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Classement indice de criminalité en Europe: la France en tête de l’UE

Classement indice de criminalité en Europe

La France est très mal classée dans l’Union européenne en matière de sécurité des biens et des personnes. En moyenne en 2016-2018, avant la crise du Covid, la France était le deuxième pays le plus mal placé des 27 de l’Union européenne en matière de vol qualifié, le troisième pays le plus mal classé en matière de vol de voitures. Le nombre de vols qualifiés en France se situait à 150 pour 100.000 habitants contre moins de 50, en Allemagne, en Italie, dans le nord de l’Europe et dans la plupart des pays de l’Est! Il en est de même pour le vol des voitures, près de 250 vols de voitures pour 100.000 habitants en France, moins du tiers en Espagne, en Allemagne et dans les pays du Nord de l’UE.

Pays Indice de Criminalité ( 2022)
1 Bélarus 58,41
2 France 52,41
3 Suède 49,00
4 Moldavie 47,44
5 Grèce 47,41
6 Ukraine 46,94
7 Royaume-Uni 46,47
8 Albanie 46,08
10 La Belgique 45,38
11 Italie 45,20
12 Kosovo 42,29
13 Bosnie Herzégovine 42,23
14 Monténégro 41,10
15 Macédoine du Nord 40,87
16 Malte 40,82
17 Russie 39,62
18 Bulgarie 38,74
19 Lettonie 38,65
20 Serbie 38,29
21 Allemagne 36,37
22 Luxembourg 35,71
23 Hongrie 34,29
24 Espagne 33,87
25 Norvège 33,85
26 Lituanie 33,28
27 Portugal 30,58
28 Slovaquie 30,18
29 Pologne 29,79
30 Roumanie 28,79

Mesure Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?

Mesure Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?


Les écarts entre l’inflation réelle et celle perçue par les ménages et les erreurs de prévision des économistes sur son évolution soulignent les imperfections de l’indice des prix, observe Marie Charrel, journaliste au « Monde ».


De fait cet indice des prix à la consommation n’est représentatif que de ceux dont la structure de consommation est conforme au panier type. Or il y a coup de dispersion autour de cette moyenne. Le problème est que cette indice connaît des déformations régulières qui ne sont pas intégrées à temps, des déformations structurelles ( Exemple la montée régulière des dépenses contraintes) tout autant que des déformations conjoncturelles . Du coup quand on annonce en France une évolution en hausse des prix de l’ordre de 5 %, souvent cette évolution est plus proche de 10 % et inversement en période de déflation. NDLR

Le pouvoir d’influence de Beyoncé ne se limite pas à la scène pop et aux ventes de disques. Selon Michael Grahn, chef économiste de la Danske Bank à Stockholm, il s’étend même jusqu’à… l’inflation. De passage dans la capitale suédoise les 10 et 11 mai, la chanteuse américaine a attiré quelque 90 000 spectateurs à ses deux concerts. Cet afflux de visiteurs aurait, selon lui, fait grimper l’indice suédois des prix à la consommation de 0,2 % en mai, où il s’est établi à 9,7 % au total. A eux seuls, les prix dans les hôtels et restaurants ont bondi de 3,3 %.

Si la théorie de M. Grahn ne convainc pas tout le monde, elle a le mérite de rappeler que l’inflation est un indicateur imparfait, en partie influencé par des phénomènes inattendus. Ces derniers sont souvent moins anecdotiques que la tournée de « Queen B » – à l’exemple de la guerre en Ukraine et de la douloureuse flambée des matières premières qu’elle a alimentée. Dans un autre registre, le prix des oignons en Inde, produit de base de l’alimentation locale, détermine en grande partie les variations de l’inflation dans le pays. Et les politiques le surveillent de près, car sa flambée, en général accompagnée de colère populaire, est susceptible de faire tomber les gouvernements.

En Europe, le débat récurrent porte plutôt sur l’écart entre l’indice des prix à la consommation (l’IPC, ou sa version harmonisée par Eurostat, l’IPCH) et l’inflation perçue par les ménages. Une étude publiée mi-juin par les économistes d’Allianz souligne ainsi que cette dernière s’établissait à 16,1 % en mai, contre 6,1 % pour l’IPCH. « Comme observé durant la crise de 2008, cet écart s’est creusé ces derniers mois », détaillent les auteurs. Mais, cette fois, celui-ci devrait durer plus longtemps, estiment-ils. Avec un risque : plus les ménages anticipent une hausse des prix, plus ils modifient leurs comportements d’achat et d’épargne en conséquence.

Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?

Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?


Les écarts entre l’inflation réelle et celle perçue par les ménages et les erreurs de prévision des économistes sur son évolution soulignent les imperfections de l’indice des prix, observe Marie Charrel, journaliste au « Monde ».


De fait cet indice des prix à la consommation n’est représentatif que de ceux dont la structure de consommation est conforme au panier type. Or il y a coup de dispersion autour de cette moyenne. Le problème est que cette indice connaît des déformations régulières qui ne sont pas intégrées à temps, des déformations structurelles ( Exemple la montée régulière des dépenses contraintes) tout autant que des déformations conjoncturelles . Du coup quand on annonce en France une évolution en hausse des prix de l’ordre de 5 %, souvent cette évolution est plus proche de 10 % et inversement en période de déflation. NDLR

Le pouvoir d’influence de Beyoncé ne se limite pas à la scène pop et aux ventes de disques. Selon Michael Grahn, chef économiste de la Danske Bank à Stockholm, il s’étend même jusqu’à… l’inflation. De passage dans la capitale suédoise les 10 et 11 mai, la chanteuse américaine a attiré quelque 90 000 spectateurs à ses deux concerts. Cet afflux de visiteurs aurait, selon lui, fait grimper l’indice suédois des prix à la consommation de 0,2 % en mai, où il s’est établi à 9,7 % au total. A eux seuls, les prix dans les hôtels et restaurants ont bondi de 3,3 %.

Si la théorie de M. Grahn ne convainc pas tout le monde, elle a le mérite de rappeler que l’inflation est un indicateur imparfait, en partie influencé par des phénomènes inattendus. Ces derniers sont souvent moins anecdotiques que la tournée de « Queen B » – à l’exemple de la guerre en Ukraine et de la douloureuse flambée des matières premières qu’elle a alimentée. Dans un autre registre, le prix des oignons en Inde, produit de base de l’alimentation locale, détermine en grande partie les variations de l’inflation dans le pays. Et les politiques le surveillent de près, car sa flambée, en général accompagnée de colère populaire, est susceptible de faire tomber les gouvernements.

En Europe, le débat récurrent porte plutôt sur l’écart entre l’indice des prix à la consommation (l’IPC, ou sa version harmonisée par Eurostat, l’IPCH) et l’inflation perçue par les ménages. Une étude publiée mi-juin par les économistes d’Allianz souligne ainsi que cette dernière s’établissait à 16,1 % en mai, contre 6,1 % pour l’IPCH. « Comme observé durant la crise de 2008, cet écart s’est creusé ces derniers mois », détaillent les auteurs. Mais, cette fois, celui-ci devrait durer plus longtemps, estiment-ils. Avec un risque : plus les ménages anticipent une hausse des prix, plus ils modifient leurs comportements d’achat et d’épargne en conséquence.

Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?

Indice des prix : quelle pertinence méthodologique ?


Les écarts entre l’inflation réelle et celle perçue par les ménages et les erreurs de prévision des économistes sur son évolution soulignent les imperfections de l’indice des prix, observe Marie Charrel, journaliste au « Monde ».

Le pouvoir d’influence de Beyoncé ne se limite pas à la scène pop et aux ventes de disques. Selon Michael Grahn, chef économiste de la Danske Bank à Stockholm, il s’étend même jusqu’à… l’inflation. De passage dans la capitale suédoise les 10 et 11 mai, la chanteuse américaine a attiré quelque 90 000 spectateurs à ses deux concerts. Cet afflux de visiteurs aurait, selon lui, fait grimper l’indice suédois des prix à la consommation de 0,2 % en mai, où il s’est établi à 9,7 % au total. A eux seuls, les prix dans les hôtels et restaurants ont bondi de 3,3 %.

Si la théorie de M. Grahn ne convainc pas tout le monde, elle a le mérite de rappeler que l’inflation est un indicateur imparfait, en partie influencé par des phénomènes inattendus. Ces derniers sont souvent moins anecdotiques que la tournée de « Queen B » – à l’exemple de la guerre en Ukraine et de la douloureuse flambée des matières premières qu’elle a alimentée. Dans un autre registre, le prix des oignons en Inde, produit de base de l’alimentation locale, détermine en grande partie les variations de l’inflation dans le pays. Et les politiques le surveillent de près, car sa flambée, en général accompagnée de colère populaire, est susceptible de faire tomber les gouvernements.

En Europe, le débat récurrent porte plutôt sur l’écart entre l’indice des prix à la consommation (l’IPC, ou sa version harmonisée par Eurostat, l’IPCH) et l’inflation perçue par les ménages. Une étude publiée mi-juin par les économistes d’Allianz souligne ainsi que cette dernière s’établissait à 16,1 % en mai, contre 6,1 % pour l’IPCH. « Comme observé durant la crise de 2008, cet écart s’est creusé ces derniers mois », détaillent les auteurs. Mais, cette fois, celui-ci devrait durer plus longtemps, estiment-ils. Avec un risque : plus les ménages anticipent une hausse des prix, plus ils modifient leurs comportements d’achat et d’épargne en conséquence.

Ces différences de perception sont étudiées de près par les économistes depuis plusieurs années. Elles sont le fruit d’une série de facteurs plus ou moins rationnels, liés aux habitudes d’achat et à divers biais. Surtout : le panier moyen de produits passés au crible par l’Insee et ses homologues pour établir l’IPC ne correspond pas parfaitement à celui des consommateurs. Les moins aisés accordent ainsi une plus grosse part de leurs revenus à l’énergie et aux carburants que les plus riches – ils ont donc plus souffert ces derniers mois.

Indice Salaires des fonctionnaires : hausse de 1,5% du point d’indice au 1er juillet

Indice Salaires des fonctionnaires : hausse de 1,5% du point d’indice au 1er juillet

Au total, des mesures appréciées de manière modérée par les salariés mais susceptibles quand même de calmer un peu la grogne. À noter évidemment que le gouvernement n’indique pas comment ces dispositions seront financées ! ( Le déficit du budget représente déjà 5 % du PIB).Après avoir reçu les organisations ce lundi, le gouvernement a annoncé une hausse de 1,5 % du point d’indice des fonctionnaires, qui entrera en vigueur le 1er juillet prochain. Premier syndicat de la fonction publique, la CGT, qui réclamait une hausse du point d’indice de 10 %, a vilipendé une mesure « largement insuffisante », estimant la perte de pouvoir d’achat à 16 % depuis 2010.

Tous les agents se verront par ailleurs attribuer 5 points, correspondant à une aide forfaitaire de 25 euros supplémentaires par mois. Une partie des fonctionnaires – ceux dont la rémunération mensuelle brute va jusqu’à 3 250 euros – va également obtenir, avant la fin de l’année 2023, une prime dégressive de pouvoir d’achat allant de 800 à 300 euros. Cette mesure concerne 50 % des agents de l’État et 70 % des agents publics hospitaliers. Un agent d’accueil en début de carrière gagnerait au total 182 euros par mois de plus, et une professeur des écoles avec sept ans d’ancienneté 102 euros de plus, selon le ministère.

Les agents publics ont aussi obtenu la reconduction pour 2023 de la garantie individuelle de pouvoir d’achat, une revalorisation des frais de mission, une meilleure prise en charge des abonnements aux transports collectifs et une revalorisation du barème de monétisation des comptes épargne-temps. Après la hausse de 3,5 % du point d’indice intervenue l’été dernier pour un coût chiffré à 7,5 milliards d’euros, ces nouvelles mesures se montent à 3,5 milliards d’euros.

Obsolescence programmée : le gouvernement réfléchit à un «indice durée de vie»

Obsolescence programmée : le gouvernement réfléchit à un «indice durée de vie»

 

Le gouvernemenet envisage de créer un indice de vie ‘(durée théorique d’utilisation, réparabilité etc.) pour freiner l’obsloescence programmée. L’obsolescence programmée, schématiquement, c’est l’art de soutenir une croissance inutile. Certes on ne peut nier que le renouvellement de certains produits est nécessaire pour intégrer les progrès techniques permettant à ses produits être davantage efficaces, économes en matière et énergie. Bref pour mettre à disposition du consommateur des produits plus performants. Ceci étant,  le taux de renouvellement est aussi largement encouragé pour  développer le chiffre d’affaires des firmes. On s’appuie sur des effets de mode. Ainsi par exemple concernant les nouvelles technologies de l’information certes des problèmes existent  dans la mesure où les informations sont de plus en plus gourmandes en capacité. Cependant en imposant l’augmentation des capacités du soft (systèmes,  logiciels etc.) ont contraint le moment venu à acheter également un nouveau matériel adapté. Cela vaut en particulier pour les ordinateurs, les Smartphones la télévision et autre objets connectés. En outre les nouveaux matériels sont de plus en plus fragiles car conçus  pour durer quelques années seulement parfois deux ans comme les imprimantes qui sont impossibles à démonter.  Le promoteur immobilier américain Bernard London parle «d’obsolescence imposée» pour stimuler l’industrie et la croissance.  «Toute notre économie est basée sur l’obsolescence programmée (…). Nous fabriquons de bons produits, nous poussons les gens à les acheter, et puis l’année suivante nous introduisons délibérément quelque chose qui va rendre ces produits démodés, dépassés, obsolètes. Nous faisons cela pour une raison évidente: gagner de l’argent», disait Brooks Stevens, designer industriel américain disparu en 1995.  L’obsolescence programmée est une stratégie malheureusement courante pour les entreprises consistant à planifier « la mort prématurée » de leurs produits, obligeant les consommateurs à en acheter de nouveaux. Elle se définit ainsi : l’obsolescence programmée ou planifiée est le processus par lequel un bien devient obsolète pour un utilisateur donné, parce que l’objet en question n’est plus à la mode ou qu’il n’est plus utilisable.

En clair, certains produits sont prévus pour ne plus fonctionner ou être passés de mode après un certain temps d’utilisation afin de forcer le consommateur à les remplacer. Cette technique est particulièrement utilisée par les constructeurs d’appareils électroniques (ordinateurs, téléphones, consoles…) et électroménagers (réfrigérateurs, machines à laver…). Selon l’UFC-Que Choisir(1), la durée de vie moyenne des appareils électroménagers courants oscillerait aujourd’hui entre 6 à 8 ou 9 ans contre 10 à 12 ans auparavant. Par exemple :

  • un ordinateur portable aurait une durée de vie comprise entre 5 et 8 ans,
  • une télévision de 8 ans,
  • un téléphone portable de 4 ans,
  • un réfrigérateur de 10 ans.

D’autres produits sont connus pour faire l’objet d’une conception prévoyant leur obsolescence programmée : les imprimantes, et les smartphone sans parler des voitures qui ne sont plus réparables par le mécanicien du coin.

 

Quelques autres chiffres sur l’obsolescence programmée:

La durée des appareils suivants est artificiellement maintenue très basse :

  • Les ordinateurs portables durent entre deux ans et demi et cinq ans au maximum. De plus, il est souvent difficile de les ouvrir, surtout quand des marques comme Apple créent des vis nouvelles pour chaque appareil.
  • Les écrans plats ne résistent pas plus longtemps et connaissent un taux de panne qui peut atteindre 34 % au bout de 4 ans pour certains modèles.
  • Les imprimantes destinées au grand public fonctionnent trois ans en moyenne.
  • Les batteries de smartphones et de tablettes seraient conçues pour ne pas dépasser de 300 à 400 cycles de charge, ce qui représente à peine de deux à trois ans d’utilisation.

D’un autre côté, les dépenses de réparation ont chuté de 40 % de 1997 à 2007 et seuls 44 % des appareils tombés en panne seraient réparés.
À titre d’exemple, il était autrefois relativement aisé de  changer les roulements du tambour d’un lave-linge. Mais de nos jours, les cuves sont fabriquées avec des roulements sertis : s’ils cassent, il faut changer tout l’appareil.

 

 

Selon une étude de l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe) datant de 2015, «dans 60% des pannes, le consommateur n’essaye pas de faire réparer son produit et il ne fait jamais réparer si le coût est supérieur à 30% du prix du neuf».

Depuis la semaine dernière, Brune Poirson a évoqué plusieurs pistes pour lutter contre le gaspillage et développer le recyclage (mise en place d’un dispositif de consigne, hausse de la «taxe déchets», incitation à utiliser plus de matières recyclées dans les produits neufs, etc.). Ces solutions, qui doivent encore être discutées, émanent d’une consultation lancée en octobre par la secrétaire d’État. Une feuille de route sur l’économie circulaire doit être publiée en mars.

 

Gel du point d’indice ….pas des salaires

Gel du point d’indice ….pas des salaires 

Si le point d’indice est bloqué, cela n’empêchera pas les salaires des fonctionnaires de progresser.  Ce salaire moyen d’un fonctionnaire en place deux années de suite dans la fonction publique d’État (hors militaires) a atteint 2 630 euros net (3 190 euros brut). Ce même salaire net a atteint 1 980 euros dans la fonction publique territoriale (2 380 euros brut) et 2 280 euros dans la fonction publique hospitalière (2 780 euros brut). A comparer au 1722 euros nets dans le privé (écart qu’on justifie par un niveau  de qualification qui reste à démontrer). A noter qu’il s’agit d’un salaire moyen et que cela cache de forts écarts autour de la moyenne notamment de petits salaires dans les basses catégories. ( le salaire des instituteurs par exemple)Les organisations syndicales qui représentent les 5.5 millions de fonctionnaires jugent le gel du point d’indice inacceptable. Pourtant ne s’agit  pas du blocage des salaires Notons que  le point d’indice, qui sert de base à la détermination du traitement des fonctionnaires, a été gelé de 2010 à 2016. Il n’a été débloqué qu’en fin de quinquennat Hollande, en juillet 2016 (+0,6%) et février 2017 (+0,6%). les fonctionnaires ont bien d’autres moyens de voir leur rémunération augmenter: avancement à l’ancienneté, primes diverses, garantie de compensation de l’inflation, promotions. Résultat, la rémunération des personnels en place a toujours progressé plus vite que l’inflation depuis 2010. En outre, l’accord sur les carrières de septembre 2015 est favorable aux agents. La facture pour les finances publiques de ce protocole sera d’ailleurs très élevée: 4,5 à 5 milliards d’euros par an à horizon 2020! Quant à la hausse du point de 2016 et 2017, elle a coûté 2,5 milliards d’euros sur les deux années. . La progression automatique de carrière (3 milliards d’euros d’économies par an), permet notamment d’assurer la progression du pouvoir d’achat.  de ne pas remplacer un fonctionnaire sur trois dans la fonction publique hospitalière et territoriale (1,8 milliard) et un sur deux dans l’État (0,6 milliard), de supprimer des «avantages salariaux non justifiés», comme le supplément familial de traitement (1,5 milliard) et les majorations et indemnités d’outre-mer (2,2 milliards).

 

Gel du point d’indice pour les fonctionnaires

Gel du point d’indice pour les fonctionnaires

 

La grande presse titre que les salaires des fonctionnaires sera gelé. En fait il s’agit seulement du point d’indice. En effet les salaires continueront d’augmenter sous l’effet de l’ancienneté, de  l’avancement et des primes. Le ministre de l’Action et des Comptes publics Gérald Darmanin a annoncé jeudi soir un gel du point d’indice pour les fonctionnaires, quelques heures après que le Premier ministre Edouard Philippe s’est engagé à prendre des mesures d’économie pour contenir le déficit public à 3% du PIB en fin d’année. Estimant qu’un effort de quatre à cinq milliards d’économies serait nécessaire pour tenir cet objectif, Gérald Darmanin a réaffirmé que les réformes structurelles prévues dans le programme présidentiel d’Emmanuel Macron seraient tenues et que l’exécutif ne prévoyait pas de collectif budgétaire – et donc pas d’augmentation d’impôt. »Ce soir je peux vous dire qu’il n’y aura pas d’augmentation du point d’indice pour les agents de la fonction publique », a-t-il déclaré sur France 2. Une décision qui pourrait permettre d’économiser 2 milliards. D’après les derniers chiffres connus de 2014. (Depuis il y a eu l’augmentation de 1.2% décidée par le gouvernement de Vals en 2016,  le salaire moyen d’un fonctionnaire en place deux années de suite dans la fonction publique d’État (hors militaires) a atteint 2 630 euros net (3 190 euros brut). Ce même salaire net a atteint 1 980 euros dans la fonction publique territoriale (2 380 euros brut) et 2 280 euros dans la fonction publique hospitalière (2 780 euros brut). A comparer au 1722 euros nets dans le privé (écart qu’on justifie par un nivelai de qualification qui reste à démontrer)  .Les écarts de niveaux salariaux entre les trois versants de la fonction publique résultent principalement des différences de structure en termes de catégorie, de statut et de type d’emploi occupé. Ainsi, « dans la fonction publique d’État, près de six agents sur dix appartiennent à la catégorie A, contre trois agents sur dix dans la fonction publique hospitalière, et un agent sur dix dans la fonction publique territoriale », précise l’Insee.

Etats -Unis : recul surprise de l’indice PMI de Chicago

Etats -Unis : recul surprise de l’indice PMI de Chicago

On s’attendait à un certain tassement de la croissance américaine (dernièrement sur une tendance de 2 % sur un an au lieu de 2,5) mais certainement pas à un recul de son activité manufacturière ; l’activité en recul de la région de Chicago constitue en général un indicateur avancé de l’économie aux États-Unis. Le fonds monétaire international avait noté il y a quelques jours le risque d’un tassement de la croissance. Cependant l’indicateur de Chicago est particulièrement surprenant sans doute lié à des facteurs conjoncturels mais aussi à des tendances baissières structurelles de la croissance L’activité manufacturière dans la région de Chicago s’est nettement contractée en décembre, contrairement aux attentes des économistes, selon les conclusions de l’enquête mensuelle auprès des directeurs d’achat rendue publique jeudi. L’indice PMI de Chicago s’est établi à 42,9 en décembre contre 48,7 en novembre, alors que les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur un léger rebond, à 49,8.

Croissance euro : recul de l’indice Markit

Croissance euro : recul de l’indice Markit

 

L’indice markit est encore positif mais en recul par rapport à novembre. On devrait finir l’année en zone euro avec une évolution du PIB de l’ordre de 1.5%, ce qui permettra à l’emploi de progresser également  L’indice PMI calculé par le cabinet Markit a reculé de novembre à décembre. Cependant, les perspectives en matière de créations d’emplois en 2016 restent positives.  La croissance de l’activité privée n’a pas ralenti seulement en France en décembre. Cela a été le cas aussi dans l’ensemble de la zone euro, où le PMI composite s’est établie à 54,0, contre 54,2 en novembre, selon une première estimation de l’indice PMI publiée mercredi par le cabinet Markit. Il s’agit du plus bas niveau de cet indice depuis deux mois. Pour rappel, lorsque le PMI est supérieur à 50 points, cela signifie que l’activité progresse, tandis qu’elle se replie s’il est inférieur à ce seuil. Selon les analystes de Capital Economics, qui s’attendaient à une stagnation et non à un repli, l’indice de décembre « ne rend » toutefois « pas complètement nulle la montée du mois précédent » par rapport à octobre où il s’était établi à 53,9. « Malgré le léger fléchissement de l’indice PMI en décembre, l’activité économique de la zone euro enregistre sa plus forte croissance trimestrielle depuis quatre ans et demi », a constaté pour sa part Chris Williamson, chef économiste du cabinet Markit. « Les dernières données PMI signalant une hausse du produit intérieur brut de 0,4% au quatrième trimestre, la région devrait enregistrer une croissance annuelle de 1,5 % en 2015″, a-t-il ajouté. « Le résultat le plus encourageant de la dernière enquête est sans nul doute l’accélération des créations de postes observée au cours du mois », s’est-il félicité. Selon Chris Williamson, les effectifs enregistrent en effet leur plus forte expansion depuis le printemps 2011, ce qui permet d’espérer un début d’inversion de la courbe du chômage en début d’année 2016. Cette reprise des embauches est également synonyme de regain d’optimisme quant aux perspectives économiques, tendance qui pourrait se traduire par une accélération de la croissance du PIB au cours des prochains mois, a-t-il poursuivi. La France par contre avec une progression de seulement 1,1 % du PIB ne connaîtra pas d’embellie en 2015 sur le front de l’emploi.

Croissance Allemagne: indice Ifo en hausse

Croissance Allemagne: indice Ifo en hausse

L’Indice IFO allemand du climat des affaires ressort à 105,5 en décembre, sur un plus haut de quatre mois. Un niveau en ligne avec les attentes des économistes.  L’indice Ifo est compilé chaque mois à partir des réponses de 7.000 professionnels allemands des différents secteurs économiques concernés. Il représente leur vision à six mois et leur sentiment au moment de l’enquête. Une synthèse des deux indicateurs fournit l’indice principal de climat des affaires.

 

Croissance France : Indice PMI peu encourageant en novembre

Croissance France : Indice PMI  peu encourageant en novembre

 

L’Indice Flash de la Production Manufacturière se replie à 46.5 (48.0 en octobre), un plus bas de 3 mois.  L’Indice PMI Flash de l’Industrie Manufacturière se replie à 47.6 (48.5 en octobre), un plus bas de 3 mois Le secteur des services continue de tirer l’activité économique de la France mais le secteur manufacturier reste à la peine. Nous pouvons lire dans le rapport de Markit que « la conjoncture reste faible en novembre dans le secteur privé français, comme l’indiquent les dernières données PMI composites flash qui mettent de nouveau en évidence un léger repli de l’activité globale. Si la hausse des dépenses publiques a permis de maintenir une croissance de 0,3 % du PIB au troisième trimestre 2014, le manque de dynamisme de l’activité du secteur privé mis en évidence par les données de l’enquête pourrait continuer de peser sur la croissance française au quatrième trimestre. Parallèlement, les entreprises interrogées font état de nouvelles suppressions de postes en novembre, rendant fort peu probable une inversion prochaine de la courbe du chômage. » Les traders se contentent de la hausse de l’indice composite faisant la synthèse des indices PMI des services et manufacturier et EUR/USD progresse mais rien d’assez robuste pour permettre une baisse du taux de chômage. Tout est dit… D’autant plus que Markit n’est pas dupe et souligne que la hausse des dépenses publiques plutôt que celles du secteur privé est à l’origine des 0.3 % de croissance du T3.

 

Croissance France : Indice PMI peu encourageant en novembre

Croissance France : Indice PMI  peu encourageant en novembre

 

L’Indice Flash de la Production Manufacturière se replie à 46.5 (48.0 en octobre), un plus bas de 3 mois.  L’Indice PMI Flash de l’Industrie Manufacturière se replie à 47.6 (48.5 en octobre), un plus bas de 3 mois Le secteur des services continue de tirer l’activité économique de la France mais le secteur manufacturier reste à la peine. Nous pouvons lire dans le rapport de Markit que « la conjoncture reste faible en novembre dans le secteur privé français, comme l’indiquent les dernières données PMI composites flash qui mettent de nouveau en évidence un léger repli de l’activité globale. Si la hausse des dépenses publiques a permis de maintenir une croissance de 0,3 % du PIB au troisième trimestre 2014, le manque de dynamisme de l’activité du secteur privé mis en évidence par les données de l’enquête pourrait continuer de peser sur la croissance française au quatrième trimestre. Parallèlement, les entreprises interrogées font état de nouvelles suppressions de postes en novembre, rendant fort peu probable une inversion prochaine de la courbe du chômage. » Les traders se contentent de la hausse de l’indice composite faisant la synthèse des indices PMI des services et manufacturier et EUR/USD progresse mais rien d’assez robuste pour permettre une baisse du taux de chômage. Tout est dit… D’autant plus que Markit n’est pas dupe et souligne que la hausse des dépenses publiques plutôt que celles du secteur privé est à l’origine des 0.3 % de croissance du T3.

 

Indice référence loyer : +1.54% au premier trimestre 2013

Indice référence loyer : +1.54%  au premier trimestre 2013

 

L’indice de référence des loyers (IRL) a augmenté de 1,54% au premier trimestre 2013 sur un an, selon les chiffres publiés par l’Insee ce vendredi 12 avril. Il s‘agit du cinquième trimestre consécutif à la baisse. Au dernier trimestre 2012, la hausse de l’indice s’élevait à 1,88%. L’IRL est calculé sur la base de l’indice des prix à la consommation, hors tabac et loyers. Une stagnation de l’inflation permet donc de ralentir la hausse de l’indice.  Cet indice sert de référence pour la révision des loyers par les propriétaires privés. L’augmentation décidée par le propriétaire lors de la révision du loyer ne peut pas excéder la variation publiée par l’Insee. La ministre du Logement, Cécile Duflot, a annoncé le vote en 2013 d’une nouvelle loi pour l’encadrement des loyers dans certaines communes, où les prix pratiqués étaient jugés excessifs. En attendant, un décret a été pris dans l’urgence dans 38 communes françaises.

 




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