Archive pour le Tag '‘incohérence'

Ecologie:De l’essence à partir des végétaux, une incohérence totale

Ecologie:De l’essence à partir des végétaux, une incohérence totale

Un groupe pétrolier envisage de fabriquer de l’essence avec des végétaux afin de la qualifier sans carbone ou presque. Une incohérence totale de consacrer une partie des terres pour produire cette énergie. En effet, l’utilisation de déchets végétaux déjà critiquables ne suffira pas et il faudra consacrer de larges espaces à des cultures qui viendront ensuite transformées en carburant.

Mais ces cultures ne pousseront pas toutes seules, il faudra bien entendu utiliser des engins pour travailler la terre, des engrais pour la faire pousser et les produits chimiques pour les protéger. Bref ,On va utiliser du pétrole pour faire pousser des végétaux qui eux-mêmes produiront de l’essence

Une start-up française et le géant des hydrocarbures anglo-néerlandais s’allient donc pour mettre au point un carburant routier « bas carbone », grâce à la fermentation de ressources végétales. L’objectif : parvenir à fabriquer 30.000 tonnes de cet hydrocarbure renouvelable d’ici à 2030, afin d’alimenter les voitures et autres camions.

Reste à voir si les intrants utilisés seront eux aussi vertueux, alors que l’utilisation de cultures agricoles dédiées à la production de biocarburant est très critiquée et pour cause surtout contre-productive d’un point de vue environnemental.

De l’essence à partir des végétaux : une incohérence totale

De l’essence à partir des végétaux : une incohérence totale

Un groupe pétrolier envisage de fabriquer de l’essence avec des végétaux afin de la qualifier sans carbone ou presque. Une incohérence totale de consacrer une partie des terres pour produire cette énergie. En effet, l’utilisation de déchets végétaux déjà critiquables ne suffira pas et il faudra consacrer de larges espaces à des cultures qui viendront ensuite transformées en carburant.

Mais ces cultures ne pousseront pas toutes seules, il faudra bien entendu utiliser des engins pour travailler la terre, des engrais pour la faire pousser et les produits chimiques pour les protéger. Bref ,On va utiliser du pétrole pour faire pousser des végétaux qui eux-mêmes produiront de l’essence

Une start-up française et le géant des hydrocarbures anglo-néerlandais s’allient donc pour mettre au point un carburant routier « bas carbone », grâce à la fermentation de ressources végétales. L’objectif : parvenir à fabriquer 30.000 tonnes de cet hydrocarbure renouvelable d’ici à 2030, afin d’alimenter les voitures et autres camions.

Reste à voir si les intrants utilisés seront eux aussi vertueux, alors que l’utilisation de cultures agricoles dédiées à la production de biocarburant est très critiquée et pour cause surtout contre-productive d’un point de vue environnemental.

Agriculture : « un discours d’une incohérence totale »

Agriculture  : « un discours d’une incohérence totale »

 

Dans le Monde, une agricultrice Agricultrice, Anne-Cécile Suzanne pousse un cri de colère sur les incohérences du discours officiel sur l’agriculture. Certes cette  opinion ne permet pas de dégager des orientations mais elle a au moins le mérite d’émaner d’un véritable acteur du secteur et de donner un sentiment assez partagé par nombre d’ exploitants déstabilisés par des discours contradictoires.

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Tribune.

 

« L’usage des pesticides en France et le bien-être animal en élevage sont les deux grands sujets pour lesquels on parle d’agriculture aujourd’hui, et souvent par l’intermédiaire d’un discours à charge. Mais le débat est caricatural, alors que le politique se contente d’évidences et le citoyen de vœux pieux, alors que les importations vont bon train et que l’Union européenne se fixe des normes qu’elle est incapable de faire respecter à ses partenaires commerciaux. On marche sur la tête, et le discours moralisateur adressé aux agriculteurs en devient indigne et d’une incohérence la plus totale.

 

Car oui, on utilise des pesticides en France. Mais les règles encadrant leur utilisation sont une première distorsion de concurrence, à mesure que de nombreuses molécules autorisées chez nos voisins, européens et non européens, ne le sont plus en France. Pour pallier la baisse de la chimie, investir dans l’agroécologie devient la doctrine à la mode. Croyez-nous, nous serions tous très heureux de nous lancer, mais à l’heure où les prix sont internationalisés et où le marché valorise le rendement, s’imposer une durabilité maximale est un acte suicidaire : produire moins et plus cher, en agriculture conventionnelle comme bio, c’est se fermer les marchés à tout jamais. Sur l’élevage, la question est la même. A mesure que l’on se refuse l’industrialisation, c’est la viande étrangère dopée aux farines animales et aux antibiotiques qui s’étale dans les rayons.

Et c’est là que tout bascule. Poussé par des citoyens de plus en plus exigeants pour l’environnement et les animaux, mais honteux de son inaction, notre gouvernement appelle à la montée en gamme de notre agriculture, par toujours plus de réglementations et d’injonctions. «  

 

 

Chômage février El Khomri : la dialectique de l’incohérence

Chômage février  El Khomri : la dialectique de l’incohérence

Lors de sa nomination comme ministre du travail, la jeune oligarque avec promis de n’être pas la commentatrice des statistiques mensuelles du chômage. Une promesse aussitôt contredite par sa pratique. En effet sitôt annoncée,  mercredi 24 février, la baisse virtuelle du nombre de demandeurs d’emploi de 27.900 personnes en janvier, la ministre du Travail Myriam El Khomri s’est réjouie publiquement, se félicitant notamment de “ce que nous avons déjà réussi à faire pour les jeunes” et y voyant une « confirmation de la tendance qui se dessine depuis l’été dernier« . Pour l’occasion, la ministre avait même prévu un « priorité au direct » avec BFMTV, organisé depuis une agence Pôle emploi où elle se trouvait en visite. Un live au cours de laquelle on a pu la voir attendre, rayonnante, que le gong de 18 heures (heure de diffusion officielle des données) ait sonné afin d’annoncer en personne la grande nouvelle aux Français. Par contre jeudi 24 mars elle s’est montrée  aussi discrète que contradictoire avec cette déclaration surréaliste : »Ces résultats nous montrent aussi qu’au-delà des mesures de court terme structurelles, nous allons continuer à réformer notre pays jusqu’au bout, c’était le sens du projet de loi que j’ai présenté en conseil des ministres ». Il faudra évidemment apprendre à notre jeune ministre que par définition des mesures de court terme ne sauraient être de nature structurelle. Pas étonnant elle ne connaît rien à l’économie et au monde du travail. Elle n’a d’ailleurs pratiquement jamais travaillé dans la production et dans le privé. Elle est un pur produit de l’oligarchie du parti socialiste. Bien entendu un ministre du travail comme hirondelle ne peut faire le printemps de l’emploi mais on exigerait quand même un peu de cohérence et de compétence. Il faut d’abord rappeler que la baisse du chômage en janvier était très artificielle et liée essentiellement un biais statistique. De l’aveu même du service des statistiques du ministère du travail). Le service des statistiques du ministère du Travail (Dares) mentionnait  un détail qui aurait dû appeler sa patronne à plus de retenue : « Le nombre de sorties de catégories A, B et C pour cessation d’inscription pour défaut d’actualisation a enregistré une hausse inhabituellement forte« . En clair, sans dire dans quelles proportions exactes, la Dares concède que la baisse est en partie due au fait que nombre de demandeurs d’emplois ont été sortis des statistiques le mois dernier faute d’avoir mis à jour leur situation. Ce qui “affecte à la baisse” (sic) le point faute de croissance (le pipe va frôler le rouge en février Le chômage est forcément reparti à la hausse en février en France, un mouvement qui touche toutes les catégories d’âge et qui a porté le nombre de demandeurs d’emplois à un nouveau record dans la catégorie A, selon les données publiées jeudi par le ministère du Travail. Le nombre de demandeurs d’emploi de catégorie A, sans aucune activité, a ainsi progressé de 1,1% sur le mois pour atteindre 3.591.000, soit 38.400 de plus qu’à fin janvier. En ajoutant les catégories B et C (personnes ayant exercé une activité réduite), la hausse est limitée à 0,1% (+3.100 à 5.462.800, 5.766.300 en incluant les départements d’Outre-mer). « Ces résultats nous montrent aussi qu’au-delà des mesures de court terme structurelles, nous allons continuer à réformer notre pays jusqu’au bout, c’était le sens du projet de loi que j’ai présenté ce matin en conseil des ministres, qui vise justement à développer de nouvelles réponses à la fois pour encourager l’emploi durable (…), en donnant plus de souplesse aux entreprises (…) et en créant aussi des droits nouveaux », a déclaré la ministre du Travail Myriam El Khomri sur iTELE et le bricolage statistiques ne peut même pas venir au secours de la ministre du travail puisque  le nombre de cessations d’inscription pour défaut d’actualisation est au plus haut depuis l’été 2013.

Lundi de pentecôte : l’incohérence économique et sociale

Lundi de pentecôte : l’incohérence économique et sociale

 

Normalement le lundi de pentecôte n’est plus chômé, normalement c’est pour les veiux ( comme l’ancienne vignette auto !) . cette pseudo solidarité est un leurre car si la recette escomptée est de l’ordre de 3 milliards , en réalité on va perdre environ 6 milliards de production, autant de richesse nationale qui ne pourra être répartie. Tous les salariés sont concernés par la journée de solidarité, à l’exception des stagiaires. Ils doivent travailler l’équivalent d’une journée dans l’année (7 heures) sans être rémunérés. En contrepartie des salaires non payés cette journée-là, l’employeur doit verser une contribution, la CSA (contribution solidarité autonomie) représentant 0,3 % de la masse salariale à la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie), organisme qui gère ce prélèvement. En outre, depuis le 1er avril 2013, la CSA est étendue aux retraités, avec l’entrée en vigueur de la contribution additionnelle de solidarité pour l’autonomie (CASA).  La réalité c’est que cette pseudo solidarité ne sert à rien, qu’elle nuit à la croissance donc à la richesse nationale et à sa répartition. En fait en mai,  ce sera un demi mois de vacances. . Au total en moyenne les Français auront travaillé de l’ordre de 14 jours en mai. En fait , il va manquer uen bonne semaine de travail en mai. Certains considèrent que ce mois  de semi vacances et cependant bon pour l’économie en raison de retombée touristiques. Sauf que ce qui est dépensé dans ce domaine ne le sera pas pour autre chose. Sauf  que c’est une  semaine de production en moins, dont de croissance donc d’emplois. Ces jours chômés successifs vont couter 0.2 à 0.3% de croissance au second trimestre. Justement ce qu’il faudrait pour commencer à inverser la tendance du chômage. Evidemment ce thème n’est guère traité par les grands médias pour la bonne raison que la plupart des journalistes sont aussi en vacances. Il faut vraiment fouiller pour trouver des informations économiques intéressantes pour le mois en cours. Personne ne veut réellement remettre en cause cette culture des loisirs que les 35 heures d’une  certaine manière ont institutionnalisée. On ne touche pas au veau d’or car il serait susceptible de faire perdre nombre d’électeurs. Or le drame du pays c’est non seulement le coût de sa production mai aussi le manque de productivité, surtout le manque le manque de producteurs qui créent la richesse, c’est à dire la valeur ajoutée, le Pib, la croissance et les emplois qui en découlent. Trop d’improductifs , pas assez de production chez les autres, dès lors il ne faut pas s’étonner que les grands équilibres s’écoulent ( les caisses de retraite, la sécu, le budget de l’Etat, celui des collectivités locales, l’ASSEDIC etc.). Le travail en mai est significatif du mal français : trop peu de travail et surtout une culture des loisirs qui tue la richesse nationale.

 

Migrants : l’incohérence la plus totale

Migrants :  l’incohérence la plus totale

 

D’uen certaine manière les pays occidentaux sosnt d’une  incohérence totale. D’abord ils ont grandement favorisé la déstabilisation au proche et moyen orient. En éliminant les dictateurs,  ils ont favorisé la montée de islamistes ( et autres milices)  et organisé la plus grande pagaille. D’abord avec Saddam Hussein, ensuite avec Kadhafi. Certes ce n’étaient pas des enfants de cœurs, des assassins même mais ils tenaient une population en crise culturelle, existentielle ,sociale et religieuse. Hollande a sans doute raison de critiquer à cet égard l’attitude irresponsable de ceux qui ont déstabilisé la Lybie pour autant il n’en tire aucune conséquence par rapport à la Syrie. Il faudra bien trouver une solution avec les occidentaux mais aussi avec l’Iran, la Russie, aussi avec Assad.  Sinon c’est tout le proche et moyen orient qui va s’enflammer avec une contagion dans certains  pays d’Afrique noire ; Au delà des questions religieuse se posent la question du de la misère et donc du développement. Or dans l’histoire de l’humanité on n’a jamais arrêté les migrations de ceux qui fuyaient la faim.  D’après l’ONU 500 000 migrants pourraient tenter de venir en Europe en 2014. Quelque 1 750 personnes ont perdu la vie depuis le début de l’année en tentant de traverser la Méditerranée, déplore l’Organisation internationale pour les migrations (OIM). « Si nous ne faisons rien, nous allons voir cette année un demi-million de migrants traverser la Méditerranée, et dans ce cas, il pourrait potentiellement y avoir jusqu’à 10 000 morts », a averti Koji Sekimizu, le directeur de l’Organisation maritime internationale (OMI).Ai niveau de l’Europe,  le président du Conseil, Donald Tusk, a tempéré les attentes. « Personne ne se fait d’illusions. Les problèmes ne seront pas résolus aujourd’hui », a-t-il déclaré peu avant le début d’un sommet convoqué en urgence après la dernière tragédie, qui a fait des centaines de morts dimanche. . Le Haut-commissariat pour les réfugiés (HCR) a déploré « une approche minimaliste » et le président des libéraux au Parlement européen, Guy Verhofstadt, a fustigé « un manque d’ambition épouvantable ». « En raison de l’absence d’une réelle politique européenne en matière d’immigration et d’asile, la Méditerranée est en train de se transformer en cimetière », a dénoncé le président du Parlement européen, Martin Schulz.




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