Archive pour le Tag 'Immigration'

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Immigration et Société: il faut aimer la France ou partir ?

Immigration et Société: il faut aimer la France ou partir ?

À force de compromis et même de compromission avec les valeurs fondamentales de la république, s’installe en France une sorte de société multiculturelle hétéroclite à la mode américaine où finalement les lois et les pratiques diffèrent selon les communautés et même s’affrontent. Certes dans un pays démocratique comme la France on peut évidemment contester tel ou tel choix politique pour autant l’adhésion au principe républicain notamment la laïcité n’est pas négociable. C’est l’un des champs prioritaires et une condition de l’exercice de la liberté. En clair, lois et pratiques républicaines s’imposent face aux différentes croyances et religions et cela maintenant depuis plus de 100 ans.

Jusque-là ce qui faisait la caractéristique fondamentale de la France, c’était son caractère universel reposant sur des valeurs et des traditions communes. Le laxisme des responsables politiques mais tout autant d’une partie de la société est passé ainsi du concept d’assimilation que cela supposait à celui d’intégration puis de coexistence plus ou moins passive et parfois violente.

On ne peut laisser aux extrêmes le soin d’en rappeler aux valeurs fondamentales sans risque d’instrumentalisation au service d’idéologie illibérale. Mais cela suppose un réveil de toutes les sensibilités politiques républicaines. Un réveil, une lucidité et du courage.

En clair, le pays doit réaffirmer son originalité universelle et les valeurs qui la fondent. Rien n’est négociable de ce point de vue. Cela suppose une adhésion totale aux principes républicains et autres valeurs de la France.

Il faut aimer la France ou bien en partir. Personne n’est obligé, français de souche ou pas, à demeurer dans un pays qu’il déteste et dont il combat les principes fondateurs. Il y a suffisamment de place dans le monde pour trouver un espace géographique conforme à ses convictions. Notamment pour ceux qui sont hostiles à la démocratie, aux libertés individuelles et collectives et à la laïcité. D’autres modèles existent plus conforme aux attentes de certains : en Chine, en Russie, en Iran, au Moyen-Orient, en Afrique et dans d’autres pays . L’inverse vaut aussi pour les Français expatriés. Si ces Français consentent à vivre dans des pays aux principes différents. Ils doivent eux aussi respecter lois et traditions, sinon eux aussi partir. On ne peut pas faire nation avec des communautés qui refusent la loi commune tout en profitant des progrès qu’elle permet. Les principes de base doivent être rappelés dès l’école. Il ne s’agit pas simplement de faire connaître ce qui fait nation mais de faire aimer ce qui la rend possible.

Immigration : du bricolage vite fait ce lundi

Immigration : du bricolage vite fait ce lundi

Il est probable qu’on va enregistrer ce lundi un accord entre le gouvernement et les républicains sur un texte très bricolé qui aura encore perdu une grande partie de son objectif en renforçant les contradictions. L’opinion publique pousse pour un accord mais reste à savoir si elle sera aussi enthousiaste vis-à-vis d’un contenu très édulcoré.

La Situation est délicate pour Macron après la claque politique reçue suite au rejet de la proposition de loi du gouvernement par l’Assemblée nationale. D’une certaine manière, il s’agit de mettre en contradiction les républicains du Sénat avec les républicains de l’Assemblée nationale. Le chef de l’État et le gouvernement ont donc choisi de prendre le texte adopté par le Sénat comme base de départ puisqu’il avait évidemment le soutien des sénateurs républicains. Dans le cadre d’une commission mixte paritaire qui réunit sénateurs et députés, on va donc partir du texte en position délicate si les députés décident de voter contre le texte de leurs collègues du Sénat.

La manœuvre est délicate mais peut réussir. En effet l’opposition des républicains à l’Assemblée nationale s’explique surtout pour des motifs politiciens. Sur le fond, il n’y a guère de divergences avec le gouvernement. Mais les républicains veulent trouver une occasion d’importance comme celle du débat sur l’immigration pour bien montrer leurs différences avec la majorité de Macron et préserver ainsi leurs chances pour les prochaines élections à commencer par les européennes. Tout cela relève d’un calcul politique subtil que l’opinion n’est pas forcément en mesure d’apprécier.

Pour emporter l’adhésion maintenant de tous les républicains, le gouvernement sera bien contraint de durcir encore son texte d’autant que cela est souhaité par l’opinion.

Le président de la république voudrait que l’affaire soit bouclée pour la fin de l’année mais les délais paraissent assez difficiles à tenir est la question risquent d’enjamber les fêtes de fin d’année.

Politique et Immigration : du bricolage vite fait

Politique et Immigration : du bricolage vite fait

Situation délicate de Macron après la claque politique reçue suite au rejet de la proposition de loi du gouvernement par l’Assemblée nationale. D’une certaine manière il s’agit de mettre en contradiction les républicains du Sénat avec les républicains de l’Assemblée nationale. Le chef de l’État et le gouvernement ont donc choisi de prendre le texte adopté par le Sénat comme base de départ puisqu’il avait évidemment le soutien des sénateurs républicains. Dans le cadre d’une commission mixte paritaire qui réunit sénateurs et députés, on va donc partir du texte en position délicate si les députés décident de voter contre le texte de leurs collègues du Sénat.

La manœuvre est délicate mais peu réussir. En effet l’opposition des républicains à l’Assemblée nationale s’explique surtout pour des motifs politiciens. Sur le fond, il n’y a guère de divergences avec le gouvernement. Mais les républicains veulent trouver une occasion d’importance comme celle du débat sur l’immigration pour bien montrait leurs différences avec la majorité de Macon et préserver ainsi leurs chances pour les prochaines élections à commencer par les européennes. Tout cela relève d’un calcul politique subtil que le pignon n’est pas forcément en mesure d’apprécier. Cependant emporter l’adhésion maintenant de tout les républicains, le gouvernement sera bien contraint de durcir encore son texte d’autant que cela est souhaité par l’opinion.

Le président de la république voudrait que l’affaire soit bouclée pour la fin de l’année mais les délais paraissent assez difficiles à tenir est la question risquent d’enjamber les fêtes de fin d’année.

Projet de loi Immigration : 74% des Français pour un referendum

Projet de loi Immigration : 74% des Français pour un referendum

Les Français ne font guère confiance au gouvernement pour aboutir à un texte satisfaisant sur l’immigration. Le texte initial qui a été rejeté par l’Assemblée nationale ne recueille d’ailleurs que 25 % de soutien. Selon Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro , les trois quarts des Français (74%) demandent à être directement consultés sur le sujet.

Toutefois, si une courte majorité du pays (53%) estime que la motion de rejet a été «une bonne chose», seuls 28% des sondés se disent favorables à l’abandon pur et simple d’une loi. Dans le détail, le projet «d’équilibre» défendu par le gouvernement est moins populaire (25%) que celui, plus coercitif, que réclament Les Républicains (45%).

Au-delà du regard qu’ils portent sur le fond des mesures, les Français s’accordent dans leur sévérité vis-à-vis de l’exécutif. Une majorité d’entre eux pointe ainsi un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Immigration: Les Français veulent un changement de gouvernement

Globalement peu de français soutiennent le projet de texte qui a été rejeté par l’Assemblée nationale. Pire, maintenant ils souhaitent un changement de gouvernement et notamment de première ministre. D’après un sondage Odoxa-Backbone Consulting , Une majorité des Français estiment que le gouvernement a subi un grave échec; un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Immigration :74% des Français pour un referendum

Immigration :74% des Français pour un referendum

Les Français ne font guère confiance au gouvernement pour aboutir à un texte satisfaisant sur l’immigration. Le texte initial qui a été rejeté par l’Assemblée nationale ne recueille d’ailleurs que 25 % de soutien. Selon Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro , les trois quarts des Français (74%) demandent à être directement consultés sur le sujet.

Toutefois, si une courte majorité du pays (53%) estime que la motion de rejet a été «une bonne chose», seuls 28% des sondés se disent favorables à l’abandon pur et simple d’une loi. Dans le détail, le projet «d’équilibre» défendu par le gouvernement est moins populaire (25%) que celui, plus coercitif, que réclament Les Républicains (45%).

Au-delà du regard qu’ils portent sur le fond des mesures, les Français s’accordent dans leur sévérité vis-à-vis de l’exécutif. Une majorité d’entre eux pointe ainsi un «échec» pour Gérald Darmanin (62%), mais aussi Élisabeth Borne (62%) et Emmanuel Macron (61%). Plus d’un sondé sur deux (54%) estime même que le chef de l’État aurait dû accepter la démission du ministre de l’Intérieur, qui la lui a présentée au soir du camouflet reçu au Palais Bourbon.

Résultat, dans le contexte actuel, le pays réclame un remaniement gouvernemental d’ampleur, avec un changement de premier ministre (63%). Quelque 56% disent aussi souhaiter une dissolution de l’Assemblée nationale, en dépit de la fin de non-recevoir que le président de la République a opposée sur ce sujet aux demandes du Rassemblement national et de La France Insoumise.

Conscientes de la victoire qu’ils ont remportée face à l’exécutif – une première depuis le début de la législature -, les différentes forces d’opposition tentent depuis de capitaliser sur la séquence. Notamment auprès de leurs électorats respectifs qui, contrairement aux Français dans leur ensemble, leur en savent plutôt gré : Marine Le Pen est saluée par 66% des sympathisants RN contre 36% du pays ; Jean-Luc Mélenchon par 45% (Nupes) contre 31% ; et Éric Ciotti par 36% (LR) contre 21%. Une opération que chacun aura donc réussi auprès de sa base.

Immigration : du bricolage vite fait pour réparer la claque politique reçue par Macron

Immigration : du bricolage vite fait pour réparer la claque politique reçue par Macron

De Macon et délicate après la claque politique reçue suite au rejet de la proposition de loi du gouvernement par l’Assemblée nationale. D’une certaine manière il s’agit de mettre en contradiction les républicains du Sénat avec les républicains de l’Assemblée nationale. Le chef de l’État et le gouvernement ont donc choisi de prendre le texte adopté par le Sénat comme base de départ puisqu’il avait évidemment le soutien des sénateurs républicains. Dans le cadre d’une commission mixte paritaire qui réunit sénateurs et députés, on va donc partir du texte en position délicate si les députés décident de voter contre le texte de leurs collègues du Sénat.

La manœuvre est délicate mais peu réussir. En effet l’opposition des républicains à l’Assemblée nationale s’explique surtout pour des motifs politiciens. Sur le fond, il n’y a guère de divergences avec le gouvernement. Mais les républicains veulent trouver une occasion d’importance comme celle du débat sur l’immigration pour bien montrait leurs différences avec la majorité de Macon et préserver ainsi leurs chances pour les prochaines élections à commencer par les européennes. Tout cela relève d’un calcul politique subtil que le pignon n’est pas forcément en mesure d’apprécier. Cependant emporter l’adhésion maintenant de tout les républicains, le gouvernement sera bien contraint de durcir encore son texte d’autant que cela est souhaité par l’opinion.

Le président de la république voudrait que l’affaire soit bouclée pour la fin de l’année mais les délais paraissent assez difficiles à tenir est la question risquent d’enjamber les fêtes de fin d’année.

Rejet loi immigration : la confusion la plus totale pour l’opinion

Rejet loi immigration : la confusion la plus totale pour l’opinion

On ne connaît pas encore quelles seront les grandes tendances de l’opinion après le rejet de la loi immigration par l’assemblée nationale. Cependant il y a de fortes chances que cette opinion en conclut à la responsabilité de tous. Ce vote est en effet plein de contradictions comme la loi elle-même. C’est le type même d’actes politiques qui contraint à voter contre ses convictions. Pas facile à comprendre.

Il y a d’abord le texte très ambigu des pouvoirs publics qui annoncent à la fois davantage de laxisme et davantage de fermeté. Bref-le en même temps cher à Macon à la fois inefficace et en plus qui embrouille. Le gouvernement avait été contraint de modifier des articles du projet initial et de vider la loi d’une grande partie de son contenu. En outre, le gouvernement avait aussi refusé qu’on annule l’exception dont jouissent les les Algériens alors qu’ils représentent une grande part de la communauté des immigrés. Le rapprochement familial comme le droit d’asile sont aussi en cause, ils sont largement discutables dans le concret.

Les républicains de l’Assemblée nationale de leur côté ont souhaité davantage de fermeté, c’est-à-dire encore plus de fermeté au Sénat ils étaient à l’origine du texte de synthèse adoptée. Bref deux types d’attitude des « républicains ». Difficile de comprendre le refus d’une loi dont en gros ils appréciaient les principes. Évidemment, c’est pire pour le Front National qui souhaite une plus grande rigueur et qui s’oppose au texte qui la prévoit en partie. La gauche et notamment les « insoumis » ont également voté contre mais pour des motifs inverses, c’est-à-dire pour une plus grande bienveillance vis-à-vis de l’immigration y compris clandestine.

Certes les spécialistes de la politique parviennent sans doute à démêler les fils de ces immenses contradictions mais l’opinion retiendra sans doute que le système politique s’est montré complètement impuissant à gérer une question pourtant fondamentale car il ne s’agit pas seulement de gérer un stock ou un flux de personnes d’origine étrangère mais de leur influence sur ce qui fonde les valeurs républicaines et traditionnelles du pays. Bref, faute d’intégration et même assimilation, une menace de changement sociétal.

Immigration: un projet de loi sauf pour l’Algérie !

Immigration: un projet de loi sauf pour l’Algérie !


Le projet de loi de Darmanin av ait par avance dans l’aile. Le gouvernement a échoué pour trouver une majorité pour faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens; le même gouvernement a rejeté la dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour. Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Immigration: Pourquoi un projet de loi sauf pour l’Algérie !

Immigration: Pourquoi un projet de loi sauf pour l’Algérie !


Le projet de loi de Darmanin a de plus en plus de plomb dans l’aile.Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté la dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Pourquoi un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Pourquoi un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Politique-Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Politique-Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !

Un projet de loi immigration sauf pour l’Algérie !


Alors que le gouvernement est toujours à la recherche d’une majorité pour tenter de faire passer une loi immigration grandement vidée de son sens, le même gouvernement a rejeté La dénonciation de l’accord spécifique entre la France et l’Algérie passée en 1968 et qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France. La proposition de résolution a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.
Autant dire que c’est une deuxième fois qu’on vide le projet immigration de son sens. Et cela d’autant plus que les immigrés algériens représentent une très forte partie des arrivants sur le territoire.

Évidemment il s’agit de ménager la chèvre et le chou c’est-à-dire les intérêts politiques réciproques mais aussi les intérêts économiques notamment l’approvisionnement en gaz.

L’accord De 1968écarte les Algériens du droit commun en matière d’immigration. Ils n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des «certificats de résidence».

Ils peuvent notamment s’établir librement pour exercer une activité de commerçant ou une profession indépendante et ils accèdent plus rapidement que les ressortissants d’autres pays à la délivrance d’un titre de séjour de 10 ans.

C’est «presque un droit automatique à l’immigration», aux yeux des députés LR, à l’heure où le projet de loi du gouvernement, qui doit poursuivre sa route le 11 décembre en séance à l’Assemblée, vise à mieux «contrôler l’immigration». Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un «signal» à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Projet de loi immigration : déjà abandonné

Projet de loi immigration : déjà abandonné

Comme c’était prévisible, le nouveau projet de loi immigration fait un flop retentissant. La première raison est juridique. En effet, la constitution ne permet pas aujourd’hui de procéder à des référendums sur certaines questions sociétales. Pour organiser un référendum sur l’immigration, il faut modifier la constitution. Il n’était d’ailleurs pas certain que le pouvoir réussisse à trouver une majorité pour changer la constitution. Conclusion on a fait beaucoup d’agitation à des fins politiciennes sur un sujet complexe et sensible qui a déjà fait l’objet d’une trentaine de lois, avec le succès que l’on sait ! !

Ensuite il y a dans la société et dans les partis politiques des orientations très différentes sur ce sujet y compris sur les conditions de régulation des immigrés ayant un travail mais aussi sur le regroupement familial et même sur les étudiants étrangers. Même au sein des macronistes , les points de vue sont loin d’être unanimes.

Bref si l’idée d’une régulation de l’immigration est partagée, les points de vue séloignent sur les orientations.

Après le fiasco de la rencontre de Saint-Denis, il n’est pas sorti grand chose de positif et une des rares décisions aura été justement d’annuler la perspective d’un référendum sur l’immigration.

Bref un consensus mais pour rien faire !

Société-La loi immigration ne changera rien (Pierre Brochand ex-DGSE)

Société-La loi immigration ne changera rien (Pierre Brochand ex-DGSE)

Pour l’ex-directeur général de la Direction générale de la sécurité extérieure, le projet de loi immigration présenté par Gérald Darmanin ne changera en rien la donne sur le défi migratoire, à ses yeux vital pour notre nation. (dans le Figaro)

Il fait ses propositions pour changer drastiquement nos politiques publiques.

Pierre Brochand a été directeur général de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) de 2002 à 2008, ainsi qu’ambassadeur de France, notamment, en Hongrie et en Israël. Il est intervenu lors d’un colloque de la Fondation Res Publica sur le thème : « Pour une véritable politique de l’immigration ».

Que vous inspire le projet de loi sur l’immigration actuellement en débat au Sénat ?

Pierre BROCHAND. – Sans m’immiscer dans un débat politique qui n’est pas le mien, je dois constater que le projet s’inscrit, pour l’instant, dans le prolongement des 29 précédents, sous bannière du même oxymore : assouplir et durcir.

Les assouplissements sont spectaculaires, puisqu’ils prévoient de régulariser les « clandestins qui travaillent » et faire accéder à l’emploi certains « demandeurs d’asile » : soit, dans un cas, récompenser la fraude et, dans l’autre, rendre encore plus difficile la mise en œuvre d’éventuelles OQTF. …

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