Archive pour le Tag 'incompétence ?'

Inflation : mensonge ou incompétence de Christine Lagarde

Inflation : mensonge ou incompétence de Christine Lagarde

 

À juste titre Alain Minc  a plusieurs fois déclaré que la grande qualité de Christine Lagarde était de lire les notes de ses collaborateurs. La vérité c’est qu’elle n’a aucune formation en économie, aucune compétence et qu’elle pratique à merveille la langue de bois. Ainsi contre tous les avis des experts, elle nie l’état de stagnation dans laquelle la France trouve, elle n’y le caractère durable de l’inflation. La vérité sans doute c’est qu’elle se réjouit de faire payer par les ménages la facture des milliards délivrés sans compter dans l’économie mais surtout à la bourse. En niant le caractère structurel de l’inflation, la présidente de la banque centrale européenne s’oppose en même temps à toute réévaluation du pouvoir d’achat des ménages, des salariés et des épargnants. L’intéressé ne connaît strictement rien ne aux questions économiques et financières mais elle sait cependant servir les intérêts des puissants. Même à l’intérieur de la banque centrale européenne des voix contestent l’hypocrisie de Christine Lagarde. Surtout elle milite pour éviter à tout prix une réévaluation des revenus .

 

Le scénario de « stagflation » n’est « pas actuellement notre référence » A déclaré Christine Lagarde. Certes le choc pétrolier avait aussi fait s’effondre l’économie, mais l’inflation était bien plus élevée qu’en ce moment. D’autant qu’à la différence d’il y a cinquante ans, « nous ne voyons pas (…) aujourd’hui » d’augmentation de salaires en réponse à l’inflation.

Cette guerre « est avant tout une tragédie humaine » qui a aussi des « conséquences économiques au-delà de l’Ukraine » : elle « pèse sur la croissance et alimente l’inflation », a insisté l’ancienne ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy.

Elle ne dit pas non plus si l’institution européenne située à Francfort en Allemagne va relever ses taux directeurs. Et ce même s’il y a une timide croissance de 0,2% au premier trimestre 2022, l’économie européenne « stagne de facto », a affirmé Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, dans une interview au quotidien italien La Stampa le 5 mai dernier.

Ce contexte de croissance molle et de poussée des prix « complique les choix » des gardiens de l’euro, car « un resserrement monétaire visant à contenir l’inflation finirait par freiner une croissance déjà affaiblie », a prévu ce dernier, rangé parmi les « colombes » adeptes d’une politique soutenant l’économie, en opposition aux « faucons » qui sont, eux, favorables à une politique peu accommodante.

Des propos qui tranchent avec ceux plus volontaristes de deux des plus éminents membres du directoire de la Banque centrale européenne, soulignant les divergences d’appréciation en son sein. « Une augmentation des taux est à mon avis possible en juillet », avait soutenu Isabel Schnabel dans une interview au quotidien Handelsblatt publiée le 3 mai.

 

Inflation : mensonge ou incompétence de Christine Lagarde

Inflation : mensonge ou incompétence de Christine Lagarde

 

À juste titre Alain Minc  a plusieurs fois déclaré que la grande qualité de Christine Lagarde était de lire les notes de ses collaborateurs. La vérité c’est qu’elle n’a aucune formation en économie, aucune compétence et qu’elle pratique à merveille la langue de bois. Ainsi contre tous les avis des experts, elle nie l’état de stagnation dans laquelle la France trouve, elle n’y le caractère durable de l’inflation. La vérité sans doute c’est qu’elle se réjouit de faire payer par les ménages la facture des milliards délivrés sans compter dans l’économie mais surtout à la bourse. En niant le caractère structurel de l’inflation, la présidente de la banque centrale européenne s’oppose en même temps à toute réévaluation du pouvoir d’achat des ménages, des salariés et des épargnants. L’intéressé ne connaît strictement rien ne aux questions économiques et financières mais elle sait cependant servir les intérêts des puissants. Même à l’intérieur de la banque centrale européenne des voix contestent l’hypocrisie de Christine Lagarde. Surtout elle milite pour éviter à tout prix une réévaluation des revenus surtout

 

Le scénario de « stagflation » n’est « pas actuellement notre référence » A déclaréChristine Lagarde. Certes le choc pétrolier avait aussi fait s’effondre l’économie, mais l’inflation était bien plus élevée qu’en ce moment. D’autant qu’à la différence d’il y a cinquante ans, « nous ne voyons pas (…) aujourd’hui » d’augmentation de salaires en réponse à l’inflation.

Cette guerre « est avant tout une tragédie humaine » qui a aussi des « conséquences économiques au-delà de l’Ukraine » : elle « pèse sur la croissance et alimente l’inflation », a insisté l’ancienne ministre de l’Economie de Nicolas Sarkozy.

Elle ne dit pas non plus si l’institution européenne située à Francfort en Allemagne va relever ses taux directeurs. Et ce même s’il y a une timide croissance de 0,2% au premier trimestre 2022, l’économie européenne « stagne de facto », a affirmé Fabio Panetta, membre du directoire de la BCE, dans une interview au quotidien italien La Stampa le 5 mai dernier.

Ce contexte de croissance molle et de poussée des prix « complique les choix » des gardiens de l’euro, car « un resserrement monétaire visant à contenir l’inflation finirait par freiner une croissance déjà affaiblie », a prévu ce dernier, rangé parmi les « colombes » adeptes d’une politique soutenant l’économie, en opposition aux « faucons » qui sont, eux, favorables à une politique peu accommodante.

Des propos qui tranchent avec ceux plus volontaristes de deux des plus éminents membres du directoire de la Banque centrale européenne, soulignant les divergences d’appréciation en son sein. « Une augmentation des taux est à mon avis possible en juillet », avait soutenu Isabel Schnabel dans une interview au quotidien Handelsblatt publiée le 3 mai.

 

Fermeture de Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Fermeture de Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans de rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

Bridgestone : hypocrisie et incompétence générales

 

Il est évidemment de bon ton de taper très fort sur Bridgestone dont effectivement la fermeture d’usine constitue un véritable drame pour les travailleurs intéressés mais aussi pour l’économie française. Curieusement, toutes les voix s’unissent celle de gauche, celle de droite celle des syndicats et celle du gouvernement pour cogner sur la société japonaise. Pourquoi pas !  Les Japonais eux-mêmes n’ont pas pris de gants quand il s’agissait de cogner sur la France et  Renault impliqués dans la gestion de Nissan. À tel point que l’affaire a pris les dimensions économiques bien sûr mais aussi juridiques et politiques. On peut cependant être étonné de la surprise de la plupart des responsables qui savent très bien que le processus de désertification industrielle est largement entamé en France depuis qu’on a décidé de délocaliser dans les pays à bas coût de main-d’œuvre. À cela s’ajoute évidemment les conditions de la compétitivité française plombée par la fiscalité et les procédures. S’ajoutent aussi le sujet tabou de la productivité et des 35 heures qui ont fini de tuer les performances de nombre d’entreprises. Évidemment, il est plus facile de taper sur une entreprise étrangère que sur une entreprise française comme Michelin qui vient tout juste de faire la même chose à la Roche-sur-Yon.  L’industrie du pneu souffre du même malaise que l’ensemble de l’industrie: insuffisance de compétitivité et de qualité sauf dans que les rares secteurs comme l’aéronautique.  Une industrie délaissée par des ingénieurs eux-mêmes qui préfèrent se recaser dans le monde de la finance. Une industrie méprisée par les technocrates et les prophètes de salon qui rêvent d’une économie composée uniquement de start-ups du numérique et de mondialisation sans contrainte. Sans parler de la responsabilité de certains syndicats gauchistes qui ont tout fait pour rendre impossible le dialogue social et pour neutraliser les velléités d’adaptation conjoncturelle mais aussi structurelle. Bref l’incompétence et l’hypocrisie est générale. Dans quelques mois on passera un autre sujet et on aura oublié ce nouvel exemple de désindustrialisation du pays. En cause le manque de vision stratégique, la sous culture économique qui gangrène le pays, l’absence de dialogue dans les entreprises, le poids des prélèvements obligatoires, la bureaucratie , le double langage permanent des responsables politiques etc.

 

Coronavirus : incompétence et conflits d’intérêts d’après le Pr Raoult

Coronavirus : incompétence et conflits d’intérêts d’après le Pr Raoult

C’est un véritable réquisitoire auquel s’est livré le Professeur Raoult lors de lraudition par la commission d’enquête sur la crise du coronavirus à l’Assemblée nationale.  Sa principale critique  a été adressée au conseil scientifique surtout accusé d’incompétence et de défense des intérêts de leurs boutiques voir de leurs egos. En outre, une sorte de comité de chapeau à plumes pas toujours au fait  de la problématique du Coronavirus.

La seconde attaque a été encore plus directe allant jusqu’à   la mise en cause de  la probité de certains chercheurs et autres responsables sanitaires aux liens un peu trop consanguins avec certains laboratoires pharmaceutiques. Il a fortement recommandé à la commission parlementaire de faire une enquête sur ces liens dont chacun sait qu’ils sont très forts puisque pour l’essentiel les laboratoires sont financés par les lobbys des industries pharmaceutiques.

D’où cette guerre curieuse entamée sous des prétextes scientifiques contre la chloroquine utilisée par le professeur Raoult, une guerre tenue par les partisans d’autres molécules fabriquées par d’autres laboratoires pharmaceutiques… qui les financement . En clair le professeur Raoult à mis  en évidence les liens financiers qui unissent non seulement les industries pharmaceutiques à certains laboratoires mais aussi aux responsables  parfois. De ce point de vue la dernière attaque lancée par la revue britannique Lancet qui démolit la chloroquine est révélatrice de la guerre des lobbys en même temps que de l’insuffisance scientifique des études prétendues telles et qui ne sont en fait  que de la propagande. Le Professeur Raoult n’a pas non plus ménagé la stratégie sanitaire des pouvoirs publics. Si le professeur août a très tôt quitté le comité scientifique qui pour lui n’en était pas un il n’a cessé de fournir des éléments d’analyse aux pouvoirs publics. Il n’a pas manqué de souligner la différence de taux de létalité  entre la région de Marseille et la région de Paris mettant une certaine manière en cause les deux stratégies développées.

 

on sait que le professeur Raoult a surtout milité pour développer au maximum une stratégie de dépistage, déconseillée d’abord puis interdites officiellement.

Interrogé à plusieurs reprises sur sa stratégie de dépistage très large, Didier Raoult a déclaré que l’organisation des tests dans le pays était «archaïque», accusant les deux centres nationaux de référence sur la grippe d’avoir voulu garder la mainmise sur leur réalisation. «Au début, on m’a interdit de faire des tests (…) Si on maintient ce système, vous développerez des personnalités de blaireaux dans leur terrier qui mordent quand on les approche.»

Macronisme: incompétence dans sa dimension régalienne (Luc Rouban)

Macronisme: incompétence dans sa dimension régalienne     (Luc Rouban)

 

Luc Rouban, Directeur de recherche au CNRS, Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) considère que le macronisme ne comprend rien du pays et est incompétent à gérer la dimension régalienne. (extraits Tribune au Monde) )

« Pratiquant le libéralisme dans un pays qui n’a rien de libéral, Emmanuel Macron reste prisonnier d’une appréhension économiste et managériale du monde, explique le politiste Luc Rouban dans une tribune au « Monde ».

 

« Le face-à-face annoncé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, qui signifie l’appauvrissement du débat politique, est loin de pouvoir exprimer ou résoudre le malaise démocratique, qui naît non pas de la convergence mais de la diversité des attentes sociales. Plusieurs sondages récents réalisés à l’automne (sondage Elabe pour BFM-TV du 29 octobresondage IFOP pour Le Journal du dimanche du 3 novembre), analysant les intentions de vote au premier tour de l’élection présidentielle de 2022, nous dévoilent un paysage politique figé.

Emmanuel Macron et Marine Le Pen sont au coude à coude, les représentants de la gauche socialiste ne percent pas, Jean-Luc Mélenchon reste à son étiage habituel des 12 %, l’écologie politique rate une fois de plus son entrée dans la cour des grands en ne dépassant pas les 7 %, et les candidats de la droite parlementaire, quels qu’ils soient (les sondages émettent plusieurs hypothèses), ne suscitent aucun renouveau. Ces sondages nous apprennent également que 80 % des personnes interrogées pensent que l’action d’Emmanuel Macron n’a pas permis d’améliorer leur situation personnelle.

Il est vrai que deux années de macronisme ont débouché non seulement sur la multiplication des conflits, mais aussi sur leur radicalisation. Que l’on observe le débat autour du voile pour les accompagnatrices de sorties scolaires ou la multiplication des conflits sociaux longs, comme celui qui secoue la SNCF et ceux qui minent les services de police ou les établissements hospitaliers, voire les conflits politiques, comme celui qui secoue depuis 2018 les élus locaux des petites communes ou encore celui des « gilets jaunes », le même schéma est à l’œuvre.

 

Tout semble indiquer que la réalité du terrain ne parvient plus à prendre forme politique, alors que des conflits fondamentaux – soit philosophiques, sur le sens de la laïcité, soit sociopolitiques, sur les fonctions de l’Etat et la place des services publics, soit économiques, sur la compatibilité du capitalisme et de l’écologie – sont renvoyés à la société civile afin de libérer le gouvernement de choix difficiles. Celui-ci est tenté d’user et d’abuser d’une communication du « en même temps » qui ne résout évidemment rien et ne protège pas l’Etat, qui semble incompétent même dans sa dimension régalienne, comme l’a illustré l’affaire de l’usine Lubrizol à Rouen. » 

Christophe Castaner : l’hystérisation sémantique pour cacher son incompétence

Christophe Castaner : l’hystérisation sémantique pour cacher son incompétence

Castaner  a choisi hystérisation sémantique comme moyen de défense. Ainsi il parle d’attentat quand il s’agit le plus souvent d’opération visant à murer la porte des permanences   des députés ; Il ya eu aussi des tagages et des bris de vitrine mais rien qui rappelle un attentat. Castaner, incompétent et dilettante essaie de cacher ses propres faiblesses en surlouant le superflic alors que dans certains cas il a complètement failli dans le maintien de l’ordre par exemple vis-à-vis des blackblocs, au contraire quand il a utilisé des moyens surdimensionnés dans le cas du mort à Nantes qui assistait à un concert musical.

Le principe de l’attentat, c’est de préparer l’acte. Là, on a des gens qui sont venus avec des bidons d’essence. Ils s’étaient équipés et ont tenté notamment d’attenter à la vie d’un parlementaire présent dans la permanence. Christophe Castaner

Le locataire de la Place Beauvau a également fait part de son soutien aux « autres victimes d’attentats tels que celui qui a été commis samedi dernier. Et ce, quelle que soit leur couleur politique », rapporte le journal L’Indépendant. Une vague de dégradations s’abat depuis quelques jours sur les locaux de permanence des députés de La République en marche, depuis la ratification du controversé traité de libre échange avec le Canada (Ceta).

Sur Twitter, le ministre de l’Intérieur a été interpellé par une rescapée de l’attentat du Bataclan, le 13 novembre 2015.

 

Bonjour @CCastaner ayant été au Bataclan et ayant donc survécu à un véritable attentat, je vous invite à faire attention aux mots que vous employez, aux gens que vous blessez et surtout à démissionner. Vous êtes indigne de votre fonction et vous devriez avoir honte. Merci.

Selon le Code pénal, comme le souligne un article du Figaro, un attentat est défini par le « fait de commettre un ou plusieurs actes de violence de nature à mettre en péril les institutions de la République ou à porter atteinte à l’intégrité du territoire national ». Un crime puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d’amende.

 

 

Le rejet des élites ou de leur incompétence ?

Le rejet des élites ou de leur incompétence ?

Dans cette période digitalisation du climat social, la tentation est grande de procéder à des caricatures de typologies opposant d’un côté les élites, de l’autre côté les populistes. Certes les choix des dirigeants en général sont effectivement contestés par la base mais il ne s’agit pas forcément d’une négation de l’élitisme mais d’une contestation de certains choix. Plus précisément ,la mise en cause de leur incompétence. Ce n’ai pas tellement le concept de hiérarchie qui est en procès mais la manière dont cette hiérarchie se constitue, se perpétue et véhicule un discours inefficace, obsolète et injuste. C’est le procès des politiques publiques depuis près de 40 ans. Des politiques publiques qui ajoutent des strates aux strates, multiplient  les contradictions et finissent par plomber les grands équilibres. D’où cette contradiction d’une France étatisée, injuste mais qui pourtant détient le record du monde de fiscalité et de dépenses publiques. On objectera sans doute à juste titre que les couches populaires et notamment les gilets jaunes sont aussi porteurs de contradictions avec une différence toutefois :ils ne sont pas en situation de gestion. Avec l’affaiblissement du mouvement des gilets jaunes, certaines les élites en profitent pour redresser la tête et taper à bras raccourcis sur ces populistes incultes. Or l’inculture est largement partagée car l’élite ne constitue pas un corps homogène. Certains possèdent des compétences indéniable ( dans la politique, dans l’administration ou dans les entreprises)  mais beaucoup trop se satisfont de leur rente élitiste (la hiérarchie des diplômes et non la hiérarchie des compétences). Une sorte de clergé qui défend d’ailleurs ses avantages de manière très corporatiste. La formation de nos dirigeants est en cause du fait de la surreprésentation des diplômés d’instituts politiques au détriment des techniciens et autres scientifiques. Des dirigeants qui se font la courte échelle parce qu’il dispose du même carnet d’adresses, des mêmes relations et qu’ils défendent souvent les mêmes intérêts. La vérité impose de dire que la plupart de ses dirigeants sont incompétents, c’est particulièrement vrai du monde politique. En cause,  le fait de l’insuffisance voire de l’absence de procédure d’évaluation et de l’absence le plus souvent de concertation avec les citoyens, les administrés ou les salariés. Bref, la France fonctionne encore sur le modèle d’une monarchie dans chacun des champs d’activités économiques, politiques et sociétaux. La France est clairement le malade de l’Europe dans nombreux domaines : la croissance, le chômage le déficit public, les déséquilibres sociaux et la bureaucratie. Une situation qui fabrique de l’inefficacité, de l’incompréhension et du rejet. L’injustice fiscale et sociale domine parmi tous les mécontentements. Encore une fois cela ne saurait faire oublier que les gilets jaunes eux-mêmes sont porteurs de nombreuses contradictions. La seule manière de s’en sortir serait d’instaurer en France un mécanisme systématique et permanent d’évaluation des grandes décisions, d’y associer les acteurs et de restaurer une hiérarchie des compétences au lieu et place d’une hiérarchie des castes et des diplômes.

L’impopularité de Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

L’impopularité  de Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Après 18 mois, les résultats de Macron sont catastrophiques et  les sondages sanctionnent non seulement l’arrogance de Macron mais aussi son incompétence. Le bilan est globalement très négatif :reprise du chômage, atteinte au pouvoir d’achat, croissance en berne et déficits qui repartent à la hausse ;   La descente aux enfers s’accélère donc  pour Macron qui perd quatre points, à 21% de bonnes opinions, un plus bas depuis son élection, dans le baromètre de novembre de l’institut de sondages YouGov pour Le HuffPost et CNews diffusé au début du mois. Il y a de toute évidence quelque chose de pathétique dans la dégringolade de la popularité de Macron vis-à-vis de l’opinion publique. Depuis maintenant quatre mois,  le président ne cesse de chuter dans tous les sondages et plus de 70 % rejettent sa politique notamment économique. Ce qui est pathétique, c’est que désormais quoi qu’il dise quoi qu’il fasse Macron, n’est plus crédible. Cela d’abord en raison de résultats économiques catastrophiques. En effet alors qu’on espérait une croissance de 2,3 % en 2018, on atteindra seulement de 1,5 %. Un niveau particulièrement dangereux, celui qui commence à faire augmenter le chômage et qui provoque des déséquilibres financiers. Non seulement rien n’a changé depuis Macron mais la situation s’est détériorée. Comme tous les autres politiques, Macron a cru pouvoir changer la société par des lois et des décrets et en plus en se privant de la médiation des corps intermédiaires. Une erreur stratégique grave. D’abord parce que Macron ne connaît les réalités sociales et économiques qu’à travers les discussions de salon des élites, deuxièmement parce qu’il se prive des relais d’opinion que constituent les organisations politiques, professionnelles, syndicales et même du parlement et des médias. La posture d’arrogance qu’il a adoptée vis-à-vis de tous ses interlocuteurs y compris vis-à-vis des collaborateurs proches est devenue intolérable. Son message ne passe plus d’autant que de toute évidence, il a choisi de privilégier les plus aisés. Si les résultats économiques étaient au rendez-vous on lui pardonnerait sans doute un peu cette posture jupitérienne. Malheureusement, les résultats sont absents. En raison bien sûr de la dégradation de la situation internationale mais pas seulement ; il y a des raisons supplémentaires en France liées aux erreurs de gestion du pays par exemple ce manque d’équilibre entre orientation économique et orientation sociale. Au boulet de l’arrogance, Macron ajoute maintenant le boulet de l’incompétence. Une situation qui n’est pas vraiment surprenante car ceux qui connaissent un peu les milieux politiques et économiques savent que Macron  ne dispose que d’une formation littéraire et que ses relations avec les réalités sociales et économiques ne sont qu’approximatives. Et ce n’est pas son passage éclair chez Rothschild qui a pu combler cette lacune. A 21 % de popularité la question de la légitimité de Mâcon se pose nécessairement. Non pas la légitimité juridique car son élection ne peut être remise en cause mais sa capacité à diriger un pays qui le rejette à plus de 70 % et n’espère rien gouvernement sur les questions centrales à 80 % et plus.

Macron : l’incompétence et la prétention

Macron : l’incompétence et la prétention

 

Finalement la longue « itinérance mémorielle » est en train de se transformer en chemin de Damas pour Macron qui «  en même temps » a voulu effectuer une tournée électorale. Malheureusement chaque fois qu’il a voulu rencontrer des Français, Macron a créé la polémique par une posture et des mots inappropriés. Le principal problème de Macron, c’est qu’il ignore toute pédagogie et veut jouer en permanence le rôle de professeur plus exactement de monarque qui fait la leçon à ses sujets non seulement sur les thèmes socio-économiques mais aussi sur les aspects sociétaux et culturels. Évidemment Macon se plante souvent car il ne connaît rien des réalités du terrain et ajoute la prétention à son incompétence. Une incompétence économique, sociale et sociétale. Incompétence économique car les contradictions de sa politique on fait chuter la croissance. Incompétence sociale en distribuant des milliards sans contrepartie incompétence sociétale par exemple sur la question de la dérive des banlieues qu’il traite par le mépris. Se rappeler notamment comment il a humilié Borloo en enterrant en public le rapport de l’intéressé. Fort logiquement Macron connaît une véritable descente aux enfers en matière de popularité. On lui reproche évidemment le contenu d’une politique inefficace et injuste mais tout autant cette attitude professorale condescendante qui lui fait sans doute confondre démocratie et système monarchique.

 

Effondrement de la popularité de Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Effondrement de la  popularité  de Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Après 18 mois, les résultats de Macron sont catastrophiques et  les sondages sanctionnent non seulement l’arrogance de Macron mais aussi son incompétence. Le bilan est globalement très négatif :reprise du chômage, atteinte au pouvoir d’achat, croissance en berne et déficits qui repartent à la hausse ;   La descente aux enfers s’accélère donc  pour Macron qui perd quatre points, à 21% de bonnes opinions, un plus bas depuis son élection, dans le baromètre de novembre de l’institut de sondages YouGov pour Le HuffPost et CNews diffusé le  premier novembre. Il y a de toute évidence quelque chose de pathétique dans la dégringolade de la popularité de Macron vis-à-vis de l’opinion publique. Depuis maintenant quatre mois,  le président ne cesse de chuter dans tous les sondages et plus de 70 % rejettent sa politique notamment économique. Ce qui est pathétique, c’est que désormais quoi qu’il dise quoi qu’il fasse Macron, n’est plus crédible. Cela d’abord en raison de résultats économiques catastrophiques. En effet alors qu’on espérait une croissance de 2,3 % en 2018, on atteindra seulement de 1,5 %. Un niveau particulièrement dangereux, celui qui commence à faire augmenter le chômage et qui provoque des déséquilibres financiers. Non seulement rien n’a changé depuis Macron mais la situation s’est détériorée. Comme tous les autres politiques, Macron a cru pouvoir changer la société par des lois et des décrets et en plus en se privant de la médiation des corps intermédiaires. Une erreur stratégique grave. D’abord parce que Macron ne connaît les réalités sociales et économiques qu’à travers les discussions de salon des élites, deuxièmement parce qu’il se prive des relais d’opinion que constituent les organisations politiques, professionnelles, syndicales et même du parlement et des médias. La posture d’arrogance qu’il a adoptée vis-à-vis de tous ses interlocuteurs y compris vis-à-vis des collaborateurs proches est devenue intolérable. Son message ne passe plus d’autant que de toute évidence, il a choisi de privilégier les plus aisés. Si les résultats économiques étaient au rendez-vous on lui pardonnerait sans doute un peu cette posture jupitérienne. Malheureusement, les résultats sont absents. En raison bien sûr de la dégradation de la situation internationale mais pas seulement ; il y a des raisons supplémentaires en France liées aux erreurs de gestion du pays par exemple ce manque d’équilibre entre orientation économique et orientation sociale. Au boulet de l’arrogance, Macron ajoute maintenant le boulet de l’incompétence. Une situation qui n’est pas vraiment surprenante car ceux qui connaissent un peu les milieux politiques et économiques savent que Macron  ne dispose que d’une formation littéraire et que ses relations avec les réalités sociales et économiques ne sont qu’approximatives. Et ce n’est pas son passage éclair chez Rothschild qui a pu combler cette lacune. A 21 % de popularité la question de la légitimité de Mâcon se pose nécessairement. Non pas la légitimité juridique car son élection ne peut être remise en cause mais sa capacité à diriger un pays qui le rejette à plus de 70 % et n’espère rien gouvernement sur les questions centrales à 80 % et plus.

Effondrement de la popularité Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Effondrement de la  popularité  Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Après 18 mois, les résultats de Macron sont catastrophiques et  les sondages sanctionnent non seulement l’arrogance de Macron mais aussi son incompétence. Le bilan est globalement très négatif :reprise du chômage, atteinte au pouvoir d’achat, croissance en berne et déficits qui repartent à la hausse ;   La descente aux enfers s’accélère donc  pour Macron qui perd quatre points, à 21% de bonnes opinions, un plus bas depuis son élection, dans le baromètre de novembre de l’institut de sondages YouGov pour Le HuffPost et CNews diffusé le  premier novembre. Il y a de toute évidence quelque chose de pathétique dans la dégringolade de la popularité de Macron vis-à-vis de l’opinion publique. Depuis maintenant quatre mois,  le président ne cesse de chuter dans tous les sondages et plus de 70 % rejettent sa politique notamment économique. Ce qui est pathétique, c’est que désormais quoi qu’il dise quoi qu’il fasse Macron, n’est plus crédible. Cela d’abord en raison de résultats économiques catastrophiques. En effet alors qu’on espérait une croissance de 2,3 % en 2018, on atteindra seulement de 1,5 %. Un niveau particulièrement dangereux, celui qui commence à faire augmenter le chômage et qui provoque des déséquilibres financiers. Non seulement rien n’a changé depuis Macron mais la situation s’est détériorée. Comme tous les autres politiques, Macron a cru pouvoir changer la société par des lois et des décrets et en plus en se privant de la médiation des corps intermédiaires. Une erreur stratégique grave. D’abord parce que Macron ne connaît les réalités sociales et économiques qu’à travers les discussions de salon des élites, deuxièmement parce qu’il se prive des relais d’opinion que constituent les organisations politiques, professionnelles, syndicales et même du parlement et des médias. La posture d’arrogance qu’il a adoptée vis-à-vis de tous ses interlocuteurs y compris vis-à-vis des collaborateurs proches est devenue intolérable. Son message ne passe plus d’autant que de toute évidence, il a choisi de privilégier les plus aisés. Si les résultats économiques étaient au rendez-vous on lui pardonnerait sans doute un peu cette posture jupitérienne. Malheureusement, les résultats sont absents. En raison bien sûr de la dégradation de la situation internationale mais pas seulement ; il y a des raisons supplémentaires en France liées aux erreurs de gestion du pays par exemple ce manque d’équilibre entre orientation économique et orientation sociale. Au boulet de l’arrogance, Macron ajoute maintenant le boulet de l’incompétence. Une situation qui n’est pas vraiment surprenante car ceux qui connaissent un peu les milieux politiques et économiques savent que Macron  ne dispose que d’une formation littéraire et que ses relations avec les réalités sociales et économiques ne sont qu’approximatives. Et ce n’est pas son passage éclair chez Rothschild qui a pu combler cette lacune. A 21 % de popularité la question de la légitimité de Mâcon se pose nécessairement. Non pas la légitimité juridique car son élection ne peut être remise en cause mais sa capacité à diriger un pays qui le rejette à plus de 70 % et n’espère rien gouvernement sur les questions centrales à 80 % et plus.

Ecroulement de la popularité Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

Ecroulement de la  popularité  Macron : l’arrogance et l’incompétence sanctionnées

La descente aux enfers s’accélère pour Macron qui perd quatre points, à 21% de bonnes opinions, un plus bas depuis son élection, dans le baromètre de novembre de l’institut de sondages YouGov pour Le HuffPost et CNews publié jeudi. Il y a de toute évidence quelque chose de pathétique dans la dégringolade de la popularité de Macron vis-à-vis de l’opinion publique. Depuis maintenant quatre mois le président ne cesse de chuter dans tous les sondages et plus de 70 % rejettent sa politique notamment économique. Ce qui est pathétique, c’est que désormais quoi qu’il dise quoi qu’il fasse Macron, n’est plus crédible. Cela d’abord en raison de résultats économiques catastrophiques. En effet alors qu’on espérait une croissance de 2,3 % en 2018, on atteindra seulement de 1,5 %. Un niveau particulièrement dangereux, celui qui commence à faire augmenter le chômage et qui provoque des déséquilibres financiers. Non seulement rien n’a changé depuis Macron mais la situation s’est détériorée. Comme tous les autres politiques, Macron a cru pouvoir changer la société par des lois et des décrets et en plus en se privant de la médiation des corps intermédiaires. Une erreur stratégique grave. D’abord parce que Macron ne connaît les réalités sociales et économiques qu’à travers les discussions de salon des élites, deuxièmement parce qu’il se prive des relais d’opinion que constitue les organisations politiques, professionnelles, syndicales et même du parlement et des médias. La posture d’arrogance qu’il a adoptée vis-à-vis de tous ses interlocuteurs y compris vis-à-vis des collaborateurs proches est devenue intolérable. Son message ne passe plus d’autant que de toute évidence, il a choisi de privilégier les plus aisés. Si les résultats économiques étaient au rendez-vous on lui pardonnerait sans doute un peu cette posture jupitérienne. Malheureusement, les résultats sont absents. En raison bien sûr de la dégradation de la situation internationale mais pas seulement ; il y a des raisons supplémentaires en France liées aux erreurs de gestion du pays par exemple ce manque d’équilibre entre orientation économique et orientation sociale. Au boulet de l’arrogance, Macron ajoute maintenant le boulet de l’incompétence. Une situation qui n’est pas vraiment surprenante car ceux qui connaissent un peu les milieux politiques et économiques et qui savent que Macron  ne dispose que d’une formation littéraire et que ses relations avec les réalités sociales et économiques ne sont qu’approximatives. Et ce n’est pas son passage éclair chez Rothschild qui a pu combler cette lacune. A 21 % de popularité la question de la légitimité de Mâcon se pose nécessairement. Non pas la légitimité juridique car son élection ne peut être remise en cause mais sa capacité à diriger un pays qui le rejette à plus de 70 % et n’espère rien gouvernement sur les questions centrales à 80 % et plus.

Macron : après l’arrogance, l’incompétence

Macron :   après  l’arrogance,  l’incompétence

 

Il y a de toute évidence quelque chose de pathétique dans la dégringolade de la popularité de Macron vis-à-vis de l’opinion publique. Depuis maintenant quatre mois le président ne cesse de chuter dans tous les sondages et plus de 70 % rejettent sa politique notamment économique. Ce qui est pathétique, c’est que désormais quoi qu’il dise, quoi qu’il fasse Macron, n’est plus crédible. Cela d’abord en raison de résultats économiques catastrophiques. En effet alors qu’on espérait une croissance de 2,3 % en 2018, on atteindra seulement de 1,5 %. Un niveau particulièrement dangereux, celui qui commence à faire augmenter le chômage et qui provoque des déséquilibres financiers. Non seulement rien n’a changé depuis Macron mais la situation s’est détériorée. Comme tous les autres politiques, Macron a cru pouvoir changer la société par des lois et des décrets et en plus en se privant de la médiation des corps intermédiaires. Une erreur stratégique grave. D’abord parce que Macron ne connaît les réalités sociales et économiques qu’à travers les discussions de salon des élites, deuxièmement parce qu’il se prive des relais d’opinion que constituent les organisations politiques, professionnelles, syndicales et même des médias. La posture d’arrogance qu’il a adoptée vis-à-vis de tous ses interlocuteurs y compris vis-à-vis des collaborateurs proches est devenue intolérable. Son message ne passe plus d’autant que de toute évidence, il a choisi de privilégier les plus aisés. Si les résultats économiques étaient au rendez-vous, on lui pardonnerait sans doute un peu cette posture jupitérienne. Malheureusement, les résultats sont absents. En raison bien sûr de la dégradation de la situation internationale mais pas seulement ; il y a des raisons supplémentaires en France liées aux erreurs de gestion du pays par exemple ce manque d’équilibre entre orientation économique et orientation sociale. Au boulet de l’arrogance, Macron ajoute maintenant le boulet de l’incompétence. Une situation qui n’est pas vraiment surprenante car ceux qui connaissent un peu les milieux politiques et économiques savent que Macron  ne dispose que d’une formation littéraire et que ses relations avec les réalités sociales et économiques ne sont qu’approximatives. Et ce n’est pas son passage éclair chez Rothschild qui a pu combler cette lacune. Les mauvaises nouvelles s’accumulent donc pour Emmanuel Macron. Après un été plombé par l’affaire Benalla,  la cote de popularité du président de la République continue de se dégrader pour atteindre son point le plus bas depuis son élection en mai 2017. Selon le dernier baromètre de la politique nationale BVA pour La Tribune/Orange/RTL, la part des répondants ayant une opinion favorable a atteint 32% en septembre, soit deux points de moins que lors de la dernière enquête réalisée en août. A l’inverse, la part des opinions défavorables s’élève à 67%, soit son niveau le plus haut depuis son accession à la fonction suprême. A titre de comparaison, il se situe au même niveau que son prédécesseur François Hollande en septembre 2013, après la même durée d’exercice du pouvoir.

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