Archive pour le Tag 'incident'

Rafah -Gaza : un « incident tragique » reconnaît Israël

Rafah -Gaza : un « incident tragique » reconnaît Israël

Israël admet un « incident tragique » après le bombardement d’un camp de réfugiés. La présidence de l’Autorité palestinienne et le Hamas accusent Israël d’avoir commis un  »massacre » lors d’une frappe aérienne ayant touché un centre pour personnes déplacées à Rafah, dimanche 26 mai. Selon les autorités locales de la bande de Gaza, au moins 45 personnes ont été tuées et 249 ont été blessées.

« Je demande aux autorités israéliennes de mener une enquête complète et transparente », exige dans un communiqué l’émissaire de l’ONU pour le Proche-Orient, Tor Wennesland. Il requiert également « des mesures immédiates pour mieux protéger les civils ». De son côté, le gouvernement israélien affirme examiner les faits concernant ce bombardement « vraiment grave »« Toute perte de vie, de vie civile est quelque chose de grave et d’affreux », a ajouté Avi Hyman, porte-parole de l’exécutif, assurant par ailleurs qu’Israël cherchait à « limiter les pertes

Micro manif contre la police : échec et incident

Micro manif contre la police : échec et incident

Comme on pouvait s’y attendre, la manif initiée par Mélenchon et les « insoumis » n’a pas connu un grand soutien : quelques centaines de personnes dans chaque grande ville et 30 000 personnes en France . En plus, elle a été l’occasion d’un grave accident avec l’attaque délibérée d’une voiture de police avec des barres de fer. Une manifestation complètement à contre-courant de la demande de sécurité qui ne cesse de monter dans le pays avec le développement de la drogue et de la violence.

En outre des incidents idiots et graves comme cette attaque d’une voiture de police et celle contre une agence bancaire de la caisse d’épargne. Comme symbole du capitalisme, on peut trouver mieux que la caisse d’épargne qui concerne en général les couches très moyennes. Les autres plus favorisés réalisant déplacement dans des produits financiers autrement plus lucratifs et dans des services bancaires spécialisés.

Des journalistes de Blast ont publié les images de l’incident contre une voiture de police , au cours duquel un policier a sorti son arme à feu pour tenir en respect les assaillants. En outre, s’agissait d’un équipage policier qui participait à la sécurité des rues de Paris pour la coupe du monde de rugby !

Le préfet de police Laurent Nuñez est revenu sur ces incidents, précisant que 3 individus ont été interpellés et sont suspectés de s’en être pris violemment aux forces de l’ordre. «Dans les jours et les semaines qui viennent, nous allons travailler à essayer de confondre les autres auteurs des faits en analysant toutes les vidéos» a-t-il ajouté.Notons que cette manifestation était surtout soutenue par des organisations gauchistes.

Finances -Krach Silicon Valley Bank (SVB): Incident isolé ou risque d’explosion du système financier ?

Finances -Krach Silicon Valley Bank (SVB): Incident isolé ou risque d’explosion du système financier ?


En matière de finances comme pour l’ensemble de l’économie rien n’est jamais certain. Pour l’instant le krach de la banque Silicon Valley bank est bien circonscrit. Reste que d’autres banques moyennes pour l’instant sont aussi dans la même situation comte tenu des conséquences de l’énorme précipice entre le taux zéro de l’argent consenti il y a encore un an et le taux actuel de 5 % ( pour l’instant). Sans parler de l’inflation énorme qui provoque une dévaluation de fait des actifs et du pouvoir d’achat. Bref pour une partie de système monétaire repose actuellement sur une monnaie de singe.

La banque qui finançait une grande partie des nouvelles entreprises de la tech s’est soudain écroulée après un retrait d’argent massif .

Jusque-là la banque a pratiqué la fuite en avant en bénéficiant des levées de fonds très nombreuses des nouvelles pousses technologiques. Le ralentissement très net des levées de fonds a bousculé le modèle économique. La banque a été contrainte de liquider à perte nombre de placements en obligations pour boucher les trous.

Assez rapidement les États-Unis ont fermé la banque et garantit les dépôts des clients.

Le problème est de savoir si cette incident localisé peut ou non se reproduire aux États-Unis voir ailleurs. Pour une grande partie tout dépendra de la politique monétaire. Une politique monétaire qui permettait d’obtenir de l’argent gratuit il y a environ un an et qui désormais impose des taux de l’ordre de 5 %. Mécaniquement nombre d’actifs se trouve dévalués et l’inflation constitue en fait une sorte de dévaluation. Une dévaluation qui pourrait s’amplifier avec la poursuite de la hausse des taux.

Même si la surveillance des banques est plus rigoureuse en Europe et en particulier en France, le risque existe aussi en fonction de la politique de la BCE qui en général suit mais avec un peu de retard celle de la banque centrale américaine. Nombre de banques qui ont prêté aux Etats avec de très faibles taux d’intérêt devront faire face à l’impossibilité de remboursement de certains pays qui devront emprunter à 5 % voir plus pour rembourser des prêts consentis à très faible taux. En clair des banques vont voir certains actifs se dévaloriser. Le doute pourrait s’installer chez les clients tentés de retirer leurs avoirs.
.

• Mais à partir de 2022, la déroute des valeurs de la tech a changé la donne. De nombreuses entreprises technologiques se sont retrouvées incapables de lever des fonds. Ce retournement s’explique par plusieurs facteurs, notamment la fin, assez brutale, de la politique monétaire accommodante de la Réserve fédérale américaine (Fed). Les taux de la Fed, à 0 % il y a encore un an, se situent aujourd’hui à 4,75 %.
• Au lieu de remplir leurs comptes bancaires, elles ont au contraire « brulé du cash » en finançant leurs dépenses de gestion courante (salaires, loyers…), qui étaient jusqu’ici financées par les levées de fonds successives. In fine, leurs dépôts chez SVB se sont dégarnis. Un mouvement inverse de 2021.
• 4. SVB liquide ses obligations pour faire face aux retraits
• Mais la banque n’avait pas suffisamment anticipé la situation. SVB avait en effet investi une grande partie des dépôts de ses clients (placés à court terme) dans des obligations, souvent des titres adossés à des créances hypothécaires d’agences fédérales (placés à long terme) qu’elle a dû liquider en urgence pour honorer les demandes de retraits.

• Silicon Valley Bank : comment les autorités américaines se portent au chevet d’une banque
• Seulement, la politique monétaire de la Fed a aussi eu pour conséquence de diminuer la valeur du portefeuille obligataire de SVB : quand les taux montent, les prix des obligations diminuent. En vendant ces titres, la banque a ainsi accusé une perte de 1,8 milliard de dollars. Pour compenser, elle a indiqué jeudi vouloir une augmentation de capital de 2,25 milliards de dollars.
• 5. « Bank run »
• Cette annonce a créé une onde de choc. Inquiets, les clients ont perdu confiance en SVB et ont massivement voulu retirer leur argent avant qu’il ne soit trop tard – on parle de « bank run ». Sur la seule journée de jeudi, environ 42 milliards de dollars d’ordres de retraits ont été passés. Tous n’ont pas pu être honorés, mettant ainsi les entreprises, qui ont besoin de cet argent pour rémunérer leurs salariés, en péril. SVB s’est retrouvée exsangue en l’espace de quelques heures.
• LIRE AUSSI :

Krach Silicon Valley Bank (SVB): Incident isolé ou risque d’explosion du système financier

Krach Silicon Valley Bank (SVB): Incident isolé ou risque d’explosion du système financier ?

La banque qui finançait une grande partie des nouvelles entreprises de la tech s’est soudain écroulée après un retrait d’argent massif .

Jusque-là la banque a pratiqué la fuite en avant en bénéficiant des levées de fonds très nombreuses des nouvelles pousses technologiques. Le ralentissement très net des levées de fonds a bousculé le modèle économique. La banque a été contrainte de liquider à perte nombre de placements en obligations pour boucher les trous.

Assez rapidement les États-Unis ont fermé la banque et garantit les dépôts des clients.

Le problème est de savoir si cette incident localisé peut ou non se reproduire aux États-Unis voir ailleurs. Pour une grande partie tout dépendra de la politique monétaire. Une politique monétaire qui permettait d’obtenir de l’argent gratuit il y a environ un an et qui désormais impose des taux de l’ordre de 5 %. Mécaniquement nombre d’actifs se trouve dévalués et l’inflation constitue en fait une sorte de dévaluation. Une dévaluation qui pourrait s’amplifier avec la poursuite de la hausse des taux.

Même si la surveillance des banques est plus rigoureuse en Europe et en particulier en France, le risque existe aussi en fonction de la politique de la BCE qui en général suit mais avec un peu de retard celle de la banque centrale américaine. Nombre de banques qui ont prêté aux Etats avec de très faibles taux d’intérêt devront faire face à l’impossibilité de remboursement de certains pays qui devront emprunter à 5 % voir plus pour rembourser des prêts consentis à très faible taux. En clair des banques vont voir certains actifs se dévaloriser. Le doute pourrait s’installer chez les clients tentés de retirer leurs avoirs.
.

• Mais à partir de 2022, la déroute des valeurs de la tech a changé la donne. De nombreuses entreprises technologiques se sont retrouvées incapables de lever des fonds. Ce retournement s’explique par plusieurs facteurs, notamment la fin, assez brutale, de la politique monétaire accommodante de la Réserve fédérale américaine (Fed). Les taux de la Fed, à 0 % il y a encore un an, se situent aujourd’hui à 4,75 %.
• Au lieu de remplir leurs comptes bancaires, elles ont au contraire « brulé du cash » en finançant leurs dépenses de gestion courante (salaires, loyers…), qui étaient jusqu’ici financées par les levées de fonds successives. In fine, leurs dépôts chez SVB se sont dégarnis. Un mouvement inverse de 2021.
• 4. SVB liquide ses obligations pour faire face aux retraits
• Mais la banque n’avait pas suffisamment anticipé la situation. SVB avait en effet investi une grande partie des dépôts de ses clients (placés à court terme) dans des obligations, souvent des titres adossés à des créances hypothécaires d’agences fédérales (placés à long terme) qu’elle a dû liquider en urgence pour honorer les demandes de retraits.

• Silicon Valley Bank : comment les autorités américaines se portent au chevet d’une banque
• Seulement, la politique monétaire de la Fed a aussi eu pour conséquence de diminuer la valeur du portefeuille obligataire de SVB : quand les taux montent, les prix des obligations diminuent. En vendant ces titres, la banque a ainsi accusé une perte de 1,8 milliard de dollars. Pour compenser, elle a indiqué jeudi vouloir une augmentation de capital de 2,25 milliards de dollars.
• 5. « Bank run »
• Cette annonce a créé une onde de choc. Inquiets, les clients ont perdu confiance en SVB et ont massivement voulu retirer leur argent avant qu’il ne soit trop tard – on parle de « bank run ». Sur la seule journée de jeudi, environ 42 milliards de dollars d’ordres de retraits ont été passés. Tous n’ont pas pu être honorés, mettant ainsi les entreprises, qui ont besoin de cet argent pour rémunérer leurs salariés, en péril. SVB s’est retrouvée exsangue en l’espace de quelques heures.
• LIRE AUSSI :

Nucléaire–incident EPR chinois : Pompili fait calme le jeu

Nucléaire–incident EPR chinois : Pompili fait calme le jeu

 

Fait  rare pour être signalé, Barbara Pompili dit ministre de l’environnement défavorable aux EPR en général estime qu’il faut se montrer très prudent par rapport à l’incident constaté sur l’EPR chinois le seul au monde à fonctionner actuellement. (Les autres sont en cours de construction notamment à Flamanville qui devrait démarrer en 2022). Cet incident ne devrait pas remettre en cause la construction de 6 EPR en France et les perspectives d’exportation.

 

EDF de ce côté qui n’exploite pas la centrale EPR en Chine a demandé des explications. Pour l’instant EDF considèrent qu’il ne s’agit pas d’un incident nucléaire. Cette confiance d’EDF dans la gestion de la fuite par l’exploitant chinois ne semble même pas être altérée par le fait que l’autorité de sûreté chinoise ait procédé, il y a quelques semaines, au rehaussement du seuil autorisé concernant ces rejets, le passant à 324 GBq par tonne d’eau. A titre de comparaison, en France, le seuil de 150 GBq par tonne d’eau est retenu comme déclencheur d’un repli du réacteur sous 48h, depuis 2009, rappelle sur Twitter Yves Marignac, chef du pôle expertise énergies nucléaire et fossiles de l’institut négaWatt.

Incident EPR en Chine : EDF veut des informations

Incident EPR en Chine : EDF veut des informations

EDF a bien participé à la construction du premier EPR chinois qui fonctionne dans le monde mais ne l’exploite pas.

EDF est actionnaire à 30% de la coentreprise TNPJVC chargée de construire et d’exploiter ces deux réacteurs de 1.750 MW chacun. Les groupes chinois CGN et Guangdong Energy Group ont des participations respectives de 51% et de 19%.

.

Mais EDF a publié ce lundi en matinée un communiqué indiquant qu’il a bien été « informé de l’augmentation de la concentration de certains gaz rares dans le circuit primaire du réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Taishan », et son commentaire, évoquant « un phénomène connu, étudié et prévu » se veut plutôt rassurant.

« La présence de certains gaz rares dans le circuit primaire est un phénomène connu, étudié et prévu dans les modes opératoires du réacteur. EDF a pris contact avec les équipes de TNPJVC et apporte son expertise. »

Pour autant, l’énergéticien français a également dit, dans son communiqué, qu’il avait demandé la tenue d’une réunion extraordinaire du conseil d’administration de TNPJVC afin que la direction  »présente toutes les données et décisions nécessaires ».

Signe que l’énergéticien a besoin d’informations complémentaires sur la situation à Taishan.

Incident diplomatique avec Erdogan : Une intentionnalité turque mais aussi une confusion européenne

Incident diplomatique avec Erdogan : Une intentionnalité turque mais aussi une confusion européenne  

 

Pour le Professeur de science politique, François Foret,  les habitudes protocolaires européennes ont plus d’une fois suscité la perplexité et l’embarras des pays tiers. Mais dans le cas de l’incident entre Recep Tayyip Erdogan et Ursula von der Leyen, l’intentionnalité laisse peu de doute, estime le professeur de science politique François Foret.

 

Tribune.

 

Un incident a défrayé la chronique lors de la rencontre entre le président turc Recep Tayyip Erdogan, le président du Conseil européen, Charles Michel, et la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, le 6 avril 2021 à Ankara. Cette dernière ne s’est pas vue offrir de chaise identique à celles des deux autres dirigeants et, après quelques instants d’embarras, s’est vue reléguer sur un canapé à quelque distance au même titre que le ministre turc des affaires étrangères.

Il est commun d’ignorer – voire de se moquer ouvertement – de tels détails cérémoniels renvoyant à un formalisme jugé superficiel et obsolète. Les démocraties basées sur la croyance en un gouvernement rationnel plaçant les passions politiques (et notamment les susceptibilités nationales) sous contrôle font profession d’indifférence en la matière.

L’Union européenne (UE), en tant que système politique réaliste se justifiant par la conciliation des intérêts, l’efficacité de ses politiques et les biens publics (paix, prospérité) offerts aux citoyens, a poussé à son acmé le refus de la ritualisation. Elle a misé sur un « laisser-faire » reposant sur l’autorégulation des acteurs et évitant autant que possible de devoir trancher d’épineuses questions de préséances.

Enfin, à l’heure des réseaux sociaux, la communication politique contemporaine, dominée par la recherche de proximité et d’accessibilité, contribue à rendre dérisoire toute notion d’étiquette. L’histoire longue nous rappelle cependant que le protocole opère la mise en forme symbolique de l’ordre politique. Il exprime et exacerbe les rapports de pouvoir et les hiérarchies. S’il n’est qu’apparence, il donne à voir des logiques beaucoup plus profondes.

Cette fonction de révélateur est particulièrement sensible concernant une entité aussi récente et faiblement ancrée dans les imaginaires collectifs que l’UE. Les batailles protocolaires ont jalonné les controverses sur la nature du projet politique communautaire et sur le statut de ses institutions. Dès les années 1960, De Gaulle s’insurge contre les prétentions de Walter Hallstein de se voir réserver les mêmes prérogatives qu’un chef d’Etat en tant que président de la Commission et d’avoir droit à un tapis rouge, avec comme enjeu sous-jacent l’autonomie de son institution.

 

La codification progressive du Conseil européen à partir des années 1970, les élargissements successifs puis la multiplication des figures d’autorité et de notoriété (présidents du Parlement européen, du Conseil européen, de la Banque centrale européenne, Haut Représentant, etc.) entraînent de nombreuses querelles symboliques qui sont autant d’affrontements interinstitutionnels où chaque acteur défend ses prérogatives autant que son rang.

737 MAX: un nouvel incident au Canada

737 MAX: un nouvel incident au Canada

Un nouvel incident pour le 737 MAX:  observé au Canada.. Un avion 737 MAX d’Air Canada, qui faisait route vers Montréal en provenance de l’Etat américain de l’Arizona, avec trois membres d’équipage à son bord, a été contraint de se dérouter vers Tucson, après un problème de réacteur, a déclaré la compagnie aérienne vendredi 25 décembre.

Dans un communiqué, Air Canada a indiqué que les pilotes ont reçu une « indication moteur » peu après le décollage et ont « décidé d’éteindre l’un des réacteurs ». L’incident s’est produit le 22 décembre. « Les appareils modernes sont conçus pour pouvoir fonctionner avec un seul réacteur et nos équipages sont formés pour de telles procédures », a précisé l’entreprise. Boeing n’a pas souhaité faire de commentaire.

Un rapport du Congrès américain, publié le 18 décembre, accable l’entreprise sur la préparation inappropriée de ses pilotes.

Des lacunes concernant la formation des navigateurs de Boeing aux tests pour obtenir une nouvelle certification de vol sur son modèle phare ont été soulignées. Le document questionne également les contrôles effectués cette année sur le système de sécurité MCAS.

Incident Facebook: une faille ou du business ?

Incident Facebook: une faille ou du business ?

 

- Le secrétaire d’Etat français au Numérique ouvre la boîte de pandore à propos des facteurs explicatifs concernant le pillage de données 50 millions d’abonnés. On sait que Facebook constitue une plate-forme d’échanges d’infos entre amis qui livrent des données personnelles particulièrement intéressantes pour la publicité ciblée. On ne peut en effet adresser de publicité tout le temps et sur tout aux 2 milliards d’abonnés de Facebook. Le coût serait insupportable pour les annonceurs. Du coup il faut extraire de cet immense fichier des échantillons homogènes par pays, par produit, par comportement par catégorie socio professionnelle etc. Ces fichiers coûtent une fortune et c’est le cœur du business de Facebook. Du coup le secrétaire d’État français au numérique n’exclut pas la possibilité que le pillage des données vienne même de l’intérieur de Facebook comme cela a déjà été le cas.  “J’ai regardé dans le détail (…) comment Facebook expliquait cette faille. C’est une faille extrêmement complexe. C’est-à-dire qu’il ne s’agit pas d’une faille simple ou d’un hack qui utilise des failles déjà très connues”, a déclaré Mounir Mahjoubi à Radio J. “C’est une vraie construction; quelqu’un y a passé beaucoup de temps”, a-t-il ajouté. “Ça veut dire soit un génie, soit une organisation très structurée, soit (…) quelqu’un de l’intérieur.”Il n’a pas exclu non plus qu’un “grand pays” puisse être derrière cet incident qualifié par le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, de “très sérieux problème de sécurité». Selon Mounir Mahjoubi, Facebook France n’a pas été en mesure à ce stade de dire si des internautes français ont été affectés et dans quelle mesure. “J’ai fait partie des 90 millions de comptes qui ont été déconnectés d’urgence dans la journée d’avant-hier”, a cependant ajouté le secrétaire d’Etat. “Je pense donc avoir la preuve que des comptes français sont concernés.”

Macron au Burkina : incident diplomatique ou envie de pisser ?

Macron au Burkina : incident diplomatique ou  envie de pisser ?

Les extrémistes de droite comme de gauche en font des tonnes pour fustiger la saillie de  Macron au Burkina quand il a déclaré : » moi je ne veux pas m’occuper de l’électricité dans les universités au Burkina Faso! [Sourire du président Kaboré] C’est le travail du Président! Alors par contre je vous rassure [le Président burkinabé quitte la salle]… du coup il s’en va, reste là!  Du coup, il est parti réparer la climatisation. ». Attitude inadmissible, mépris, scandale diplomatique, violence verbale autant d’appréciation des extrémistes pour condamner la sortie de Macron qui a beaucoup fait rire  les étudiants. La vérité semble pourtant plus banale si le président Kaboré est sorti de la salle ce n’est pas parce qu’il a considéré le propos de Macon comme une insulte mais simplement parce qu’il avait envie de satisfaire un besoin naturel. En clair il ne s’agit pas d’un incident diplomatique mais simplement d’une envie de pisser. Certes on ne peut et garder écarter l’idée que Macron en a profité pour régler quelques comptes avec ce chef d’État africain totalement impuissant face à la misère de son peuple. Sur 20 millions d’habitants, 7 millions sont obligés de s’expatrier en Côte d’Ivoire, au Gabon, en Afrique du Sud, au Canada aux États-Unis ou en France. Ceci étend la phrase de Macron ne méritait certainement pas les cris d’Orfée des professionnels de la contestation politique.  L’outrance est sans doute davantage dans le commentaire que dans le fait politique lui-même. Dans un communiqué, le groupe parlementaire de Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une parole « indigne de la part du président de la République française. » Le numéro 2 du FN, Nicolas Bay, y a lui vu une  »attitude assez scandaleuse » d’Emmanuel Macron. « Le voir sur la scène internationale aller critiquer ouvertement un chef d’État dans son pays, c’est comme si un chef d’État venait en France, devant des étudiants à la Sorbonne, pour critiquer ouvertement et insulter Emmanuel Macron en le méprisant », a-t-il lancé. L’ancien soutien de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan, s’est également lui aussi indigné mercredi matin sur Europe 1 : « Si un homme de droite ou Donald Trump s’était comporté comme Emmanuel Macron au Burkina Faso, toute la presse en parlerait ce matin. Il a été d’une arrogance, d’une violence à l’égard des autorités du Burkina Faso à la limite du racisme. » En réalité, le président burkinabé n’a pas du tout pris ombrage de la remarque d’Emmanuel Macron. C’est en tout cas ce qu’ont assuré un conseiller du président Kaboré sur Twitter et une journaliste du Parisien. Il était en fait parti pour « une pause technique » aux toilettes.

 

Burkina : incident diplomatique ou envie de pisser ?

Burkina : incident diplomatique ou  envie de pisser ?

Les extrémistes de droite comme de gauche en font des tonnes pour fustiger la saillie de  Macron au Burkina quand il a déclaré : » moi je ne veux pas m’occuper de l’électricité dans les universités au Burkina Faso! [Sourire du président Kaboré] C’est le travail du Président! Alors par contre je vous rassure [le Président burkinabé quitte la salle]… du coup il s’en va, reste là!  Du coup, il est parti réparer la climatisation. ». Attitude inadmissible, mépris, scandale diplomatique, violence verbale autant d’appréciation des extrémistes pour condamner la sortie de Macron qui a beaucoup fait rire  les étudiants. La vérité semble pourtant plus banale si le président Kaboré est sorti de la salle ce n’est pas parce qu’il a considéré le propos de Macon comme une insulte mais simplement parce qu’il avait envie de satisfaire un besoin naturel. En clair il ne s’agit pas d’un incident diplomatique mais simplement d’une envie de pisser. Certes on ne peut et garder écarter l’idée que Macron en a profité pour régler quelques comptes avec ce chef d’État africain totalement impuissant face à la misère de son peuple. Sur 20 millions d’habitants, 7 millions sont obligés de s’expatrier en Côte d’Ivoire, au Gabon, en Afrique du Sud, au Canada aux États-Unis ou en France. Ceci étend la phrase de Macron ne méritait certainement pas les cris d’Orfée des professionnels de la contestation politique.  L’outrance est sans doute davantage dans le commentaire que dans le fait politique lui-même. Dans un communiqué, le groupe parlementaire de Jean-Luc Mélenchon a dénoncé une parole « indigne de la part du président de la République française. » Le numéro 2 du FN, Nicolas Bay, y a lui vu une  »attitude assez scandaleuse » d’Emmanuel Macron. « Le voir sur la scène internationale aller critiquer ouvertement un chef d’État dans son pays, c’est comme si un chef d’État venait en France, devant des étudiants à la Sorbonne, pour critiquer ouvertement et insulter Emmanuel Macron en le méprisant », a-t-il lancé. L’ancien soutien de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle, Nicolas Dupont-Aignan, s’est également lui aussi indigné mercredi matin sur Europe 1 : « Si un homme de droite ou Donald Trump s’était comporté comme Emmanuel Macron au Burkina Faso, toute la presse en parlerait ce matin. Il a été d’une arrogance, d’une violence à l’égard des autorités du Burkina Faso à la limite du racisme. » En réalité, le président burkinabé n’a pas du tout pris ombrage de la remarque d’Emmanuel Macron. C’est en tout cas ce qu’ont assuré un conseiller du président Kaboré sur Twitter et une journaliste du Parisien. Il était en fait parti pour « une pause technique » aux toilettes.

 

Catalogne : Madrid cherche l’incident

Catalogne : Madrid cherche l’incident

 

De toute évidence, Madrid cherche maintenant l’incident pour mettre au pas la Catalogne. Le Premier ministre espagnol fait preuve d’une hypocrisie particulièrement irresponsable. D’un côté,  il indique que  le président déchu de la Catalogne Carles Puigdemont pourra se présenter aux élections du 21 décembre mais de l’autre, ils le menacent de 15 à 30 ans de prison. Une bien curieuse façon de rechercher l’apaisement. Certes l’ancien président de la Catalogne n’est pas exempt de responsabilités puisqu’il a pris le risque d’un référendum sur l’indépendance. Mais un référendum non représentatif et qui de toute façon a démontré qu’une minorité de catalans était pour l’indépendance. Menacer  maintenant Carles Puigdemont (et 13 membres de l‘administration de la région) témoigne d’une pure provocation. En réalité Madrid instrumentalise le conflit catalan pour renforcer un pouvoir politique bien affaibli avant ces événements (et qui permet aussi de mettre  un voile pudique sur les affaires de corruption. Le  Premier ministre espagnol voudrait fabriquer des indépendantistes qu’il ne s’y prendrait pas autrement. Rajoy  a sans doute gardé le souvenir de certaines méthodes autoritaires.  À l’origine militant de l’Union nationale espagnole (UNE)3, il a adhèré au début des années 1980 à l’Alliance populaire (AP), parti de la droite conservatrice conduit par Manuel Fraga, Galicien et ancien ministre de Francisco Franco..  On s’étonne en effet de l’acharnement de Rajoy vis-à-vis de  l’ancien président de la Catalogne d’autant plus que ce dernier  a indiqué mardi qu‘il accepterait le verdict des élections régionales anticipées qui ont été convoquées pour le 21 décembre par le gouvernement.  Cependant la Haute cour d’Espagne a indiqué mardi qu’elle avait convoqué le président déchu de la Catalogne Carles Puigdemont et 13 membres de l’administration de la région pour qu’ils témoignent devant elle jeudi et vendredi. /Photo prise le 31 octobre 2017/REUTERS/Yves Herman La haute juridiction ajoute qu‘elle a entamé une procédure pour rébellion, sédition et abus de confiance à l‘encontre de Puigdemont et d‘autres dirigeants catalans. Le système judiciaire espagnol prévoit qu‘il appartient à un juge de décider si Puigdemont doit être placé en détention pendant le temps de l‘enquête et lors d‘un éventuel procès. L’ancien président de la Catalogne est menacé de 15 à 30 ans de prison. Carles Puigdemont et cinq autre dirigeants catalans sont arrivés lundi à Bruxelles et devraient donc  rester en Belgique en attendant d‘avoir les “garanties” d‘un “traitement juste, indépendant” de la part des autorités espagnoles.

Manif loi travail: les casseurs cherchent l’incident dramatique

Manif loi travail: les casseurs cherchent l’incident dramatique

 

 

Contre la loi travail les manifs succèdent aux manifs malheureusement la radicalité qui s’exprime est inversement proportionnelle à la participation ; du coup ; les protestations deviennent de plus en plus violentes. Une violence soutenue implicitement par quelques organisations d’extrême-gauche qui cherchent  le coup dur pour relancer une mobilisation qui s’épuise. En fait on recherche l’incident dramatique qui serait de nature à remobiliser les troupes. Dans ce cadre les casseurs servent d’avant-garde à la contestation même si officiellement, ici et là on condamne ces actes. D’une certaine manière, la multiplication des manifs révèle une certaine irresponsabilité. Certes la loi travail peut être contestée sur le fond comme sur la forme mais elle ne saurait justifier les violences de groupes très minoritaires qui d’une certaine façon discréditent la protestation. Samedi à Rennes on a encore évité l’incident mais de peu. Quelques centaines de personnes, entre 400 et 500 selon les sources, se sont rassemblées samedi après-midi dans le centre de Rennes pour protester contre les « violences policières », bravant l’interdiction de manifester décrétée par les autorités après une nuit de violences dans la préfecture d’Ille-et-Vilaine. Réunis sur l’esplanade Charles-de-Gaulle, elles ont été cernées par de très importantes forces de police et de gendarmerie qui avaient mobilisé des canons à eau et un hélicoptère. Les manifestants, qui portaient lunettes, foulard et capuche pour se protéger des gaz lacrymogènes, ont brièvement affronté en début d’après-midi les forces de l’ordre qui ont fait usage de grenades lacrymogènes pour les repousser sur l’esplanade. Ils entendaient dénoncer des blessures infligées par les forces de l’ordre lors des précédents défilés contre la loi Travail et ont justifié les dégradations survenues dans le centre-ville au cours de la nuit de vendredi à samedi. « Ces violences répondent à la violence de l’Etat, à la précarité, à l’usage de l’article 49.3 pour faire passer la loi Travail, auxquels s’ajoutent les violences policières », a déclaré à Reuters Hugo Poidevin, membre de l’Union des étudiants communistes.  Vendredi soir, plusieurs vitrines d’agences bancaires et de téléphonie mobile, ainsi que celles de deux commerces de vêtements et d’un commissariat ont été détruites à coups de barres de fer par près de 300 activistes lors d’une « action très rapide de guérilla urbaine », a indiqué la préfecture. Cinq personnes ont été interpellées lors des incidents.

(Avec Reuters)

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol