Archive pour le Tag 'importations'

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Chine: tassement croissance des exportations et importations en août

Chine: tassement croissance des exportations et importations en août

 

Preuve du tassement de la croissance mondiale, la Chine enregistre une progression moins dynamique de son commerce international même si le solde demeure largemenet positif, environ 30 milliards. La Chine a vu en effet  ses exportations comme ses importations s’essouffler fortement en août, selon des chiffres officiels publiés samedi, au moment où son économie pâtit d’une demande morose et reste suspendue à la guerre commerciale exacerbée avec les Etats-Unis. Les exportations ont gonflé de 9,8% sur un an en août, très en-deçà de leur performance de juillet (+12,2%), tandis que les importations du géant asiatique grimpaient de 20%, après un bond de quelque 27% le mois précédent, ont précisé les douanes chinoises. L’excédent commercial du pays est resté stable à 27,9 milliards de dollars, peu ou prou au même niveau qu’en juillet.

Trump veut taxer toutes les importations chinoises

Trump veut taxer toutes les importations chinoises

 

Trump annonce une éventuelle taxation de 500 milliards importations chinoises c’est à dire sur à peu près la totalité. Les importations chinoises sont en effet un peu supérieures à 500 milliards tandis que que les importations américaines en Chine représentent de l’ordre de 150 milliards. Le déficit este effectivement colossal. En cause le dynamisme de la Chines ses conditions économiques plu compétitivité mais aussi il faut bien le dire la délocalisation de nombreuses productions américaines en Chine.  Donald Trump se dit don prêt à imposer des droits de douane sur 500 milliards de dollars supplémentaires (en fait c’est la totalité) de marchandises importées de Chine par les Etats-Unis, affichant sa détermination dans le différend commercial entre les deux pays. Au début du mois, les Etats-Unis ont imposé des droits de douane sur 34 milliards d’importations en provenance de Chine. Pékin a riposté par une mesure de réciprocité. Le conseiller économique de la Maison blanche Larry Kudlow tient le président chinois Xi Jinping pour responsable de l’absence de progrès dans les négociations commerciales entre les deux pays et a averti que Donald Trump “n’allait pas lâcher” l’affaire. La Chine a vu son excédent commercial avec les Etats-Unis atteindre un niveau record au mois de juin, en raison d’une forte augmentation de ses exportations, des données qui devraient attiser les tensions déjà vives entre les deux pays.

Etats –Unis : durcissement des importations d’automobiles

Etats –Unis : durcissement des importations d’automobiles

 

 Pour freiner les importations de voitures étrangères,  les Etats Unis étudient un durcissement des normes démission polluante, ce qi vise en particulier l’Allemagne et le Japon. Trump a demandé à plusieurs organismes d’étudier les lois en vigueur de manière à assujettir les voitures étrangères à des normes d’émission plus rigoureuses. Une telle initiative aurait semble-t-il plus d’impact sur les constructeurs européens qui, globalement, importent plus de voitures à partir d’usines situées en dehors des Etats-Unis, selon des données d’Autodata. Japonais et Coréens ont construit l’an dernier dans des usines nord-américaines 70% environ des véhicules vendus aux Etats-Unis. Pour les Européens, le pourcentage n’est que de 30%. Les constructeurs étrangers ont 17 usines de montage aux Etats-Unis, dont 12 sont propriété d’entreprises asiatiques. Les véhicules importés représentaient 21% des 17,2 millions qui ont été vendus aux Etats-Unis l’an passé, suivant Autodata.

Taxes importations Etats-Unis : Trump va se tirer une balle dans le pied

Taxes importations Etats-Unis : Trump va se tirer une balle dans le pied

Contradictoire et excessif Trump fait du Trump. Une annonce tonitruante et ensuite une rectification du tir pour ne pas se tirer uen balle dans le pied. Certes on ne peut reprocher au États-Unis de faire dans le patriotisme économique d’autant plus que leur balance commerciale est très déséquilibrée non seulement vis-à-vis de la Chine évidemment mais aussi de nombreuses autres zones notamment l’Europe. MaisTrump ne fait pas dans le patriotisme économique (que pratiquent  à peu près tous les pays notamment l’Allemagne ou encore le Japon et la Chine) mais dans le nationalisme économique, c’est-à-dire le repli économique qui conduit tout droit au nationalisme politique et à la guerre. Avec les taxes qu’il propose Trump  pourrait bien se tirer une balle dans le pied. En effet aujourd’hui l’économie se caractérise par la complexification des processus de production qui consistent  à assembler des systèmes de production répartie dans différents pays. Pratiquement,  aucune production un peu sophistiquée n’est pure nationalement. Elle intègre toujours des importations. C’est vrai pour les États-Unis, comme pour la France comme pour la plupart des pays. Du coup,  les intrants vont être affectés d’une taxe nouvelle qui viendra affaiblir la compétitivité des produits finis. En clair,  cela va plomber les exportations et pouvoir d’achat aussi  bien des ménages que des entreprises. Bref,  une balle  dans le pied. Du coup il est vraisemblable qu’après avoir fait dans le nationalisme économique pour contenter ses électeurs, Trump devra accepter de nombreuses exceptions et pas seulement avec le Canada ; sinon  en retour il  subira des mesures de rétorsion qui viendront elles aussi affaiblir la compétitivité  des États-Unis. De toute évidence, Trump un peu difficulté  à comprendre la complexité de l’économie actuelle.

Gaz de schiste : interdiction des importations

Gaz de schiste : interdiction des  importations

L’interdiction des importations de gaz de schiste posent de sérieuses interrogations. Certes elle serait cohérente avec l’interdiction de l’exploitation de ce gaz en France. Pour autant il faudrait modifier la législation européenne mais aussi française ; en outre le gaz de schiste représente environ 40 % des les approvisionnements aussi bien d’EDF que de Engie (il est moins cher !). En outre il sera bien difficile de distinguer ce qui est du gaz de schiste et ce qui est du gaz conventionnel car il s’agit de la même molécule d’où la difficulté de contrôler réellement la nature des importations de gaz. Le gouvernement est plus que jamais mobilisé contre le gaz de schiste. Alors que toute exploration est interdite en France, un autre front s’ouvre contre les importations en provenance des États-Unis. Engie et EDF recevront leurs premières cargaisons, respectivement en 2018 et 2019. Dans les deux cas, la fourniture porte sur plusieurs années, et Ségolène Royal, la ministre de l’Environnement et de l’Énergie, est vent debout contre ces contrats d’approvisionnement. Mardi, lors de la séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, elle a indiqué qu’elle allait «examiner juridiquement la façon dont nous pouvons interdire l’importation de gaz de schiste et, en tout état de cause, ces entreprises (EDF et Engie, NDLR) devront s’orienter vers d’autres marchés pour n’importer que des gaz d’origine conventionnelle». La ministre de l’Énergie est d’autant plus décidée à imposer ses vues que l’État détient 85 % d’EDF et 33 % d’Engie. «Puisque la France interdit la fracturation hydraulique pour des raisons de protection de l’environnement, j’ai interrogé ces deux entreprises sur les raisons pour lesquelles elles n’avaient pas été vigilantes», lors de la négociation de ces contrats, a indiqué Ségolène Royal. La fracturation est pour le moment la seule technologie utilisée pour l’extraction de gaz de schiste. Les défenseurs de l’environnement ne cessent de pointer les dangers qu’elle fait peser sur les nappes phréatiques. Ni EDF ni Engie n’ont réagi officiellement. Et pour cause. Leurs contrats d’approvisionnement portent sur des cargaisons constituées à 40 % de gaz de schiste dit «non conventionnel » et à 60 % de… gaz conventionnel. Si les modes d’extraction sont différents, c’est, dans les deux cas, la même molécule de méthane. Une fois les deux gaz mélangés dans un navire méthanier, il est impossible de séparer le bon grain de l’ivraie.

 

(Avec le Figaro)

 

Chine : exportations et des importations confirment le tassement mondial

Chine : exportations et des importations confirment le tassement mondial

La baisse du commerce extérieur chinois confirme le tassement mondial. Le recul des exportations caractérise la baisse de la demande, aussi de la croissance des pays importateurs. À noter cependant que cette évolution est erratique puisqu’elle avait été marquée par  une augmentation en mars. La baisse très importante des importations révèle que la demande intérieure chinoise n’a pas pris le relais des exportations pour alimenter la croissance. Globalement donc des chiffres qui vont nourrir des interrogations nouvelles sur les perspectives de la croissance mondiale. Les exportations chinoises ont reculé de 1,8% en avril par rapport à avril 2015 tandis que les importations chutaient de 10,9%, selon des données inférieures aux prévisions des économistes publiées dimanche par l’Administration générale des douanes. L’excédent commercial de l’économie chinoise ressort en avril à 45,56 milliards de dollars (39,9 milliards d’euros contre 34 milliards de dollars un an auparavant. Les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une quasi-stagnation des exportations (-0,1%) et sur un recul deux fois moindre des importations, à 5%. En mars, les exportations chinoises avaient bondi de 11,5% sur un an, progressant pour la première fois depuis juin 2015. Mais le mois d’avril a marqué une rechute. Du côté des importations, avril a été le 18e mois consécutif de baisse, soulignant la faiblesse de la demande intérieure en dépit d’un rebond des dépenses d’infrastructures et de la croissance record des crédits enregistrée au premier trimestre.

(Avec Reuters)

 

Chine: grosse chute des importations

Chine: grosse chute des importations

Nouvelle confirmation du très net ralentissement de la croissance chinoise et au-delà de l’activité mondiale. Pour la zone euro en particulier c’est une mauvaise nouvelle qui s’ajoute à celle de la baisse des exportations de l’Allemagne. Les importations de la Chine ont nettement chuté au mois de septembre sur un an, à près de 18%, ont annoncé ce mardi les douanes chinoises, dernier chiffre traduisant le tassement de l’activité dans la deuxième économie mondiale. En valeur, les importations sont tombées à 924 milliards de yuan (environ 128 milliards d’euros), ont indiqué les douanes dans un communiqué. La Chine a également été affectée par l’affaiblissement de la demande sur certains marchés pour ses biens manufacturés, à l’origine de la baisse de ses exportations, qui ont reculé de 1,1% à 1.300 milliards de yuan (180 milliards d’euros), de même source. Première puissance commerciale mondiale, la Chine connaît un ralentissement de sa croissance qui s’est accompagné d’une chute des prix des matières premières, à l’origine d’une onde choc dans beaucoup de pays producteurs. « Les importations de certaines matières premières ont affiché une augmentation en volume et une baisse de leurs prix », a déclaré à la presse le porte-parole des douanes chinoises, Huang Songping.  »Il reste des obstacles à la croissance du commerce extérieur chinois », a ajouté le porte-parole, soulignant toutefois que la baisse mois après mois des exportations du pays se réduisait. L’excédent commercial a quasiment doublé sur un an, à 376,2 milliards de yuan (52,3 milliards d’euros).

Baisse des importations

Baisse des importations

 

Sous l’effet de la crise les importations baissent. Le déficit du commerce extérieur de la France s’est contracté de six milliards d’euros l’an passé pour revenir à son plus bas niveau depuis 2010, sous l’effet d’une baisse des importations (-2,3%) plus forte que celle des exportations (-1,3%), selon les chiffres publiés vendredi par les douanes. A -61,2 milliards d’euros, il marque une nette amélioration par rapport à 2012 et surtout au record de -74,2 milliards enregistré en 2011. Mais il reste loin du niveau des années d’avant-crise (-42,5 milliards en 2007) et représente encore l’équivalent de trois points de PIB. Outre les problèmes de compétitivité de son économie, auquel le gouvernement a décidé de s’attaquer par le « pacte de responsabilité », la France paye le positionnement géographique de son commerce extérieur, notamment le poids qu’y représente une Europe du Sud ébranlée par la récession. Le marasme de la zone euro a également pesé sur les exportations de l’Allemagne, qui ont accusé l’an passé leur premier recul (-0,2%) depuis 2009. Mais la première économie européenne a enregistré néanmoins un excédent commercial record (198,9 milliards) à la faveur elle aussi d’une baisse plus marquée (-1,2%) de ses importations. La ministre du Commerce extérieur, Nicolas Bricq, espère que 2014 sera une année plus porteuse. « Nos zones de chalandise traditionnelles se portent mieux, c’est notamment le cas de la zone euro (47% des exportations françaises), qui renoue avec la croissance », a-t-elle dit au cours d’une conférence de presse. Elle a cité une étude du Trésor prévoyant que la demande extérieure adressée à la France devrait croître cette année de 4%, contre 2% en 2013.   Suite

 

Maraichage : taxes sur les importations de légumes ?

Maraichage : taxes sur les importations de légumes ?

 

Le  syndicat de la FNSEA, dénonce depuis plus de dix ans « les distorsions de concurrence que subissent les producteurs français, tant de la part de certains de leurs concurrents européens que de pays tiers comme le Maroc, à qui l’Union européenne ouvre déjà très -trop !- largement son marché », explique-t-il dans communiqué publié jeudi. Par exemple le coût du travail est de 6 euros par jour au Maroc, de 4 à 6 euros par heure en Allemagne quand il est de 12,50 euros par heure en France, illustre les syndicats. Il est urgent que la Commission européenne réagisse. Le syndicat Légume de France « Conséquence, la production française de légumes se réduit et est très fortement fragilisée pendant que la production allemande progresse (+30% en 15 ans) » et « il est urgent que la Commission européenne réagisse » puisque « elle vient de montrer qu’elle pouvait le faire. ». La Commission européenne a entamé mardi un bras de fer avec la Chine dans le secteur du solaire, en décidant d’imposer des taxes sur les importations de panneaux solaires chinois. Pékin a répliqué mercredi en lançant une enquête antidumping sur les vins importés de l’Union européenne et en agitant le spectre d’une guerre commerciale avec le Vieux continent.

 

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