Archive pour le Tag 'inconnus !'

Popularité des ministres du gouvernement Barnier : surtout des inconnus !

Popularité des ministres du gouvernement Barnier : surtout des inconnus !

  Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro. Une grande majorité de Français (64 %) n’ont  jamais entendu parler de l’un des dix-neuf ministres de plein exercice, deux mois après leur nomination. À rebours de son équipe, le premier ministre est, lui, identifié par près des deux tiers (65 %) du pays.

D’une manière générale à part le premier ministre les Français pour le plus grand nombre ignore le nom même des ministres. En cause sans doute d’abord un nombre pléthorique de 42 ministres ; aussi le fait que la plupart étaient à peu près inconnu avant leur nomination.

Le débat sur le budget 2025 n’aura guère éclairé les Français sur les orientations de ce gouvernement qui fait un pas en avant et deux pas en arrière. Et de toute façon un débat incompréhensible puisqu’au final la discussion au gouvernement n’aura servi à peu près à rien et que le budget 2025 sera adopté en force avec adoption par l’article 49–3 de la constitution.

Au  regard des menaces de censure de Marine Le Pen, ce gouvernement d’inconnus risque de ne pas passer l’hiver. Et pourrait aussitôt tomber dans l’oubli. 

Politique- Gouvernement – mini remaniement: Des inconnus pour remplacer d’autres inconnus ?

Politique- Gouvernement – mini remaniement: Des inconnus pour remplacer d’autres inconnus ?

Il ne faut sans doute pas attendre grand-chose du mini remaniement du gouvernement. Pas davantage que celui déjà en place. Certes 66 % des Français souhaitent le départ d’Élisabeth Borne met 70 % n’attendent cependant rien de ce changement. Et pour cause, ce gouvernement pléthorique constitué surtout d’inconnus ne marquera pas l’histoire. Sur 40 ministres, à peine une dizaine peuvent être identifiés. Et le seul qui a un peu émergé de cet anonymat global, c’est Attal.

Il est cependant vraisemblable qu’on va assister assez rapidement à un remaniement du gouvernement. La première mise en cause sera la première ministre Élisabeth Borne qui a été incapable de bâtir une majorité durable comme l’avait demandé le président.

Son remplacement n’est pas aisé car le président ne souhaite aucune concurrence, aucune personnalité qui lui fasse de l’ombre. Des grosses pointures comme Darmanin ou Bayrou n’ont donc aucune chance.

On pourra par contre distribuer à gogo des portefeuilles de débauchage car le gouvernement comprend une quarantaine de ministres dont la plupart ne sert pas grand chose.

Un gouvernement qui ne peut apporter d’éléments très nouveaux puisque la question centrale n’est pas au gouvernement mais dans la majorité. Macro gouverne avec une minorité à l’Assemblée nationale. La seule solution serait de s’allier avec les républicains mais qui vont réclamer alors les postes les plus importants et finalement prendre le pouvoir dans les institutions. Ce que ne souhaitent pas non plus Macron.

Conclusion quelques modifications pour la forme, peut-être une nouvelle promotion pour Attal mais pas d’arrivée de poids lourd susceptible de faire ombrage au monarque républicain.

Remaniement du gouvernement : Des inconnus remplacent des inconnus !

Remaniement du gouvernement : Des inconnus remplacent des inconnus !

Un mini changement qui n’a guère d’intérêt puisque pour résumer ce sont essentiellement des gens inconnus qui remplacent d’autres inconnus dans un gouvernement toujours pléthorique.

Le nouveau gouvernement

Les ministres
Ministre de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse : Gabriel Attal (il remplace Pap Ndiaye)
Ministre des Solidarités : Aurore Bergé (elle remplace Jean-Christophe Combe)
Ministre de la Santé et de la Prévention : Aurélien Rousseau (il remplace François Braun)
Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique : Bruno Le Maire
Ministre de l’Intérieur et des Outre-mer : Gérald Darmanin
Ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Catherine Colonna
Ministre de la Justice et Garde des Sceaux : Eric Dupond-Moretti
Ministre des Armées : Sébastien Lecornu
Ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion : Olivier Dussopt
Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche : Sylvie Retailleau
Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire : Marc Fesneau
Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires : Christophe Béchu
Ministre de la Transition énergétique : Agnès Pannier-Runacher
Ministre de la Culture : Rima Abdul-Malak
Ministère de la transformation et de la fonction publiques : Stanislas Guérini
Ministre des Sports : Amélie Oudéa-Castéra
Les ministres délégués

Logement : Patrice Vergriete (il remplace Olivier Klein)
Outre-mer : Philippe Vigier (il remplace Jean-François Carenco)
Handicap : Fadila Khattabi (elle remplace Geneviève Darrieusecq)
Comptes publics : Thomas Cazenave (il remplace Gabriel Attal)
Égalité entre les femmes et les hommes et lutte contre les discriminations : Bérangère Couillard (elle remplace Isabelle Rome)
Porte-parole du gouvernement : Olivier Véran, qui reste à son poste, contrairement à ce qui était pressenti
Industrie : Roland Lescure
Relations avec le Parlement : Franck Riester
Transition numérique et Télécommunications : Jean-Noël Barrot
Petites et moyennes entreprises (PME), Commerce, Artisanat et Tourisme : Olivia Grégoire
Commerce extérieur, Attractivité et Français de l’étranger : Olivier Becht
Enseignement et formation professionnels : Carole Grandjean
Transports : Clément Beaune
Organisation territoriale et Professions de santé : Agnès Firmin Le Bodo
Collectivités territoriales et ruralité : Dominique Faure
Les secrétaires d’État

Chez les secrétaires d’État, on note le départ de Marlène Schiappa.

Ville : Sabrina Agresti-Roubache (elle remplace Olivier Klein également)
Jeunesse et du SNU : Prisca Thévenot (elle remplace Sarah El Haïry)
Biodiversité : Sarah El Haïry (elle remplace Bérangère Couillard)
Enfance : Charlotte Caubel
Mer : Hervé Berville
Citoyenneté : Sonia Backès
Europe : Laurence Boune
Développement de la francophonie : Chrysoula Zacharopoulou
Anciens combattants et mémoire : Patricia Mirallès

Remaniement: Des inconnus remplacent des inconnus !

Remaniement: Des inconnus remplacent des inconnus !

Un mini changement qui n’a guère d’intérêt puisque pour résumer ce sont essentiellement des gens inconnus qui remplacent d’autres inconnus dans un gouvernement toujours pléthorique.

Le nouveau gouvernement

Les ministres
Ministre de l’Éducation Nationale et de la Jeunesse : Gabriel Attal (il remplace Pap Ndiaye)
Ministre des Solidarités : Aurore Bergé (elle remplace Jean-Christophe Combe)
Ministre de la Santé et de la Prévention : Aurélien Rousseau (il remplace François Braun)
Ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et Numérique : Bruno Le Maire
Ministre de l’Intérieur et des Outre-mer : Gérald Darmanin
Ministre de l’Europe et des affaires étrangères : Catherine Colonna
Ministre de la Justice et Garde des Sceaux : Eric Dupond-Moretti
Ministre des Armées : Sébastien Lecornu
Ministre du Travail, du Plein emploi et de l’Insertion : Olivier Dussopt
Ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche : Sylvie Retailleau
Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire : Marc Fesneau
Ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires : Christophe Béchu
Ministre de la Transition énergétique : Agnès Pannier-Runacher
Ministre de la Culture : Rima Abdul-Malak
Ministère de la transformation et de la fonction publiques : Stanislas Guérini
Ministre des Sports : Amélie Oudéa-Castéra
Les ministres délégués

Logement : Patrice Vergriete (il remplace Olivier Klein)
Outre-mer : Philippe Vigier (il remplace Jean-François Carenco)
Handicap : Fadila Khattabi (elle remplace Geneviève Darrieusecq)
Comptes publics : Thomas Cazenave (il remplace Gabriel Attal)
Égalité entre les femmes et les hommes et lutte contre les discriminations : Bérangère Couillard (elle remplace Isabelle Rome)
Porte-parole du gouvernement : Olivier Véran, qui reste à son poste, contrairement à ce qui était pressenti
Industrie : Roland Lescure
Relations avec le Parlement : Franck Riester
Transition numérique et Télécommunications : Jean-Noël Barrot
Petites et moyennes entreprises (PME), Commerce, Artisanat et Tourisme : Olivia Grégoire
Commerce extérieur, Attractivité et Français de l’étranger : Olivier Becht
Enseignement et formation professionnels : Carole Grandjean
Transports : Clément Beaune
Organisation territoriale et Professions de santé : Agnès Firmin Le Bodo
Collectivités territoriales et ruralité : Dominique Faure
Les secrétaires d’État

Chez les secrétaires d’État, on note le départ de Marlène Schiappa.

Ville : Sabrina Agresti-Roubache (elle remplace Olivier Klein également)
Jeunesse et du SNU : Prisca Thévenot (elle remplace Sarah El Haïry)
Biodiversité : Sarah El Haïry (elle remplace Bérangère Couillard)
Enfance : Charlotte Caubel
Mer : Hervé Berville
Citoyenneté : Sonia Backès
Europe : Laurence Boune
Développement de la francophonie : Chrysoula Zacharopoulou
Anciens combattants et mémoire : Patricia Mirallès

Parlement : qui sont ces inconnus macronistes députés à l’Assemblée nationale

Parlement : qui sont ces inconnus macronistes députés à l’Assemblée nationale

À l’occasion des débats sur les chaînes d’information et d’une façon générale sur les médias, on voit débarquer des représentants du courant macroniste actuellement députés à l’Assemblée nationale. La plupart sont complètement inconnus et le resteront sans doute puisque très peu seront réélus à la prochaine échéance électorale. Beaucoup sont très jeunes et sortent en fait directement des instituts d’études politiques recrutés sur Internet par Macron. Ils ont en commun surtout pour beaucoup de n’avoir jamais travaillé sauf dans la politique. Ils n’ont pas non plus d’expérience en matière d’engagements et ce clergé répète en boucle et plus maladroitement le sermon du patron de la secte d’arrivistes incompétents vendus au pouvoir financier.

Il y a quelque chose de pathétique à écouter leur argumentation. Bref des perroquets complètement ignorants des réalités et même des textes qui prêchent en reprenant bêtement le discours officiel. Il faut dire qu’une chèvre aurait été élue à leur place. Juridiquement, leur élection n’est pas en cause mais politiquement ces jeunes blancs-becs n’ont aucune légitimité. Ce sont des courtisans qui n’ont aucune expérience de l’engagement collectif et qui parlent de ce qu’ils ignorent avec une incompétence crasse et une totale illégitimité démocratique.

Il serait temps d’exiger des candidats députés un minimum d’expérience démocratique et politique pour éviter que la plus haute assemblée ne ressemble à une école maternelle.

Le problème c’est que Macron lui-même fait la preuve en permanence de son immaturité politique en ajoutant des contradictions à ses renoncements et à ses promesses ésotériques. Et par mimétisme pathétique, les jeunes députés reprennent le refrain infantile de Macron.

Gouvernement : des ministres pour la plupart inconnus.

Gouvernement : des ministres pour la plupart inconnus.

D’une manière générale on pourrait considérer que le gouvernement joue les utilités car le président de la république est présent sur tous les terrains. Pour résumer il s’occupe de tout et le gouvernement fait le reste.

Dans ces conditions, pas étonnant que la plupart des ministres soit inconnue de l’opinion. Un sondage de « l’Obs » montre que la plupart des ministres du gouvernement ne sont pas connus ou très peu.
À peu près la moitié des Français n’ont jamais entendu parler des ministres et 27 % seulement savent quel poste occupnt chacun des 23 ministres testés dans le sondage. Ce gouvernement ne comptant réalité que cinq ministres vedettes parfaitement identifiés par les Français, Lemaire, Dupont Moretti, Darmanin, Véran et Attal connu par 80 % des Français en matière de popularité Lemaire domine avec 56 % .
La plupart des autres jouent les utilités et leur objectif est surtout de ne pas déplaire au président monarque. Même le ministre de l’éducation nationale suscite l’ignorance et l’indifférence. Même chose pour le ministre de la santé ou des armées.

Bref un ministère taillé sur mesure pour que Macon occupe en permanence le devant de la scène et annonce avant tout le monde les orientations. Dernier sujet à la mode après la réunion fondamentale du conseil national de la Refondation : la distribution de préservatifs pour les jeunes.! Pas inutile sans doute mais peut-être pas à la hauteur d’un président de la république.

Aéroport de Toulouse : on a bradé à des inconnus (Cour des comptes)

Aéroport de Toulouse : on a bradé à des inconnus  (Cour des comptes)

La Cour des Comptes fait un bilan sans concession des conditions dans lesquelles on a bradé l’aéroport de Toulouse. Des ouvertures de capital qui se sont faites sans aucune transparence, aucune compétence voir sans aucune connaissance des actionnaires. On se rappelle notamment que l’actionnaire chinois de Toulouse a disparu pendant toute une période !  La lecture de quelques passages du rapport de la Cour des Comptes est édifiante :

« Les critères de recevabilité des candidats étaient peu exigeants et limités à leur capacité financière, l’Agence des participations de l’État ayant choisi de ne pas exiger d’expérience en matière de gestion aéroportuaire. »

  »Ce manque d’expérience peut apparaître comme contradictoire avec l’un des objectifs de la privatisation pour l’État qui était d’apporter aux aéroports concernés de nouvelles compétences industrielles ».

« Alors même que la capacité financière constituait le principal critère de recevabilité des candidatures dans le cahier des charges de la privatisation, Shandong Hi-Speed Group et Friedmann Pacific AM n’apportent aucune garantie. Or, le capital social de Casil Europe n’est que de 10 000 euros. Son adresse au 6, boulevard de la Madeleine à Paris, correspond à celle d’une société spécialisée dans la domiciliation d’entreprise et aucune plaque, ni à l’extérieur du bâtiment ni dans la cour, n’atteste d’une présence physique de la société ».

« Le pacte d’actionnaires conduit l’État à jouer un rôle ambigu au sein du conseil de surveillance, partagé entre le soutien aux propositions de Casil Europe auquel il s’est engagé dans le pacte et son souci de jouer un rôle de modérateur entre l’actionnaire principal et les actionnaires locaux ».

« Pour pouvoir privatiser la société aéroportuaire de Toulouse, alors que les collectivités territoriales demandaient que les actionnaires publics restent majoritaires dans son capital, l’APE a choisi un montage destiné à faire espérer aux actionnaires locaux et à l’acquéreur privé des points d’aboutissement inconciliables, ce qui a conduit à l’échec de la privatisation. La privatisation demeure donc inaboutie et la société ATB reste dans la situation, ambiguë et instable, d’une entreprise dont le capital est majoritairement public, mais dont le contrôle appartient à l’actionnaire privé par l’effet du pacte d’actionnaires qu’il a conclu avec l’État ».

 

SONDAGE. Trop de ministres inconnus et inutiles

SONDAGE. Trop de  ministres inconnus et inutiles

Dans sa campagne électorale, Emmanuel Macron avait promis de resserrer très sérieusement le nombre de ministres. En réalité, il a fait comme ses prédécesseurs un gouvernement pléthorique d’une trentaine de membres pour faire plaisir aux uns, récompenser les autres et réaliser un subtil dosage politique. Au final, ce gouvernement dit de techniciens n’est pas plus efficace que les autres ;  deux ou trois personnalités seulement émergent en particulier le ministre de l’éducation nationale. D’après un sondage du JDD, une douzaine de ministres demeurent  inconnus du grand public. Pas étonnant la plupart de ses ministres ne disposent pas d’administrations et de moyens pour agir  dans leur champ de responsabilité. Ils font surtout double emploi avec d’autres titulaires de portefeuilles. Compte tenu des grandes missions régaliennes,  un gouvernement d’une quinzaine de personnes serait grandement suffisant. Cela d’autant plus qu’Emmanuel Macron  a imposé une discipline de fer vis-à-vis des initiatives et des communications des ministres. Douze membres du gouvernement parmi les moins médiatisés dans la presse française en 2018 ont été testés par le JDD. Parmi ces « invisibles », on retrouve par exemple la ministre des Outre-mer Annick Girardin. Déjà présente au gouvernement durant une partie du mandat de François Hollande, elle reste une inconnue pour 64% des Français. L’un des plus jeunes membres du gouvernement, le secrétaire d’Etat chargé du Numérique Mounir Mahjoubi, reste quant à lui un anonyme pour 71% des Français.

Nathalie Loiseau, ministre chargée des Affaires européennes, n’est pas identifiée par 83% des Français, un niveau similaire à celui de Sophie Cluzel, secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées (84%). De même, 85% des Français ne connaissent pas Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’Etat auprès du ministre des Armées, Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l’Intérieur (la « madame Corse » du gouvernement), ni Jacques Mézard, ministre de la Cohésion des territoires.

Logiquement, Julien Denormandie, secrétaire d’Etat auprès de ce dernier, est inconnu pour 86% des Français, au même niveau que Brune Poirson, secrétaire d’Etat auprès du ministre de la Transition écologique et solidaire. Trois des membres du gouvernement testés dans cette enquête sont pour leur part inconnus pour au moins neuf Français sur dix : Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères (90%), Olivier Dussopt, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Action et des Comptes publics (92%) et Delphine Gény-Stephann, secrétaire d’Etat auprès du ministre de l’Economie et des Finances (94%).

 

Les ministres de Macron : de célèbres inconnus

Les  ministres de Macron : de célèbres inconnus

Selon  l’enquête Odoxa-Dentsu Consulting pour Le Figaro et Franceinfo les ministres sont d’illustres inconnus  Plus d’un sondé sur deux ne les connaît toujours pas. Pire, 78 % des Français considèrent qu’ils «ne sont pas proches des gens». Ils sont vus comme des «technocrates» et «mauvais communicants». Lorsqu’ils les connaissent, ils ont plus souvent une mauvaise opinion (31 %) plutôt qu’une bonne (23 %). Globalement, 6 Français sur 10 sont mécontents de l’action du gouvernement, en particulier sur les domaines de la sécurité (53 %), sur l’éducation (54 %) et surtout sur les questions économiques et sociales (64 %).Deux raisons à cela, Macron a choisi des tecnos car ils se méfient des politiques ; par ailleurs le monarque républicain craint par-dessus tout l’émergence de personnalités qui lui feraient concurrence. De fait le gouvernemenet joue uen rôle d’administration en se contenant de leur et d’appliquer la parole du président ; Aucun écart n’est toléré. Difficile dans ce cas de faire preuve de personnalité, d’originalité et de charisme. C’est aussi la m^me chose au parlement où aucun député, tous choisis par Macron, ne parvient à émerger. Du coup des ministres comme

Transports Elisabeth Borne ou Frédérique Vidal peinent à faire entendre leurs arguments face aux syndicats. D’ailleurs, 46 % de sondés ne connaissent pas l’ancienne patronne de la RATP et 63 % l’ancienne présidente de l’université Nice-Sophia-Antipolis.

Nicolas Hulot, lui est très connu à cause de la télé mais  sa cote s’effondre toutefois.

 

Sondage : les ministres de Macron, des inconnus !

Sondage : les ministres de Macron, des inconnus !

D’après  enquête Odoxa-Dentsu Consulting. , en moyenne les membres du gouvernement ne sont connus que par environ 20 % des Français. Les plus connus doivent leur popularité à leurs activités passées comme l’ancien journaliste Nicolas Hulot ou encore la sportive Laura Flessel. Même le premier ministre est peu connu. En cause sans doute un relatif désintérêt des Français pour la chose publique échaudée qu’ils ont été par les gouvernements précédents. Macon bénéficie encore d’une petite popularité mais il est surtout attendu sur les résultats. Pour l’instant,  les mécontents nombreux autour de 60 % pour environ 40 % qui le soutiennent. Si les membres du gouvernement sont aussi peu connus et appréciés on le doit aussi au verrouillage de la parole des ministres par Macron. L’hyper centralisation  conduit au fait  que seul Macron incarne la réforme du mouvement en marche. Aucune autre personnalité que lui ne parvient à émerger,  ni au gouvernement, ni au Parlement ni dans le mouvement en marche. Macron contrôle tout, verrouille tout y compris son propre parti.  Il a désigné le responsable qui n’aura même pas le titre de président mais seulement de délégué général et qui ne sera pas élu par les adhérents (sauf pour 25 tirés au sort comme au loto) mais par des responsables nationaux auto désignés.  Le paradoxe c’est que Macron reproche à ses ministres de ne pas s’engager suffisamment médiatiquement pour défendre sa politique mais il ne cesse de les sermonner pour dérapage médiatique. Les réformes de Macron sont sans doute nécessaires voire indispensables mais la manière dont il les conduit sans collégialité est condamnable. Ces réformes pourraient être très menacées un jour par l’écroulement de la popularité de Macron. été Nicolas Hulot apparaît comme le plus populaire. Le ministre le plus populaire est Nicolas Hulot (Transition écologique). Avec 47 % d’opinions positives (mais 36 % négatives), il devance Laura Flessel, l’ancienne championne d’escrime devenue ministre des Sports (45 % de bonnes opinions). Le premier ministre Édouard Philippe arrive troisième avec 42 % de bonnes opinions de lui (36 % négatives). Mais encore 22 % disent ne pas être en capacité de juger l’action du chef du gouvernement, faute de pouvoir l’identifier. «Douze des 19 ministres testés ne sont pas connus par plus d’un Français sur deux, qui s’avouent bien incapables de formuler un jugement à leur égard», observe Gaël Sliman, le président d’Odoxa. Des piliers du gouvernement peinent à marquer l’opinion. Ainsi, le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, est inconnu par 40 % des Français (32 % ont une bonne opinion, 28 % une mauvaise). Le ministre de l’Éducation nationale Jean-Michel Blanquer n’est pas identifié par 54 % des Français (25 % ont une bonne opinion de lui contre 21 % une mauvaise). Même Muriel Pénicaud, qui a incarné le début du quinquennat avec l’importante réforme du travail n’est pas connue par 50 % des Français. 33 % ont une mauvaise appréciation de sa politique (17 % sont satisfaits). Frédérique Vidal, qui va bientôt porter la très explosive réforme de l’enseignement supérieur, est inconnue par… 75 % des Français. Seuls 10 % ont une bonne opinion d’elle. Les figures les plus médiatiques subissent le même sort. «53 % des Français ne connaissent pas Christophe Castaner et 60 % Marlène Schiappa», ajoute le sondeur. Christophe Castaner, qui va bientôt diriger La République en marche, est bien perçu par 23 % des Français. À l’inverse, 24 % ont une mauvaise opinion de l’actuel porte-parole du gouvernement. Quant à Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, elle peut se targuer de 20 % de bonnes opinions (20 % de mauvaises).

 




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