Archive pour le Tag 'improbable'

Cessez-le-feu improbable à Gaza

Cessez-le-feu improbable à Gaza 

En dépit des propos de Biden  qui estime qu’un cessez-le-feu à Gaza est possible avec la libération de touts les otages, il paraît assez hypothétique qu’un cessez-le-feu intervienne rapidement. Pour l’instant, les négociations internationales ont échoué. En cause des exigences de chacune des parties incompatibles. Surtout la volonté des uns et des autres de poursuivre le conflit.

Le président américain Joe Biden a estimé samedi qu’un cessez-le-feu était possible «demain» dans la guerre entre Israël et le Hamas si le groupe palestinien relâchait les otages. «Il y aurait un cessez-le-feu demain si le Hamas relâchait les otages», a assuré Joe Biden lors d’une réception de collecte de fonds près de Seattle, au nord-ouest des Etats-Unis, au domicile d’un ancien responsable de Microsoft, après avoir évité le sujet dans des circonstances similaires vendredi.

«Nous appelons les autorités israéliennes à cesser cette opération militaire sans délai et à reprendre la voie des négociations, seule voie possible pour conduire à la libération immédiate des otages et obtenir un cessez-le-feu durable», a indiqué le Quai d’Orsay à propos de la situation à Rafah«Une telle opération menace de provoquer une situation catastrophique pour les populations civiles de Gaza, déjà déplacées à de multiples reprises», poursuit le communiqué de la diplomatie française.

France : Réduction du déficit improbable d’après le FMI

France : Réduction du déficit improbable d’après le FMI

Alors que l’agence de notation Moody’s a confirmé la note de la France et que les autres agences doivent se prononcer, le FMI met les pieds dans le plat pour indiquer que les prévisions de réduction du déficit paraissent irréalistes. Un avis de l’organisation internationale qui ne fera sans doute pas plaisir au ministre français de l’économie et au gouvernement.

Le budget 2024, dont le premier volet a été adopté à l’Assemblée nationale sans vote grâce à l’article 49.3 de la Constitution, doit donner des gages de sérieux budgétaire. Le texte prévoit un total de dépenses de l’Etat de 491 milliards d’euros, hors charge de la dette, et un déficit public à 4,9% du PIB cette année, puis 4,4% en 2024, largement hors des clous européens.

En réalité, il y aura sans doute encore un déficit plus important que prévu en raison de la surestimation des recettes avec la croissance qui se tasse (1 % prévu) et à l’inverse la sous-estimation des dépenses. Au total, la dette dépasse maintenant les 3000 milliards soit une charge financière annuelle de plus de 50 milliards.

Pourtant le gouvernement a annoncé que l’endettement resterait stable à 109,7% du PIB en 2024, pour atteindre 108,1% en fin de quinquennat. Afin de respecter cette trajectoire, les ministres de Bercy ont promis 12 milliards d’euros d’économies en 2024.Des économies très hypothétiques.

« Sous les politiques actuelles », la prévision d’un déficit budgétaire de 2,7% à horizon 2027 « sera peut-être un petit peu difficile à atteindre » et « donc un effort supplémentaire serait nécessaire », a quant à lui estimé De façon très diplomatique Pierre-Olivier Gourinchas.

La prévision d’une croissance de 1,4% a également été jugée « élevée » par le Haut conseil des finances publiques,. Le président de l’institution, Pierre Moscovici, avait en effet taclé le manque de crédibilité de la trajectoire de redressement des comptes publics pour les prochaines années, pointant le manque d’économies « documentées » dans les documents budgétaires envoyés par l’exécutif.

Toutefois, « il ne s’agit pas vraiment de faire des grandes coupes » dans les dépenses, a expliqué samedi l’économiste du FMI, invitant à « se poser la question » des dépenses et de réformes supplémentaires.

Le FMI ménage ainsi la chèvre et le chou n’étant pas convaincu lui-même de sa propre philosophie économique.

Les réformes engagées par le gouvernement « vont porter leurs fruits », notamment en soutenant l’emploi et l’activité, mais « il faudra en faire un peu plus malheureusement », a jugé Pierre-Olivier Gourinchas.

Gauchisme– Le retour improbable des gilets jaunes

Gauchisme– Le retour improbable des gilets jaunes

 

Comme c’était prévisible le mouvement des gilets jaunes à complètement dévié de son objet après la récupération par les gauchistes. Le mouvement par ailleurs très divisé a surtout été gangrené par les objectifs politiques des radicaux. La relance du mouvement envisagée aujourd’hui paraît un peu surréaliste dans la mesure où déjà les dernières manifestations ne rassemblaient plus que quelques centaines de personnes qui n’existaient médiatiquement que par des violences commises par ses membres ou par des voyous. Un phénomène qui pourrait bien se reproduire avec l’appel à manifester aujourd’hui.

Ce qui reste des gilets jaunes c’est surtout quelques  que militants radicaux gauchistes et des poujadistes. La tentation électorale a abouti à un lamentable échec avec les 0,6 % obtenus par le chanteur Francis Lalanne dont on se demandait bien de quelle légitimité il  pouvait se prévaloir. Sans doute la même que celle de Bigard, cet humoriste qui se lance lui dans la bataille présidentielle.

 

Au départ le mouvement des gilets jaune pouvait se comprendre. Malheureusement de déviation en déviation, il est tombé dans les travers habituels des extrémistes de gauche,  dans la radicalité qui devient de plus en plus forte avec la réduction de la mobilisation. Le même phénomène qu’on enregistre dans les entreprises où on peut se demander si les syndicats d’extrême-gauche n’ont pas une double mission: tuer les entreprises et le syndicalisme en même temps. Tuer les entreprises, c’est une certitude puisque la lutte contre le capitalisme est l’objectif majeur. Mais tuer aussi le syndicalisme supposé trahir la classe ouvrière puisqu’il négocie. Bref une vision binaire de la société et en retard de plus de 50 ans. Le mouvement des gilets jaunes, lui, a explosé sous le poids de ses contradictions et des manipulations gauchistes. Sa  renaissance surtout dans la période n’est pas seulement utopique, elle est tout simplement ridicule.

 

Le retour improbable des gilets jaunes

 Le retour improbable des gilets jaunes

 

Comme c’était prévisible le mouvement des gilets jaunes à complètement dévié de son objet après la récupération par les gauchistes. Le mouvement par ailleurs très divisé a surtout été gangrené par les objectifs politiques des radicaux. La relance du mouvement envisagée aujourd’hui paraît un peu surréaliste dans la mesure où déjà les dernières manifestations ne rassemblaient plus que quelques centaines de personnes qui n’existaient médiatiquement que par des violences commises par ses membres ou par des voyous.

Ce qui reste des gilets jaunes c’est surtout quelques  que militants radicaux gauchistes et des poujadistes. La tentation électorale a abouti à un lamentable échec avec les 0,6 % obtenus par le chanteur Francis Lalanne dont on se demandait bien de quelle légitimité il  pouvait se prévaloir. Sans doute la même que celle de Bigard, cet humoriste qui se lance lui dans la bataille présidentielle.

Au départ le mouvement des gilets jaune pouvait se comprendre. Malheureusement de déviation en déviation, il est tombé dans les travers habituels des extrémistes de gauche,  dans la radicalité qui devient de plus en plus forte avec la réduction de la mobilisation. Le même phénomène qu’on enregistre dans les entreprises où on peut se demander si les syndicats d’extrême-gauche n’ont pas une double mission: tuer les entreprises et le syndicalisme en même temps. Tuer les entreprises, c’est une certitude puisque la lutte contre le capitalisme est l’objectif majeur. Mais tuer aussi le syndicalisme supposé trahir la classe ouvrière puisqu’il négocie. Bref une vision binaire de la société et en retard de plus de 50 ans. Le mouvement des gilets jaunes, lui, a explosé sous le poids de ses contradictions et des manipulations gauchistes. Sa  renaissance surtout dans la période n’est pas seulement utopique, elle est tout simplement ridicule.

Hollande 2017: candidature de plus en plus improbable

Hollande 2017: candidature de plus en plus improbable

Chez les proches de François Hollande on s’interroge de plus en plus sur la candidature de ce dernier en 201.  De ce point de vue les propos du président de la république lors de son intervention télévisée laissaient la place à une grande ambiguïté : « Ce que j’ai à faire, c’est diriger le pays et prendre ma décision le moment venu. Ce moment n’est pas venu. Et tant qu’il n’est pas arrivé, j’ai à agir et à réformer, et je le ferai jusqu’au bout. » Puis : « Vous avez vu la période dans laquelle nous sommes, le terrorisme, la guerre… et je serais là en train de faire des calculs? Je ne fais pas de calculs. » On sait que François Hollande ne ce représentera pas s’il ne parvient pas à inverser la courbe du chômage. C’est en tout cas un engagement mais le plus important n’est pas là car il serait toujours possible avec un bricolage méthodologique de montrer une inversion de l’évolution du chômage. La question centrale c’est la crédibilité de cette candidature. En l’état des sondages, François Hollande (comme Sarkozy) ne dépasse pas 20 % d’opinions favorables. Par ailleurs la gauche sera très divisée puisqu’il faudra compter sur une candidature de Mélenchon qui refuse toute primaire et sans doute aussi sur une candidature de Cécile Duflot. Aujourd’hui Mélenchon pèse autour de 10 % dans l’opinion publique, Cécile Duflot autour de 2 % mathématiquement François Hollande n’a donc aucune chance de se qualifier pour le premier tour. Du coup il est possible que compte tenu des sondages Hollande décide de retirer sa candidature pour 2017.  Hollande espère surtout qu’il aura à affronter Sarkozy, un adversaire à sa portée. Par contre si Alain Juppé sort vainqueur des primaires Hollande sait par avance qu’il n’aura aucune chance. Finalement ce sont des primaires de la droite  qui décideront de la candidature de Hollande.




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