Archive pour le Tag 'illégitime'

Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime

Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime
Il est clair que le parti pris de la France en faveur de relations privilégiées avec le Maroc va encore accentuer les différends avec l’Algérie. En réalité, un  différend qui sert de rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime. L’indépendance algérienne a en effet été mise sous tutelle des militaires proches de l’ancien FLN qui se sont partagés pouvoir et ressources du pays. Et pour perpétuer leur mainmise sur le pays, ils utilisent le discours antifrançais récurrent. Le soutien de la France au Maroc sur l’affaire du Sahara va servir au pouvoir militaire algérien pour nourrir encore leur illégitimité.

Pourtant l’Algérie est un pays exceptionnellement riche mais les ressources sont appropriées par la classe dirigeante proche des militaires Sur le plan économique, le pays se démarque avec le 3ème PIB du continent africain, estimé à 244,7 Mds USD en 2023 selon le FMI, et le PIB par habitant le plus élevé du Maghreb, atteignant 4 982 USD en 2023.Dans le même temps le salaire minimum a été fixé à 300 € par mois mais la moyenne tourne autour de 200. Des chiffres qui témoignent du détournement de richesse du pays.

Mais cette injustice et ce pillage est masqué par les propos systématiquement antifrançais d’un pouvoir dirigé en réalité par les militaires qui se partagent la manne du pays.

Contrairement au Maroc, l’Algérie n’a pas réussi à se structurer et s’est contentée de dilapider ses immenses ressources sans que le pays en bénéficie réellement. Pire politiquement toujours pour justifier le caractère libéral du pouvoir, il se rapproche maintenant de Poutine !

Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime

Politique-Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime
Il est clair que le parti pris de la France en faveur de relations privilégiées avec le Maroc va encore accentuer les différends avec l’Algérie. En réalité, un  différend qui sert de rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime. L’indépendance algérienne a en effet été mise sous tutelle des militaires proches de l’ancien FLN qui se sont partagés pouvoir et ressources du pays. Et pour perpétuer leur mainmise sur le pays, ils utilisent le discours antifrançais récurrent. Le soutien de la France au Maroc sur l’affaire du Sahara va servir au pouvoir militaire algérien pour nourrir encore leur illégitimité.

Pourtant l’Algérie est un pays exceptionnellement riche mais les ressources sont appropriées par la classe dirigeante proche des militaires Sur le plan économique, le pays se démarque avec le 3ème PIB du continent africain, estimé à 244,7 Mds USD en 2023 selon le FMI, et le PIB par habitant le plus élevé du Maghreb, atteignant 4 982 USD en 2023.

Mais cette injustice et ce pillage est masqué par les propos systématiquement antifrançais d’un pouvoir dirigé en réalité par les militaires qui se partagent la manne du pays.

Contrairement au Maroc, l’Algérie n’a pas réussi à se structurer et s’est contentée de dilapider ses immenses ressources sans que le pays en bénéficie réellement. Pire politiquement toujours pour justifier le caractère libéral du pouvoir, il se rapproche maintenant de Poutine !

Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime

Algérie : la rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime
Il est clair que le parti pris de la France en faveur de relations privilégiées avec le Maroc va encore accentuer les différends avec l’Algérie. En réalité, un  différend qui sert de rente mémorielle pour perpétuer un régime illégitime. L’indépendance algérienne a en effet été mise sous tutelle des militaires proches de l’ancien FLN qui se sont partagés pouvoir et ressources du pays. Et pour perpétuer leur mainmise sur le pays, ils utilisent le discours antifrançais récurrent. Le soutien de la France au Maroc sur l’affaire du Sahara va servir au pouvoir militaire algérien pour nourrir encore leur illégitimité.

Pourtant l’Algérie est un pays exceptionnellement riche mais les ressources sont appropriées par la classe dirigeante proche des militaires Sur le plan économique, le pays se démarque avec le 3ème PIB du continent africain, estimé à 244,7 Mds USD en 2023 selon le FMI, et le PIB par habitant le plus élevé du Maghreb, atteignant 4 982 USD en 2023.

Mais cette injustice et ce pillage est masqué par les propos systématiquement antifrançais d’un pouvoir dirigé en réalité par les militaires qui se partagent la manne du pays.

Contrairement au Maroc, l’Algérie n’a pas réussi à se structurer et s’est contentée de dilapider ses immenses ressources sans que le pays en bénéficie réellement. Pire politiquement toujours pour justifier le caractère libéral du pouvoir, il se rapproche maintenant de Poutine !

Politique- Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?

Politique- Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?

On ne peut évidemment présager ce que diront le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel à propos de la réforme des retraites. Cependant, on peut d’ores et déjà envisager un certain nombre d’observations et sans doute de nullités de certains aspects.

La première observation , c’est que politiquement cette réforme anti démocratique. En effet,le chef de l’État n’a jamais été élu avec un mandat pour mettre en application une telle réforme. D’une part parce qu’il y a une grande confusion à propos de son élection permise surtout grâce aux électeurs qui se sont opposés à Marine Le Pen. Ensuite,parce que Macron lui-même a toujours condamné ce type de réforme uniquement paramétrique au profit d’une réforme systémique avec unification de tous les régimes et remise à plat du contenu et du financement.

On objectera que ce sont des remarques de nature politique mais le politique tutoie souvent le juridique quand il s’agit d’action publiques. L’autre remarque qui pourrait cette fois être retenue plus vraisemblablement, c’est que le pouvoir a utilisé un mauvais véhicule législatif pour sa réforme avec l’emploi de l’article 47- 1 . Un article normalement dévolu aux projets de loi de financement de la Sécurité sociale, mais que le gouvernement a choisi d’utiliser pour faire adopter sa réforme des retraites, ainsi déguisée en PLFSSR (projet de loi de financement de la Sécurité sociale rectificative).

Un choix dicté par la volonté de limiter le débat parlementaire à 50 jours. Un article qui permet aussi de s’affranchir d’une étude d’impact en bonne et due forme et de rendre public l’avis du Conseil d’Etat, ou encore la possibilité de légiférer par ordonnances in fine.

C’est la première fois que l’article 47.1 est utilisé pour une réforme des retraites.

Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?

Réforme des Retraites: illégitime et anticonstitutionnelle ?

On ne peut évidemment présager ce que diront le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel à propos de la réforme des retraites. Cependant, on peut d’ores et déjà envisager un certain nombre d’observations et sans doute de nullités de certains aspects.

La première observation , c’est que politiquement cette réforme anti démocratique. En effet,le chef de l’État n’a jamais été élu avec un mandat pour mettre en application une telle réforme. D’une part parce qu’il y a une grande confusion à propos de son élection permise surtout grâce aux électeurs qui se sont opposés à Marine Le Pen. Ensuite,parce que Macron lui-même a toujours condamné ce type de réforme uniquement paramétrique au profit d’une réforme systémique avec unification de tous les régimes et remise à plat du contenu et du financement.

On objectera que ce sont des remarques de nature politique mais le politique tutoie souvent le juridique quand il s’agit d’action publiques. L’autre remarque qui pourrait cette fois être retenue plus vraisemblablement, c’est que le pouvoir a utilisé un mauvais véhicule législatif pour sa réforme avec l’emploi de l’article 47- 1 . Un article normalement dévolu aux projets de loi de financement de la Sécurité sociale, mais que le gouvernement a choisi d’utiliser pour faire adopter sa réforme des retraites, ainsi déguisée en PLFSSR (projet de loi de financement de la Sécurité sociale rectificative).

Un choix dicté par la volonté de limiter le débat parlementaire à 50 jours. Un article qui permet aussi de s’affranchir d’une étude d’impact en bonne et due forme et de rendre public l’avis du Conseil d’Etat, ou encore la possibilité de légiférer par ordonnances in fine.

C’est la première fois que l’article 47.1 est utilisé pour une réforme des retraites.

Retraites: une réforme illégitime et anticonstitutionnelle ?

Retraites: une réforme illégitime et anticonstitutionnelle ?

On ne peut évidemment présager ce que diront le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel à propos de la réforme des retraites. Cependant, on peut d’ores et déjà envisager un certain nombre d’observations et sans doute de nullités de certains aspects.

La première observation , c’est que politiquement cette réforme anti démocratique. En effet,le chef de l’État n’a jamais été élu avec un mandat pour mettre en application une telle réforme. D’une part parce qu’il y a une grande confusion à propos de son élection permise surtout grâce aux électeurs qui se sont opposés à Marine Le Pen. Ensuite,parce que Macron lui-même a toujours condamné ce type de réforme uniquement paramétrique au profit d’une réforme systémique avec unification de tous les régimes et remise à plat du contenu et du financement.

On objectera que ce sont des remarques de nature politique mais le politique tutoie souvent le juridique quand il s’agit d’action publiques. L’autre remarque qui pourrait cette fois être retenue plus vraisemblablement, c’est que le pouvoir a utilisé un mauvais véhicule législatif pour sa réforme avec l’emploi de l’article 47- 1 . Un article normalement dévolu aux projets de loi de financement de la Sécurité sociale, mais que le gouvernement a choisi d’utiliser pour faire adopter sa réforme des retraites, ainsi déguisée en PLFSSR (projet de loi de financement de la Sécurité sociale rectificative).

Un choix dicté par la volonté de limiter le débat parlementaire à 50 jours. Un article qui permet aussi de s’affranchir d’une étude d’impact en bonne et due forme et de rendre public l’avis du Conseil d’Etat, ou encore la possibilité de légiférer par ordonnances in fine.

C’est la première fois que l’article 47.1 est utilisé pour une réforme des retraites.

En fait avec le projet de loi initial complété par de nombreux amendements , le gouvernement utilise une loi de financement de la sécurité sociale pour régler des problèmes structurels ( égalité des femmes par exempleou emploi des séniors).
En outre, en plus des insuffisances juridiques, il faut bien aussi prendre en compte le fait que 70 % des Français sont opposés à cette réforme (90 % des actifs) ce qui pose un problème démocratique et donc aussi de constitutionnalité surtout quand le véhicule législatif n’est pas conforme aux normes démocratiques.

La surprise pourrait donc peut-être venir du Conseil d’État ou du Conseil constitutionnel ( ce dernier sera nécessairement saisi). Ce qui offrirait une porte de sortie à la fois pour les syndicats qui souhaitent la suspension de ce projet et peut-être aussi au pouvoir complètement acculé et qui ne serait pas mécontent de sortir de l’impasse dans laquelle il s’est lui-même fourré.

Politique-SONDAGE réforme des retraites : illégitime

Politique-SONDAGE  réforme des retraites : illégitime

Le pouvoir légitime la réforme des retraites  par le fait que Macron a été élu. Une superbe tartufferie. D’abord macron a été élu par défaut et par une minorité de Français. Et sûrement pas sur une perspective de réforme des retraites . Pour Preuve, 75% des français sont contre.Selon un nouveau sondage Elabe-BFM, seul un Français sur quatre (27%) estime qu’il faudrait relever l’âge de départ. Dans le détail, seulement 18% des personnes interrogées souhaitent que celui-ci soit porté à 64 ans et 9% à 65 ans.

A contrario, ils sont 47% à estimer que cet âge légal devrait rester à 62 ans et même 25% à estimer qu’il faudrait l’abaisser.

Au sein de la population active, ils sont même 49% à souhaiter un maintien à 62 ans et 31% à vouloir même un abaissement de cet âge. Les retraités sont quant à eux plus partagés: 48% veulent que cet âge légal de départ soit augmenté et 44% ne veulent pas qu’il soit modifié.

Également interrogés sur le système de retraites actuel, les Français sont une majorité (64%) à le qualifier d’injuste et de financièrement fragile (55%). Ils sont aussi nombreux (72%) à pointer le faible taux d’emploi des seniors.

Ils sont seulement 31% à estimer que cette réforme permettra de faire des économies pour pouvoir financer d’autres dépenses publiques de protection sociale. En outre, ils jugent le moment inopportun pour faire une réforme des retraites en pleine crise du pouvoir d’achat (60%).

Pour une majorité de sondés (52%), la priorité de l’exécutif doit être mise sur le pouvoir d’achat. Ils estiment par ailleurs que l’exécutif doit mettre la réforme des retaites (21%) derrière l’écologie (22%) en termes de priorité d’action dans les prochains mois.

Échantillon de 1005 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 3 au 4 janvier 2023.

SONDAGE réforme des retraites : illégitime

SONDAGE  réforme des retraites : illégitime

Le pouvoir légitime la réforme des retraites  par le fait que Macron a été élu. Une superbe tartufferie. D’abord macron a été élu par défaut et par une minorité de Français. Et sûrement pas sur une perspective de réforme des retraites . Pour Preuve, 75% des français sont contre.Selon un nouveau sondage Elabe-BFM, seul un Français sur quatre (27%) estime qu’il faudrait relever l’âge de départ. Dans le détail, seulement 18% des personnes interrogées souhaitent que celui-ci soit porté à 64 ans et 9% à 65 ans.

A contrario, ils sont 47% à estimer que cet âge légal devrait rester à 62 ans et même 25% à estimer qu’il faudrait l’abaisser.

Au sein de la population active, ils sont même 49% à souhaiter un maintien à 62 ans et 31% à vouloir même un abaissement de cet âge. Les retraités sont quant à eux plus partagés: 48% veulent que cet âge légal de départ soit augmenté et 44% ne veulent pas qu’il soit modifié.

Également interrogés sur le système de retraites actuel, les Français sont une majorité (64%) à le qualifier d’injuste et de financièrement fragile (55%). Ils sont aussi nombreux (72%) à pointer le faible taux d’emploi des seniors.

Ils sont seulement 31% à estimer que cette réforme permettra de faire des économies pour pouvoir financer d’autres dépenses publiques de protection sociale. En outre, ils jugent le moment inopportun pour faire une réforme des retraites en pleine crise du pouvoir d’achat (60%).

Pour une majorité de sondés (52%), la priorité de l’exécutif doit être mise sur le pouvoir d’achat. Ils estiment par ailleurs que l’exécutif doit mettre la réforme des retaites (21%) derrière l’écologie (22%) en termes de priorité d’action dans les prochains mois.

Échantillon de 1005 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 3 au 4 janvier 2023.

SONDAGE retraites : une réforme illégitime

SONDAGE retraites :une réforme illégitime

Le pouvoir légitime la réforme des retraites  par le fait que Macron a été élu. Une superbe tartufferie. D’abord macron a été élu par défaut et par une minorité de Français. Et sûrement pas sur une perspective de réforme des retraites . Pour Preuve, 75% des français sont contre.Selon un nouveau sondage Elabe-BFM, seul un Français sur quatre (27%) estime qu’il faudrait relever l’âge de départ. Dans le détail, seulement 18% des personnes interrogées souhaitent que celui-ci soit porté à 64 ans et 9% à 65 ans.

A contrario, ils sont 47% à estimer que cet âge légal devrait rester à 62 ans et même 25% à estimer qu’il faudrait l’abaisser.

Au sein de la population active, ils sont même 49% à souhaiter un maintien à 62 ans et 31% à vouloir même un abaissement de cet âge. Les retraités sont quant à eux plus partagés: 48% veulent que cet âge légal de départ soit augmenté et 44% ne veulent pas qu’il soit modifié.

Également interrogés sur le système de retraites actuel, les Français sont une majorité (64%) à le qualifier d’injuste et de financièrement fragile (55%). Ils sont aussi nombreux (72%) à pointer le faible taux d’emploi des seniors.

Ils sont seulement 31% à estimer que cette réforme permettra de faire des économies pour pouvoir financer d’autres dépenses publiques de protection sociale. En outre, ils jugent le moment inopportun pour faire une réforme des retraites en pleine crise du pouvoir d’achat (60%).

Pour une majorité de sondés (52%), la priorité de l’exécutif doit être mise sur le pouvoir d’achat. Ils estiment par ailleurs que l’exécutif doit mettre la réforme des retaites (21%) derrière l’écologie (22%) en termes de priorité d’action dans les prochains mois.

Échantillon de 1005 personnes représentatif des résidents de France métropolitaine âgés de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée selon la méthode des quotas appliquée aux variables suivantes: sexe, âge et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération. Interrogation par Internet du 3 au 4 janvier 2023.

Grève SNCF: illégale , illégitime et mortifère

Grève SNCF: illégale et illégitime et mortifère

On connaît par avance les cris d’orfraie des extrémistes et autres corporatistes face à toute mise en débat des conditions de déroulement des grèves à la SNCF. Évidemment, on va solliciter le fallacieux argument de la défense du service public et de l’attaque au principe intouchable du droit de grève. Le seul problème qui caractérise l’entreprise, c’est que la grève n’est pas une situation d’exception mais une sorte de pratique permanente pour couvrir tous les mouvements de protestation et cela depuis des années et des années et surtout depuis la reconnaissance du syndicat Sud rail qui regroupe surtout des gauchistes préoccupés d’action révolutionnaire, de luttes anticapitalistes et anti impérialistes…. dans une entreprise d’État financé à hauteur de 20 milliards par par la collectivité. Certes, on peut expliquer une partie de ce soutien financier en particulier en raison de l’évolution démographique, reste cependant que même corrigés, les chiffres démontrent que les résultats de l’entreprise ne sont nullement à la hauteur des efforts énormes des pouvoirs publics et in fine du contribuable.

Pourtant l’idéologie de la grèviculture se nourrit chez bon nombre de cheminots de la fausse illusion qu’ils vivent des conditions de travail datant d’un siècle. Mais littéralement shootés à la monoculture corporatiste, nombre de de cheminots parviennent à s’en persuader. Or un conducteur par exemple de train travaille à peu près moitié moins qu’un chauffeur de poids-lourd pour gagner à peu près le double. Certes les responsabilités sont importantes, il s’agit de la sécurité des usagers. D’autres métiers comme les aiguilleurs, ceux qui participent de la régulation des trains sont aussi des métiers qui exigent vigilance et compétence.

Mais il en va différemment pour d’autres catégories qui se comportent surtout comme des fonctionnaires. De ce point de vue, la grève des contrôleurs est un peu surréaliste. Ce n’est pas et de loin la catégorie la plus soumise à des conditions de travail pénibles. On pourrait même dire que beaucoup de contrôleurs ne sont pas à la hauteur de ce qu’on attend de chef de bord si l’on compare avec les stewards de l’aviation.

Les connaissances exigées des contrôleurs sont également loin de celle des guichetiers qui doivent jongler avec la complexité des dispositifs tarifaires ou des responsables de sécurité à la réglementation également complexe. Il y a certes la question des horaires mais cette contrainte est consubstantielle aux métiers du rail.

Globalement au regard de leurs conditions de travail réelles, cette grève est largement illégitime. Elle est également illégale car il n’est pas admissible qu’un groupe décide de mettre l’entreprise en difficulté sans être déclaré comme organisation syndicale officielle. Dans un souci de concurrence et surtout par hypocrisie, Sud rail et la CGT couvrent théoriquement la grève des contrôleurs par un préavis. Pourtant,ils n’appellent pas clairement à la grève des contrôleurs. Il s’agit là d’un dévoiement du fond et de la forme du droit de grève..

La vérité, c’est que les syndicats ne cessent d’être pervertis par le gauchisme et le corporatisme qui minent entreprise depuis des dizaines d’années. Sans doute la meilleur moyen pour tuer une entreprise contrainte de ce fait d’abandonner nombre d’activités d’abord le transport express, ensuite le transport de messagerie puis en grande partie le transport par wagon de marchandises, les lignes secondaires, une grande partie aussi des trains inter-cités. Un véritable gâchis économique mais aussi syndical. En effet face à l’anarchie qui règne dans l’entreprise, les syndicats gauchistes ont provoqué la suppression du statut. De sorte qu’aujourd’hui subsiste dans l’entreprise une grande inégalité sociale avec ceux qui ont le statut et les nouveaux qui en sont privés.

De toute évidence une enquête devrait être diligentée pour analyser les dysfonctionnements d’une entreprise qui ne cesse de s’enfoncer dans l’anarchie sociale et qui discrédite les concepts d’intermodalités et de service public.

Société-SNCF: Une grève illégale et illégitime pour tuer le service public

Société-SNCF: Une grève illégale et illégitime pour tuer le service public

On connaît par avance les cris d’orfraie des extrémistes et autres corporatistes face à toute mise en débat des conditions de déroulement des grèves à la SNCF. Évidemment, on va solliciter le fallacieux argument de la défense du service public et de l’attaque au principe intouchable du droit de grève. Le seul problème qui caractérise l’entreprise, c’est que la grève n’est pas une situation d’exception mais une sorte de pratique permanente pour couvrir tous les mouvements de protestation et cela depuis des années et des années et surtout depuis la reconnaissance du syndicat Sud rail qui regroupe surtout des gauchistes préoccupés d’action révolutionnaire, de luttes anticapitalistes et anti impérialistes…. dans une entreprise d’État financé à hauteur de 20 milliards par par la collectivité. Certes, on peut expliquer une partie de ce soutien financier en particulier en raison de l’évolution démographique, reste cependant que même corrigés, les chiffres démontrent que les résultats de l’entreprise ne sont nullement à la hauteur des efforts énormes des pouvoirs publics et in fine du contribuable.

Pourtant l’idéologie de la grèviculture se nourrit chez bon nombre de cheminots de la fausse illusion qu’ils vivent des conditions de travail datant d’un siècle. Mais littéralement shootés à la monoculture corporatiste, nombre de de cheminots parviennent à s’en persuader. Or un conducteur par exemple de train travaille à peu près moitié moins qu’un chauffeur de poids-lourd pour gagner à peu près le double. Certes les responsabilités sont importantes, il s’agit de la sécurité des usagers. D’autres métiers comme les aiguilleurs, ceux qui participent de la régulation des trains sont aussi des métiers qui exigent vigilance et compétence.

Mais il en va différemment pour d’autres catégories qui se comportent surtout comme des fonctionnaires. De ce point de vue, la grève des contrôleurs est un peu surréaliste. Ce n’est pas et de loin la catégorie la plus soumise à des conditions de travail pénibles. On pourrait même dire que beaucoup de contrôleurs ne sont pas à la hauteur de ce qu’on attend de chef de bord si l’on compare avec les stewards de l’aviation.

Les connaissances exigées des contrôleurs sont également loin de celle des guichetiers qui doivent jongler avec la complexité des dispositifs tarifaires ou des responsables de sécurité à la réglementation également complexe. Il y a certes la question des horaires mais cette contrainte est consubstantielle aux métiers du rail.

Globalement au regard de leurs conditions de travail réelles, cette grève est largement illégitime. Elle est également illégale car il n’est pas admissible qu’un groupe décide de mettre l’entreprise en difficulté sans être déclaré comme organisation syndicale officielle. Dans un souci de concurrence et surtout par hypocrisie, Sud rail et la CGT couvrent théoriquement la grève des contrôleurs par un préavis. Pourtant,ils n’appellent pas clairement à la grève des contrôleurs. Il s’agit là d’un dévoiement du fond et de la forme du droit de grève..

La vérité, c’est que les syndicats ne cessent d’être pervertis par le gauchisme et le corporatisme qui minent entreprise depuis des dizaines d’années. Sans doute la meilleur moyen pour tuer une entreprise contrainte de ce fait d’abandonner nombre d’activités d’abord le transport express, ensuite le transport de messagerie puis en grande partie le transport par wagon de marchandises, les lignes secondaires, une grande partie aussi des trains inter-cités. Un véritable gâchis économique mais aussi syndical. En effet face à l’anarchie qui règne dans l’entreprise, les syndicats gauchistes ont provoqué la suppression du statut. De sorte qu’aujourd’hui subsiste dans l’entreprise une grande inégalité sociale avec ceux qui ont le statut et les nouveaux qui en sont privés.

De toute évidence une enquête devrait être diligentée pour analyser les dysfonctionnements d’une entreprise qui ne cesse de s’enfoncer dans l’anarchie sociale et qui discrédite les concepts d’intermodalités et de service public.

SNCF: Une grève illégale et illégitime

SNCF: Une grève illégale et illégitime

On connaît par avance les cris d’orfraie des extrémistes et autres corporatistes à toute mise en débat des conditions de déroulement des grèves à la SNCF. Évidemment, on va solliciter le fallacieux argument de la défense du service public et de l’attaque au principe intouchable du droit de grève. Le seul problème qui caractérise l’entreprise, c’est sait que la grève n’est pas une situation d’exception mais une sorte de pratique permanente pour couvrir tous les mouvements de protestation et cela depuis des années et des années et surtout depuis la reconnaissance du syndicat Sud rail qui regroupe surtout des gauchistes préoccupés d’action révolutionnaire, de luttes anticapitalistes et anti impérialiste…. dans une entreprise d’État financé à hauteur de 20 milliards par par la collectivité. Certes on peut expliquer une partie de ce soutien financier en particulier en raison de l’évolution démographique, reste cependant que même corrigés, les chiffres démontrent que les résultats de l’entreprise ne sont nullement à la hauteur des efforts énormes des pouvoirs publics et in fine du contribuable.

Pourtant l’idéologie de la gréviculture se nourrit chez bon nombre de cheminots de la fausse illusion qu’ils vivent des conditions de travail datant d’un siècle. Mais littétallement shootésà la monoculture corporatiste, nombre de de cheminots parviennent à s’en persuadre. Or un conducteur par exemple de train travaille à peu près moitié moins qu’un chauffeur de poids-lourd pour gagner à peu près le double. Certes les responsabilités sont importantes, il s’agit de la sécurité des usagers. D’autres métiers comme les aiguilleurs, ceux qui participent de la régulation des trains sont aussi des métiers qui exigent vigilance et compétence.

Mais il en va différemment pour d’autres catégories qui se comportent surtout comme des fonctionnaires. De ce point de vue, la grève des contrôleurs est un peu surréaliste. Ce n’est pas et de loin la catégorie la plus soumise à des conditions de travail pénibles. On pourrait même dire que beaucoup de contrôleurs ne sont pas à la hauteur de ce qu’on attend de chef de bord si l’on compare avec les stewards de l’aviation.

Les connaissances exigées des contrôleurs sont également loin de celle des guichetiers qui doivent jongler avec la complexité des dispositifs tarifaires ou des responsables de sécurité à la réglementation également complexe. Il y a certes la question des horaires mais cette contrainte est consubstantielle aux métiers du rail.

Globalement au regard de leurs conditions de travail réelles, cette grève est largement illégitime. Elle est également illégale car il n’est pas admissible qu’un groupe décide de mettre l’entreprise en difficulté sans être déclaré comme organisation syndicale officielle. Dans un souci de concurrence et surtout par hypocrisie, Sud rail et la CGT couvrent théoriquement la grève des contrôleurs par un préavis. Pourtant,ils n’appellent pas clairement à la grève des contrôleurs. Il s’agit là d’un dévoiement du fond et de la forme du droit de grève..

La vérité, c’est que les syndicats ne cessent d’être pervertis par le gauchisme et le corporatisme qui minent entreprise depuis des dizaines d’années. Sans doute la meilleur moyen pour tuer une entreprise contrainte de ce fait d’abandonner nombre d’activités d’abord le transport express, ensuite le transport de messagerie puis en grande partie le transport par wagon de marchandises, les lignes secondaires, une grande partie aussi des trains inter-cités. Un véritable gâchis économique mais aussi syndical. En effet face à l’anarchie qui règne dans l’entreprise, les syndicats gauchistes ont provoqué la suppression du statut. De sorte qu’aujourd’hui subsiste dans l’entreprise une grande inégalité sociale avec ceux qui ont le statut et les nouveaux qui en sont privés.

De toute évidence une enquête devrait être diligentée pour analyser les dysfonctionnements d’une entreprise qui ne cesse de s’enfoncer dans l’anarchie sociale et qui discrédite les concepts d’intermodalités et de service public.




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