Archive pour le Tag 'Ile de France'

Île-de-France :Une majorité constate la dégradation des transports en commun

Île-de-France :Une majorité constate la dégradation des transports en commun

 

D’après une étude d’Inov360, en Île-de-France, prendre les transports reste un moment désagréable pour la majorité des usagers, révèle une enquête du collectif Mobilité, créé en 2020. L’étude revient sur la perception des voyageurs, à moins d’une trentaine de jours du lancement des Jeux olympiques. Le collectif, créé en 2020 et auquel participent des acteurs comme la ville de Paris ou la RATP,, a interrogé plus de 2500 Franciliens entre le 29 février et le 10 mars dernier.

«Cette dégradation de la perception est difficile à rattraper», reconnaît Vincent Pilloy, directeur d’Inov360, cabinet de conseil coordinateur du collectif Mobilité.

Sur l’ensemble des personnes interrogées, seuls deux facteurs les encourageraient à emprunter davantage les transports en commun : «une amélioration de la fréquence» et de la «ponctualité». En attendant, les Franciliens adaptent leurs déplacements en fonction des jours où les transports sont le plus fréquentés.

Malgré les critiques des voyageurs, 67% des répondants de l’étude assurent que la proximité d’une gare, d’un arrêt de bus, de RER ou de métro reste un critère déterminant pour choisir son lieu de résidence. «Même si les modes d’utilisation sont de plus en plus variés, les transports en commun restent un incontournable, y compris dans la façon dont les gens se projettent. Les gens en ont besoin. Ils en veulent plus», affirme Vincent Pilloy.

Achat logement : un apport moyen de 272 000 € en Île-de-France

Achat logement : un apport moyen de 272 000 € en Île-de-France

En moyenne en France, on vient d’atteindre un nouveau record historique avec un apport moyen de 72.000 euros par opération, soit 10.000 euros de plus que l’an dernier. Le record revient à l’Ile-de-France, avec un apport moyen de 272.000 euros.

Il s’agit pour la plupart de secondo accédants qui se servent de leur plus-value sur le bien vendu pour financer le prochain. Derrière l’Ile-de-France c’est en Auvergne-Rhône-Alpes que l’apport est le plus élevé: au-delà de 90.000 euros. Viennent ensuite la Bretagne, les Pays de la Loire et la Provence-Alpes-Côtes d’Azur où on oscille autour de 85.000 euros.

D’après les chiffres du courtier Finance Conseil, pour emprunter 300.000 euros, un ménage doit désormais gagner environ 5.300 euros par mois, soit 1.000 euros de plus qu’il y a un an .

Immobilier particulier : un accord moyen de 272 000 € en Île-de-France

Immobilier particulier : un accord moyen de 272 000 € en Île-de-France

En moyenne en France, on vient d’atteindre un nouveau record historique avec un apport moyen de 72.000 euros par opération, soit 10.000 euros de plus que l’an dernier. Le record revient à l’Ile-de-France, avec un apport moyen de 272.000 euros. Ici il s’agit pour la plupart de secondo accédants qui se servent de leur plus-value sur le bien vendu pour financer le prochain. Derrière l’Ile-de-France c’est en Auvergne-Rhône-Alpes que l’apport est le plus élevé: au-delà de 90.000 euros. Viennent ensuite la Bretagne, les Pays de la Loire et la Provence-Alpes-Côtes d’Azur où on oscille autour de 85.000 euros.

D’après les chiffres du courtier Finance Conseil, pour emprunter 300.000 euros, un ménage doit désormais gagner environ 5.300 euros par mois, soit 1.000 euros de plus qu’il y a un an à peine.

Drogue ÎLE-DE-FRANCE: Les cas d’héroïne en forte progression

Drogue ÎLE-DE-FRANCE: Les cas d’héroïne en forte progression


Une inquiétante série d’overdoses en Île-de-France. L’Agence régionale de santé (ARS) de la région francilienne pointe ce jeudi dans un communiqué « un nombre important d’overdoses à l’héroïne » survenues ces derniers jours, principalement dans les Hauts-de-Seine et en Seine-Saint-Denis.

Rien que dans ces deux départements, 23 cas d’overdoses à l’héroïne ont été repérés par les services de l’ARS depuis ce mardi, le 16 mai.

« L’ARS Île-de-France a été informée, via son Point Focal Régional de réception des alertes sanitaires, d’un nombre important d’overdoses à l’héroïne repérées dès mardi 16 mai au soir par le Samu 92. Le mercredi 17 mai au soir, les cas recensés s’élèvent à 23 et concernent le 92 et le 93″, indique l’agence dans un communiqué.

Une situation particulièrement troublante à laquelle l’ARS d’Île-de-France tente de faire face. L’agence s’attèle donc à sensibiliser l’ensemble des équipes du Samu et d’accueil des urgences, notamment pour faciliter la prise en charge et identifier plus rapidement d’autres cas d’overdose.

Le réseau francilien d’Addictovigilance a ainsi été activé avec comme objectif de « collecter le maximum d’informations sur les cas qui sont survenus: produit, lieu de vente, contexte de consommation, etc », selon l’ARS.

« Ces informations doivent permettre de suivre la situation et d’adapter les recommandations », indiquent les services sanitaires dans leur communiqué.

Manif contre l’artificialisation des sols agricoles en Ile-de-France

Manif contre l’artificialisation des sols agricoles en Ile-de-France

 

Une manif pour dénoncer  »l’urbanisation massive«  de l’Ile-de-France  où environ 1 500 hectares de terres agricoles sont transformées chaque année en espaces urbains , estime la chambre d’agriculture de la région. Les manifestants ont dénoncé la pression immobilière et les projets d’aménagement comme le Grand Paris Express, qui grignotent des parcelles fertiles autour de la capitale. Ces terres sont notamment, à leurs yeux, indispensables à la biodiversité et à la lutte contre le changement climatique.

« L’idée, c’est de faire prendre conscience aux gens qu’il y a des terres à préserver pour l’écologie de l’Ile-de-France, a expliqué Claire Bertrand, agricultrice bio en Seine-et-Marne. Ces terres servent à nourrir la population de Paris. » « On a envie de préserver ce qu’on a, de ne pas avoir de béton » pour « le stockage du carbone, la diversité des espèces cultivées, le refuge des animaux… » a-t-elle poursuivi.

Au côté des nombreux collectifs organisateurs, quelques élus étaient présents, dont la députée LFI Mathilde Panot ou l’élue régionale écologiste Ghislaine Senée. Cette dernière a déploré les  »vœux pieux » de la majorité menée par Valérie Pécresse, qui souhaite instaurer la règle du  »zéro artificialisation nette » et a appelé à davantage utiliser les logements vacants et les friches pour répondre à la pression immobilière.

 

 

En Île-de-France, LREM même pas 10 % des inscrits

En Île-de-France, LREM même pas 10 % des inscrits

 Le score de la république en marche est assez lamentable pour un parti au pouvoir et c’est même un résultat assez historique. Aujourd’hui le parti de la république en marche ne réunit guère plus de leur de 7 % des inscrits au plan nationalsSi on se réfère aux résultats des régionales. Exemple de cet échec , avec 9,62% des suffrages, Laurent Saint-Martin termine à la dernière place. Entre le premier et le deuxième tour, sa liste a perdu un peu plus de 31.000 voix. La faute a un second tour très clivé entre Valérie Pécresse et l’écologiste Julien Bayou. « C’est une baisse que l’on attendait car le chantage à l’extrême gauche de Valérie Pécresse a fonctionné. Malgré tout, on résiste», commente le député du Val-de-Marne, interrogé par Le Figaro au lendemain du scrutin. Lot de consolation, Jordan Bardella a lui aussi été victime du duel Pécresse-Pulvar, perdant près de 33.000 voix en une semaine.

Ile-de-France : Valérie Pécresse va enfoncer Bayou

Ile-de-France : Valérie Pécresse va enfoncer Bayou

 

.Selon un sondage de l’Ifop-Fiducial pour le Journal du Dimanche et Sud Radio, Valérie Pécresse est créditée de 44% des voix en Ile-de-France, la liste d’union de la gauche de Julien Bayou émarge à 31

Julien Bayou ne fait  pas le plein à gauche. Si 95% des électeurs de Clémentine Autain au premier tour le choisiraient au second tour, c’est le cas de seulement 68% des électeurs d’Audrey Pulvar (6% ont prévu de voter Laurent Saint-Martin, 16% de choisir Valérie Pécresse, 4% se reporteraient sur Jordan Bardella et 6% ne se prononceraient pas ou s’abstiendraient) et de 79% de ses électeurs du premier tour. Ainsi, Julien Bayou est crédité de 31% des voix alors que l’addition théorique des voix de Clémentine Autain, Audrey Pulvar et Julien Bayou du premier tour atteignait 34%. En revanche, 97% des électeurs de Valérie Pécresse au premier tour ont prévu de revoter pour la présidente de Région.

*Enquête de l’Ifop réalisée les 22 et 24 juin auprès d’un échantillon de 939 personnes inscrites sur les listes électorales de la Région Ile-de-France âgée de 18 ans et plus. Méthode des quotas, questionnaire autoadministré en ligne. La marge d’erreur se situe entre 1,4 et 3,1 points.

Île-de-France : pour une institution démocratique à la hauteur des enjeux du Grand Paris

Île-de-France : pour une institution démocratique à la hauteur des enjeux du Grand Paris

 

Réagissant à l’abstention record enregistrée dans certains territoires d’Ile-de-France, un collectif d’architectes, d’urbanistes, de sociologues et d’économistes propose, dans une tribune au « Monde », la création d’une institution régionale-métropolitaine, dont l’organisation serait définie avec la société civile.

 

Tribune. 
Comme nous l’écrivions dans une tribune au Monde, la métropole parisienne est aujourd’hui confrontée à plusieurs urgences : lutter vigoureusement contre les inégalités sociales et territoriales – la région métropolitaine parisienne est la plus riche de France, mais aussi la plus inégalitaire, et les disparités s’aggravent depuis trente ans ; répondre à la crise du logement, qui prive d’un logement décent et accessible toujours plus de ménages ; compléter le Grand Paris Express par une offre de mobilités plurielles et décarbonées, et ainsi enrayer la spéculation immobilière autour des futures gares ; accélérer la transition vers un modèle urbain soutenable, centré sur l’humain, dans la perspective du changement climatique global. 

Exacerbées par la crise sanitaire, ces urgences renvoient à des enjeux structurels et de longue durée, non traités – sinon impensés – par l’action publique. C’est pourquoi la métropole est aujourd’hui plus subie que souhaitée par ses habitants, jusqu’à en devenir répulsive. Ce sentiment de ne pas avoir de prise sur les changements métropolitains se traduit notamment par l’aggravation du solde migratoire négatif de l’Ile-de-France et par une abstention électorale record dans certains territoires.

Face à ces défis, le constat d’échec de l’organisation institutionnelle est patent. Les raisons de ce blocage sont surtout politiques. Force est de constater que la Métropole du Grand Paris, créée en 2016, a montré son incapacité à élaborer une stratégie partagée relative aux grands enjeux évoqués à l’instant. Elle paraît inopérante pour gérer un espace métropolitain de quelque 12 millions d’habitants et de près de 6 millions d’actifs créant 700 milliards d’euros de PIB annuel (32 % du PIB national).

 

S’ajoutent à cela l’exacerbation des égoïsmes au niveau tant municipal que départemental, l’opacité dans la gestion des grands syndicats techniques, l’absence de démocratie participative… On mesure ainsi l’impasse à laquelle a conduit l’architecture institutionnelle, forgée au fil des décennies, caricature du « millefeuille territorial » et du « pré carré » à la française (cinq niveaux de décision, dont les compétences se chevauchent, se superposent, ou, pire, se neutralisent). Or, à chaque fois qu’il a été question de mettre en place un gouvernement métropolitain intégré, le processus s’est heurté à la résistance d’élus de toutes tendances qui ont défendu leurs prérogatives et refusé tout changement significatif.

RÉGIONALES EN ÎLE-DE-FRANCE: l’union de gauche fait la soupe

RÉGIONALES EN ÎLE-DE-FRANCE:  l’union de gauche fait la soupe 

 

Le retour de la sulfureuse union de la gauche en Île de France. Union pour prendre le pouvoir et qui se déchire ensuite en raison d’idéologies totalement contradictoires. Cette fois, il s’agit seulement de limiter la défaite.

La tête de liste Europe Écologie les Verts Julien Bayou a en effet annoncé ce lundi l’union des trois listes de gauche pour le second tour des élections régionales en Île-de-France.

 

« Je suis très heureux. Dès hier soir Clémentine Autain et Audrey Pulvar ont annoncé se mettre au service du rassemblement. Nous l’avions dit: la personne en tête avait la responsabilité de rassembler. On a passé une nuit à discuter projets, comment enrichir avec les différentes priorités de chacune et de chacun un projet écologique et solidaire. Il y a un espoir de gagner pour l’écologie et la solidarité en Île-de-France », a expliqué Julien Bayou ce lundi soir sur BFMTV.

En Île-de-France, la présidente sortante Valérie Pécresse (LR) est arrivée en tête au premier tour du scrutin avec 35,94% des suffrages exprimés, suivie par Jordan Bardella (RN), qui a récolté 13,12%. Julien Bayou (EELV) quant à lui avait récolté 12,95%, Audrey Pulvar (PS) 11,07% et Clémentine Autain (LFI) 10,24%. Le dernier candidat à se qualifier pour le second tour est Laurent Saint-Martin (LaREM), avec 11,76%.

Covid France : baisse du nombre d’hospitalisés en soins critiques en Île-de-France

Covid France : baisse du nombre d’hospitalisés en soins critiques en Île-de-France

 

L’ARS dénombrait très exactement 979 patients atteints du Covid-19 dans les services de réanimation, de soins intensifs et de soins continus, selon un bilan quotidien arrêté à 11 heures, contre 1 009 la veille.

Le seuil symbolique du millier de patients avait été franchi le 9 mars, au début de la troisième vague, qui avait culminé dans la région le 20 avril, avec 1 792 malades en « soins critiques ». Le niveau d’occupation de ces services reste toutefois bien au-delà du dernier point bas (542) atteint le 8 janvier. En ajoutant les malades admis dans d’autres secteurs (infectiologie, pneumologie, rééducation…), le nombre total de « patients Covid hospitalisés » en Ile-de-France (4 700) est en revanche redescendu au plancher du début. En province aussi la baisse est  continue.

SONDAGE RÉGIONALES Île-de-France: Pécresse largement en tête, la gauche out

SONDAGE RÉGIONALES Île-de-France:  Pécresse largement en tête, la gauche out

Créditée de 33 % des intentions de vote aux régionales, la présidente sortante de la Région Île-de-France, Valérie Pécresse, compte 17 points d’avance sur le Rassemblement national, en deuxième position, selon un sondage de l’Ifop pour le JDD et Sud Radio.

 

. Avec 33% des intentions de vote, l’ancienne membre des ­Républicains (LR), à moins d’un mois du premier tour des régionales, le 20 juin, sème ses poursuivants. Le ­Rassemblement national (RN) et La République en marche (LREM) n’atteignent pas la moitié de son score, respectivement mesurés à 16 et 15 %. Quant aux listes de gauche, elles risquent la disqualification pour le second tour : celle d’Europe Écologie-Les Verts (EELV) est à 11 % ; les deux autres, le Parti  socialiste (PS) et La France insoumise, (LFI) à 10 %, le seuil minimal pour exister au-delà du premier round.

La situation est bien plus désespérante pour la gauche, qui paie sa division. L’équilibre entre les trois listes n’augure rien de bon : ni Clémentine Autain (LFI), ni Julien Bayou, ni Audrey Pulvar (PS) ne capte un vote utile qui viserait à sanctionner Pécresse. Faute de dynamique en faveur de l’une des listes et à l’approche du seuil critique des 10%, l’électorat de gauche pourrait condamner tout ou partie de ces listes à l’élimination.

Reconfinement en Île-de-France cette semaine

Reconfinement en Île-de-France cette semaine

 

 

 

Il est probable que le gouvernement sera amené à décider de forme de confinement pour la région parisienne dès cette semaine compte tenu de la dérive des les indicateurs du virus caractérisé par une sur-occupation des lits de réanimation et la montée des contaminations notamment des variants qui représentent maintenant autour de 75 % des personnes contaminées. Il est clair que la politique qui consiste à transférer de façon très complexe des malades parisiens en province ne peut être que marginale, en outre très coûteuse et traumatisante pour les malades et leurs familles.

 

La région francilienne a dépassé ce lundi le taux d’incidence de 400 cas pour 100.000 habitants, seuil critique fixé dimanche par Jean Castex lors d’une interview.

Selon les données de Santé Publique France, le taux d’incidence est exactement de 404 ce lundi, contre 391 la veille, soit une hausse de 14%.

Dimanche, le Premier ministre avait évoqué sur la plateforme Twitch cette limite pour expliquer la différence de restrictions entre l’Île-de-France et d’autres régions comme le Nord-Pas-de-Calais ou les Alpes-Maritimes.

Play Video

« On a démarré (le confinement le week-end) dans ces départements, quand le taux d’incidence était à 400 pour 100.000 habitants. Il est encore en dessous » en Île-de-France, avait précise Jean Castex, et tant que ce chiffre n’est pas atteint, « on ne peut pas prendre les mêmes mesures ».

Le nombre de patients admis en réanimation a dépassé lundi le pic de la deuxième vague du mois de novembre, selon les chiffres de l’Agence régionale de santé.

La pression continue de s’intensifier sur l’hôpital en Île-de-France. Le nombre de patients admis en réanimation dans la région atteint désormais 1152 ce lundi, selon l’ARS. Ce niveau est supérieur au pic enregistré lors de la deuxième vague de l’épidémie de Covid-19 au mois de novembre.

Les hôpitaux et cliniques franciliens n’avaient pas accueilli autant de patients Covid en réanimation depuis le 13 novembre, lorsque l’ARS en avait recensé 1.134.

Signe d’une dégradation continue de la situation en Île-de-France, le taux d’incidence dépasse lui les 400 cas pour 100.000 habitants, le seuil fixé par Jean Castex dimanche pour envisager de nouvelles restrictions, notamment un confinement.

«Revenu jeune actif» en Île-de-France ?

«Revenu jeune actif» en Île-de-France ?

Alors qu’ici ou là naissent des promesses voire des projets 6de RSA jeunes, en Île-de-France on pourrait s’orienter vers un revenu jeune actif (RJA) . Ce revenu de 500 à 670 euros par mois est conditionné à une formation gratuite pour les 18-25 ans sans emploi. Il s’agit en fait de donner un contenu économique à ce projet d’aide et non de le cantonner à sa seule dimension sociale. Cela pour éviter de parquer la jeunesse dans une forme d’assistanat. Une idée qui donne un sens dynamique au projet RSA jeunes il faut évidemment distinguer du RSA adulte qui constitue souvent une voie de garage économique et social nuisible à l’ensemble de l’économie mais aussi à l’insertion des bénéficiaires.

«En s’inscrivant à l’une des formations gratuites et qualifiantes du catalogue régional», les stagiaires de la formation professionnelle toucheront «un revenu net de 500 à 670 euros par mois, pour toute formation suivie d’une durée au moins égale à quatre mois», explique la région sur son site internet. La part variable, une prime allant jusqu’à 1.000 euros, sera attribuée si la formation appartient à l’un des secteurs en tension.

La mesure coûtera 270 millions d’euros à la région, a indiqué son entourage à l’AFP.

Valérie Pécresse s’oppose ainsi à la mise en place d’un RSA jeunes le temps de la crise, réclamé par plusieurs personnalités de gauche dont la maire PS de Paris Anne Hidalgo. «Je suis totalement contre enfermer des jeunes de 18 à 25 ans dans l’assistanat», a affirmé l’ancienne porte-parole du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

Elle a également annoncé la généralisation d’une aide régionale de 1.300 euros pour financer le permis de conduire, frein potentiel à l’embauche, des jeunes Franciliens en insertion professionnelle. Une mesure qui concerne potentiellement 60.000 personnes, selon la présidente de région.

«Revenu jeune actif» en Île-de-France ?

 «Revenu jeune actif» en Île-de-France ?

Alors qu’ici ou là naissent des promesses voire des projets 6de RSA jeunes, en Île-de-France on pourrait s’orienter vers un revenu jeune actif (RJA) . Ce revenu de 500 à 670 euros par mois est conditionné à une formation gratuite pour les 18-25 ans sans emploi. Il s’agit en fait de donner un contenu économique à ce projet d’aide et non de le cantonner à sa seule dimension sociale. Cela pour éviter de parquer la jeunesse dans une forme d’assistanat. Une idée qui donne un sens dynamique au projet RSA jeunes il faut évidemment distinguer du RSA adulte qui constitue souvent une voie de garage économique et social nuisible à l’ensemble de l’économie mais aussi à l’insertion des bénéficiaires.

«En s’inscrivant à l’une des formations gratuites et qualifiantes du catalogue régional», les stagiaires de la formation professionnelle toucheront «un revenu net de 500 à 670 euros par mois, pour toute formation suivie d’une durée au moins égale à quatre mois», explique la région sur son site internet. La part variable, une prime allant jusqu’à 1.000 euros, sera attribuée si la formation appartient à l’un des secteurs en tension.

La mesure coûtera 270 millions d’euros à la région, a indiqué son entourage à l’AFP.

Valérie Pécresse s’oppose ainsi à la mise en place d’un RSA jeunes le temps de la crise, réclamé par plusieurs personnalités de gauche dont la maire PS de Paris Anne Hidalgo. «Je suis totalement contre enfermer des jeunes de 18 à 25 ans dans l’assistanat», a affirmé l’ancienne porte-parole du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy.

Elle a également annoncé la généralisation d’une aide régionale de 1.300 euros pour financer le permis de conduire, frein potentiel à l’embauche, des jeunes Franciliens en insertion professionnelle. Une mesure qui concerne potentiellement 60.000 personnes, selon la présidente de région.

Une «écotaxe» PL en Ile-de-France?

Une «écotaxe» PL  en Ile-de-France?

 

Renaissance de la fameuse écotaxe avec la proposition d’un rapport sur les transports dans la région parisienne. Il s’agirait de mieux prendre en compte la dimension environnementale du système de transport.

 

Côté financement, les élus préconisent notamment d’«instaurer une écotaxe poids lourds sur les réseaux routiers franciliens», arguant qu’il est «légitime» que ceux-ci «contribuent à l’entretien et au développement des infrastructures de transports». Le problème c’est qu’on ne sait pas très bien s’il s’agit de servir une politique des transports plus écologique ou de trouver de nouveaux systèmes de financement.

 

En effet la question se pose de savoir quel mode de transport alternatif on peut trouver en région parisienne. Vraisemblablement ,cette taxe ne changera pas d’un iota la répartition modale. Notons que depuis de nombreuses semaines par exemple le prix du gazole a nettement augmenté et que cela n’a pas produit le moindre effet pour affaiblir la part du transport routier.

 

L’idée d’écotaxe avait été imaginée en 2007 lors du Grenelle de l’Environnement. François Hollande avait tenté de la mettre en place en 2013, mais l’avait finalement enterrée en 2014 après trois mois de fronde des «Bonnets rouges» en Bretagne. Pour les auteurs du rapport, cet abandon «a constitué un échec avant tout politique, aussi bien sur le plan financier, industriel qu’environnemental».

 

L’écotaxe proposée, qui «devrait intégrer le principe de pollueur-payeur», «favoriserait un rééquilibrage des conditions de concurrence entre le fret routier et ferroviaire», ajoutent-ils. Ils préconisent par ailleurs de «généraliser la mise en place de voies express de transports collectifs le long des axes autoroutiers», de «réhabiliter et moderniser le réseau» existant et de «réduire les tarifs et abonnements» payés par les habitants de grande couronne.

123



L'actu écologique |
bessay |
Mr. Sandro's Blog |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | astucesquotidiennes
| MIEUX-ETRE
| louis crusol