Archive pour le Tag 'inférieure'

Croissance 2023 :La croissance chinoise inférieure à la croissance mondiale

Croissance 2023 :La croissance chinoise inférieure à la croissance mondiale (FMI)

Les prévisions de croissance mondiale pour 2023 pourraient passer sous les 2%, a estimé la directrice générale du FMI Kristalina Georgieva. La baisse la plus significative concernerait la Chine qui pour la première aurait sa croissance inférieure à la croissance mondiale.

Lors de la publication de son rapport sur les prévisions économiques mondiales (WEO), le Fonds monétaire international (FMI) avait anticipé une croissance de 2,7% pour 2023, en soulignant qu’il existait 25% de chance de la voir passer sous la barre des 2%.

« Lorsque l’on regarde les récents indicateurs, nous nous inquiétons de voir cette probabilité augmenter, du fait du ralentissement simultané aux États-Unis, en Europe et en Chine », a déclaré Mme Georgieva lors d’une intervention en ligne dans le cadre du forum Reuters Next.

Le Fonds doit mettre à jour en janvier ses prévisions pour 2023, mais la situation économique « s’est récemment assombrie, sur la base de ce que nous voyons tant concernant le sentiment des consommateur que des investisseurs », a ajouté la patronne du FMI.

Une croissance mondiale inférieure à 2% serait une première depuis 2009 (-1,3%), si l’on excepte les conséquences de la pandémie en 2020, année où le PIB mondial a reculé de 3,3%.

Or le contexte mondial n’est toujours pas positif, a rappelé Mme Georgieva, notamment du fait de l’impact de la guerre en Ukraine sur l’économie européenne, mais également des effets de la politique « zéro Covid » de la Chine.

« Nous envisageons cette année une croissance chinoise à 3,2%, soit équivalente à la croissance mondiale. Ce n’est jamais arrivé au cours des 40 dernières années de voir la Chine au même niveau que la croissance mondiale. Jusqu’ici, 35% à 40% de la croissance mondiale dépendait de la croissance chinoise, mais ce n’est pas le cas cette année, et ce ne sera pas le cas l’année prochaine », a insisté Kristalina Georgieva.

Selon Kristalina Georgieva,, « pour la première fois en 40 ans, la croissance de la Chine en 2022 sera probablement égale ou inférieure à la croissance mondiale ».
Par ailleurs, la flambée épidémique attendue dans les mois à venir risque d’affecter davantage l’économie chinoise cette année et de freiner la croissance régionale et mondiale, a-t-elle ajouté.

Une croissance 2016 inférieure à 1% (Marc Touati)

Une croissance 2016 inférieure à 1% (Marc Touati)

Le gouvernement s’obstine à annoncer une croissance française de 1,5 % en 2016, qui permettrait de faire (enfin !) baisser le chômage et de remplir les objectifs de réduction des déficits publics. Soyons clairs et directs : non seulement, cette prévision ne sera pas atteinte, mais, qui plus est, la croissance du PIB français en 2016 sera, selon nos estimations, de 0,7%. Nous sommes donc au regret d’annoncer que, compte tenu de cette faiblesse de l’activité, le chômage réel continuera d’augmenter. Soyons clairs et directs : non seulement, cette prévision ne sera pas atteinte, mais, qui plus est, la croissance du PIB français en 2016 sera, selon nos estimations, de 0,7%. Nous sommes donc au regret d’annoncer que, compte tenu de cette faiblesse de l’activité, le chômage réel continuera d’augmenter. En 2015, La France aurait vécu un alignement de planètes, à savoir : la baisse successive du prix du pétrole, des matières premières, de la devise Euro et les liquidités produites par la BCE. « Alors que nous aurions dû réaliser près de 3% de croissance nous faisons qu’ 1.1% », regrette-t-il.  Pour comparaison, l’ensemble de la zone euro a réalisé 1.5% de croissance. « La France n’a pas su transformer l’essai à cause d’une économie rigide. Nous sommes la lanterne rouge de l’espace économique européen », tranche Marc Touati. Par ailleurs, l’économiste remet en doute le chiffre publié jeudi 28 janvier. Tout d’abord, le commerce extérieur ne repart pas à la hausse et le chiffre de 1.1% est gonflé par les stocks artificiels des entreprises. C’est-à-dire que les entreprises françaises comptaient vendre plus qu’elles ne l’ont fait; « Les données de l’Insee sont à prendre avec des pincettes, alerte Marc Touati. On est plus dans le marketing que dans la réalité économique ». La vérité est bien plus crue pour l’économiste : « nous sommes à la traîne et le chômage n’a jamais été aussi haut. » L’économiste s’essaye même a une comparaison résumant cette situation morose : « Nous avons une reprise chamallow couplé à un chômage Carambar ». La faute à une pression fiscale trop forte et à un modèle français rigide.

Reprise de la cotation du porc inférieure au prix de référence

Reprise de la cotation du porc inférieure au prix de référence

Comme c’était prévisible la reprise de la cotation du porc n’a strictement rien résolu. Les prix sont en effet inférieurs au prix de référence. Il est clair que la vraie référence est celle du marché européen et que le problème se situe dans le manque de compétitivité des ports conduits en France, compétitivité plombée par la fiscalité et d’énormes. Après huit jours d’interruption et une table ronde, la cotation a repris mardi peu avant 12h30 au marché du porc breton de Plérin (MPB). Mais les principaux acheteurs Cooperl et Bigard n’y participent pas. Cinq autres acheteurs, qui représentent 15% des ventes sont présents. Quelque 62.000 porcs devaient être proposés à la vente mardi. C’est le volume des bêtes qui n’ont pas été vendues la semaine dernière. A la fin de la cotation, le nouveau prix de référence s’élève à 1,389 euro le kilo, inférieur au prix préconisé. Paul Aufray, le président de la fédération nationale porcine était mitigé à l’issue de la séance :« “J’ai une légère frustration parce que les cours ont baissés. J’ai quand même un point d’interrogation c’est comment sur le terrain on va réagir à ça. Si les cours devaient s’effriter dans les semaines qui viennent on pourrait assister à un décrochage très important qui pourrait conditionner les cours pendant tout l’hiver à des niveaux très bas““.  La Cooperl et Bigard n’étaient pas présent à la réunion de lundi. Les deux principaux acheteurs, qui représentent 30 % du marché, estiment que le prix de 1 euro 40 est déconnecté des réalités du marché européen. Le ministre de l’Agriculture a indiqué que ce retrait brutal des deux principaux acheteurs n’était “pas acceptable“. Il les recevra ce mardi après-midi. Un certain nombre de discussions vont s’engager dès la semaine prochaine pour entamer des négociations sur une réforme de la fixation des prix. Le 27 août  une réunion de travail se déroulera en présence des professionnels et de la distribution. Ce même jour, se tiendra aussi une réunion avec les acteurs du marché de Plérin. Parmi les pistes imaginées, la contractualisation pour sécuriser les agriculteurs. La FNSEA appelle de son côté à un grand rassemblement des éleveurs, toutes filières confondues, à Paris le 3 septembre et à Bruxelles le 7 septembre, jour de la réunion du Conseil européen de l’agriculture.

Croissance 2014 : inférieure aux prévisions

Croissance 2014 : inférieure aux prévisions

 

L France n’ atteindra pas ses objectifs, la croissance restera molle 0.7% au lieu de 1% ; du coup la prévision de déficit est auusi remise en cause et le chômage va continuer d’augmenter. En effet  a croissance de l’économie française ne devrait pas dépasser 0,7% cette année, selon les dernières prévisions de l’Insee publiées mardi, qui mettent à mal les objectifs du gouvernement d’une croissance du PIB de 1%, d’inversion de la courbe du chômage et de réduction du déficit public. La hausse du produit intérieur brut de la France serait de 0,3% au deuxième trimestre (prévision inchangée) comme aux troisième et au quatrième, après une stagnation au premier. « La croissance trimestrielle serait ainsi la même en France et en moyenne dans la zone euro », écrit l’Insee dans sa note de conjoncture trimestrielle. « Les moteurs en seraient en revanche légèrement différents: davantage de consommation en France, un investissement plus dynamique dans le reste de la zone euro. » Ce niveau d’activité serait insuffisant pour faire baisser le chômage, dont le taux augmenterait à 10,2% au deuxième trimestre et se maintiendrait à ce niveau sur le reste de l’année (après 10,1% au premier) et 9,8% en métropole. Le ministère des Finances a répondu qu’il maintenait sa prévision d’une croissance de 1% de l’économie cette année, estimant que la réaction des entreprises au versement du crédit d’impôt compétitivité emploi et à la baisse des cotisations prévue dans le pacte de responsabilité aura un effet positif sur l’activité supérieur à celui prévu par l’Insee. Au deuxième trimestre, la production manufacturière serait légèrement plus dynamique que prévu auparavant, avec une progression de 0,4% (+0,3% prévu en mars), estime l’Insee. La consommation des ménages augmenterait de 0,5% (0,6% prévu en mars), tandis que l’investissement reculerait de 0,1% (-0,3% prévu en mars). La contribution du commerce extérieur serait quant à elle légèrement positive alors qu’elle était attendue nulle auparavant.




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