Archive pour le Tag 'immédiate'

Un projet de loi sur la «comparution immédiate» des mineurs ?

Un  projet de loi sur la «comparution immédiate» des mineurs ?

Pour le Premier ministre, l’idée est  d’œuvrer à un « sursaut d’autorité » face à « l’addiction à la violence » de certains jeunes. Il souhaite ainsi « que dans certains cas, par exemple dans les cas de violence aggravée, quand vous avez plus de 16 ans, quand vous êtes récidiviste, il puisse exister une procédure, un peu comme une comparution immédiate ». Gabriel Attal tient à souligner que ce faisant, « le tribunal se prononce à la fois sur la culpabilité et la sanction, tout de suite après l’infraction ».

Une mesure fortement critiquée par les syndicats de magistrats. Pour l’Union syndicale des magistrats (USM, majoritaire), la comparution immédiate et l’atténuation de l’excuse de minorité sont des « lignes rouges ». « Les jeunes ne sont pas confrontés assez vite à leur punition », estimait pour sa part la magistrate Béatrice Brugère dans l’Opinion.

 

 

Climat, un problème urgent et immédiat et non pour la fin du siècle ! 

Climat, un problème urgent et immédiat et non pour la fin du siècle ! 

Les événements météorologiques extrêmes illustrent la violence du dérèglement climatique déjà en cours et démontrent l’urgence d’une refonte de nos sociétés et de nos modes de vie, alertent, dans une tribune au « Monde », le philosophe Dominique Bourg, la climatologue Marie-Antoinette Mélières et l’écologiste Franck Pupunat.

Le cyclone Otis, qui a ravagé fin octobre Acapulco, est passé en vingt-quatre heures de la catégorie 3 à la catégorie 5. Début novembre, la tempête Ciaran a dévasté une part des côtes françaises et a étendu ses dégâts bien au-delà, à l’intérieur des terres. Même si les tempêtes n’augmentent pas en nombre, ces événements nous rappellent la violence du dérèglement climatique. Non seulement, absorbés que nous sommes par les conflits en cours, nous avons la tête ailleurs, mais, en outre, notre façon de communiquer sur le climat contribue à détourner notre attention.

Continuer à parler d’objectifs pour la fin du siècle, alors que nous sommes d’ores et déjà entrés dans le dur des événements extrêmes, est inadéquat. Le climat est une question immédiate, et non pour la fin du siècle ! Les signaux d’un nouveau système climatique sont manifestes. L’objectif du 1,5 °C de réchauffement n’a plus de sens. Les températures globales moyennes actuelles sur dix ans montrent que le 1,2 °C est déjà atteint.

Fin octobre, les températures moyennes de l’année en cours étaient déjà supérieures de plus de 1,34 °C à la moyenne des températures du XXe siècle, et de 1,54 °C par rapport au XIXe siècle, selon la National Oceanic and Atmospheric Administration, l’agence américaine qui étudie notamment les cyclones. Les 2 °C pour le milieu du siècle sont dans les tuyaux. Et, comme nous allons le voir, les expressions du dérèglement climatique sont déjà hautement destructrices. Or, elles n’augmenteront pas de façon linéaire. Quel est leur état actuel ?

Concernant l’ensemble des océans qui s’étendent entre les latitudes de 60° sud et 60° nord, la température moyenne de surface s’est élevée de près de 0,25 °C par rapport à l’année précédente, à partir d’avril, alors que l’inertie thermique des océans est plus grande que celle des continents 

Russie – Alexeï Navalny : l’ONU demande la libération immédiate

Russie – Alexeï Navalny : l’ONU demande la libération immédiate

 

Le  Haut-Commissariat, dirigé par l’ancienne présidente du Chili Michelle Bachelet, l’ONU demande la libération immédiate de naval ni empoisonné par les services secrets russes, soignés ensuite en Allemagne et arrêter aussitôt son retour en Russie.

 

Ce militant anti-corruption et ennemi juré du Kremlin a été interpellé à son arrivée à Moscou dimanche après quasiment cinq mois de convalescence en Allemagne à la suite de son empoisonnement. Il accuse le président Vladimir Poutine d’avoir ordonné son assassinat au poison Novitchok en août, ce que la Russie dément. Le FSIN, le service pénitentiaire russe, lui reproche d’avoir violé des mesures de contrôle judiciaire en allant se faire soigner à l’étranger.

 

Notons que dans le même temps le président russe a prit quelques libertés avec le droit d’une part en prolongeant son mandat d’une vingtaine d’années, d’autre part en passant un coup d’éponge sur les délits commis par tous les présidents russes y compris lui-même.

Cette fixation de Poutine sur le dissident prouve que l’intéressé n’est pas aussi solide qu’il le dit dans l’opinion russe. En effet Navalny  est certes un opposant certes mais il est loin de disposer d’une force politique susceptible de balayer la dictature de Poutine.

Un plan qui manque de relance immédiate

Un plan qui manque de relance immédiate

L’économiste Alain Trannoy épluche les véritables chiffres du plan de relance annoncé le 3 septembre et note que le fameux plan de 100 milliards n’est pas prêt d’être dépensé puisque notamment 5 milliards seulement concerneront l’année 2000.

Tribune. Le plan de relance reste imposant, même quand on regarde les chiffres d’un peu près. Il faut un peu de patience pour lire et relire les trois cents pages des annexes du dossier de presse qui détaillent par le menu les cent dix mesures prévues (voir PDF). Mais cette lecture révèle des informations imprévues qui permettent de porter un jugement plus informé sur celui-ci.

La première surprise réside dans le fait que les annonces gouvernementales majorent d’environ 7 milliards d’euros les sommes qui seront effectivement dépensées sur la période 2020-2022, la période de référence du plan de relance. Celui-ci ne coûtera aux finances publiques que 93 milliards, et non pas les 100 milliards d’euros claironnés. Sont en effet inclus 6,6 milliards d’euros d’investissement (plan santé, programme d’investissements d’avenir/PIA) qui ne seront décaissés que les années ultérieures.

La seconde information concerne la chronologie des dépenses. Cette information capitale est pourtant absente du dossier de presse. Un tiers du plan de relance, soit 30 milliards, ne sera déboursé qu’en 2022. Comme une partie notable des dépenses positionnées cette année-là concerne des dépenses d’investissement sur appel d’offres, leurs effets bénéfiques ne se feront pas sentir avant mai 2022, date de l’élection présidentielle. Il sera difficile d’accuser le président Emmanuel Macron d’électoralisme, car le futur candidat ne bénéficiera pas à plein des dépenses décidées par le président !

Le quatrième trimestre de 2020 ne se voit octroyé qu’une petite fraction du total, 5 milliards, et le gros des dépenses, 58 milliards, aura donc lieu en 2021. Pour cette année cruciale, la question que se posent de nombreux économistes est de connaître la part qui peut être qualifiée de relance keynésienne sous forme de soutien à la demande, en opposition à la politique de l’offre qui vise à maintenir les capacités de notre appareil productif.

A cette dernière, que l’on peut qualifier de défensive – il s’agit par là même d’éviter les faillites et la spirale dépressive sur les fournisseurs, qui, faute d’être payés, sont obligés de mettre la clé sous la porte –, sont consacrés 23 milliards d’euros sur les 58 milliards en 2021, soit 40 % du total.

Carburant : une forte hausse immédiate

Carburant : une forte hausse immédiate

 

Alors même qu’on ne sait pas si a hausse du pétrole sera durable, les pétrolier annoncent uen hausse, elle, durable du prix du carburant. Une hausse qui en plus sera presque immédiate ou en tout cas ce produira rapidement indique Francis Duseux, président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP). Il est à noter que lorsque le pétrole baisse le carburant met  des semaines voire des mois à répercuter intégralement cette diminution des prix. À l’inverse lorsque les cours du pétrole s’envolent, la répercussion est quasi immédiate. Or on sait qu’il faut quand même plusieurs mois entre la  du pétrole des puits et leur commercialisation sous forme de carburant. Le décalage entre le prix des cours du pétrole st celui du carburant se fait toujours au profit des pétroliers. Des pétroliers qui par ailleurs préfèrent  et de loin des cours du pétrole hauts  pour mieux faire avaler la progression  de leurs marges. «On peut s’attendre assez rapidement à une augmentation de l’ordre de 4 ou 5 centimes» parce que «les grandes sociétés répercutent au jour le jour l’évolution des prix sur le marché de Rotterdam sur l’essence et le gazole», a déclaré sans état dame à l’AFP Francis Duseux, président de l’Union française des industries pétrolières (UFIP). «Cinq centimes, à supposer que ça reste à ce niveau, c’est tout à fait considérable. C’est peut-être ce qu’il y a de plus inquiétant pour les Français», a-t-il ajouté.

Deux jours après l’attaque contre les installations pétrolières de l’Arabie Saoudite, les cours du pétrole ont grimpé de 10% ce lundi. Cette attaque a réduit de moitié la production du pays à 5,7 millions de barils par jours, soit 6% de l’approvisionnement mondial.

La France reste a priori à l’abri d’une rupture d’approvisionnement, car «on a en France trois mois de stocks de réserve, rappelle Francis Duseux. C’est la loi qui nous oblige à posséder dans des stockages trois mois de la consommation de l’année précédente».

L’évolution de la situation va désormais dépendre de plusieurs facteurs comme le temps pour réparer les installations endommagées, la mobilisation des stocks saoudiens et l’augmentation de la production d’autres pays mais surtout la réaction diplomatique et éventuellement militaire.

Interdiction immédiate du Glyphosate: 54 députés LREM pour

Interdiction immédiate du Glyphosate: 54 députés LREM pour

 

 

 

 

Sans doute pour tenter d’influencer la décision prochaine de Bruxelles sur la prolongation ou non concernant l’utilisation du Glysophate (connu notamment sous son nom commercial de Rond-up), le gouvernement a sans doute autorisé une cinquantaine de députés à écrire une tribune dans le monde pour réclamer la suppression immédiate de ce désherbant. C’est aussi l’occasion de faire plaisir à Nicolas Hulot un ministre bien discret mais lui aussi partisan de l’interdiction du Glysophate. La manœuvre pourrait être assez politique d’une part pour faire plaisir aux écolos, notre part pesait sur la commission européenne. Bruxelles est en effet un peu le cul entre deux chaises car l’Allemagne soutient la prolongation du Glysophate et pour cause puisque le produit de Monsanto a été racheté par l’allemand Bayer. De toute manière, s’il semble avéré que le Glysophate présente un certain nombre de dangers notamment de cancers, il faudra bien accorder un délai pour trouver un produit de substitution. De ce point de vue la tribune des députés d’en Marche relève un peu de l’agitation organisée. On sait en effet que les députés d’en Marche ne disposent d’aucune marge de manœuvre pour se distinguer du gouvernement. Pas étonnant ils ont tous étés désignés dans haut et ne sont redevables que vis-à-vis de Macon. Finalement ils s’aligneront sur la position du gouvernement notamment celles exprimées par le Premier ministre Édouard Philippe qui a affirmé à l’Assemblée nationale, que le gouvernement allait « organiser une transition progressive et irréversible » du glyphosate dans l’agriculture vers des produits de substitution. « Il n’existe pas aujourd’hui de produits de substitution au glyphosate. Arrêter brutalement l’utilisation de ce produit, dont l’agriculture est assez largement dépendante, est évidemment difficile », a argué Edouard Philippe. « La commission a proposé d’autoriser le glyphosate pour une durée de dix ans. C’est une durée qui est trop longue », et « compte tenu des incertitudes qui pèsent sur la nature de ce produit, nous avons indiqué clairement – le président de la République dans un premier temps, le gouvernement ensuite – que nous ne voterions pas » cette proposition, a-t-il rappelé. Le gouvernement « arrêtera sa position avant la fin de l’année », une fois que les deux ministres concernés, Nicolas Hulot (Transition écologique) et Stéphane Travert (Agriculture) lui auront présenté une stratégie de sortie de ce produit, a-t-il ajouté. « Nous allons la confronter avec la position des autres Etats membres – parce que nous ne vivons pas dans un monde sans voisins – et avec la position qui aura été définitivement adoptée par la commission. Nous allons organiser une transition qui est à la fois progressive et irréversible ».

Hausse CSG immédiate mais cotisations salariales étalées

 

Hausse CSG immédiate  mais cotisations salariales étalées

 

La hausse de la CSG qui pourrait être de 1,7 % voire de 2 % sera immédiate elle prendra effet au 1er janvier. Par contre l’augmentation du pouvoir d’achat découlant des réductions de cotisations sociales sera étalée tout au long de l’année. Pour les retraités pas de compensation évidemment suite  à l’augmentation de la CSG. En moyenne les pensions des retraités sont de 1306 €, il faudra donc compter sur une augmentation en moyenne de 22€. La suppression des cotisations salariales prévue par l’exécutif pour 2018 s’effectuerait en deux temps, alors que la hausse de la CSG compensant cette mesure sur le plan budgétaire serait effective au 1er janvier, selon un article à paraître mercredi dans Les Echos. « Le calendrier précis et les montants exacts de réductions de cotisations pour des deux étapes ne sont pas encore arbitrés », dit-on de source gouvernementale citée par le quotidien économique, qui précise simplement qu’elle relève de Bercy. « Au final, la totalité de la réforme sera bien réalisée d’ici la fin 2018, si bien que le gouvernement remplira pleinement l’engagement pris par le président de la République », selon les propos de cette source rapportés par Les Echos. Ce décalage, qui étalera le gain de pouvoir d’achat pour les salariés sur l’année, permettra de dégager des économies, note le journal. Cette combinaison permettra en effet de moins peser sur le déficit public, que le gouvernement entend faire passer de 3% du produit intérieur brut (PIB) fin 2017 à 2,7% fin 2018, tout en mettant en œuvre les réformes fiscales promises par Emmanuel Macron pendant la campagne.

Fillon : la presse étrangère pour une démission immédiate

Fillon : la presse étrangère pour une démission immédiate

La presse étrangère juge avec une très grande sévérité l’affaire Fillon. Au-delà elle estime que les responsables français jouissent d’une scandaleuse impunité. Pour la presse étrangère, dans la plupart des autres pays la démission aurait été immédiate. D’une certaine manière, cette affaire porte gravement préjudice à l’image de la France et Fillon finira par démissionner. Son programme de redressement n’est plus crédible au regard de ses propres malversations. De nombreux titres de presse s’étonnent que François Fillon maintienne sa candidature à la présidentielle malgré les accusations de fraudes qui l’éclaboussent. « Alors qu’il était jusque-là considéré comme l’homme intègre de la politique française, François Fillon, candidat conservateur et favori pour l’élection présidentielle connaît désormais son premier vrai scandale », explique l’hebdomadaire allemand Die Zeit. Alors que Penelope Fillon est soupçonnée d’avoir bénéficié d’emplois fictifs pour lesquels elle aurait perçu une rémunération de 831 440 euros bruts, le New York Times avance que « ces allégations sont particulièrement préjudiciables à François Fillon étant donné qu’il s’est engagé à réduire les dépenses inutiles et s’est façonné une image de politicien sévère et honnête, et vierge de tout scandales de corruption, contrairement à certains de ses adversaires ». Pour le Guardian, quelle que soit la tournure que prendra l’affaire, la campagne de François Fillon est condamnée : « Même si Fillon prouve que sa femme a effectué le travail pour lequel elle a été rémunérée, le PenelopeGate pourrait se révéler être un long et lent poison pour sa campagne ». Par ailleurs, le quotidien britannique dénonce le manque de « morale » de la classe politique française :  » Pendant des décennies, la politique française est apparue comme un univers moral parallèle où les politiciens poursuivaient leurs mandats et prétendaient à des réélections sans être inquiétés dans les urnes par les enquêtes judiciaires en cours. Avec une défiance croissante vis-à-vis de la classe politique, cette époque pourrait arriver à son terme. » The Independent va encore plus loin, avançant que « la fraude est une habitude dans la politique française » et que « l’aisance avec laquelle des représentants élus peuvent écarter d’un revers de main des accusations bien étayées, selon lesquelles ils remplissent leurs poches avec de l’argent public, est véritablement stupéfiante ». Annastiina Heikkilä, correspondante de la télévision publique Yle, confirme : « Dans le contexte finlandais, le jugement et la sanction des médias et de l’opinion seraient sans doute plus sévères. Et la pression pour que François Fillon se retire de la course présidentielle serait plus grande. Notre culture politique est différente dans les pays nordiques : on est plus strict, les règles sont plus dures. » “Au Danemark, Fillon serait cuit depuis longtemps”, abonde Bjørn Willum, le correspondant à Paris de la Radio-télévision danoise. « C’était le premier candidat en France à promettre du sang, de la sueur et des larmes, et non des rêves. Son programme économique était crédible, avec la vision d’une France en faillite qui doit vite se redresser. Désormais, c’est en contradiction totale avec ses propres actes. Son programme ne tient plus la route. » Alors que François Fillon s’est dit victime d’un coup d’Etat institutionnel, le journal suisse Le Temps se demande « où est le lynchage alors que dans d’autres pays européens, la pression à sa démission aurait été immédiate ? ». Et pointe le flou dans lequel les citoyens français sont plongés : « François Fillon est-il cet homme affable, rassurant, déterminé qui a séduit 4 millions d’électeurs ? Ou ce hobereau de Sablé-sur-Sarthe en son manoir ? Un conservateur proche du peuple ou un profiteur de la République ? Difficile d’être encore audible. »

 

Foot business FIFA: Coca et McDo veulent la démission immédiate de Blatter

Foot business FIFA: Coca et McDo veulent la démission immédiate de Blatter

Curieux mais ce sont peut-être deux sponsors  qui vont peut-être imposer le nettoyage des écuries de la FIFA. Pourquoi des sponsors ?  tout simplement parce que ces généreux donateurs versent en moyenne 300 à 400  millions de dollars à l’honorable association intitulée FIFA, dirigée par le tout aussi honorable Blatter. Bref le fric va faire le ménage dans le fric. Il faut dire que derrière la dégradation de l’image de la FIFA c’est aussi l’image des sponsors qui se trouvent entachés. Le problème de fond ce que la FIFA qui brasse des millions et même des milliards autour d’une association de type loi 1901 française mais suisse. Le type d’association dont l’assise juridique est suffisante pour gérer une société de pétanque mais pas pour gérer le football et brasser des milliards. Remarquons par parenthèses que la plupart des fédérations sportives internationales sont aussi gérées dans le cadre d’associations au fondement juridique sulfureux et dans le siège est presque toujours en Suisse ou alors à Monaco. De quoi ainsi éviter toutes contraintes de contrôle financier et toutes contraintes démocratiques. D’une certaine manière c’est toute l’organisation sportive internationale qu’on doit  remettre à plat étant entendu le football , lui, brasse des milliards et les milliards et que le scandale est immense.  Deux des plus gros sponsors de la Fédération internationale de football, empêtrée dans un scandale de corruption, réclament donc la démission « immédiate » du président Sepp Blatter « pour le bien du jeu » et « pour qu’une procédure de réforme crédible puisse sérieusement commencer ». Pas question de partir tout de suite, a répondu le patron de l’instance mondiale du foot.  Sepp Blatter a d’ores et déjà annoncé qu’il quitterait son poste, mais pas avant le 26 février prochain, date du congrès électif de la FIFA. C’est bien trop tard, pour Coca-Cola et Mc Donald’s, deux des plus gros sponsors de la Fédération qui montent au créneau ce vendredi soir.   Le communiqué de Coca est cinglant :  « Chaque jour qui passe, l’image et la réputation de la FIFA se ternissent un peu plus. » Même tonalité du côté de McDo : « Les événements des dernières semaines ont continué à abaisser la réputation de la Fifa et la confiance du public dans son leadership. »  Les autorités suisses et américaines ont annoncé en mai l’ouverture d’enquêtes à l’encontre de dirigeants de la FIFA soupçonnés de corruption, notamment dans le cadre de l’attribution des Coupes du monde de 2018 et 2022 en Russie et au Qatar. Vendredi dernier, le ministère public suisse (MPC) a annoncé l’ouverture d’une procédure pénale à l’encontre de Sepp Blatter, qu’il soupçonne de « gestion déloyale et, subsidiairement, d’abus de confiance ». C’en est trop pour Coca : « Pour le bien du jeu, la compagnie Coca-Cola demande au président de la Fifa Joseph Blatter de démissionner immédiatement afin qu’une procédure de réforme crédible et viable puisse sérieusement commencer. »  La réponse des avocats de Blatter ne s’est pas fait attendre vendredi soir : c’est niet. Le président restera jusqu’au bout, écrivent-ils dans un communiqué : « Si Coca-Cola est un sponsor apprécié de la FIFA, M. Blatter est, malgré tout son respect, en désaccord avec sa position (…) Il ne démissionnera pas. »

Pas de remontée immédiate des taux conseille le FMI

Pas de remontée immédiate des taux conseille le FMI

 

 

À l’occasion du G20, le FMI à travers la voix de Christine Lagarde à fortement conseillé la prudence à propos d’un éventuel relèvement des taux. Comme beaucoup d’experts Christine Lagarde jugent prématuré  cet éventuel relèvement par FED. Le tassement de la croissance mondiale, la volatilité des marchés, l’inflation très basse ou encore le niveau du chômage n’incitent  en effet pas dans l’immédiat à une hausse du loyer de l’argent qui pourrait peser de manière négative sur le niveau d’activité. Les ministres des Finances et banquiers centraux du G20 ont donc beaucoup discuté de cette question lors de leur réunion à Ankara, a dit Christine Lagarde. « (La Fed) devrait le faire pour de bon, si j’ose dire », a déclaré la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI). « En d’autres termes, ne pas essayer pour voir puis devoir revenir en arrière. » « Le FMI pense qu’il est préférable de s’assurer que les indicateurs économiques sont absolument confirmés, qu’il n’y a aucune incertitude, ni sur le front de la stabilité des prix, ni sur le front de l’emploi et du chômage, avant qu’elle prenne effectivement cette initiative », a poursuivi Christine Lagarde. « Et cela nécessiterait d’être sur la vague, plutôt que nécessairement devant la vague ou en fait derrière la vague. » La Fed pourrait relever ses taux pour la première fois en près de 10 ans lors de la prochaine réunion de son comité de politique monétaire les 16 et 17 septembre. Les observateurs parient toutefois désormais davantage sur une décision en octobre ou en décembre après les troubles survenus depuis mi-août sur les marchés financiers à travers le monde en raison des inquiétudes suscitées par le ralentissement de l’économie chinoise. 




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