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Pôle emploi : 40% des inscrits indemnisés

 Pôle emploi : 40% des inscrits indemnisés

 

D’après une enquête de l’Unedic,  sur les 6,4 millions de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en juin 2019, seulement 2,6 millions étaient indemnisés, soit 40% des effectifs.

 

Alors que l’économie française s’enfonce actuellement dans une récession importante, la situation de nombreux chômeurs pourraient s’aggraver dans les semaines à venir.

À l’été 2019, l’exécutif avait fait passer par décret sa réforme contestée de l’assurance-chômage qui prévoyait, entre autres, d’allonger la durée de cotisation pour pouvoir recevoir des indemnités. Face au marasme actuel, le gouvernement de Jean Castex a décidé de suspendre ces règles…

Moins de demandeurs d’emploi indemnisés

Moins de demandeurs d’emploi indemnisés

. Selon la dernière étude du service de statistiques du ministère du Travail (Dares) publiée vendredi 6 septembre, sur les 6,7 millions de demandeurs d’emploi inscrits à Pôle emploi en septembre 2016, seulement 37% toutes catégories confondues (A,B,C,D,E) étaient indemnisés par l’assurance-chômage alors que deux tiers peuvent percevoir des indemnités.

D’après le ministère du travail, 37 % des 6,7 millions de demandeurs d’emploi sont indemnisés pour un montant inférieur à 1000 €. . Des chiffres plus récents communiqués par l’Unedic font également le même constat. Sur les 6,3 millions d’inscrits, seulement 2,6 millions étaient allocataires d’une indemnité en 2018. Parfois accusés de mettre l’équilibre financier de l’Unedic dans le rouge, les chômeurs indemnisés ne représentent qu’une minorité des inscrits.

La part des inscrits à l’opérateur public indemnisés par le système assurantiel ou par l’Etat a clairement diminué. D’après les chiffres communiqués par l’administration, la proportion de personnes indemnisées (sur le total des indemnisables) par l’assurance-chômage est passée de 78% à 75% entre 2011 et 2016.

En parallèle, la proportion de ceux ayant reçu une indemnité par l’Etat est restée stable sur la période autour de 88%. Au total, le ratio des indemnisés a perdu plus de deux points passant de 79,4% à 77,2%.

Mais derrière ce chiffre, des disparités subsistent selon les catégories. Dans le premier décile, les demandeurs d’emploi touchent en moyenne 245 euros contre 1.585 euros pour le neuvième décile. Au final, les allocataires consomment environ 68% de leurs droits au moment de leur sortie, soit 10 mois d’allocations en moyenne.

Avec l’entrée en vigueur de la réforme de l’assurance-chômage depuis cet été, les règles d’indemnisation ont été clairement chamboulées. Il faudra, à partir du premier novembre prochain, travailler l’équivalent de six mois durant 24 mois pour pouvoir bénéficier des allocations chômage et non plus quatre mois pendant 28 mois. Le principe de dégressivité des allocations versées aux cadres a également été adopté au grand dam des syndicats. Cette dégressivité doit intervenir au bout du septième mois d’indemnisation pour les salariés qui ont revenu brut supérieur à 4.500 euros. Pour rappel, seulement 0,02 touchaient l’allocation maximum de 6.540 euros.

8% des chômeurs indemnisés ne recherchent pas activement un emploi

8% des chômeurs indemnisés ne recherchent pas activement un emploi

Contrairement à l’idée que certains voudraient répandre la majorité des chômeurs ne s’installent pas dans cette posture   de chômeur peu  confortable financièrement et psychologiquement. Selon une étude mise en ligne lundi par Pôle emploi, 12% des demandeurs d’emploi ne cherchent pas activement un emploi. Ce taux chute même à 8 % chez les bénéficiaires de l’assurance chômage. L’opérateur, qui a généralisé ses équipes de contrôle de la recherche d’emploi en 2015, avait publié fin 2017 de premiers résultats selon lesquels 14% des personnes contrôlées avaient été radiées pour insuffisance de recherche d’emploi. Mais ces chiffres n’étaient pas représentatifs de l’ensemble des demandeurs d’emploi, car plus de la moitié des personnes contrôlées l’avaient été sur signalement ou parce qu’ils faisaient partie d’une population ciblée. Pôle emploi s’est, cette fois, concentré sur les demandeurs d’emplois contrôlés de manière aléatoire, un échantillon jugé plus représentatif. Résultat : le taux de radiation descend à 12% et cache de fortes disparités selon les profils. Les demandeurs d’emploi les moins diplômés ou qualifiés sont les plus sanctionnés : 17% des chômeurs d’un niveau inférieur au CAP et des ouvriers non qualifiés, 15% des employés non qualifiés. A l’inverse, les seniors (9%), cadres (4%) et agents de maîtrise (7%), diplômés de niveau bac+2 (6%) et supérieur (5%) sont les moins sanctionnés.

Chômeurs : 50 % sont indemnisés

Chômeurs : 50 % sont indemnisés

 

Sur environ 5,5 millions de personnes inscrites à pôle emploi 50 % sont indemnisés, une indemnisation qui représente en moyenne environ 1000 € mensuels  pour un coût total de 35 milliards.  À fin 2015, près de 5,5 millions de personnes pointaient à Pôle emploi en catégorie A (sans aucune activité), B ou C (exerçant une activité à temps partiel). Mais toutes n’ont pas droit à l’assurance chômage: certaines ne remplissent pas les conditions d’affiliations - avoir travaillé au moins 4 mois lors des 28 derniers mois (sur les 36 derniers mois pour les seniors). D’autres ont épuisé leurs droits, l’indemnisation durant au maximum deux ans, et trois ans pour les plus de 50 ans. Seulement 3,4 millions sont donc indemnisables par l’Unedic. Toutes ne sont pas pour autant indemnisées: une partie des personnes, qui sont en congé maladie ou maternité, relève de la Sécurité sociale, tandis que d’autres chômeurs sont en attente d’indemnisation en raison de différé d’indemnisation ou de délai de carence (par exemple les personnes ayant touché un gros chèque lors d’une rupture conventionnelle). Au final, Pôle emploi indemnise «seulement» 2,8 millions de personnes. La moitié de ces personnes est indemnisée à la suite de la perte d’un CDD ou d’une mission d’intérim. Seulement 28 % en raison d’un licenciement. Les ruptures conventionnelles représentent désormais 15% des entrées au chômage. La majorité des allocataires de Pôle emploi (57%) est abonnée à une forme de précarité et n’a essentiellement connu que des contrats de dix mois maximum entre 2005 et 2014. La pyramide des âges et la répartition hommes – femmes reflètent dans les grandes lignes la population active. 1,4 million d’allocataires travaillent chaque mois pour des emplois de courte durée. Parmi eux, près de 750.000 cumulent indemnité-chômage et salaires. Les autres affichent un nombre d’heures trop important pour cumuler. Ils sont momentanément non indemnisés et vivent de leur rémunération. Leurs droits à l’allocation sont alors décalés.  L’allocation-chômage moyenne s’élève à 1058 euros net par mois, soit 71 % du salaire antérieur. 5 % des allocataires perçoivent plus de 1970 euros, et 0,02 %, soit environ 500 personnes, reçoivent l’indemnisation maximale, fixée à 6750 euros. L’Unedic distribue au total 35,1 milliards d’euros d’allocations pour 34,1 milliards de contributions récoltées.

 

Chômage : nouvelle hausse des indemnisés

Chômage : nouvelle hausse des indemnisés

 

Le nombre de demandeurs d’emplois indemnisés progresse. Il a augmenté de 0,6% en juin par rapport à mai et de 1,3% sur un an en métropole, selon des données provisoires communiquées ce vendredi 1er août par Pôle emploi. Ainsi, 2.775.900 demandeurs d’emploi ont été indemnisés en juin. Le nombre des bénéficiaires de l’assurance chômage a progressé de 0,5% sur un mois et celui des bénéficiaires des allocations de solidarité versées par l’Etat de 0,7%.  Toutes allocations confondues, y compris formation et préretraites, le nombre des personnes indemnisées par Pôle emploi a augmenté de 0,6% sur un mois et de 1,4% sur un an. Au total, 2.993.500 personnes ont été indemnisées en mai. L’évolution du nombre des chômeurs indemnisés ne suit pas toujours la courbe des inscrits à Pôle Emploi car tous les demandeurs d’emploi ne réunissent pas les conditions pour toucher une allocation. Le chômage a connu en juin un huitième mois consécutif de hausse, atteignant un nouveau record de 3,398 millions de demandeurs d’emploi sans activité en métropole.

 




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