Archive pour le Tag 'impose'

Le PSG s’est imposé au Parc des Princes face à l’AS Saint-Etienne (2-1)

 

 

Le PSG s’est imposé au Parc des Princes face à l’AS Saint-Etienne (2-1) ce dimanche et conserve tête de la Ligue 1. Les Parisiens reprennent sept points d’avance sur l’OM, deuxième.

Ratification du CETA. Un vote imposé par l’assemblée

Ratification du CETA. Un vote imposé par l’assemblée

Contre l’avis du gouvernement, l’assemblée a décidé qu’il conviendrait d’organiser un vote officiel du Parlement concernant l’accord d’échange CETA le Canada. C’est évidemment un revers pour le gouvernement mais cependant assez formel car l’issue de ce vote ne fait pas de doute et le Parlement se prononcera en faveur d’un échange qui par ailleurs globalement d’un assez satisfaction aux deux parties sur le plan économique.

 

Ce jeudi, les députés ont adopté une proposition de résolution des communistes invitant le gouvernement à mettre sur la table de l’Assemblée la ratification du traité de libre-échange avec le Canada, rejeté en mars au Sénat.

C Un vote qui n’a pas de valeur contraignante, mais l’objectif du jour était tout autre pour les oppositions, qui souhaitaient envoyer aux Français  d’abord sans doute en direction des élections européennes, ensuite un message de souveraineté.

Des médecins impose des consultations à 30 € au lieu de 25

Des médecins impose des consultations à 30 € au lieu de 25


Des médecins généralistes Du secteur 1 ont passé leur tarif de consultation à 30 euros et parfois plus en raison de l’insuffisance du tarif fixé par la sécurité sociale

Une manière de protester contre l’augmentation de 1,50 euro, proposée par l’Assurance maladie en avril dernier et faisant passer la consultation à 26,50 euros, à l’automne prochain.

Un médecin généraliste gagne entre 4 297 € bruts et 17 072 € bruts par mois en France, soit un salaire moyen de 10 684 € bruts par mois, avant paiement des charges et impôts qui représentent environ 60% des revenus des professions libérales.

Politique Les Français de plus en plus à droite ?

Politique Les Français de plus en plus à droite ?

 

Ce qui est évident, c’est que les Français votent de plus en plus pour la droite et l’extrême droite. De là à conclure que les français se situent idéologiquement à droite y a un pas à franchir. En effet ce qui explique d’abord le vote très majoritaire à droite c’est la défaillance complète des partis de gauche complètement éclatés dans un nombre de familles incalculables et qui ont tellement déçu depuis plus de 20 ans avec un discours très radical lors des campagnes électorales et une gestion finalement assez semblable aux partis qui les ont précédés.

C’est parce que la gauche est complètement discréditée en ce moment que la droite progresse. Pour preuve la majorité des Français n’adhère pas au libéralisme économique. C’est pourtant ce qui d’un point de vue idéologique caractérise une adhésion politique à la droite ( avec le libéralisme politique). La vérité sans doute c’est que les Français sont très partagés sur de nombreux sujets et qu’il est difficile de les identifier à travers une case politique bien précise.

Après une crise sanitaire et un quinquennat mené par un président de la République ayant fait ses gammes à gauche, les Français se positionnent de plus en plus à droite politiquement. C’est le constat que dresse une étude menée par OpinionWay pour le Cevipof, centre de recherches politiques rattaché à Sciences Po, réalisée entre le 23 décembre 2021 et le 10 janvier 2022 et dévoilée  dans le Figaro.

Ce « baromètre de la confiance politique », mené depuis 2009, établit qu’actuellement, 32% des Français se classent politiquement à droite, et 11% à l’extrême droite. De l’autre côté de l’échiquier politique, 17% se disent de gauche et 6% se placent à l’extrême gauche. Enfin, 14% s’estiment au centre, quand 20% ne se prononcent pas.

Des résultats, qui ramenés à ceux de 2017, viennent témoigner du basculement à droite d’une partie des Français. Il y a cinq ans, 26% d’entre eux se disaient de droite. Soit six points de moins qu’actuellement.

De même, la part de Français se situant à l’extrême droite a grimpé de quatre points sur la même période, passant de 7% en 2017 à 11% aujourd’hui. Le phénomène s’est accru ces derniers mois. Alors que la part se plaçant à l’extrême droite était retombée à 7% en février 2021, elle a connu une importante remontée en un an. Les résultats de l’étude sont toutefois contradictoires.

En effet, les résultats de l’enquête menée par OpinionWay pour le Cevipof témoignent d’un paradoxe. Bien qu’ils se positionnent plus à droite qu’il y a cinq ans, les Français sont en parallèle plus que jamais hostile au libéralisme économique.

73% d’entre eux pensent que « l’économie actuelle profite aux patrons aux dépens de ceux qui travaillent », et 57% jugent que « pour établir la justice sociale, il faudrait prendre aux riches pour donner aux pauvres ».

De même, concernant les questions de société, 61% des Français estiment que « la procréation médicalement assistée (PMA) est une bonne chose pour les femmes seules ou homosexuelles ». Tout en étant 63% à juger qu’ »il y a trop d’immigrés en France ».

Difficile donc d’y voir clair, d’autant que 39% des sondés disent souhaiter voir à la tête du pays « un homme fort qui n’a pas à se préoccuper du Parlement ou des élections », soit une dictature, et 27% une junte militaire.

Covid Omicron : isolement imposé pour tous les cas contact

Covid Omicron : isolement imposé pour tous  les cas contact

des mesures drastiques ont été prises par le ministère de la santé pour faire face à l’éventuelle propagation du variant « omicron ».

« Toute personne contact à risque d’un cas possible ou d’un cas confirmé du variant B1.1.529, indépendamment de son statut vaccinal, doit être considérée comme ‘contact à risque élevé’ et doit ainsi être placée en quarantaine », selon le texte envoyé aux établissements et professionnels de santé et dont l’AFP a obtenu copie.

La France ce dimanche matin n’avait pas encore enregistré un cas du variant omicron. En Allemagne un cas suspect a été répertorié chez une personne récemment rentrée d’Afrique du Sud tandis qu’aux Pays-Bas 61 passagers arrivés vendredi à bord de deux vols en provenance d’Afrique du Sud ont été testés positifs au Covid-19.

Google : Poutine impose le retrait de deux applications de l’opposition russe

L’opposition russe a accusé vendredi les deux géants des technologies de «censure» pour avoir cédé à la pression du gouvernement en retirant ce programme créé par le mouvement de l’opposant emprisonné Alexeï Navalny. La décision intervient après des mois de répression qui ont écarté les détracteurs du président Vladimir Poutine du scrutin.

Apple aurait fait face aussi de son côté «à des tactiques de harcèlement et des menaces d’arrestation».

Leonid Volkov, responsable exilé de l’opposition, a accusé Apple et Google de «censure» et de «céder au chantage du Kremlin» en supprimant le logiciel de leurs boutiques. «Cette application est illégale dans notre pays», a répliqué le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov.

 

L’application Google de l’opposition permettait de savoir pour quel concurrent voter dans chaque circonscription des législatives ce week-end, mais aussi lors de dizaines d’élections locales et régionales.

Biden impose un cessez-le-feu à Israël

Biden impose un cessez-le-feu à Israël

 

La résolution que prévoyait la France à l’ONU sur le conflit entre Israël et les palestiniens a sans doute réveillé Biden. En effet ce dernier s’est opposé à ce que d’autres pays que les États-Unis tentent de gérer la situation particulièrement dangereuse. En clair Biden a imposé un cessez-le-feu à Israël. Un cessez-le-feu ensuite accepté par les belligérants.

La désinformation impose une réponse de transparence

La désinformation impose une réponse de transparence

Erwann Menthéour et Emmanuel Rivière estime dans l’Opinion que «Lutter contre la désinformation suppose de se plier à un devoir de transparence, de toujours agir conformément à ce que l’on serait capable d’assumer publiquement »

 

 

Selon un sondage Eurobaromètre de la Commission européenne récemment paru, 68 % des Français (et 51 % des Européens pour l’ensemble des vingt-sept pays de l’Union européenne) estiment avoir été confrontés à de la désinformation sur Internet. La fabrication et la circulation de fausses nouvelles, la prolifération de théories complotistes et les dangers que leur capacité de séduction fait peser sur la démocratie sont légitimement une préoccupation majeure des pouvoirs publics comme des médias.

Les parades sont de diverses natures : responsabilisation des plates-formes numériques, pénalisation de la diffusion de fausses nouvelles, fact checking, production et promotion d’un contre-discours, etc. Une autre manière de lutter contre la désinformation et ses dangers consiste à prendre la mesure de l’exigence qu’elle impose à tous ceux qui veulent mener ce combat : une exigence de vérité.

Les théories du complot sont d’autant plus efficaces quand elles parviennent à construire le récit conspirationniste autour d’un fait réel. Pour cette raison, la moindre faille est exploitable chez ceux que visent les complotistes, et tout petit arrangement avec la vérité, tout mensonge par omission, toute tentative de travestissement, voire de simplification d’une réalité embarrassante sont pour la désinformation un terreau extrêmement fertile.

Or la probabilité que soient mis à jour des faits que les pouvoirs, quels qu’ils soient, préféreraient dissimuler, est plus élevée que jamais. Et les opinions publiques le pardonnent de moins en moins. Ceux qui en 2016 voyaient en Donald Trump un candidat dont le principal défaut était son rapport très personnel avec la réalité ont pu lire dans son élection le démenti de l’attachement des citoyens à la vérité. Mais il se trouve que la faille était encore plus importante, dans l’opinion, du côté d’Hillary Clinton.

La réalité impose parfois des défis titanesques qui désemparent les responsables politiques les plus chevronnés, qui les déstabilisent au point de les conduire à un tel sentiment d’impuissance que le reconnaître les désavouerait, pensent-ils, aux yeux du peuple

Impératif. Une étude comparative menée juste avant l’élection de 2016 sur les qualités et défauts de l’une et de l’autre montrait que la candidate démocrate se voyait bien plus fortement et spontanément reprochée d’être secrète, accusation qui a beaucoup contribué au succès de son adversaire. Lutter contre la désinformation supposerait donc aussi, et peut-être avant tout, de se plier à un devoir de transparence, d’acquiescer à un impératif consistant à toujours agir conformément à ce que l’on serait capable d’assumer publiquement. Cette injonction peut sembler naïve, louable, évidente, dangereuse, ou un peu tout ça à la fois. Ce qui est sûr c’est qu’un tel objectif se heurte à plusieurs difficultés, de trois ordres.

La première est que l’idée de transparence est loin d’être consubstantielle à l’exercice du pouvoir. L’idée qu’il existe une raison d’Etat distincte de la raison du commun a longtemps prévalu. Du fait à la fois de la désidéologisation du débat politique et de l’abandon de la lutte des classes, notre modèle représentatif a conduit à faire de la compétence un critère aussi important que les valeurs ou la représentation d’intérêts partagés, dans le choix de délégués. Les titulaires de charges et de mandats sont supposés mieux maîtriser la complexité des enjeux, et disposer d’une forme d’exclusivité de cette capacité. Cette capacité est de plus en plus remise en cause, et l’une des leçons de la crise Covid-19 montre que les citoyens non seulement attendent l’exposition de cette complexité, mais apprécient que des dirigeants admettent ne pas tout savoir.

L’autre obstacle à l’exercice de la transparence tient précisément aux succès manifestes du complotisme et de la désinformation. Face à tant de mauvaise foi dans l’intention de nuire, il ne va pas de soi de faire toute la lumière sur des décisions qui sont souvent des arbitrages compliqués entre des intérêts divergents. Souvent la crainte l’emporte de voir la sincérité déformée et exploitée. A l’impératif moral de transparence s’opposerait le pragmatisme de la prudence.

Ce débat est difficile à trancher, mais pour s’en tenir au raisonnement bénéfices-risques, nous voulons ouvrir l’hypothèse, confortée par le sentiment que la maîtrise de l’information est de plus en plus un leurre, selon laquelle la transparence sur les intentions offrirait moins de billes aux complotistes que les tentatives de dissimulation, et davantage de gages à ceux qui s’alarment de la désinformation et veulent s’en défendre.

Universel. Ces derniers restent, ne l’oublions pas, la majorité. Gardons également à l’esprit, comme le rappelle le philosophe Frédéric Midal dans une interview publiée dans le premier numéro du magazine Mentors, que « quelqu’un qui croit à une théorie complotiste est quelqu’un qui souffre et [...] qui tente de se débrouiller avec le côté irrationnel du discours social et politique actuel dans lequel on ne nous parle pas ». Parler au nom de l’universel à l’universel, en omettant – volontairement ou non – de s’adresser en toute transparence aux êtres humains dans la singularité de leur existence, amène ceux qui exercent le pouvoir à se couper des bases et se tromper de combat. En précipitant leur propre défaite.

La troisième raison pour laquelle le pari de la vérité est un choix ardu est que les défis qui se présentent à ceux qui exercent les responsabilités sont particulièrement impressionnants, voire effrayants : à bien des égards, la séquence pandémique de ces derniers mois a matérialisé de manière concrète et parfois même sidérante combien l’exercice du pouvoir pouvait se révéler périlleux, voire quasiment insurmontable devant une situation inédite. Elle a illustré ce qu’est véritablement un arbitrage qui est la clef de voûte de la fonction politique.

Oui, gouverner, c’est arbitrer. Si celui-ci se résumait naïvement à faire un choix entre une bonne et une mauvaise solution, l’art de gouverner deviendrait en conséquence à la portée d’un enfant. Or, comme nous l’avons vécu une année durant, que ce soit au niveau national ou mondial, aucun choix, aucune solution, aucune intervention divine ne s’est révélée capable d’éradiquer ce virus qui continue de mobiliser les plus grands cerveaux de la planète. C’est ici que l’on découvre que la réalité impose parfois des défis titanesques qui désemparent les responsables politiques les plus chevronnés, qui les déstabilisent au point de les conduire à un tel sentiment d’impuissance que le reconnaître les désavouerait, pensent-ils, aux yeux du peuple.

La politique politicienne et son obsession de l’électoralisme ont vécu, tout comme est révolu le temps des technocrates sûrs de leur fait et persuadés que les masses ne peuvent pas comprendre. L’heure des grands hommes et femmes d’Etat a sonné

Complexité. A la lueur de cette complexité, il conviendrait de manifester un peu plus d’humilité et de transparence, en choisissant la pédagogie plutôt que la communication, en abandonnant toute logique court-termiste et en partageant de manière plus limpide et franche les difficultés auxquelles la crise sanitaire et toutes celles à venir nous confrontent tous de plein fouet aujourd’hui. Un choix d’autant plus nécessaire que ces situations risquent, en raison du dérèglement climatique, de se reproduire de plus en plus fréquemment dans les prochaines décennies.

L’ampleur des défis demande aussi beaucoup d’abnégation, car les réponses réellement efficaces ne le sont pas à l’échelle d’un mandat. La politique politicienne et son obsession de l’électoralisme ont vécu, tout comme est révolu le temps des technocrates sûrs de leur fait et persuadés que les masses ne peuvent pas comprendre. L’heure des grands hommes et femmes d’Etat a sonné. Seuls celles et ceux qui se projetteront loin avec humilité, abnégation et courage redonneront un sens à la fonction politique, si décriée depuis de nombreuses années et dont la dévaluation est le plus sûr chemin vers le populisme.

Pour toutes ces raisons, la vérité est un combat. Il impose à ceux qui exercent les responsabilités un travail de révision, qui concerne aussi bien les modalités de décisions que les formes de communication. On peut et on doit sans doute s’inquiéter d’un rapport à l’information qui s’apparenterait à une dictature de la transparence. Mais la menace que représentent le complotisme et la désinformation sur nos démocraties invitent aussi à se demander quel exercice de la transparence permettrait de prévenir le risque de dictature.

Le plan de déconfinement imposé au niveau local,

Le plan de déconfinement imposé au niveau local,

 

Contrairement à ce qu’affirme le Premier ministre, le plan de déconfinement ne pourra pas être adapté au plan local. L’essentiel des mesures découle d’orientations nationales par ailleurs très bureaucratique comme par exemple la coloration en vert s ou en rouge des départements. La seule possibilité d’adaptation sera en fait de  confiner encore davantage que ne le prévoit le plan gouvernemental. Ce sera sans doute le cas des écoles car nombres de maires ne voudront pas prendre la responsabilité d’une reprise de la pandémie via les  établissements scolaires d’autant qu’on vient de découvrir très récemment des effets très nocifs chez des enfants eux-mêmes; sans parler des possibilités de transmission du Corona virus à la famille et aux enseignants.

Le plan de déconfinement a vocation à être complété par les autorités locales, les organisations syndicales et patronales et pourra être adapté en fonction des territoires et des circonstances, a pourtant déclaré mardi le Premier ministre Edouard Philippe.

Il n’est pas inutile et même nécessaire de prendre en compte les différences entre les territoires dans la façon dont le déconfinement doit être organisé, a souligné le chef du gouvernement lors de la présentation de “la stratégie nationale de déconfinement” devant l’Assemblée nationale.

Le gouvernement veut laisser aux autorités locales, notamment aux maires et aux préfets, la possibilité d’adapter la stratégie nationale en fonction des circonstances, a-t-il ajouté.

La curieuse dialectique du gouvernement laisse entendre qu’il donne ainsi aux autorités locales c’est-à-dire aux maires est aussi aux préfets  le soin d’adapter les orientations nationales. Comme si les préfets constituaient des autorités locales alors qu’elles ne sont que les commissaires politiques appliquant  les directives du gouvernement et de l’administration centrale.

Villani impose ses conditions à Buzyn

Villani impose ses conditions à Buzyn 

Il se confirme que Villani veut imposer ses conditions à Buzyn . Buzyn elle-même le reconnaît et le regrette. Le problème c’est qu’elle n’a guère de réserves de voix et que la très faible hypothèse d’un succès aux élections municipales de Paris passe par les fourches caudines de Villani, le pestiféré de la république en marche qui a même été exclu. Aujourd’hui évidemment il revient un peu en grâce pour sauver ce qui peut l’être de l’héritage de Griveaux .. Dans un entretien fleuve au Parisien de mercredi 19 février, Agnès Buzyn explique avoir «tendu la main» à Cédric Villani. «Mais il a posé des conditions strictes : ce n’est pas comme cela que je travaille. Je ne suis pas dans le rapport de force. Et là, il a posé un rapport de force», regrette l’ancienne ministre de la Santé. Comme l’avait révélé Le Figaro , les deux candidats s’étaient appelés dès dimanche. Le mathématicien avait demandé à son adversaire de s’aligner sur les principales propositions de son programme, dont «l’agrandissement de Paris». Il avait également exigé qu’elle donne un signe en faveur de «l’ouverture à un accord de second tour avec les Verts pour réaliser les conditions de l’alternance sur une base écologiste et progressiste».

.Il est clair que Villani ne veut pas jouer les roues de secours pour sauver le soldat la république en marche lors des élections municipales de Paris. Il n’a pas pour autant rejeté toute hypothèse d’un rapprochement avec le parti dont il a été exclu mais cela à des conditions draconiennes qui en fait condamnent   Buzyn.

D’abord la nouvelle candidate de la république en marche devra abandonner les mesures phares un peu fumeuses de Griveaux ( les 100 000 € accordés aux candidats à l’accession à la propriété ou encore le déménagement de la Gare de l’Est en campagne, en tout cas qu’en banlieue). Ensuite , Cédric Villani veut de vrais engagements en matière environnementale et agrandir Paris d’une vingtaine de communes.

 

Le point clé, c’est  l’accord qu’il impose au second tour avec les écologistes de telle sorte que Villani soit en position de prendre la tête de cette alliance. Rien n’est certain pour lui; par contre, ce qui est indiscutable, c’est que Buzyn  sera forcément éliminée comme candidate possible à la mairie de Paris.

Brexit: un calendrier ultimatum imposé à Londres

Brexit: un calendrier ultimatum imposé à Londres

 

C’est un véritable ultimatum que lance l’union européenne au Royaume-Uni. Londres aura jusqu’au 12 avril pour organiser des élections européennes en cas de maintien bien sûr ;  dans le cas contraire,  le Royaume-Uni aura jusqu’au 22 mai pour se décider sur l’accord de transition du Brexit. En clair le Royaume-Uni doit rapidement se prononcer sur l’accord de transition. Cette mise en demeure témoigne de l’agacement de l’union économique vis-à-vis des Britanniques qui veulent tout et le contraire. Complètement coincé par les contradictions de son Parlement, Theresa May a bien été contrainte d’accepter cet ultimatum. En fait, la date fatidique est celle du 12 avril qui va contraindre les Britanniques à clarifier enfin leur position. Pas sûr cependant qu’en si peu de temps, Theresa May parvienne à trouver une majorité sur sa position qui consiste à mettre en œuvre un Brexit doux fondé sur l’accord entre le Royaume-Uni et l’union européenne. La stratégie de l’union européenne consiste à mettre le dos au mur des Britanniques condamnés à choisir enfin soit entre un Brexit  sans accord, soit un Brexit  avec l’accord qui ne sera pas modifié. Le risque c’est évidemment d’ouvrir une crise politique au Royaume-Uni qui pourrait imposer de nouveaux rebondissements y compris concernant la position de l’union européenne. Par exemple si Theresa May est déjugée une nouvelle fois, elle pourrait  démissionner, alors de nouvelles élections pourraient être nécessaires et un nouveau délai vraisemblablement accordé par l’union européenne. Bref le feuilleton n’est pas terminé et l’incertitude risque de demeurer encore. Une incertitude grave pour l’avenir des économies respectives du Royaume-Uni et de l’union européenne. Les deux parties ont beaucoup à perdre notamment en termes de croissance alors que la conjoncture est déjà mauvaise. Ainsi la France pourrait voir son PIB affecté de 0,6 % en moins alors que la prévision est déjà seulement de 1,4. Même chose en Allemagne où la prévision de croissance atteinte à peine 1 %.

« On m’a imposé le 49-3″ dit Valls, mensonge !

« On m’a imposé le 49-3″ dit Valls, mensonge !

Pris dans le filet de ses contradictions Manuel Valls a déclaré lors d’une interview sur France 2 jeudi : « on m’a imposé le 49–3 ». Une manière évidemment de reporter toute la responsabilité sur François Hollande. Un gros mensonge évidemment mais c’était le seul moyen de s’en sortir après des explications plus que confuses. En effet Manuel Valls a affirmé dans le cadre de sa campagne électorale qu’il entendait supprimer l’usage de ce 49–3. Une annonce qui en a surpris plus d’un même parmi ses proches. Il a donc tenté d’expliquer que l’usage de cet article de la constitution dont il s’est largement servi notamment lors de la loi travail avait été imposé par le comportement des frondeurs. Ajoutant aussitôt que dans de telles circonstances il n’hésiterait pas à refaire la même chose. Une position qui évidemment contredisait son annonce de suppression de l’article en question. Pour se sortir du piège de ses contradictions,  manuel Valls a alors utilisé l’artillerie lourde en imputant la responsabilité à François Hollande mais en précisant que la décision de recourir au fameux article avait été prise en concertation avec le président de la république, autant dire à sa demande et non à celle de François Hollande. Bref Valls s’est complètement empêtré dans son argumentation. La vérité est évidemment toute autre. On se souvient en effet que c’est Macron qui devait présenter le deuxième volet de sa loi de modernisation économique impliquant y compris les dispositions de la loi. Mais Valls inquiet de la montée de la popularité d’Emanuel Macron lui a retiré le dossier pour le gérer lui-même et bénéficier de l’image de réformateur que conférait cette nouvelle loi. Et pour être certain que cette loi soit adoptée Valls a imposé le 49–trois avant même toute discussion au Parlement. Une manœuvre qui d’ailleurs est grandement à l’origine du départ d’Emmanuel Macron du gouvernement. Face à d’autres contradictions entre  certains points de sa politique et ses promesses, Manuel Valls a sorti un argument  tout aussi spécieux en indiquant : « j’ai changé ». Un changement en quelques semaines difficiles à expliquer et qu’il portera comme un boulet lors de primaire de la gauche. L’utilisation de cet article sur deux textes – concernant la relance de l’Economie et la réforme du Code du travail – lui a beaucoup été reprochée. « J’ai bien compris (…) ce que cela donnait comme sentiment de brutalité, d’autant plus qu’il a fallu l’utiliser dès le début de la discussion parlementaire », a dit jeudi Manuel Valls. « On doit tirer des leçons de l’expérience. » La vraie difficulté pour Manuel Valls c’est qu’il doit slalomer entre son bilan de premier ministre et son nouveau costume de candidat à la primaire de la gauche. Un positionnement périlleux qui explique sans doute que dans toutes les hypothèses il ne pourra se qualifier pour le second tour des présidentielles et qu’il pourrait finir en quatrième voir cinquième position. Comme le démontre les récents sondages

A320 : Air bus impose une réduction de 10% des prix aux équipementiers

A320 : Air bus impose une  réduction de 10% des prix aux équipementiers

 

Air bus qui fait travailler de nombreux équipementiers et des centaines et des centaines de fournisseurs (Airbus ne fait en réalité que du montage, par ailleurs très complexe)   va imposer une réduction drastique des coûts ; cela pour répondre aussi au même plan de Boeing et ainsi maintenir la domination du 320 sur le marché mondial. Un coup dur pour certains fournisseurs car 10% cela est déjà supérieur à la marge. Il faudra donc effectuer de nouveaux investissements de productivité. Airbus a demandé à ses fournisseurs associés à l’A320 de réduire leurs prix d’au moins 10% d’ici 2019 afin d’accroître la rentabilité de ce programme phare du constructeur aéronautique européen, a-t-on appris de trois sources proches du dossier. Boeing a lui-même lancé un programme similaire, « Partner for Success », afin de redéfinir les rapports entre le constructeur américain et ses équipementiers. Ce projet d’Airbus figure dans un programme d’amélioration de l’efficacité interne, appelé SCOPe+, qui prévoit également d’établir de nouvelles relations avec les compagnies aériennes. Airbus a indiqué à ses fournisseurs qu’il pourrait développer le double approvisionnement pour les éléments les plus stratégiques, afin de réduire les coûts et d’éviter des pénuries de pièces en cas d’accélération de la production. Dans le même but, Airbus envisage également de laisser aux compagnies aériennes un choix d’options moins important qu’actuellement pour équiper les appareils. SCOPe+ prévoit d’obtenir des fournisseurs une base de coûts inférieure « d’au moins 10% » en 2019 à celle de 2015, selon des équipementiers et un document d’Airbus consulté par Reuters. Airbus a reconnu l’existence du projet SCOPe+ mais une porte-parole a refusé de commenter les détails de ce plan.

 

Renault: l’Etat impose sa position à Carlos Ghosn

Renault: l’Etat impose sa position à Carlos Ghosn

Finalement c’ est l’Etat qui a gagné en imposant sa position à Carlos Ghosn. Les détenteurs d’action de plus de deux ans auront donc un  droit de  vote double. Reste à savoir si c’est une bonne chose que l’Etat soit monté de 15 à 20% au capital de Renault. Renault est en effet une  entreprise bien gérée qui n’a pas besoin de l’Etat. A l’inverse l’Etat ferait mieux de se préoccuper de sociétés nationalisées  ( ou dans lesquelles elles détient une grande partie  du capital) dont la gestion est calamiteuse. Cependant  l’idée générale du droit au double vote est intéressante car elle permet de limiter l’influence de l’actionnariat à caractère éphémère  et spéculatif, elle peut être utile à la définition de stratégie de long terme. Mais en l’ occurrence Renault actuellement n’a nullement besoin de l’Etatt pour bien gérer son développement et sa compétitivité . Les détenteurs de titres du groupe au Losange, réunis à Paris, ont voté à 60,53% en faveur d’une résolution soutenant le principe « une action, une voix », mais une majorité qualifiée des deux tiers était requise par la loi pour qu’elle soit adoptée. Le taux de participation était de 72,45%, soit sept points de plus qu’en 2014. Le PDG de Renault, Carlos Ghosn, qui rejetait le dispositif des votes doubles, n’a pas fait de commentaire à l’énoncé du résultat du vote, se contentant d’en prendre acte. Le gouvernement sort donc victorieux de l’épreuve de force engagée depuis trois semaines avec le constructeur automobile pour lui imposer les dispositions de la « loi Florange », visant à récompenser l’actionnariat à long terme et à décourager les spéculateurs. Cette loi, promulguée en mars 2014, stipule que tout actionnaire, y compris l’Etat, se voit automatiquement attribuer un droit de vote double à l’issue d’une période de deux ans de détention continue des titres. Seule l’assemblée générale des actionnaires pouvait empêcher l’application de ces dispositions en votant une résolution, en l’occurrence la 12e.     Dans le cas de Renault, le gouvernement avait sorti une botte secrète pour repousser la 12e résolution: augmenter sa part dans le capital de 15 à 19,74%, via un rachat d’actions pour un montant situé entre 814 et 1.232 millions d’euros. Le groupe Renault avait réaffirmé sa position jeudi peu avant l’ouverture de l’assemblée générale et concédé que le vote n’irait sans doute pas dans son sens. Toutefois, « cela ne change pas l’analyse de fond faite par la très large majorité du conseil d’administration », a-t-il dit dans un communiqué. Le 16 avril, le conseil s’était séparé sur une déclaration de soutien à la 12e résolution. Le groupe automobile japonais Nissan, partenaire de Renault, avait également appuyé cette position à l’issue d’une réunion de son état-major.




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol