égard des centrales situées dans notre pays, ils ne sont plus aujourd’hui que 42%, soit 14 points de moins. L’essentiel du recul de l’inquiétude a été enregistré dès l’été 2011, date à laquelle 45% des personnes interrogées se disaient inquiètes, soit une baisse de 11 points en quelques mois seulement, précise Sud-Ouest Dimanche. Dans le détail, le niveau d’inquiétude varie assez peu selon les tranches d’âge ou la catégorie socioprofessionnelle (45% parmi les CSP+ et dans les milieux populaires). En revanche, comme sur la plupart des sujets ayant trait à la santé et à la technologie, le clivage homme/femme est très net: si seulement 33% des hommes ressentent de l’inquiétude, cette proportion atteint 50% parmi les femmes. On observe également une sensibilité à ce risque potentiel très variable selon l’orientation politique. C’est dans les rangs des sympathisants d’Europe Ecologie Les Verts que l’inquiétude est la plus forte (66%), quand elle est partagée par près d’un sympathisant du PS ou du Front de Gauche sur deux (48% et 49%) et largement minoritaire à droite: 28% à l’UMP et 35% au FN. Sur l’évolution de la part du nucléaire dans la production énergétique du pays, les Français apparaissent divisés, même si une courte majorité (54%) pense qu’il faut la maintenir, contre 46% qui souhaitent qu’on la réduise car le nucléaire est dangereux.

Marchés : inquiétudes en Europe ou aux Etats-Unis ? Ou les deux

Marchés : inquiétudes en Europe ou aux Etats-Unis ? Ou les deux 

 

L’inquiétude change de continent presque tous les jours ; une fois il s’agit de l’Europe effectivement encalminée dans la récession ; une autre  fois, il s’agit des Etats-Unis aux prises avec le casse-tête des réductions budgétaires et une reprise contradictoire. En fait compte tenu de l’interdépendance des économies, le risque est partout. L’économie mondiale ne pourra repartir de façon significative sans la croissance de l’Europe. De ce point de vue, on a considéré sans doute une peu vite que le vieux continent était sorti de sa crise financière. L’Europe connaît une accalmie, c’est certain  mais la question de la dette est récurrente ; Avec une croissance dans le rouge, les comptes publics sont condamnés à se dégrader en 2013 ; se reposera alors la question de la notation de l’Europe. En outre la zone euro refuse d’entrer dans une guerre des monnaies via une politique monétaire plus accommodante. Dans le même temps Etats –Unis, Japon et Chine ont décidé de jouer sur le taux de change pour retrouver de la compétitivité. En fait la stratégie de l’Europe risque d’être bloquée tant que les élections allemandes ne seront pas passées. Sy ajoutent évidemment les incertitudes politiques en Italie et maintenant en Espagne avec l’affaire Rajoy. Lundi le CAC 40 avait plongé de plus de 3 %. Crédit Photo : Richard Drew/AP Au lendemain d’une séance de fort repli, l’indice phare de la place de Paris retrouve l’équilibre. Les banques restent sous pression. La Bourse de Paris tente de reprendre ses esprits ce matin, après avoir plongé de plus de 3 % lundi. Dans les premiers échanges, le CAC 40 avance symboliquement de 0,03 % à 3660,96 points. Les marchés européens ont lourdement chuté lundi sous l’effet d’un brutal retour de l’aversion au risque motivé notamment par un scandale de corruption qui éclabousse le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, et par les incertitudes politiques en Italie à l’approche des élections législatives des 24 et 25 février. Dans la foulée de l’Europe, Wall Street a subi sa plus forte baisse depuis novembre. L’Asie a emboîté le pas mardi avec un recul de 1,90 % pour la Bourse de Tokyo, qui restait sur cinq séances de hausse.

 

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