Archive pour le Tag 'implantation'

« Uber Files » : Implantation accélérée favorisée par Macron , Valls et Cazeneuve

« Uber Files » : Implantation accélérée favorisée par Macron , Valls et Cazeneuve

Cazeneuve et Valls ont été entendu a propos de l’implantation expresse d’UBER France qui aurait été favorisée par le gouvernement notamment quand Macon était ministre de l’économie . Après avoir mis en cause les liens entre Emmanuel Macron, à l’époque ministre de l’Economie, et Uber, c’était au tour des anciens ministres Manuel Valls et Bernard Cazeneuve, de répondre aux questions d’une commission d’enquête à l’Assemblée nationale. Les deux politiques ont nié jeudi l’existence d’un « deal » entre le gouvernement et Uber en 2015 pour faciliter l’activité de la firme américaine en France.

Auditionné en sa qualité d’ancien ministre de l’Intérieur, dont le rôle était de réglementer la profession des taxis à l’époque, Bernard Cazeneuve est longuement revenu sur le conflit entre taxis et VTC dont le paroxysme a été atteint en juin-juillet 2015.

A cette époque, le service Uber Pop de l’entreprise américaine permettait à des particuliers de transporter des clients à des prix défiant toute concurrence.

Après plusieurs mois de conflits, Uber avait fini par fermer son service Uber Pop en juillet 2015. En échange de la suppression d’Uber Pop, Macron aurait promis de simplifier les conditions nécessaires à l’obtention d’une licence VTC.

« Est-ce qu’il y a eu l’évocation d’un deal au gouvernement ? A ma connaissance jamais », a insisté devant des députés Bernard Cazeneuve.

« Il ne pouvait y avoir de deal sans le ministre de l’Intérieur », a-t-il souligné, rappelant qu’il « n’y a pas à avoir de deal avec des acteurs qui, au motif qu’ils étaient financièrement puissants, estimaient qu’ils étaient au-dessus des lois ».

« Je n’ai jamais eu connaissance d’un deal en 2015 et je ne l’aurais pas accepté », a également assuré le Premier ministre à l’époque, Manuel Valls, devant la commission d’enquête.

« Il n’est pas incongru que des échanges entre des entreprises, et en occurrence la société Uber, et les pouvoirs publics aient eu lieu et que ces échanges se soient prioritairement déroulés à Bercy », « ça me choque pas », a-t-il expliqué, même s’il n’était « pas au courant de ces échanges ».En clair Cazeneuve charge discrètement Macron.

Il a toutefois évoqué un « comportement à la hussarde » de la plateforme américaine, caractérisé par une « politique du fait accompli » avec « peu d’égard pour notre droit ».

Législatives partielles: le manque d’implantation locale de La République en marche

Législatives partielles: le manque d’implantation locale La République en marche

 

Suite à l’échec  enregistré par la république en marche lors des élections législatives partielles de dimanche dernier, certains observateurs ont souligné que l’un des facteurs explicatifs pouvait provenir d’un manque d’implantation locale. Il faudrait dire même d’une absence totale d’implantation locale. En effet le parti en marche reste une organisation uniquement centralisée sans aucune structure locale, départementale ou régionale. Le seul local est un référent lui-même désigné au plan national par des responsables autos proclamées. À la base, il n’y a pratiquement pas de relais dans la république en marche, pratiquement pas de débat, surtout pas de délibération. Bref c’est un parti hors-sol au plus composé essentiellement d’individus de catégorie sociale supérieure sans réel passé collectif et sans expérience politique. Bref un parti hors-sol qui tient essentiellement à l’aura de Macon. Deux candidats de La République en marche ont en effet été défaits dimanche aux élections législatives partielles. Candidate à sa réélection dans la première circonscription du Val-d’Oise, Isabelle Muller-Quoy (48,55%) a été battue par le candidat des Républicains, Antoine Savignat (51,45 %). Dans la 1re circonscription de Belfort, le candidat sortant LR Ian Boucart l’a emporté avec 58,93 % des voix au second tour face au candidat MoDem-LREM Christophe Grudler (41,07 %). Dimanche soir, les boucles Telegram des députés de La République en marche ont vu défiler plusieurs dizaines de messages. Tous ont commenté les mauvais résultats des deux élections législatives partielles qui se jouaient ce jour-là. Dans le Territoire de Belfort, la défaite n’est pas une surprise. Dans le Val-d’Oise en revanche, c’est une vraie déception. Mais pas de là à susciter une inquiétude au sommet du pouvoir. Il est clair pourtant que dans le Val-d’Oise, si une partie des électeurs ne s’est pas déplacée, ignorant même qu’il y avait une élection ce jour-là, d’autres ont pu manifester leur mauvaise humeur face à la hausse de la CSG ou du diesel. « Ce sont les plus en colère qui ont été aux urnes ».

 

 




L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol