Archive pour le Tag 'industrie'

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Croissance France : nouvelle baisse dans l’industrie

Croissance France : nouvelle baisse dans l’industrie

Nouvelle contraction  du secteur manufacturier en France en avril de manière un peu moins marquée qu’au moins de mars, selon les données publiées jeudi par Markit. L’indice des directeurs d’achat du secteur manufacturier. L’activité du secteur manufacturier en France s’est contractée en avril de manière un peu moins marquée qu’au moins de mars, selon les données publiées jeudi par Markit. L’indice des directeurs d’achat du secteur manufacturier en France est ressorti à 44,4 en avril, conformément aux attentes, contre 44 en mars. Un chiffre supérieur à 50 indique une expansion de l’activité, tandis qu’un chiffre inférieur à 50 dénote un recul.

 

Industrie : moral en baisse en avril

Industrie : moral en baisse en avril

 

L’indicateur synthétique du climat des affaires recule de 91 en mars à 88 en avril, se situant à un niveau nettement en-deçà de sa moyenne de longue période (calculée depuis 1976), a précisé l’Insee. En février, l’indicateur était remonté à 92. « Les perspectives générales, qui représentent l’opinion des industriels sur l’activité de l’industrie dans son ensemble, se détériorent par rapport au mois précédent, le solde correspondant atteint un niveau très bas », a ajouté l’Institut. Il s’établit en effet à -49 en avril, en baisse de 4 points par rapport au mois précédent et alors qu’il était de -33 en janvier. Les entrepreneurs de l’industrie manufacturière jugent que leur activité passée s’est fortement dégradée, le solde correspondant recule nettement et se situe à un niveau très bas (-19 contre -12 en mars). Leurs perspectives personnelles sont également moroses, le solde correspondant est de -3 alors qu’il était nul en mars et positif en février (+5). Les carnets de commandes se dégarnissent et sont jugés très peu étoffés, tant les globaux (-40, -34 en mars) que les carnets de commande étrangers (-28, -25 en mars). Seul progrès, les stocks de produits finis passent de 6 en mars à 10 en avril « mais leur niveau est jugé encore inférieur à la normale », assure l’Insee.

 

Etats-Unis : hausse de l’industrie

Etats-Unis : hausse de l’industrie

Les commandes des industries manufacturières ont augmenté de 1,8% par rapport au mois précédent, en données corrigées des variations saisonnières, mais restent inférieures à la prévision médiane des analystes qui tablaient sur une hausse de 2,4%. Il s’agit de la plus forte hausse enregistrée depuis septembre, précise le ministère qui a par ailleurs révisé à la baisse ses chiffres de novembre. Les commandes à l’industrie ont reculé de 0,3% ce mois-là alors que la première estimation annonçait une stabilisation de l’indicateur. La hausse de décembre a principalement été tirée par les commandes passées à l’industrie des transports qui ont bondi de 11,7% en un mois. Exception faite de ce secteur, soumis à de fortes fluctuations liées notamment aux ventes d’avions, l’indicateur n’a augmenté que de 0,2% en décembre. Hors transports, la hausse a été notamment tirée par les commandes passées à l’industrie informatique (+4,1%) mais elle a été ralentie par une baisse des commandes dans le domaine des machines-outils (-1,1%). En glissement annuel, indiquent les chiffres du gouvernement, les commandes aux industries manufacturière ont augmenté de 3,0% sur l’ensemble de l’année 2012.

 

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Baisse des prix dans l’industrie

Baisse des prix dans l’industrie

 

Sous l’effet de la baisse de la demande, les prix à la production de l’industrie française ont baissé de 0,3% en décembre après s’être déjà contractés de 0,4%, un chiffre révisé, le mois précédent, selon les données publiées jeudi par l’Insee. Sur un an, ils sont en hausse de 1,6%. Six économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne une baisse de 0,2% en décembre, leurs estimations allant de -0,2% à +0,0%. Le recul de novembre, qui faisait suite à quatre mois consécutifs de hausse, avait été annoncé à -0,5% en première estimation.  Comme en novembre, les prix des produits du raffinage se sont repliés nettement le mois dernier (-3,2% après -3,0%). La baisse des prix de l’énergie (électricité) a été plus sensible (-0,9 % après -0,4%), la hausse modérée des prix des denrées alimentaires et des équipements électriques et informatiques (+0,3 % chacun) atténuant l’impact de ces ralentissements.  Les prix des produits du raffinage après trois mois consécutifs de baisse faisant suite aux fortes hausses d’août et septembre ont retrouvé leur niveau de juillet, un des mois les plus bas de l’année.

 

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Industrie : mal orientée pour l’INSEE

Industrie : mal orientée pour l’INSEE

 

Les perspectives pour le quatrième trimestre s’améliorent mais restent mal orientées, a annoncé l’Insee vendredi. Dans son enquête trimestrielle, l’Insee précise que le solde correspondant à la demande globale adressée aux industriels s’est amélioré par rapport au deuxième trimestre, tout en continuant d’être négatif, tandis que la dégradation de la demande étrangère s’est amplifiée. « Pour le quatrième trimestre 2012, les perspectives d’évolution de la demande globale s’améliorent mais demeurent mal orientées. Celles de la demande étrangère restent défavorables : le solde correspondant est stable et se situe au-dessous de sa moyenne de longue période », précise l’Insee dans un communiqué. Au troisième trimestre, les tensions sur l’appareil de production reculent par rapport au deuxième trimestre. La proportion d’entreprises contraintes par des goulots de production se replie nettement et passe sous son niveau moyen, tandis que le taux d’utilisation des capacités de production recule d’un point et est inférieur de six points à son niveau moyen de long terme. La proportion d’entreprises considérant leur capacité de production comme « plus que suffisante » est toujours supérieure à celle des entreprises qui considèrent leur capacité « non suffisante ». Cet écart est stable et se situe au-dessus de sa moyenne de longue période. Selon les chefs d’entreprise, les effectifs ont diminué au troisième trimestre et ils pourraient continuer à le faire au quatrième. La proportion d’entreprises rencontrant des difficultés de trésorerie est stable. Les prix de vente ont légèrement progressé et une augmentation est anticipée au quatrième trimestre.

 

 

Industrie: Le gouvernement propose un pacte ; Non, pourquoi pas se pacser ?

Industrie:  Le gouvernement propose un pacte ; Non, pourquoi pas se pacser ?

Le gouvernement tourne autour du pot du manque de compétitivité de l’industrie. La sémantique tente donc de se substituer à l’absence de vison stratégique. . Maintenant le gouvernement propose un «  pacte » ; ça veut dire quoi s’il n’y a pas de contenu ?. C’est se pacser qu’il faut avec l’industrie et même se marier. C’est-à-dire aimer, comprendre, vivre ensemble et pour longtemps. Les mots ne suffisent pas ; Ayrault veut aussi un « agenda de compétitivité » ; c’est quoi ce langage littéraire ? Du blabla ? Il va falloir faire vite connaissance avec les réalités économiques et notamment industrielles car les richesses de la sémantique ne pourront pas longtemps dissimuler le manque de connaissance des réalités économiques. Aux membres de la Conférence nationale de l’industrie (CNI), instance de concertation qui rassemble douze filières industrielles, le premier ministre Jean-Marc Ayrault a proposé un « grand pacte national pour la croissance, la compétitivité et l’emploi ».  La préparation de ce pacte revient à l’ancien président d’EADS Louis Gallois, qui participera désormais aux travaux de la CNI et a été chargé, à l’issue de la Grande conférence sociale mardi, d’une mission sur la compétitivité des entreprises. Les conclusions de cette mission seront dévoilées mi-octobre.  Le « pacte », issu de cette mission, doit « rassembler et mobiliser l’ensemble du tissu industriel autour d’un engagement collectif et solidaire de mettre en œuvre des mesures fortes permettant de lever les freins à notre compétitivité », ont précisé les services du Premier ministre.  Entouré des ministres Pierre Moscovici (Economie), Arnaud Montebourg (Redressement productif), Nicole Bricq (Commerce extérieur) et Fleur Pellerin (PME), le chef du gouvernement a souhaité bâtir un « agenda de compétitivité, qui orientera notre politique industrielle ».  Il a promis que « l’ensemble des leviers de la compétitivité (seraient) discutés, et cela sans tabous ». « Je pense à la question, souvent évoquée dans l’industrie, du coût du travail et aux modalités de financement de la protection sociale », a enchaîné M. Ayrault, sans évoquer explicitement une éventuelle hausse de la CSG.   »La politique industrielle n’est pas un vilain mot. Elle ne peut pas rester clandestine », a pour sa part déclaré Arnaud Montebourg, qui clôturait la réunion de la CNI.  Faisant état d’un diagnostic partagé sur la dégradation de l’industrie française, le ministre présente sa stratégie comme celle d’une « reconquête » dans une situation d’ »urgence ».  Parmi les pistes de redressement de l’industrie, M. Ayrault a évoqué pêle-mêle le rôle de l’éducation, afin de sensibiliser les jeunes aux métiers industriels, une amélioration du financement des PME, ou encore des simplifications administratives.  De son côté, Arnaud Montebourg a souhaité une réorientation des financements vers les entreprises, et notamment vers les PME, et également un déploiement régional, au plus proche des industriels, des systèmes d’intervention de l’Etat.  Il a ainsi plaidé pour une déclinaison régionale de la Banque publique d’investissement (BPI, qui est destinée à financer les petites et moyennes entreprises et les entreprises innovantes et doit devenir opérationnelle à la fin de l’année).  Adepte de la décentralisation, Arnaud Montebourg a déjà mis en place vingt-deux commissaires au redressement productif, pour aider les PME en difficultés, en complément de l’activité du Comité interministériel de restructuration industrielle (Ciri).  Le ministre du Redressement productif, défenseur d’un Etat « stratège » et interventionniste, a aussi dit qu’il voulait « une stratégie de reconquête des matières premières » et de « maîtrise des prix de l’énergie », une amélioration des relations entre grands groupes et sous-traitants, ainsi qu’un essor des plateformes diffusant les technologies innovantes aux PME.  S’attaquant à l’industrie « low-cost », Arnaud Montebourg a aussi défendu le « Fabriqué en France » et le besoin de qualité.   »Le chantier qui est devant nous est crucial et déterminera en grande partie l’avenir de notre pays », a martelé M. Ayrault, qui a promis une conférence « en grand format » à l’automne.   »Nous allons maintenant entrer dans la concrétisation », a promis Arnaud Montebourg, voulant que « les décisions commencent à sortir à la rentrée secteur après secteur

 

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