Archive pour le Tag 'industrielle ?'

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Chine : reprise de l’activité industrielle

Chine : reprise de l’activité industrielle

Signe sans doute d’un frémissement international, les indices de production sont positifs en juin. L’activité du secteur des services a continué de s’accroître en juillet, mais à un rythme moins vigoureux qu’en juin, montrent les résultats de l’enquête officielle réalisée auprès des directeurs d’achat du secteur. L’indice PMI pour le secteur non manufacturier a ralenti à 54,2 en juillet contre 55 en juin, a déclaré le bureau national des statistiques. La barre de 50 sépare la contraction de la croissance de l’activité. L’indice final HSBC/PMI pour le mois de juillet est ressorti à 51,7, son plus haut niveau depuis dix-huit mois, soutenu par de fortes commandes, au-dessus de la barre des cinquante qui sépare la contraction de la croissance de l’activité. La première estimation était de 52 et l’indice s’était élevé à 50,7 pour le mois de juin.  L’activité du secteur industriel s’est accélérée jusqu’à atteindre un plus haut de 27 mois en juillet, montre l’enquête officielle réalisée auprès des directeurs d’achats. L’indice PMI officiel est ressorti à 51,7 le mois dernier après 51 en juin, indique le Bureau national de la statistique. Les économistes tablaient sur un indice à 51,4.

 

Allemagne : recul de la production industrielle

Allemagne : recul de la production industrielle

La production industrielle de la première économie d’Europe a reculé de 1,8% alors que les économistes anticipaient une statistique stable, montrent les chiffres publiés lundi par le ministère. Le chiffre d’avril, annoncé dans un premier temps en hausse de 0,2% a finalement été revu à -0,3%. « Après un premier trimestre robuste, la production industrielle a décliné sur les derniers mois », lit-on dans un communiqué du ministère de l’Economie. « En plus des ponts du mois de mai et de la faiblesse de la construction, qui était prévisible après un hiver clément, des facteurs géopolitiques ont pu jouer un rôle ». Le ministère ne précise pas de quels facteurs il s’agit mais l’institut munichois Ifo est plus précis, évoquant les inquiétudes liées au conflit ukrainien et la hausse des cours du pétrole liée aux combats en Irak. Les Bourses européennes étaient orientées légèrement à la baisse dans la foulée de cet indicateur, qui suggère un ralentissement de la croissance allemande au deuxième trimestre après le chiffre encourageant de +0,8% enregistré sur les trois premiers mois de l’année. « Le deuxième trimestre se révèle progressivement comme une grosse déception », commente Andreas Scheuerle, économiste chez Dekabank. « En mai, nous avons enregistré successivement des ventes au détail décevantes, une baisse des commandes à l’industrie et maintenant un recul significatif de la production industrielle. » Comme le gouvernement, qui maintient sa prévision de croissance de 1,8% sur l’année en s’appuyant notamment sur une forte demande intérieure et la bonne santé du marché du travail, cet économiste s’attend à voir la croissance allemande rebondir au troisième trimestre.

 

Hollande « une nouvelle France industrielle » ….comme Alstom ?

Hollande « une nouvelle France industrielle » ….comme Alstom ?

 

Hollande n’est pas capable de sauver Alstom mais il veut aller vite pour la nouvelle France industrielle. Sait-il de quoi il parle exactement pas sûr. Exemple il évoque le TGV du futur, pas de chance car la France a décidé de ne plus construire de nouvelles lignes, il évoque auusi la voiture consommant 2 litres aux 100 kms mais elle existe déjà ! Cependant les lobbies de l’industrie pétrolière et de l’automobile ne sont pas pressés de la commercialiser, L’Etat non plus qui tire une partie des recettes budgétaires de la fiscalité sur le carburant. « Je veux que ça aille vite, nous n’avons plus de temps à perdre ». C’est ce qu’a déclaré François Hollande, ce mercredi 7 mai, à l’occasion d’un « point d’étape » à l’Elysée sur la « nouvelle France industrielle ». La veille déjà, sur BFMTV, il avait appelé à « aller encore plus vite » dans l’exécution des réformes. La « nouvelle France industrielle » est un dispositif créé pour porter 34 projets industriels dans des secteurs jugés porteurs, censés relancer l’industrie française. Le chef de l’Etat effectuait une présentation sur ce thème devant un parterre d’industriels, le Premier ministre Manuel Valls et les ministres Arnaud Montebourg (Economie), Ségolène Royal (Ecologie) et Marisol Touraine (Affaires sociales). « D’ici au mois de juillet, nous aurons les 34 feuilles de routes qui seront non seulement engagées, mais validées et signées », a souligné François Hollande, précisant qu’une « vingtaine de milliards d’euros » pourront ainsi être « mobilisés », provenant essentiellement du secteur privé. Les 34 plans sont axés sur trois grandes priorités: la transition écologique et énergétique, la santé et les nouvelles technologies. Ils concernent des domaines très variés, allant de la voiture ne consommant que 2 litres aux 100 km au TGV du futur et de l’avion électrique aux objets connectés et aux imprimantes 3D. « Ce sont les pays qui ont une politique industrielle qui ont une grande industrie », a fait valoir François Hollande, qui voit dans ces projets industriels les « leviers pour la croissance de demain ». Selon Arnaud Montebourg, « neuf de ces 34 feuilles de route ont déjà été validées par le gouvernement ». Ces projets, a rappelé le ministre de l’Economie, pourraient représenter « dans dix ans 480.000 emplois créés, 45 milliards de valeur ajoutée pour la base industrielle France et 40% d’augmentation de nos exportations » avec 3 euros d’investissements privés pour un euro d’investissements publics.

Croissance : nouvelle chute de la production industrielle et pas de retournement

Croissance : nouvelle chute  production industrielle et pas de retournement

Nouvelle chute de la production industrielle, un très mauvais présage pour la croissance du premier trimestre (et sans doute la suite). En clair le fameux retournement de Hollande n’a pas lieu ; la France aura même des difficultés pour atteindre une croissance 1% du PIB en 2014. D’ores et déjà l’OSCE ne prévoit plus que 0.9%  et pas d’inversion du chômage avant 2016. En effet la production de l’ensemble de l’industrie française a diminué de 0,7% en volume en mars par rapport à février, malgré une hausse dans l’industrie manufacturière observée depuis octobre, a annoncé l’Insee mercredi. La production de l’ensemble de l’industrie avait augmenté de 0,1% en février, a précisé l’Institut national des statistiques et des études économiques dans un communiqué.

Croissance France : baisse de la production industrielle en octobre

Croissance France : baisse de la production industrielle en octobre

La production industrielle de la France s’est contractée de 0,3% en octobre après un recul révisé à 0,3% en septembre, selon des données publiées mardi par l’Insee. L’indice de la production de l’industrie manufacturière a dans le même temps augmenté de 0,4% après une baisse révisée à 0,5% en septembre. Dix-sept économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une production industrielle d’octobre en hausse de 0,1%, leurs prévisions s’échelonnant entre -0,3% et +0,8%. Les données du mois de septembre avaient auparavant été annoncées à -0,5% pour la production industrielle et -0,7% pour la production manufacturière. Sur trois mois, la production a été stable dans l’industrie manufacturière et a reculé de 0,6% dans l’ensemble de l’industrie. La production a augmenté sur cette période de 2,6% dans les matériels de transport. Elle a baissé dans les autres produits industriels (-0,2%) et dans les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (-0,2%). La production a reculé fortement dans la cokéfaction et raffinage (-14,3%). L’Insee ajoute que la production manufacturière des trois derniers mois est inférieure au niveau des mêmes trois derniers mois de l’année précédente (-1,1%). Sur le seul mois d’octobre, la production a diminué de 3,4% dans les « industries extractives, énergie, eau » et augmenté de 0,5% dans les « autres produits industriels ». L’Insee souligne que l’augmentation est plus accentuée dans les « équipements électriques, électroniques, informatiques, machines » (+1,2%) et dans les « matériels de transport » (+1,0%), tandis qu’elle a diminué de 12,5% dans la cokéfaction et le raffinage.

Baisse production industrielle en juin

Baisse  production industrielle en juin

Moins de voitures et restrictions sur l’alimentation, conséquence : la production industrielle baisse ; La production de l’industrie française a chuté de 1,4% en juin par rapport au mois précédent, selon les chiffres publiés par l’Insee, ce vendredi 9 août. Mais sur l’ensemble du deuxième trimestre, elle augmente de 1,4% par rapport au premier trimestre.  Dans l’industrie manufacturière, c’est-à-dire sans tenir compte de l’énergie et de la construction, le recul est de 0,4% en juin par rapport à mai. Cette baisse est principalement due à un recul dans l’automobile, dont la production chute de 5,7%, et dans l’agroalimentaire (-2,9%), avec moins de production de viande et de produits laitiers. La production dans la métallurgie chute de 0,7%, et celle dans le secteur textile et habillement de 0,5%. Au contraire, la production dans l’industrie des matériaux de transports, hors automobile, augmente de 4,7%.  La production industrielle dans le secteur de la constructeur est, elle, restée stable en juin. Sur l’ensemble du second trimestre, elle augmente de 1,2%. Les secteurs miniers et énergétiques chutent de 5,4% en juin par rapport au mois précédent. Sur l’ensemble de la zone euro, la production industrielle a chuté de 0,3% en mai par rapport à avril. Le recul est particulièrement marqué pour les biens de consommation durables et les biens d’investissement.

Croissance : production industrielle en baisse de 1.8% sur 2012

Croissance : production industrielle en baisse de 1.8% sur 2012

En avril, la production industrielle a rebondit de 2,2% par rapport à mars. Au cours de ce précédent mois, elle avait diminué de 0,6%, ajoute l’Insee.  Dans la seule industrie manufacturière (hors énergie et mines), la production repart à la hausse de manière encore plus marquée, avec une progression de 2,6% après avoir reculé de 0,7% en mars. Cumulée sur les mois de février, mars et avril, la production dans l’ensemble de l’industrie gagne 0,9% par rapport aux trois mois précédents (+0,8% dans le secteur manufacturier), précise l’Insee. Les hausses les plus marquées sur cette période concernent le raffinage (+14,7%) et les matériels de transport (+2%). Dans le détail, le rebond d’avril est particulièrement fort dans les matériels de transport (+5,7%), avec une hausse de 4,6% dans l’automobile après la performance déjà bonne de mars (+4,3%). La production a aussi nettement augmenté dans la métallurgie et les produits métalliques (+3,1%), dans le caoutchouc, le plastique et les minéraux non métalliques (+2,2%), dans la chimie (+2,5%) ainsi que dans le textile, l’habillement, le cuir et les chaussures (+4,4%). Presque tous les secteurs sont en hausse en avril, comme les produits agricoles et alimentaires (+2,3%), grâce au rebond de la fabrication de produits laitiers et de boissons, mais aussi, dans une moindre mesure, les équipements électriques, électroniques, informatiques, machines (+0,7%).Signe de la difficulté de la France à s’extirper de la crise, la production industrielle demeure toutefois, au cours de ces trois mois, inférieure de 1,8% au niveau enregistré durant la même période de 2012 (-2,3% pour la seule industrie manufacturière).

Zone euro: hausse la production industrielle en décembre, mais recul au 4e trimestre

Zone euro: hausse  la production industrielle en décembre, mais recul au 4e trimestre

Selon les données publiées mercredi par l’office européen de statistiques Eurostat, la production industrielle a progressé de 0,7% après une baisse de 0,7% en novembre.  C’est mieux qu’attendu puisque la plupart des analystes tablaient sur une progression comprise entre 0,2% et 0,4% en décembre.  Mais ces données sont à remettre en perspective: le chiffre de novembre a été révisé et s’avère plus mauvais qu’estimé par Eurostat qui avait initialement annoncé un repli de 0,3%. En outre, la production industrielle a reculé de 2,4% sur l’ensemble du quatrième trimestre, après avoir gagné 0,2% au troisième trimestre.  Le chiffre (de décembre) « montre au moins que le secteur manufacturier européen bénéficie de la reprise progressive dans le monde entier. Il signale également que, avec une demande intérieure condamnée à rester très faible dans la zone euro, toute reprise dépendra principalement des résultats à l’exportation » des pays de l’Union monétaire, estime Peter Vanden Houte, de la banque ING.  Mais « la production industrielle a lourdement pesé sur la croissance au quatrième trimestre, renforçant l’idée que le Produit intérieur brut de la zone euro à reculé de 0,4% sur la période », souligne Howard Archer, économiste pour IHS Global Insight. Les chiffres officiels du PIB au quatrième trimestre sont attendus jeudi.  Le rebond de la production industrielle observé en décembre s’explique par la forte hausse de la production de biens de consommation durables et non durables (+2,0% dans les deux cas) et des biens d’investissement (+1,3%). En revanche, les biens intermédiaires ont vu leur production décliner de 0,2%, tout comme l’énergie (1,2%).  Parmi les Etats membres pour lesquels les données sont disponibles, les plus fortes hausses ont été enregistrées en Irlande (+8,5%) et dans une moindre mesure, en Slovénie (+2,7%). La plus forte baisse a en revanche été constatée en Slovaquie (-4,4%).  Dans l’ensemble de l’Union européenne, la production industrielle a augmenté de 0,5% en décembre, après une diminution de 0,6% en novembre.  Sur un an, la production industrielle a baissé de 2,4% dans la zone euro et de 2,3% dans l’ensemble de l’UE.

 

 

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Zone euro : hausse production industrielle

Zone euro : hausse production industrielle

 

La production industrielle a augmenté en décembre pour la première fois depuis août, témoignant d’une lente sortie de la récession de la zone euro. La hausse de la production a atteint 0,7%, bien plus que le gain de 0,2% anticipé par les économistes, a fait savoir Eurostat mercredi. La production industrielle est toutefois en recul de 2,4% par rapport à décembre 2012, un chiffre conforme au consensus. La production de biens de consommation durable a progressé de 2,0%, tout comme celle de produits non-durables. Celle de biens d’équipement industriels a augmenté de 1,3% d’un mois sur l’autre.

 

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Baisse production industrielle

Baisse production industrielle

 

La production industrielle de la France s’est contractée de 0,1% en décembre, après une hausse confirmée à 0,5% en novembre, selon des données publiées lundi par l’Insee. L’indice de la production de l’industrie manufacturière a de son côté progressé de 0,1%, après une autre hausse révisée à 0,1% un mois plus tôt. La production manufacturière de novembre avait été annoncée dans un premier temps à +0,2%. Les 25 économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une contraction de 0,2% de la production industrielle en décembre, leurs estimations s’échelonnant de -1,5% à +0,4%. Sur l’ensemble du quatrième trimestre, la production de l’ensemble de l’industrie a reculé de 1,8% par rapport au troisième, la seule production manufacturière accusant un repli de 2,5%. En glissement annuel, la contraction de la production industrielle atteint 3,1% et celle de la production manufacturière -3,9%. Sur le seul mois de décembre, la production industrielle a été tirée par les industries agricoles et alimentaires (+1,9%), une évolution qui « s’explique en grande partie par une forte augmentation de la production de bière avant l’augmentation de la taxation de ce produit à compter du 1er janvier 2013″, souligne l’Insee. Elle a progressé de 0,3% dans les « autres produits industriels », dont +4,1% dans chimie et +1,5% dans la métallurgie et produits métalliques, mais a reculé de 1,3% dans les matériels de transport même si elle a rebondi de 4,5% dans l’industrie automobile. Parmi les autres baisses, on note la « réparation et installation » (-5,6 %), le textile, habillement, cuir et chaussure (-3,5%), la pharmacie (-0,5%) ou encore les machines et équipements (-1,7%) et les équipements électriques (-2,6%). Mais les produits informatiques, électroniques et optiques ont progressé de 1,5 %.

 

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Japon: reprise de la production industrielle ?

Japon: reprise de la production industrielle ?

Selon le ministère de l’Industrie, la production industrielle a certes reculé de 0,3% en 2012 par rapport à 2011 et de 1,9% au cours du seul quatrième trimestre par rapport au troisième, mais « elle semble avoir arrêté de baisser » en décembre.  D’après une enquête du ministère auprès des professionnels, la production pourrait ainsi augmenter de 2,6% en janvier (sur un mois) et de 2,3% en février, dopée entre autres par le secteur de l’automobile.  Les usines tournent plus vite grâce à la légère reprise de l’activité mondiale, après une année 2012 dans l’ensemble très morose.  Outre les voitures, les pièces détachées pour automobiles et les semi-conducteurs, les industries nippones ont fabriqué davantage de machines destinées à la production, semblant indiquer un certain redémarrage général.  Les livraisons ont augmenté pour leur part de 4,4% sur un mois et les stocks ont diminué de 1,1%.  L’environnement des affaires a été difficile pour l’industrie de la troisième puissance économique mondiale toute l’année dernière, avec un ralentissement de la croissance en Chine, une grave crise d’endettement en Europe et une vigueur exceptionnelle du yen qui a nui à la compétitivité des produits « made in Japan » à l’étranger.  En fin d’année, la croissance en Chine a toutefois légèrement accéléré, la crise européenne a donné des signes d’apaisement et le yen a fortement baissé face au dollar et à l’euro.  Le tout a joué en faveur des secteurs exportateurs japonais comme l’automobile, l’électronique ou l’industrie lourde, en dépit d’un différend territorial sino-japonais qui a rejailli sur le commerce bilatéral.   »En plus de la reprise de l’économie mondiale, les mesures économiques prises par le nouveau gouvernement devraient tirer encore davantage la production » dans les mois à venir, a jugé Yusuke Shimoda, économiste au Japan Research Institute de Tokyo.  Le nouveau Premier ministre nippon, le conservateur Shinzo Abe, au pouvoir depuis fin décembre, a fait de la reprise économique sa priorité, avec une politique à trois têtes: assouplissements monétaires, incitations budgétaires et réformes réglementaires pour inciter les entreprises à investir.  M. Abe veut à tout prix sortir le pays de la récession, dans laquelle il a rechuté cet été, et le débarrasser de la déflation qui entrave l’activité depuis 15 ans, avec une brève période de rémission entre 2006 et 2009.  Sur le plan monétaire, la forte pression exercée avec succès sur la Banque du Japon pour qu’elle adopte, le 22 janvier, un objectif d’inflation de 2% a entraîné ces dernières semaines un plongeon du yen face à l’euro et au dollar.  Ce retournement est bienvenu pour les industries nippones tournées vers l’étranger et qui ont souffert ces dernières années d’une vigueur jugée excessive de la devise nippone.  Du côté budgétaire, le projet du gouvernement pour l’exercice d’avril 2013 à mars 2014 prévoit de consacrer plus de 40 milliards d’euros aux travaux publics, s’ajoutant à une somme voisine déjà intégrée dans un plan de relance mis sur les rails au début du mois.

 

 

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