Archive pour le Tag 'indifférents !'

Société- Les Français assez indifférents face à la dette et aux déficits publics

Société- Les Français assez indifférents face à la dette et aux déficits publics


Les Français continuent de se montrer assez indifférents vis-à-vis de la situation financière du pays. C’est aussi la confirmation du manque de formation économique en France. Plusieurs études ont déjà démontré que la France se situe dans les dernières positions en matière de connaissances dans ce domaine. En effet, seulement 8% des Français se déclarent «préoccupés à titre personnel» par le niveau de la dette et des déficits dans la 11ème vague de l’étude «Fractures françaises» réalisée par Ipsos-Sopra Steria pour Le Monde, la Fondation Jean-Jaurès, le Cevipof et l’Institut Montaigne.

Relégués au huitième rang des principales préoccupations, la dette et les déficits de l’État quittent le podium, trusté par le pouvoir d’achat (46%), en tête, mais aussi désormais, en deuxième position, par la protection de l’environnement (30%). Suivent l’avenir du système social et l’immigration, avec 24% des sondés préoccupés par chacun des deux enjeux. L’étude Ipsos-Sopra Steria révèle qu’un Français sur trois considère de surcroît que le désendettement ne doit pas constituer une priorité pour les pouvoirs publics.

À rebours de la baisse des préoccupations des Français pour le niveau de la dette et des déficits, les finances publiques sont en état d’alerte. La dette française a encore continué de croître au deuxième trimestre 2023, parvenant au niveau record de 3046,9 milliards d’euros. Le poids de cette dette dépasse toujours très nettement celui de la richesse nationale : l’argent dû par la France atteint 111,8% du produit intérieur brut.

Pourtant , La dette de la France coûte de plus en plus cher au budget: Plus de 50 milliards par an. La France emprunte pour ses titres à dix ans se situent actuellement aux alentours de 3,4%, contre moins de 0% il y a encore quelques mois. Avec pour résultante immédiate un renchérissement des frais de remboursement des intérêts dans les finances publiques : 52 milliards d’euros en 2024, 56 milliards en 2025, 61 milliards en 2026 et plus de 70 milliards en 2027.

La dette publique devrait atteindre elle 108,1 % du PIB à cette date, grâce notamment à une baisse prévue des dépenses de l’État. Mais c’est une perspective très théorique !

Les économistes indifférents à la crise climatique ?

Les économistes indifférents  à la crise climatique ?

 

Le dérèglement du climat, directement lié à l’activité économique, est un enjeu majeur d’aujourd’hui et de demain. Pourtant, il reste un sujet d’étude marginal pour les experts de la réflexion macroéconomique, explique, dans sa chronique, Stéphane Lauer, éditorialiste au « Monde ».

 

« Climate is everything ». La couverture du dernier numéro de Time Magazine rappelle cette évidence : la lutte contre le réchauffement climatique est au centre de tout. Elle est même désormais au cœur des préoccupations des Etats-Unis, après quatre ans de déni sous Donald Trump. Le nouveau président américain, Joe Biden, qui a réuni, les 22 et 23 avril, 40 chefs d’Etat et de gouvernements lors d’un sommet virtuel, en a fait l’un des principaux enjeux de son mandat.


Qualifiant le réchauffement climatique de « crise existentielle de notre époque », Joe Biden a martelé lors de ce sommet que les signes de la dégradation et les conclusions scientifiques à son sujet « sont indéniables », et que « le coût de l’inaction ne cesse d’augmenter ». Dès lors, on ne peut qu’être frappé par la faiblesse de la contribution de la science économique sur le sujet.

En septembre 2019, deux éminents professeurs d’économie, l’un à l’université de Warwick, Andrew Oswald, l’autre à la London School of economics, Nicholas Stern, faisaient un constat ahurissant : sur les 77 000 articles publiés par les revues académiques les plus réputées en économie, seuls 57 concernaient le thème du changement climatique, soit une proportion de 0,074 %. Une mention spéciale était accordée à l’une des plus prestigieuses, le Quarterly Journal of Economics, qui n’en avait pas publié un seul à cette date. A croire que le climat est, selon l’expression américaine, l’« éléphant dans la pièce », le sujet aussi gênant qu’incontournable mais que personne ne veut aborder frontalement.

Panurgisme

Il est étrange de constater que le dérèglement du climat, essentiellement alimenté par les émissions de CO2, et donc directement liées à l’activité économique, ne soit pas davantage au cœur de la réflexion macroéconomique. Rien ne justifie cet impensé. L’augmentation des températures, la disparition des espèces, la multiplication des catastrophes naturelles auront des impacts gigantesques sur la stabilité de l’économie mondiale. Ne pas les intégrer dans la réflexion macroéconomique, revient à travailler dans un univers parallèle, qui sera de moins en moins utile à la prise de décision politique et à celle des dirigeants d’entreprise.

« Il y a une disproportion évidente entre l’énormité des enjeux du changement climatique, sa dimension systémique et l’intensité de la recherche académique », reconnaît Céline Guivarch, économiste au Centre international de recherche sur l’environnement et le développement et membre du Haut conseil pour le climat. Selon elle, l’arrivée d’une nouvelle génération de chercheurs contribue à renverser la tendance. Mais la visibilité de cette bascule peine encore à se concrétiser.

Victoire FN aux régionales : les Français indifférents

Victoire FN aux régionales : les Français indifférents

 

Dans l’éventualité d’une victoire du FN aux régionales les Français affichent une indifférence qui devrait interroger sur la nature de cette consultation démocratique. La réalité c’est que la plupart des  électeurs ne porte aucun intérêt à cette élection, une abstention qui attendra atteindra de leur de 50 % au moins. De toute manière pour environ la moitié les Français ne savent pas à quoi servent les régions et qui les dirige. Du coup les Français( en tout cas une majorité) ne seraient pas gênés par une victoire du FN aux régionales considérées surtout comme une consultation de protestation.-À quatre semaines des élections régionales, dont les scrutins se dérouleront les 6 et 13 décembre, la perspective de voir le Front national arriver à la tête d’une ou plusieurs régions n’effraie donc pas une majorité de Français. Selon un sondage TNS Sofres-OnePoint pour RTL et Le Figaro, 52% des personnes interrogées ne seraient pas gênées de voir le parti de Marine Le Pen s’emparer de la présidence d’un conseil régional. Plus d’un tiers (35%) trouveraient même cela normal et 17% sont indifférents.  Cette tendance s’observe particulièrement chez les sympathisants du parti Les Républicains (40%). Ils sont d’ailleurs plus d’un quart (28%) à avoir tranché le débat sur le front républicain en estimant que les choses changeraient « dans le bon sens » en cas de victoire du FN dans leur région. L’autre enseignement de cette enquête, c’est que la moitié des Français ne savent pas qui gouverne actuellement leur région. Hormis en Alsace, tous les présidents de conseils régionaux sortants sont issus de la gauche. Or, 51% des sondés qui ne résident pas en Alsace ne donnent pas la bonne réponse ou n’en ont même aucune idée. « À partir du moment où on ne sait pas, on peut se dire : après tout, pourquoi pas ? », analyse Emmanuel Rivière de TNS Sofres.
 

Hollande : « La naissance du Prince a réjoui le peuple français » ; Tu rigoles ? 75% sont indifférents !

Hollande : « La naissance du Prince a réjoui le peuple français » ; Tu rigoles ? 75% sont indifférents !

Hollande toujours aussi dithyrambique écrit «  la naissance du prince royal a réjoui le peuple français « En fait d’après un sondage, 75% des français sont indifférents à cette naissance ; Hollande en rajoute donc dans le ridicule ; des félicitations sur ce sujet  relève de l’ordre de la diplomatie encore faut-il ne pas trop en faire ou alors c’est pour masquer le reste. Ce qu’on bien faiat les médias mardi soir en consacrant l’essentiel de leur journal à la naissance de l’enfant royal évitant ainsi de parler du nouveau scandale du mensonge de Cahuzac qui ne se souvient plus s’il a participé à la réunion du 16 janvier à l’Elysée avec Hollande, Moscovici et Ayrault.. La naissance lundi du fils de Kate et William a été saluée par nombre de chefs d’Etat. François Hollande n’a pas dérogé à la règle.  »L’heureuse nouvelle de la naissance du Prince a réjoui le peuple français. Je souhaite vous exprimer, avec Valérie Trierweiler, nos plus sincères félicitations, ainsi que nos voeux les plus chaleureux de joie et de bonheur pour votre famille nouvellement agrandie », écrit-il dans une lettre adressée au couple royal. 

 

 




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