Archive pour le Tag 'inacceptable'

Brexit pêche : proposition britannique inacceptable

Brexit pêche : proposition britannique inacceptable

Les négociations pourraient bien être prolongées au-delà du 31 décembre tellement les positions sont encore inconciliables notamment sur la pêche. Le négociateur européen Michel Barnier a considéré que les propositions britanniques étaient inacceptables dans ce domaine. Du côté de Londres, en propose une réduction des prises dans les eaux britanniques par les pêcheurs du continent de 75 %

Des  sources européennes ont indiqué que l’UE était prête à accepter une réduction allant jusqu’à 25% de ses prises dans les eaux britanniques.“Pour les Etats membres, la dernière proposition de la Commission va déjà très loin et peut uniquement être considérée (…) comme définitive”, a dit un haut diplomate européen.

Deux sources diplomatiques ont déclaré à Reuters que l’UE était prête à négocier au-delà du 1er janvier.“Des progrès ont été faits. La plupart des questions sont réglées en principe ou proches de l’être. Cependant, les divergences sur la pêche restent difficiles à combler”, a dit un diplomate européen après le compte-rendu de Michel Barnier.

“L’UE ne fermera pas sa porte au Royaume-Uni et reste prête à négocier au-delà du 1er janvier”, a-t-il ajouté.

Social Nokia France: Nokia reste « inacceptable »!

Social Nokia France: Nokia reste « inacceptable »!

 

Le gouvernement a fait savoir que le plan de suppressions d’emplois Nokia en France n’était pas acceptable. Cette déclaration risque de ne pas changer grand-chose. Le pays en effet perdu de l’influence après le rachat d’Alcatel Lucent par Nokia en 2015. La saignée sera importante , concerne environ 30 % des effectifs. en France.

Ce sera pour la France une perte de capacité stratégique supplémentaire qui s’ajoute à d’autres.

« Alcatel-CIT était un des leaders mondiaux dans la fourniture de commutateurs téléphoniques numériques (série E10), des câbles de transmission sous-marins, de l’infrastructure mobile (GSMGPRSUMTS), des applications de réseaux intelligents, des applications de Centre d’Appel, des applications vidéo (fixe et mobile) ainsi que des satellites et des charges embarquées. C’était aussi le leader mondial des marchés des réseaux optiques1, des équipements d’accès DSL et des routeurs ATM et IP.

Alcatel fournissait aussi des services à tous ses clients depuis la conception de réseaux jusqu’à l’exploitation de ceux-ci en passant par la fabrication des équipements, le déploiement, l’intégration et l’installation.

En 2005, Alcatel était présent dans plus de 130 pays, avec un chiffre d’affaires de 13,1 milliards d’euros.

En 2020, la marque Alcatel, appartenant désormais à Nokia Networks France, subsiste encore à travers quatre entités : » des entités  justement maintenant concernées par la suppression d’environ 1300 emplois »

Ces suppressions de postes concernent la recherche et développement (R&D) et les fonctions centrales sur les sites de Paris-Saclay et de Lannion (Côtes d’Armor) mais pas les trois filiales françaises Radio Frequency Systems (RFS), Nokia Bell Labs France (NBLF) et Alcatel Submarine Networks (ASN), a précisé le groupe dans un communiqué.

Des centaines de salariés de l’équipementier, dont une bonne partie venus de Bretagne, ont défilé mercredi à Paris pour protester contre ce plan de suppressions de postes.

“Il faut rendre ces licenciements de plus en plus difficiles et il faut surtout conditionner les aides publiques. Nokia est un des grands bénéficiaires du crédit impôt recherche et il supprime le R&D. La logique, c’est que vous rendez l’argent”, a déclaré à Reuters TV Laurent Berger, secrétaire général de la CFDT, présent dans le cortège.

Nokia affirme être totalement libéré des engagements pris, notamment en termes d’emplois, lors du rachat d’Alcatel-Lucent en 2015. Nokia France emploie 5.138 personnes, dont 3.640 dans sa filiale Alcatel-Lucent International.

Taxe Gafa US: inacceptable

Taxe Gafa US: inacceptable

 

 La position US est inacceptable , elle propose que les GAFA  aient la possibilité de choisir d’être imposé ou non. La question de la taxation des grandes multinationales du numérique, les Gafa (Google, Amazon, Facebook, Apple), est en ce moment au cœur de ces débats OCDE entre grandes puissances économiques.

“Une solution optionnelle sera évidemment acceptable ni pour la France, ni pour ses partenaires de l’OCDE”, a déclaré Bruno Le Maire, exhortant Washington à négocier “avec bonne foi”.

“La proposition américaine d’avoir une solution optionnelle où les entreprises choisiraient librement oui ou non, très franchement, je n’y crois pas trop. Je n’ai pas vu beaucoup d’entreprises qui acceptent librement d’être taxées”, a-t-il ajouté.

Longtemps à la manœuvre dans ce dossier, les Etats-Unis ont brusquement changé de pied cette semaine en exprimant, par le biais d’un courrier signé de la main du secrétaire au Trésor, Steven Mnuchin, leur opposition aux récentes propositions de l’OCDE, formulées en octobre.

Dans cette lettre datée de mardi et adressée à l’organisation, Steven Mnuchin suggère d’ajouter une clause permettant aux entreprises d’échapper aux règles si elles le souhaitent.

Le secrétaire au Trésor a fait part également des préoccupations de son pays devant les projets de taxation du numérique défendus par la France, l’Italie, l’Autriche ou la Grande-Bretagne.

Ces pays acceptent de plus en mal l’idée que des grandes entreprises échappent partiellement à l’impôt en logeant leurs profits dans des pays tels que l’Irlande, où la fiscalité est bien plus avantageuse.

La proposition mise sur la table par l’OCDE, qui suggère de donner davantage les mains libres aux gouvernements nationaux dans ce domaine, doit servir de base aux négociations censées aboutir à un compromis d’ici à janvier et à un accord en bonne et due forme dans le courant de l’année 2020.

Etats-Unis : un protectionnisme inacceptable »( Maroš Šefčovič )

Etats-Unis : un protectionnisme inacceptable »(  Maroš Šefčovič )

 

Maroš Šefčovič vice-président de la Commission européenne en charge de l’union énergétique, dénonce dans une interview à la Tribune  les récentes décisions du président américain sur les exportations européennes d’acier, ou sur l’Iran, la veille d’un G7 qui s’annonce tendu.

 

 

Vous venez d’annoncer une série d’investissements pour renforcer l’union énergétique européenne… L’enveloppe allouée est substantiellement augmentée par rapport au plan précédent. Est-ce que cela signifie que l’Europe est en retard ?

MAROŠ ŠEFČOVIČ - Nous avons beaucoup progressé avec le plan précédent. Nous avons investi dans le hardware, c’est-à-dire les interconnexions et autres infrastructures. Il est clair que nous devons poursuivre cet effort pour atteindre 10% d’interconnexions en 2020 et 15% en 2030. Ces investissements seront également nécessaires pour les gazoducs si nous voulons sécuriser et faciliter nos flux énergétiques, avec notamment la possibilité d’établir des flux inversés. Mais nous voulons également investir dans les réseaux digitaux et le stockage d’énergie. C’est pourquoi nous avons décidé d’augmenter de 47% nos investissements, soit 42,3 milliards d’euros. Nous espérons que 60% de cette ligne d’investissements sera mis au service de nos objectifs climatiques.

Vous voulez dire que la Commission européenne favorisera les énergies renouvelables à d’autres…

Ces investissements doivent permettre de faciliter la circulation des énergies en Europe. Cela signifie que ce sera favorable aux énergies renouvelables puisque cela résoudra en partie le problème de leur intermittence. Par exemple, s’il y a beaucoup d’éoliennes en Europe du Nord, mais pas assez de demandes d’énergie, alors la demande en Europe du Sud pourra récupérer cette production d’énergie que nous pouvons encore mal stocker. C’est donc très favorable aux énergies renouvelables.

Vous avez également plaidé pour développer une filière plus ambitieuse en matière de batteries électriques, qui seront nécessaires demain notamment pour l’industrie automobile. Vous-même avez utilisé une formule pour illustrer cette ambition, vous aviez lancé le projet d’un Airbus des batteries… L’Europe n’est-elle pas en retard dans ce domaine, voire très en retard par rapport aux pays asiatiques ?

J’avais effectivement utilisé cette formule d’Airbus des batteries pour permettre de mieux visualiser ce qu’un tel projet pouvait apporter. Il est vrai que l’Europe est en retard. Nous produisons encore trop peu de batteries… Je vois par exemple qu’à Bruxelles, les taxis commencent à rouler avec des voitures BYD (marque chinoise de voitures électriques, Ndlr), c’est un symbole qui nous oblige à réagir. La raison de ce retard, c’est que les constructeurs ont pensé qu’ils pourraient continuer avec des moteurs thermiques pendant encore très longtemps. Mais les problèmes de pollution et plus encore, le scandale des diesels truqués, ont fait basculer l’opinion et les politiques publiques. Mon idée d’un Airbus des batteries a été lancée en octobre… Depuis, nous avons bien avancé et je peux vous dire que nous sommes, en Europe, aujourd’hui dans une véritable dynamique de travail sur ce sujet. J’ai récemment participé à l’inauguration de ce qui pourrait devenir, je l’espère, la première gigafactory européenne. Elle a été installée en Suède par Northvolt. Ce projet a été soutenu par la Banque européenne d’investissement, mais également avec des aides officielles locales. Enfin, la Commission européenne a classé la production de batteries comme sensible et stratégique pour notre continent. Cela signifie qu’elle mettra tout en œuvre pour encourager son développement. L’enjeu est énorme. Nous avons estimé qu’en 2025, le marché européen des batteries électriques s’élèvera à 250 milliards d’euros, soit 200 gigawatts. Nous estimons que le marché mondial s’élèvera à 600, voire 900 gigawatts. Nous allons donc avoir besoin de dizaines de gigafactory si on veut devenir leaders.

Le prix des batteries ne cesse de baisser… Ne craignez-vous pas de reproduire le fiasco de l’industrie photovoltaïque ?

Nous sommes dans une période stratégique en matière de batteries électriques… C’est pourquoi nous l’avons élevée au rang de priorité pour l’industrie européenne. Notre rôle consistera à imposer des standards qui permettront de constituer une filière totalement propre. Nos standards s’assureront que l’énergie pour fabriquer ces batteries sera propre. Ils imposeront des obligations en matière de recyclage, y compris des métaux précieux. Je veux une batterie verte et soutenable. L’Europe est la mieux placée pour cela parce qu’elle a le meilleur mix énergétique du monde. Il faut maintenant que les constructeurs automobiles prennent conscience de cela et participe à cette dynamique.

L’Europe est guettée par d’autres incertitudes nuisibles au commerce… Notamment par les décisions prises par l’administration de Donald Trump. Cette semaine, le groupe PSA a décidé de suspendre ses activités en Iran, et quelques jours auparavant, c’est la filière européenne de l’acier qui était frappée par des taxes… Comment réagissez-vous ?

Nous avons basculé dans une nouvelle étape des relations internationales. Nous travaillions jusqu’ici dans une situation où le droit prévalait, avec un respect absolu pour les règles convenues et garanties par l’organisation mondiale du commerce (OMC, Ndlr).

Aujourd’hui, notre partenaire traditionnel a décidé de ne pas respecter les accords internationaux en place, que ce soit sur le dossier iranien ou sur le libre-échange. C’est une situation nouvelle qu’il était impossible d’anticiper il y a encore un an. Nous avons déployé d’importants efforts diplomatiques auprès des États-Unis pour leur expliquer que notre attachement à l’accord avec l’Iran n’était pas seulement pour protéger nos entreprises, mais d’abord une question de sécurité internationale, et européenne plus particulièrement. Il est évident que l’Europe va faire tout son possible pour prévenir toute prolifération nucléaire au Moyen-Orient.

Mais l’annonce par Donald Trump de se retirer de cet accord met en péril l’équilibre que nous avions trouvé avec l’Iran.

L’Europe peut-elle toutefois protéger ses entreprises contre le risque de sanctions prises par un pays tiers?

Nous allons tout faire pour les protéger, étudier toutes les possibilités juridiques qui permettront de les rassurer. Nous avons déjà pris une décision d’urgence en actualisant le mandat de la Banque européenne d’investissement pour permettre à l’Iran d’être éligible pour les activités d’investissement. C’est une possibilité que la Banque peut décider, ou non, d’utiliser. Nous avons également activé le dispositif que nous avions appliqué dans le cas de Cuba et qui permettait de protéger nos entreprises du risque de sanctions américaines.

De même, nous avons aussi réagi aux tarifs douaniers appliqués sur nos produits en acier en lançant nous-mêmes des taxes douanières sur une liste de produits américains. Notre partenaire fait preuve d’un protectionnisme inacceptable, l’Europe ne peut pas être traitée ainsi. Nous sommes mécontents d’en arriver à une telle situation parce qu’à chaque fois que des mesures protectionnistes sont prises, c’est des échanges en moins, et de la croissance en moins pour tout le monde.

Avez-vous le soutien de tous les chefs d’État et de gouvernement dans votre démarche?

Nous avons le soutien entier de tous les chefs d’État et de gouvernement.

Ne craignez-vous pas qu’une guerre commerciale pousse certains pays membres à appliquer eux-mêmes des mesures protectionnistes qui conduiraient à l’explosion de l’Union européenne?

Au contraire, je pense que cette politique conduira l’Europe à renforcer ses liens et à être plus unie que jamais.

Barroso chez Goldman Sachs:  » inacceptable » (Hollande)

Barroso chez Goldman Sachs:  » inacceptable » (Hollande)

À l’occasion de son interview du 14 juillet François Hollande n’a pas manqué de condamner le recrutement de Barroso ancien président  de la commission européenne par Goldman Sachs.  Barroso, ancien gauchiste finira en effet  sa carrière chez Goldman Sachs. Celui qui fut Président des étudiants maoïstes (MRPP),  Premier ministre du Portugal et  président de la Commission européenne de 2004 à 2014 vient d’être embauché par une des banques les plus puissantes (et controversées) du monde, pour la conseiller sur l’ère post-Brexit.  Les relations troublent entre la politique et le monde de la finance ne sont pas nouvelles au plan européen. Il faut en effet notamment se souvenir que Draghi  l’actuel président de la banque centrale européenne à orienté l’adhésion de la Grèce à l’union européenne en tant que responsable pour l’Europe de Goldman Sachs (en tordant  les chiffres pour forcer cet adhésion). Notons aussi que Jean-Claude Juncker l’actuel président de la commission européenne était premier ministre luxembourgeois lorsqu’on a trouvé des petits arrangements fiscaux entre son pays d’origine et les grandes multinationales. Bref la politique et la finance entretiennent  parfois des liens consanguins. Du coup «Bras d’honneur», «conflit d’intérêt», «indécent»: une pluie de critiques, venant même du gouvernement, s’est abattue ce samedi en France sur l’ex-président de la Commission européenne, José Manuel Barroso qui va rejoindre la banque d’affaires américaine Goldman Sachs. « José Manuel Barroso, ce n’est pas moi qui l’ai choisi, hein, certains se reconnaîtront dans ce choix », a souligné le chef de l’Etat à l’adresse de ses prédécesseurs Jacques Chirac et Nicolas Sarkozy, qui ont contribué à la nomination à Bruxelles en 2004 puis à la reconduction en 2009 de l’ancien Premier ministre portugais. Ce dernier dirigeait la Commission « au moment où il y a eu cette crise provoquée par ce qu’on appelle les subprimes, dont Goldman Sachs était un des établissements-phares », a encore reproché François Hollande lors de son interview sur TF1 et France 2.  »Goldman Sachs qu’on retrouve dans l’affaire (de la dette) grecque, puisque c’est Goldman Sachs qui conseillait les Grecs et maquillait les chiffres (des comptes publics) que la Grèce il y a quelques années avait donnés à l’Union européenne », a-t-il encore pointé.   »Et on apprend quelques années plus tard que José Manuel Barroso va rejoindre Goldman Sachs ?

 

Foot- Marseille : défaite inacceptable (Bielsa)

Foot- Marseille : défaite inacceptable (Bielsa)

 

Il a raison Bielsa cette défaite est inacceptable car elle marque surtout une différence d’envie entre ces deux équipes (l’une en ligue pro 1, l’autre en 4 éme division amateurs). Un Marseille d’ habitude très agressif dans toutes les lignes et qui, là, n’a pas réussi à freiner l’enthousiasme débordant d’un équipe de Grenoble par  ailleurs solide techniquement.  A l’exemple de Maurel se faisant régulièrement débordé comme un junior par la vitesse de l’ailier  Grenoblois.    Un début de partie très  compliqué  pour les hommes de Marcelo Bielsa, battus dans l’envie et facilitant la tâche des attaquants adverses en laissant beaucoup d’espaces entre les lignes. Pourtant, à chaque fois qu’ils ont appuyé sur l’accélérateur, les Marseillais se sont montrés dangereux. C’est d’ailleurs sur un court temps fort de l’OM que Gignac, encore lui, a redonné l’avantage aux siens. Mais pas pour longtemps là non plus, Fares Hachi profitant d’une nouvelle absence de cette défense olympienne très fébrile dimanche pour remettre de nouveau les Isérois à hauteur sur ce terrain presque injouable sur toute une moitié (les trois buts de l’OM ont été inscrits sur l’autre). Valeureux, les Grenoblois ont tout donné, terminant même le temps réglementaire au bord des crampes. Proche de la rupture dès le début de la prolongation, la défense du leader du groupe C de CFA a rapidement cédé lors de cette période de jeu supplémentaire, surprise que l’arbitre n’arrête pas l’action pour un hors-jeu. Mais Brice Dja Djedje était couvert au départ de la passe de Thauvin dans l’intervalle. Le but a donc été logiquement validé. Mais, à l’instar des deux marqués par Gignac plus tôt, il n’a pas suffi à éviter « la loterie » des tirs au but, le capitaine du GF 38, Selim Bengriba, ayant égalisé à la 119eme minute. Cela a ensuite été au tour de son gardien, l’incroyable Paul Cattier, d’endosser à son tour le costume de héros lors d’une séance à sens unique. A l’arrivée, Grenoble signe l’un des plus beaux exploits de son histoire tandis que l’OM débute 2015 sur une incroyable désillusion face à un adversaire évoluant trois divisions plus bas. En mars 2008, Marseille avait chuté face aux amateurs de CFA2 de Carquefou en huitièmes de finale. Cette fois, les Olympiens s’arrêtent dès le premier match. « Une défaite inacceptable » pour Marcelo Bielsa. - 

Hollande : » il faut réduire la dépense publique » une menace inacceptable !

Hollande : «  il faut  réduire la dépense publique »  une menace inacceptable

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépense avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

 

 

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépenses avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

 

 

 

 

 

L a posture d’Hollande n’est pas seulement royale mais aussi dictatoriale. Il  veut en effet imposer d’économiser l’argent public. Un menace évidemment inadmissible qui met en péril les fondements même de notre société traditionnelle fondée sur la dépenses avant l’espérance de la recette. Un changement de valeur qui s’apparente en fait à la remise en cause du pacte républicain cher à la gauche comme à la droite. Il faut espérer que les milliers de fonctionnaires concernés, les élus, les institutions etc. vont arborer le bonnet rouge de la révolte pour s’opposer à cet objectif insensé qui viole tous les principes de gestion habituels en France. François Hollande a en effet affirmé mardi soir vouloir réduire la dépense publique, en ajoutant qu’il « assumera la responsabilité » du programme d’économies. « Nous devons faire des économies partout où elles sont possibles », avec notamment les collectivités locales qui doivent voir leurs compétences clarifiées, afin de pouvoir « à terme baisser les impôts », a dit, lors de ses vœux aux Français le président de la République, qui a reconnu que les « impôts » étaient « devenus trop lourds ». « J’assumerai, moi-même, la responsabilité et le suivi de ce programme d’économies durant tout le quinquennat », a promis M. Hollande.

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