Archive pour le Tag 'imminente'

Israël : Attaque imminente sur Rafah ?

Israël : Attaque imminente sur Rafah ?

Israël seraient prête à une invasion sur Rafah. Reste à donner le feu vert politique. Toutefois la décision finale pourrait être influencée par les pressions internationales de plus en plus fortes sur le gouvernement israélien. À l’inverse par contre, les négociations étant au point mort on voit mal comment les deux partis pourraient témoigner d’une véritable volonté  de mettre fin aux hostilités et d’engager des négociations.
 Deux unités de réservistes ont été rappelées pour servir dans la bande de Gaza, alors que l’armée avait tendance à diminuer ses effectifs ces dernières semaines. Tsahal a également commandé quelque 40.000 tentes afin d’accueillir une partie des quelque 1,5 million de Palestiniens fuyant les combats et réfugiés à Rafah. Quelque 150.000 d’entre eux ont déjà quitté cette ville pour s’installer à Khan Younes notamment, selon les estimations israéliennes. Des photos satellite ont permis de repérer un large terrain dégagé dans ce secteur qui devrait servir à dresser un vaste camp de toile.
Pour les militaires israéliens et Benyamin Netanyahou, mais aussi pour le Hamas, Rafah a valeur de symbole. Israël estimé que 4 des 6 «brigades» de l’appareil militaire du Hamas encore intactes se trouvent dans cette ville où se cacherait également Yahya Sinwar, le chef islamiste cerveau de l’incursion de commandos du Hamas qui ont perpétré le massacre le 7 octobre dans le sud d’Israël.

Etats-Unis : La récession n’est pas imminente mais …..

Etats-Unis : La récession n’est pas imminente mais …..

 

Les responsables politiques américains comme les banquiers centraux s’efforcent de rassurer en indiquant que la  récession n’était pas imminente aux États-Unis.  La question de la baisse des taux ne serait pas liée à ce risque. En tout cas ce que prétend Mary Daly, la présidente de la Fed de San Francisco, qui a déclaré mardi qu’elle s’était prononcée en faveur de la baisse de taux annoncée fin juillet dans le but de favoriser la poursuite de la croissance et non parce qu’elle croyait à l’imminence d’une récession. “Mon soutien à cette baisse est fondé sur mon désir de voir notre expansion économique se poursuivre, et pas parce que je vois une crise poindre à l’horizon”, a-t-elle dit.

La récession n’est sans doute pas imminente mais c’est une hypothèse qui devient de plus en plus crédible à l’échéance de 2021 pour beaucoup d’experts. La croissance est encore dynamique aux États-Unis, elle est sur une tendance de 2 % de la progression du PIB mais cette tendance pourrait être ramenée à 1 % en 2020 et pourrait tutoyer la récession en 2021. En cause,  la fin d’un site économique au plan mondial mais surtout les tensions commerciales entre la Chine et les États-Unis qui affectent l’ensemble du commerce international et les croissances internes. Le problème,  c’est que le président américain est en campagne électorale et qu’il doit multiplier les annonces populistes. Des annonces par ailleurs brouillées  par des contradictions permanentes qui déstabilisent les marchés. Il en sera ainsi jusqu’aux élections. Du coup,  le président américain réclame une forte baisse des taux qui jusque-là n’a pas trouvé d’écho à la Fed qui a seulement abaissé son taux directeur de 0,25 points. Cependant des voix se font entendre dans le sens des appels de Trump.

Evoquant des signaux économiques et financiers “mitigés”, Neel Kashkari, le président de la Fed de Minneapolis, a laissé entendre jeudi qu’il apporterait son soutien à une poursuite de la baisse des taux d’intérêt afin de soutenir la croissance. Les tensions commerciales incitent les entreprises à la prudence et l’inversion de la courbe des rendements obligataires américains qui a secoué les marchés cette semaine “est un indicateur de la nervosité des gens” même si le marché de l’emploi et la consommation des ménages restent solides, a-t-il dit à la radio publique de Minneapolis.

Les responsables de la Fed, lors de la prochaine réunion de politique monétaire, en septembre, devront étudier toutes les données disponibles avant de prendre une décision, a-t-il expliqué.

“Je penche en faveur du camp des ‘oui, nous devons apporter plus de stimulation à l’économie, plus de soutien, nous devons prolonger l’expansion et non permettre à une récession de nous toucher’”, a-t-il dit. Notons le signe avant-coureur de l’inversion des courbes des taux est assez controversé. Certains le jurent trop temporaires d’autres obsolètes. Jusque-là les experts considéraient en effet que le risque de récession apparaissait lorsque le coût de l’argent prêté à long terme devenait plus cher que le coût de l’argent prêté à court terme.

Affaire Fillon : décision imminente de la justice

Affaire Fillon : décision imminente de la justice

D’après le JDD,  la décision du parquet national financier (PNF) sur l’affaire Fillon devrait intervenir cette semaine, le PNF opterait pour des poursuites contre les époux Fillon. Même les proches de l’ancien Premier ministre semblent désormais écarter l’hypothèse d’un classement sans suite. Après dix-sept jours d’enquête et d’auditions, deux scénarios seraient à l’étude : soit l’ouverture d’une information judiciaire, confiée à un ou des juges d’instruction ; soit une citation directe devant le tribunal correctionnel. Dans le premier cas, l’information serait ouverte contre personnes dénommées et non « contre X » ; il appartiendrait alors aux magistrats instructeurs de convoquer les intéressés pour les mettre en examen. Dans le second cas, le calendrier s’annonce serré. Au plus tôt, une citation directe pourrait donner lieu à un procès dans un délai de onze jours. L’audience pourrait durer plusieurs jours et le délibéré avant la décision, plusieurs semaines. Quasi inenvisageable, donc, avant le 17 mars, date butoir pour le dépôt des candidatures à la présidentielle. Ensuite, la justice peut choisir (ou non) d’observer une « trêve électorale » et s’interdire toute poursuite avant le scrutin

Bruxelles : menace terroriste imminente

Bruxelles :  menace terroriste  imminente

Les attentats de Paris ont clairement mis en évidence le rôle de la filière terroriste belge. Et du coup la Belgique a bien été obligée de reconnaître que d’une certaine manière elle constituait  un base  stratégique pour l’organisation des attentats en Europe. Mais en prenant des mesures sécuritaires qui bousculent la tranquillité des terroristes la Belgique s’expose maintenant à de sérieuses menaces, menaces reconnues et même identifiées par le gouvernement. Cela d’autant plus que des terroristes impliqués dans les attentats de Paris semblent s’être réfugiés en Belgique. Originaire de la commune bruxelloise de Molenbeek, Salah Abdeslam, 26 ans, est en fuite et fait l’objet d’un appel à témoins lancé dimanche dernier par la police française. Son frère Brahim s’est fait exploser le 13 novembre au Comptoir Voltaire, un café du XIe arrondissement de Paris. , Un autre homme originaire de Molenbeek, Bilal Hadfi, figure parmi les kamikazes du Stade de France à Saint-Denis. Le niveau d’alerte dans la capitale belge a donc été relevé au niveau 4, le plus élevé, à l’issue d’une réunion rassemblant des ministres et des responsables de la police et des services de sécurité.   »Cela résulte d’informations, relativement précises, d’un risque d’attentat tel que cela s’est déroulé à Paris. On parle donc de menace portant sur une hypothèse où plusieurs individus avec des armes et des explosifs démarrent des actions, peut-être même à plusieurs endroits en même temps », a déclaré le Premier ministre Charles Michel lors d’une conférence de presse.  Sans donner d’autres détails, Charles Michel a déclaré que le degré d’alerte serait réévalué dimanche après-midi. D’ici là, le métro bruxellois restera fermé, conformément aux recommandations de la cellule de crise gouvernementale.   »Le conseil à la population est d’éviter autant que possible les lieux où beaucoup de gens se rassemblent comme les centres commerciaux, les concerts, les événements ou les stations de transport public », a indiqué ce centre de crise. Outre la fermeture du métro, il a recommandé le report des matches de football prévus ces deux jours, l’annulation de toutes les manifestations publiques ainsi que le déploiement de soldats et policiers supplémentaires. Des boutiques ont commencé à fermer leurs portes à la mi-journée. Le ministre des Affaires étrangères, Didier Reynders, a dit que 1.000 soldats étaient mobilisés pour des patrouilles, soit le double des effectifs déployés une semaine plus tôt.  L’ensemble de la Belgique est placé en alerte de niveau 3 depuis les attentats en France.  Quant à la ville de Bruxelles, où siègent l’Otan et les institutions européennes, elle n’avait pas été placée en état d’alerte maximale depuis fin 2007-début 2008, pendant une période d’un mois environ.




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