Archive pour le Tag 'incertitude'

Législatives: La clarification de Macron devient une obscure incertitude

Législatives: La clarification de Macron devient une obscure incertitude

 

Pour justifier  la brutale dissolution de l’Assemblée nationale, Macron avait avancé la nécessité d’une clarification politique. Au total c’est surtout la plus grande confusion qui va régner au sein de l’assemblée, une sorte d’obscure incertitude avec une majorité impossible à trouver. Personne n’aura en effet la majorité. Elle se constituera éventuellement autour de chaque projet et le danger le plus probable est celui d’une crise autour du vote du budget qui devra sans doute être adopté de force avec le 49–3. Les autres grandes réformes notamment structurelles seront reportées à plus tard, ou aux calendes

 

De façon un peu précipité, les médias et les observateurs ont un peu vite conclu après le premier tour que le RN pourrait obtenir assez facilement une majorité absolue. C’était évidemment sans compter les particularités locales, les désistements aussi de plus en plus la conscience de la crise politique avec un RN qui évidemment n’est pas prêt à assumer le pouvoir. Témoin des candidatures insolites, fantômes et des propositions de gouvernement composé de beaucoup de guignols. On envisage par exemple de mettre sur petit à la justice ou même à la défense comme ministre Ciotti qui s’est débrouillé pour éviter de faire son service militaire. Ce qui ne l’a nullement empêché de militer pour son rétablissement obligatoire !

Nombres de Français se sont réfugiés dans le vote RN pour pousser au premier tour un cri de colère surtout contre Macron notamment à propos du manque d’autorité général de l’Etat, de la société et de la question de l’immigration. Au second tour, on va intégrer la pertinence des programmes beaucoup trop marqués par des promesses dangereuses, irréalisables et démagogiques.

Ainsi le premier tour aura été largement favorable au rassemblement national, il pourrait en être différemment au second.

 

En 2022, la croissance mondiale en pleine incertitude

En 2022, la croissance mondiale en pleine incertitude

 

 

Il est clair que ce qui caractérise les scénarios économiques pour 2022, c’est surtout la grande incertitude. Tout dépendra en faite de l’ampleur de la vague endémique, du variant dominant actuel voire du futur et des conséquences sur l’activité économique.

 

Après un plongeon de 3,1 % du PIB mondial en 2020, et un rebond évalué à 5,9 % en 2021 par le Fonds monétaire international (FMI), le ralentissement ou l’atterrissage en douceur attendu en 2022 sera plus prononcé que prévu. La question est évidemment de connaître l’ampleur du ralentissement.

Récemment l’OCDE avait légèrement revu à la baisse sa prévision de croissance mondiale pour 2021 en raison de la montée de la pandémie.

Il est clair cependant que toutes les projections économiques avancées par les différents instituts seront remises en cause du fait des incidences du variant omicron qui touche toutes les zones mondiales.

Pour l’année 2021 la percée du variant omicron aura peu d’influence sur les prévisions puisque l’année est pratiquement faite; par contre; il faudra compter entre un point et deux  de croissance en moins en 2022 selon les zones. Ainsi par exemple en France on compte sur une croissance de 4,2 % d’après l’OCDE mais la perspective pourrait être seulement de 3 %.

D’après les prévisions revues en baisse début décembre par l’OCDE L’économie mondiale pourrait croître de 5,6% cette année, , soit un recul de 0,1 point comparé aux précédentes prévisions de septembre. Elle évoque «des réalités économiques très différentes» entre régions et estime que «la reprise restera précaire» tant que l’on ne distribuera pas les vaccins partout dans le monde.

. Selon elle, ces écarts de croissance sont le reflet des inégalités dans les systèmes de santé, les politiques publiques, les pénuries de travailleurs dans certains secteurs, et une hausse des prix «plus durable qu’anticipé». Pour la zone euro, l’OCDE prévoit un léger recul de sa prévision de croissance 2021 à 5,2%.

Elle table par contre sur une amélioration pour la France avec un PIB en progression de 6,8% cette année (+0,5 point) et 4,2% l’an prochain (+0,2), et pour l’Italie respectivement en progression de 6,3% (+0,4 point) et 4,6% (+0,5). L’Allemagne subit de son côté «des pénuries de matériaux clés» pour son industrie et voit sa prévision reculer de 0,5 point l’an prochain à 4,1% mais se stabiliser à 2,9% cette année.

Concernant les Etats-Unis, l’OCDE a de nouveau révisé ses attentes en baisse, cette fois à 5,6% de croissance cette année et 3,7% l’an prochain.

 

L’OCDE insiste sur le fait que toutes les conséquences négatives de l’embellie de la pandémie ne peuvent être pris en compte à ce stade mais qu’elles auront forcément un impact sur l’activité. La vérité sans doute ce qu’il est aujourd’hui impossible de quantifier les éventuels conséquences d’une pandémie dans le développement pourrait devenir incontrôlable en tout cas qui pourrait affecter durement la croissance.

2022, la grande incertitude des prévisions

 2022, la grande incertitude des prévisions 

 

Le Forum de Davos, en Suisse, prévu du 17 au 21 janvier, a été reporté en raison du variant Omicron. Les données économiques, politiques, sanitaires et sociales offrent si peu de visibilité aux acteurs économiques, qu’ils sont bien en peine de se projeter sur les douze prochains mois, estime Jean-Michel Bezat, journaliste au « Monde ».(extrait)

 

Chronique.

 

 Ils n’iront pas à Davos, pas plus qu’en 2021. Le Covid-19 et son variant Omicron ont eu raison de la réunion annuelle du Forum économique mondial, prévue du 17 au 21 janvier dans la station suisse et reportée « au début de l’été ». En attendant des jours meilleurs, dirigeants politiques, patrons de multinationales et responsables de la société civile vont échanger en visioconférences sur « l’état du monde » et tenter, selon les organisateurs, de « formuler des solutions pour les problèmes les plus urgents ». Vaste programme, noble ambition. Mais que proposer avec si peu de visibilité ?

Quittons les montagnes suisses pour Ningbo. Mi-août 2021, Pékin avait fermé du jour au lendemain l’un des plus grands ports de conteneurs du monde au nom de sa stratégie zéro Covid, accroissant les tensions sur les chaînes d’approvisionnement. Mi-décembre, les 13 millions d’habitants de Xi’an ont été mis sous cloche sanitaire, et d’autres mégapoles chinoises y viendront sans doute. Le retour à un confinement général de l’« usine du monde », peu probable, aurait de lourdes conséquences sur la croissance. Bloomberg Economics table sur une hausse de 5,7 %, la plus faible des trois dernières décennies (hors 2020), mais sa chute à 3 % provoquerait une onde de choc mondiale.

En dehors des grandes institutions internationales, les acteurs économiques naviguent à vue au milieu de données politiques, économiques, sociales et sanitaires nombreuses, volatiles et contradictoires. En 2020, l’activité s’est plus dégradée (− 3,1 %) que le prévoyaient la plupart des experts ; un an plus tard, ils étaient les premiers surpris par la rapidité et la vigueur de la reprise (+ 5,9 %). Dans les pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques, l’emploi est dynamique, la production industrielle soutenue (hors automobile) et le revenu des ménages plus élevé qu’avant le Covid-19.

Alors se projeter sérieusement en 2022 ! La propagation fulgurante d’Omicron perturbe toujours le travail des prévisionnistes les plus affûtés, même si aucun n’ose envisager un reconfinement de la moitié de l’humanité. Le meilleur des scénarios serait une extinction du virus ou la transformation de la pandémie en une endémie sans surmortalité. Qu’en serait-il en cas d’apparition d’un mutant aussi transmissible et plus pathogène ? Voire d’un agent infectieux plus meurtrier que le Covid-19, déjà responsable de 5,5 millions de morts (officiels) ?

Avant son élection à la tête de l’Organisation mondiale de la santé, en 2017, le docteur éthiopien Tedros Adhanom Ghebreyesus était tourmenté par la menace d’une « pandémie mondiale due à un virus respiratoire ». Voyages, concentrations urbaines et promiscuité homme-animal rendaient les zoonoses si probables que l’agence onusienne ajouta l’année suivante une « maladie X » à la liste des fléaux relevant de son plan d’urgence contre un danger mondial. Elle est apparue avec le Covid-19, sans être aussi létale que les autres maux de la liste (Ebola, fièvre de Marburg, SARS du Moyen-Orient…).

 

Bourse : optimisme un jour, incertitude le lendemain

Bourse : optimisme un jour, incertitude le lendemain

C e qui pourrait caractériser l’évolution de la tendance boursière dans les semaines et même les mois à venir est un phénomène de yo-yo mais sur une tendance baissière. Ainsi avant-hier les cours ont progressé partout tandis que vendredi ils étaient orientés à la baisse et pour les mêmes raisons ( plan américain, brexit, crise sanitaire ).

La tendance à court terme voudrait que les indices soient cependant poussés à la hausse avant les fêtes de fin d’année afin que les grands opérateurs prennent leurs bénéfices entraînant alors une baisse de la tendance. Les places européennes ont donc chacune leur tour effacé vendredi leurs gains face aux incertitudes concernant, d’une part, l’issue des négociations entre Londres et Bruxelles sur leurs futures relations commerciales et, d’autre part, le plan de soutien en discussion au Congrès américain.

Dans le premier dossier, le négociateur en chef de l’UE sur le Brexit a estimé vendredi qu’un accord avec Londres restait possible mais qu’il ne restait plus que “quelques heures” pour y parvenir.

Aux Etats-Unis, il parait de moins en moins probable que le Congrès parvienne à un consensus sur un plan global comprenant des aides face à la crise sanitaire avant ce vendredi minuit, ce qui pourrait l’amener à adopter à nouveau un texte prolongeant les financements fédéraux afin d’éviter un “shutdown” de l’administration.

Le leader de la majorité au Sénat américain, Mitch McConnell, a déclaré que les discussions étaient productives et pourraient se prolonger jusqu’au week-end si nécessaire.

OMC: incertitude totale sur l’avenir du commerce international

OMC: incertitude totale sur l’avenir du commerce international

La plupart des pays représentés à l’OMC (organisation mondiale du commerce) s’inquiètent à juste titre du cercle vicieux : augmentation des droits de douane – mesures de rétorsion qui pourraient grandement affecter le commerce international et au-delà la croissance. Personne ne peut dire quelle peut être ampleur de conséquences qui pourraient devenir incontrôlables. Les principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, notamment l’Union européenne, la Chine et le Japon, ont donc manifesté leur inquiétude mardi, lors d’une réunion de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), au sujet des droits de douanes que Washington envisage d’instaurer pour les véhicules et les pièces détachées. Le Japon, qui, avec la Russie, avait entamé la discussion au Conseil du commerce des marchandises de l’OMC, a averti que de telles mesures pourraient donner lieu à un cycle sans fin de représailles et entraîner l’effondrement du système commercial multilatéral, selon un délégué ayant assisté aux débats. Une quarantaine d’Etats membres de l’OMC, dont les 28 pays de l’Union européenne, ont estimé que les initiatives américaines pourraient sérieusement perturber le marché mondial et menacer les principes de l’OMC, compte tenu de l’importance des voitures dans les échanges mondiaux.

Bourses Brexit : et maintenant, l’incertitude

 

Bourses Brexit : et maintenant, l’incertitude  

Certains journaux économiques se satisfaisont de l’information du jour signifié par la lettre de Theresa May et considère que la bourse à digéré  et le Brexit. C’est évidemment une erreur fondamentale. Jusqu’à lors, le Brexit  a surtout pesé sur les taux de change et a vu la livre perdre de sa valeur. Pour le reste,  on peut tout attendre,  le pire comme le meilleur. En réalité le Brexit va générer des négociations qui vont durer 5 à10 ans ; en cause la complexité. . Il faudra en effet que le royaume uni renégocie la totalité des accords commerciaux qui précédemment étaient pilotés  sous la responsabilité de l’union européenne. Il se pourrait que pendant cela de temps un certain nombre d’événements économiques se produisent. Si par exemple avec le temps les évolutions économiques britanniques devaient être plus mauvaises que celle de l’union européenne alors cette conjoncture pourrait peser sur les négociations. Le pire c’est évidemment la rupture totale avec l’union européenne, le Royaume-Uni étend renvoyé à un statut de pays tiers. Mais le meilleur est aussi envisageable. On le sait,  l’opinion  est versatile et notamment lors des référendums où elle s’exprime rarement sur le sujet posé mais en profite pour exprimer toutes sortes de mécontentements. Cette opinion est changeante et pourrait se retourner contre les gouvernants britanniques en cas de détérioration de la situation économique et sociale. Les dirigeants du Royaume-Uni n’auraient alors d’autres solutions que de se rapprocher de l’UE. Il faut en particulier renégocier la totalité des accords commerciaux pour le Royaume-Uni ; des accords commerciaux qui étaient précédemment entièrement gérés par Bruxelles. Pendant la période de négociation,  la conjoncture pourrait être amenée à se modifier soit en bien soit en mal. Si l’économie britannique devait se détériorer l’opinion pourrait alors changer et les dirigeants contraints de rechercher un accord très proche de la situation actuelle voir même de demander l’annulation du Brexit (on a déjà vu des pays qui changer d’opinion voire même des pays qui n’en tenaient pas compte !) Il faut aussi noter qu’il n’y a pas forcément unanimité sur les positions du commissaire français européen Barnier qui souhaite un Brexit  dur. Certains pays du Nord, l’Allemagne en particulier pourrait peser pour éviter la rupture avec le Royaume-Uni.  À terme pour envisager un Brexit dur il faudrait que l’économie britannique obtienne des résultats significativement supérieurs à ceux de l’union européenne donnant ainsi raison à ce qui voulaient t la rupture. Si c’était le contraire alors tout est envisageable y comprit l’annulation du Brexit. En attendant,  cette longue période de négociation va surtout créer de l’instabilité et contrairement à ce qu’affirment certains médias,  les bourses sont loin d’avoir encore digéré le vote britannique. À cela il faut aussi ajouter des considérations internes notamment le refus de l’Irlande de quitter l’euro et l’union européenne, aussi les velléités d’indépendance de l’Écosse voire du pays de Galles autant d’éléments externes et internes qui permettent de penser qu’on est loin d’avoir dirigé le vote du Brexit.  Theresa May, Premier ministre britannique. (Crédits : Reuters)Après neuf mois de préparatifs, Theresa May a donc lancé mercredi les négociations sur la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne avec de grandes ambitions et un projet qui, espère-t-elle, lui permettra d’obtenir un divorce bien plus avantageux que beaucoup ne prédisent.

Croissance mondiale : incertitude et disparité

Croissance mondiale : incertitude et disparité

Les optimistes prévoient une amélioration de la situation mondiale en 2016 tandis que les pessimistes s’interrogent sérieusement sur la solidité de cette reprise. En effet pour Il n’est pas certain que la Chine soit encore vraiment sortie de la crise caractérisée pour ce pays une nette baisse de ses échanges extérieurs, des surcapacités de production et un endettement généralisé.  Les pessimistes constatent aussi que nombre de pays émergents connaissent une crise grave notamment les producteurs de matières premières. Par ailleurs les États-Unis comme la Grande-Bretagne semblent  enregistrer une fin de cycle en matière de progression de l’activité ;  Enfin pour eux il n’est pas certain que l’Europe soit vraiment sortie de la croissance molle. En fait la croissance mondiale pourrait n’être que de 2,7 % cette année. Elle sera surtout caractérisée par une nette baisse des échanges internationaux. De ce fait les croissances régionales seront surtout soutenues par la consommation. D’où la question récurrente même au FMI de la relance par le soutien des salaires, aussi des investissements relativement en panne aujourd’hui. Des situations régionales assez disparates puisqu’elles évoluent entre une baisse de l’activité de près de 5 % au Brésil à une augmentation de sept à 8 % en Inde. Le risque pour la croissance mondiale c’est qu’en hésitant toujours entre une politique orthodoxe qui prône l’austérité et une relance keynésienne le monde s’installe pour une durée significative dans j’ai une croissance molle notamment illustrée par la situation de l’Europe.

 

« Incertitude » sur la santé des banques européennes (Lagarde-FMI)

« Incertitude » sur la santé des banques européennes (Lagarde-FMI)

 

Christine Lagarde s‘inquiète de la santé des banques européennes. Elle a sans doute raison car en fait pas grand-chose n’a été retenu de la crise financière de 2008. En effet la politique accommodante de la BCE n’a pas réellement servi au soutien de l’économie et la véritable union bancaire n’interviendra pas avant 2025. Les banques ont surtout continué à bénéficié des liquidités pour continuer à spéculer (exemple BNP détient 48 milliards de produits dérives, la Société générale 19 milliards, Crédit Agricole 17 milliards).  En France par exemple, on s’est limité à une mini réforme de la séparation bancaire. Du coup personne n’est capable d’apprécier l’ampleur des actifs toxiques. Tandis qu’aux Etats-Unis, la FED ne cesse de racheter des actifs pour soutenir activité et emploi (ce qi permet aussi de dévaluer le dollar par rapport à l’euro).    »Une des zones d’incertitude pour l’Europe réside dans l’état de santé de ses banques », a déclaré Mme Lagarde dans une tribune publiée sur le site d’expertise économique Project Syndicate.  La crise financière et celle de la dette ont mis à rude épreuve le secteur bancaire européen, nécessitant de vastes recapitalisations en Irlande, Grèce, Chypre ou Espagne.  Dans sa tribune, Mme Lagarde a salué les prochains tests de résistance bancaires que la Banque centrale européenne (BCE) doit mener cette année, parallèlement à un examen de la qualité des actifs financiers dans l’UE.  La dirigeante a toutefois assuré que ces tests ne pourraient « rétablir la confiance » qu’à la condition « qu’ils soient bien faits ».  Plus globalement, Mme Lagarde a recensé certains signes d’amélioration économique sur le globe après avoir annoncé mardi que le FMI relèverait ses prévisions de croissance mondiale, dont la publication est prévue pour le 21 janvier.  « Il reste encore du travail », a-t-elle toutefois souligné, assurant que l’actuelle prévision de croissance pour l’économie mondiale (3,6% en 2014) restait « inférieure à son potentiel » qui se situerait, selon elle, « autour de 4% » par an.  Mme Lagarde a notamment estimé qu’il était « vital » que les Etats-Unis mettent un terme définitif aux « querelles politiques » sur l’avenir budgétaire du pays après le récent compromis conclu entre républicains et démocrates.

 

Emploi : la grande incertitude dans le monde entier

Emploi : la grande incertitude dans le monde entier

Selon cette enquête trimestrielle réalisée dans 42 pays et territoires de la planète, davantage de recruteurs au niveau mondial se disent cependant très incertains quant à leurs perspectives de recrutement entre juillet et septembre 2013 du fait de la timide demande des consommateurs. Seuls les recruteurs de quelques pays, tels aux Etats-Unis ou dans certaines parties d’Europe, échappent à la morosité. « Si vous regardez les choses d’un point de vue global, le sentiment général est qu’il y a assurément des difficultés », a déclaré le président directeur général de Manpower, Jeff Joerres, tout en précisant que les employeurs se montraient malgré tout plus optimistes sur les perspectives économiques mondiales qu’au cours des derniers mois. Sur les 42 pays et territoires sondés, Manpower relève que dans 31 d’entre eux, les employeurs envisagent des recrutements au prochain trimestre. Les intentions d’embauche se sont même renforcées par rapport au trimestre précédent dans 17 économies, notamment en Espagne, en Grèce et aux Etats-Unis. Les intentions d’embauche restent inchangées dans quatre pays et ont diminué dans 21, dont la France, la Chine et l’Inde. En Europe, les embauches sont suspendues du fait de l’augmentation des incertitudes chez les employeurs, constate le rapport. Jeff Joerres relève toutefois des signaux positifs, notamment en Grèce, où la perspective d’embauche, toujours négative, s’est améliorée depuis quatre trimestres.




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