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Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

Sondage : Le Pen (26,5%), Macron (25,5%) et Fillon (18%) (IFOP)

 

Marine Le Pen reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 26,5%, devant Emmanuel Macron (25,5%) et François Fillon (18%), selon le sondage quotidien IFOP-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio publié jeudi. La candidate du Front national et celui d’En Marche ! sont stables, tandis que François Fillon (Les Républicains) recule de 0,5 point. C’est l’écart le plus important mesuré entre Emmanuel Macron et François Fillon depuis le début de ce sondage. Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen, avec 61% contre 39%. Le socialiste Benoît Hamon est stable, à 13,5%, tandis que Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) recule de 0,5 point, à 11%. Le sondage a été réalisé du 13 au 16 mars auprès d’un échantillon de 1.386 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Le Pen (26,5%) Macron (25,5%) et Fillon (18,5%), (Ifop)

Le Pen (26,5%) Macron (25,5%) et Fillon (18,5%), (Ifop)

 

Marine Le Pen reste en tête des intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, avec 26,5%, devant Emmanuel Macron (25,5%) et François Fillon (18,5%), selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, CNews et Sud Radio publié mercredi. La candidate du Front national est stable, alors que celui d’En marche ! progresse de 0,5 point et que François Fillon (Les Républicains) recule de 0,5 point. C’est l’écart le plus important mesuré entre Emmanuel Macron et François Fillon depuis le début de ce sondage. Au second tour, Emmanuel Macron battrait Marine Le Pen, avec 61,5% contre 38,5%. Le socialiste Benoît Hamon recule de 0,5 point, à 13,5%, tandis que Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise) est stable, à 11,5%. Le sondage a été réalisé du 12 au 15 mars auprès d’un échantillon de 1.399 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

Sondage 2017 : Le Pen (25,5%) Macron (19,5%) et Fillon (18,5%)-Ifop

Sondage 2017 : Le Pen (25,5%) Macron (19,5%) et Fillon (18,5%)-Ifop

 

 

Marine Le Pen (25,5%, -0,5 point) devance Emmanuel Macron (19,5%, stable) et François Fillon (18,5%, +0,5) dans les intentions de vote pour le premier tour de l’élection présidentielle, selon le sondage quotidien Ifop-Fiducial pour Paris Match, iTELE et Sud Radio publié mardi. Arrivent ensuite le socialiste Benoît Hamon (14,5%, stable), Jean-Luc Mélenchon (La France insoumise, 11,5%, stable) et François Bayrou (5%, -0,5) qui n’a pas dit s’il serait ou non candidat. Au second tour, Emmanuel Macron (En marche !) battrait Marine Le Pen (Front national) avec 62,5% (+0,5) contre 37,5%. Le sondage a été réalisé du 10 au 14 février auprès d’un échantillon de 1.402 personnes inscrites sur les listes électorales extrait d’un échantillon de 1.500 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

 

Fillon de plus en plus bas, éliminé avec 17,5% (IFOP)

Fillon  de plus en plus bas, éliminé avec 17,5% (IFOP)

 

François Fillon plonge encore d’après le  sondage quotidien de l’IFOP-Fiducial et serait éliminé dès le premier tour de la présidentielle, avec 17,5%, si le scrutin devait avoir lieu ce dimanche. Toujours devancé par Emmanuel Macron (21%) et Marine Le Pen (26%), le vainqueur de la primaire de la droite perd un demi-point par rapport à la précédente étude réalisée pour Paris Match, iTELE et Sud Radio. Les intentions de vote en faveur de l’ex-Premier ministre n’ont cessé de fléchir depuis le début de la controverse déclenchée fin janvier par les révélations du Canard enchaîné sur les emplois potentiellement fictifs dont aurait bénéficié son épouse et deux de ses enfants. Derrière le trio de tête, suivent Benoît Hamon (15%), Jean-Luc-Mélenchon (10,5%), François Bayrou (5,5%), lequel entretient le suspense sur ses intentions, et une série de candidats à moins de 5%. Dans l’hypothèse d’un second tour Macron-Le Pen, la seule testée par l’Ifop, l’ancien ministre de l’Economie l’emporterait avec 63% contre 37% à la présidente du Front national. Cette enquête a été menée en ligne du 6 au 9 février auprès d’un échantillon de 1,407 personnes inscrites sur les listes électorales.

2017 :«Fillon dévisse nettement» (Jérôme FOURQUET, IFOP)

2017 :«Fillon dévisse nettement» (Jérôme FOURQUET, IFOP)

 

Jérôme Fourquet chef département «Opinion & stratégies d’entreprise» de l’IFOP analyse la baisse de François Fillon, baisse qui provient pour l’essentiel des milieux populaires (interview du Figaro)


L’IFOP publie un nouveau sondage sur les intentions de vote à l’élection présidentielle. Pour la première fois depuis l’intronisation à droite de François Fillon, Marine Le Pen prend la tête du classement. Est-ce un sévère avertissement pour le candidat de la droite?

 

Jérôme FOURQUET. – Les sondages sur la présidentielle réalisés avant la primaire de la droite plaçaient régulièrement Marine Le Pen en pole position (sauf dans l’hypothèse d’une candidature Juppé et en l’absence du coup de François Bayrou). La large victoire de François Fillon lors de la primaire de la droite a suscité, de manière assez classique, une dynamique en sa faveur et un tassement pour ses concurrents notamment de Marine Le Pen qui passait de 28-29% à 24%. La nouvelle vague du Baromètre IFOP-Fiducial pour iTélé, Paris-Match et Sud Radio, réalisée tout début janvier, indique un certain rééquilibrage. Le candidat des Républicains passe ainsi de 28% à 24% quand Marine Le Pen regagne 2 points (à 26%) et repasse donc symboliquement en tête. On peut y voir la fin prévisible de l’écho de la victoire de François Fillon à la primaire. On peut aussi mettre en lien ce rééquilibrage à droite avec les attaques de ses adversaires sur son programme social.

 

L’électorat populaire, qui n’a que très peu participé à la primaire, semble très réfractaire à François Fillon, ce qui est préoccupant car ces catégories pèseront lourd à la présidentielle.

L’analyse des évolutions des intentions de vote en faveur du candidat de droite par catégories sociales est très instructive de ce point de vue. Entre novembre et janvier, le candidat de la droite demeure stable auprès des CSP+ avec un score de 30%. Il progresse même très légèrement dans les classes moyennes (21% + 2 points). Mais il dévisse très nettement dans les milieux populaires où il passe de 19% à 11% soit une perte de 8 points. Cet électorat, qui n’avait que très peu participé à la primaire, lui semble aujourd’hui très réfractaire, ce qui est préoccupant car ces catégories voteront à la présidentielle et pèseront lourd.

Le Sarthois peut encore compter sur les retraités, colonne vertébrale de l’électorat de droite qui voteraient à 38% pour lui, mais il cède 3 points dans ce segment acquis, qui est lui aussi particulièrement sensible aux questions ayant trait à la Sécurité Sociale et au système de santé.

Il convient de noter que le mouvement de baisse est avant tout de nature sociologique. On ne constate en effet que très peu d’évolutions selon le critère de la sympathie partisane, ce qui invalide ainsi l’hypothèse d’une brèche dans l’électorat centriste. Il passe même de 42% à 46% dans l’électorat UDI. La fuite ne vient donc pas du centre du fait d’un positionnement trop dur sur le régalien mais des milieux populaires, inquiets de son discours doloriste et des remèdes amers qu’il propose.

 

Marine Le Pen fait des scores très élevés parmi les classes les moins favorisées. Elle atteint même les 50% chez les ouvriers dès le premier tour. En revanche, elle continue à obtenir des scores beaucoup plus faibles parmi les CSP+, les diplômés et les retraités. Comment expliquez-vous ce score?

 

La sociologie de l’électorat lepéniste se structure en effet toujours selon le clivage «France d’en haut / France d’en bas». On peut d’ailleurs penser qu’elle n’est pas loin d’avoir fait le plein dans les milieux populaires avec 49% chez les ouvriers (score que le PC n’atteignait pas dans les années 50-60, mais il est vrai que la classe ouvrière était plus nombreuse qu’aujourd’hui) et 35% auprès des employés, qui sont souvent des employées, ces professions étant à très forte dominante féminine, or les femmes continuent de moins être attirées par le FN (21%) que les hommes (31%).

 

On peut penser que Marine Le Pen n’est pas loin d’avoir fait le plein dans les milieux populaires avec 49% chez les ouvriers (score que le PCF n’atteignait pas dans les années 50-60).

Si la candidate du FN fait le plein dans les milieux populaires c’est par ce qu’elle a su articuler un discours répondant à la fois à l’insécurité économique, physique mais aussi identitaire ou culturelle, qui taraude des pans entiers de cet électorat. Nul autre candidat ne répond aujourd’hui sur ces trois volets essentiels. Elle est en revanche davantage à la peine dans la «France intermédiaire» et la «France d’en haut» où son discours de rupture passe beaucoup moins bien et où la demande de protection face à ces multiples insécurités est moins prégnante. L’enquête de l’IFOP la crédite ainsi de 17% dans les classes moyennes et de 21% chez les CSP+ (avec un fort écart entre les cadres supérieurs et professions libérales toujours très réfractaires et les commerçants, artisans, chefs d’entreprise bien plus favorables). Autre électorat encore assez hermétique: les retraités, dont on a vu que 38% voteraient pour François Fillon, contre 18% pour elle. Tout l’enjeu pour le FN durant cette campagne consistera donc à consolider son assise dans les milieux populaires (en cognant sur le programme de «casse sociale» de Fillon) tout en étant en mesure de faire sauter les verrous dans «la France d’en haut» et parmi les retraités, où se situent aujourd’hui ses véritables marges de progression.

 

 

 

Il y a une dynamique autour du leader d’En Marche.

Il y a donc bien une dynamique autour du leader d’En Marche, qui était crédité de 13 à 14% des voix il y a quelques mois. (Aujourd’hui entre 16 et 24 NDLR) Cela se mesure dans les sondages mais également sur le terrain. Il a rassemblé plus de 10 000 personnes à Paris lors de son grand meeting de lancement, ce que beaucoup de candidats plus chevronnés n’arriveraient pas à faire mais également 1000 personnes à Nevers, il y a quelques jours. Venir assister à un meeting ne vaut pas vote, mais il y a incontestablement un intérêt autour de sa candidature, qui aimante des électeurs d’origines politiques diverses. Si le premier cercle de ses soutiens était composé de personnalités de gauche (Collomb, Patriat, Ferrand), trois anciens ministres de droite l’ont rejoint à ce jour: Arthuis, Dutreil et Lepeltier. Cette capacité à agréger un public hétérogène se lit dans les chiffres de notre enquête. Emmanuel Macron recueillerait le soutien de 30% des électeurs de François Hollande du 1er tour de 2012, mais aussi de 25% de ceux de François Bayrou (une fois encore en se plaçant dans l’hypothèse d’une nouvelle candidature de ce dernier, la captation de cet électorat par Macron s’en trouvant mécaniquement limitée) et 9% de celui de Nicolas Sarkozy. Il convient d’ajouter à cela pas moins de 30% des voix des sans préférence partisane, électorat plus volatile et plus friable, mais qui a semble-t-il trouvé une offre politique satisfaisante alors qu’il ne se reconnaît absolument plus dans les partis traditionnels.

 

À gauche, le PS est disqualifié dans tous les cas tandis que Jean-Luc Mélenchon obtient un score élevé, mais encore loin de la qualification pour le second tour. La gauche est-elle en décomposition ou déjà en phase de recomposition?

La recomposition et la compétition entre les deux pôles de la gauche pourraient se faire hors du PS entre Macron et Mélenchon.

L’enquête testait quatre scénarii de premier tour avec en candidat du PS soit Manuel Valls, soit Arnaud Montebourg, soit Benoît Hamon ou Vincent Peillon. Dans le meilleur des cas, le PS serait aujourd’hui à 10,5% (hypothèse Valls) et très en deçà avec les autres candidats. Du fait du haut niveau auquel se situe Emmanuel Macron et de l’étiage de Jean-Luc Mélenchon qui se situe déjà au niveau atteint en 2012 (11%) voir un peu au-dessus, la situation est effectivement très critique pour le parti de la rue de Solferino qui pourrait se voir devancer par non pas un mais deux candidats de gauche. Dès lors, l’argument-massue du vote utile et du nécessaire rassemblement de la gauche abondamment brandi par les ténors du parti depuis des années pourrait se retourner contre eux… En ce sens, la situation est beaucoup plus critique que lors des précédentes crises qu’a connues ce parti. Lors des législatives de 1993 comme lors de la présidentielle de 2002, le PS avait été lourdement défait par la droite (et le FN) mais il restait la force dominante à gauche. Si une dynamique ne s’enclenche pas à l’issue de la primaire, le processus de recomposition de la gauche pourrait débuter. On constate ainsi dans l’hypothèse d’une candidature Valls, qui garantirait aujourd’hui le meilleur score au PS, que seuls 41% des sympathisants socialistes voteraient pour lui, 15% optant pour une candidature plus à gauche et 33% pour Emmanuel Macron. Si une telle situation devait perdurer, la recomposition et la compétition entre les deux pôles de la gauche pourraient se faire hors du PS entre Macron et Mélenchon, ce dernier ne s’y est pas trompé en s’interrogeant (benoîtement) sur l’utilité du PS dans une récente interview au Monde.

 

Sarkozy remonte ? (Ifop)

Sarkozy remonte ? (Ifop)

 

Il faut évidemment ce méfier de la guerre des sondages dont certains ne sont pas neutres compte  tenu de leurs commanditaires. En outre une évolution dans un sens ou dans l’autre de quelques points n’a guère de pertinence statistique puisqu’il se situe dans la marge d’erreur. Sans parler des doutes sur l’échantillon  L’avance d’Alain Juppé sur Nicolas Sarkozy en vue du premier tour de la primaire de la droite se serait  réduite de moitié en deux semaines, passant de douze à six points, selon un sondage Ifop-Fiducial pour iTELE, Paris Match et Sud Radio. A trois semaines du premier tour, le maire de Bordeaux est désormais crédité de 37% des intentions de vote – soit un recul de quatre points par rapport à la précédente livraison de cette enquête – tandis que l’ex-chef de l’Etat progresse de deux points, à 31%. Selon ce sondage réalisé du 18 au 31 octobre auprès de 709 personnes ayant la ferme intention de participer à se scrutin, Alain Juppé remporterait le deuxième tour de la primaire, prévu le 27 novembre, avec 57% des intentions de vote (-4 points) contre 43% pour Nicolas Sarkozy (+4 points). L’écart entre les deux hommes s’est donc également resserré au deuxième tour: ils sont désormais séparés par 14 points, contre 22 dans la précédente livraison de cette enquête. (Avec Reuters)

Primaire de la droite : Juppé encore en hausse (IFOP)

Primaire de la droite : Juppé encore en hausse (IFOP)

 

Le premier débat des primaires aura coûté cher à Nicolas Sarkozy très mal à l’aise lors de cette prestation télévisée et qui recule encore face à Alain Juppé. Le maire de Bordeaux, crédité de 41% des intentions de vote, compte désormais 12 points d’avance sur Nicolas Sarkozy (29%) en vue du premier tour de la primaire de la droite, selon un sondage IFOP-Fiducial pour iTELE, Paris Match et Sud Radio paru mardi. Jamais cet institut n’avait mesuré une telle marge entre les deux principaux concurrents des Républicains. Alain Juppé est également donné vainqueur au second tour, prévu le 27 novembre, avec 61% des intentions de vote contre 39% à son adversaire, selon cette enquête réalisée du 30 septembre au 17 octobre. Les écarts entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy se sont creusés depuis la fin du mois du mois de septembre, marqué par les réminiscences de l’affaire Bygmalion, qui vaut une mise en examen à l’ex-président, et la publication du réquisitoire dressé par son ex-conseiller Patrick Buisson. Dans la précédente étude de l’IFOP, publiée il y a trois semaines, seuls quatre points séparaient les deux hommes en vue du premier tour et 14 en vue du second. Celle publiée mardi place Alain Juppé en tête des préférences des électeurs de gauche et du centre au premier tour, mais prête à Nicolas Sarkozy les meilleurs scores auprès des sympathisants des Républicains et du Front national. En revanche, l’ex-Premier ministre l’emporterait au second tour même si le scrutin était réservé aux seuls sympathisants des Républicains, avec 52% des intentions de vote contre 48% à son rival. Toujours selon l’IFOP, Bruno Le Maire et François Fillon seraient au coude-à-coude au premier tour, avec 11% chacun. Suivraient Nathalie Kosciusko-Morizet (4%), Jean-François Copé et Jean-Frédéric Poisson (tous deux à 2%).

(Avec Reuters)

Sondage Européennes : FN devant l’UMP et PS (Ifop)

Sondage Européennes : FN devant l’UMP et  PS selon (Ifop)

Selon un sondage Ifop pour Paris Match, le Front national arriverait en tête (23%) des intentions de vote pour les élections européennes, devant l’UMP (22,5%) et le PS (19,5%).  Un camouflet pour la droite traditionnelle comme pour la gauche. L’UMP, qui rêvait d’arriver en tête des élections européennes de mai prochain, n’arriverait qu’en seconde position de ce scrutin. En effet, selon un sondage Ifop réalisé pour Paris Match, le FN cumulerait 23% des intentions de vote, devant l’UMP (22,5%) et le PS (19,5%). L’UDI (10%), Europe Ecologie-Les Verts et le Front de gauche (8%) suivent.

 

Sondage : après l’IFOP, IPSOS confirme Hollande en baisse à 18%

Sondage : après l’IFOP, IPSOS confirme Hollande en baisse à 18%

 

L’inconséquence et la désinvolture de Hollande lui coûte cher (notamment dernièrement la nomination de ses petits copains de l’ENA). La cote de popularité de François Hollande a reculé de quatre points en avril en un mois, à 18%, celle du nouveau Premier ministre Manuel Valls s’établissant à 44%, selon le baromètre Ipsos pour le Point publié lundi. Dans le détail, 1% des sondés porte un jugement « très favorable » sur l’action de François Hollande comme président de la République et 17% « plutôt favorable », tandis que 36% expriment un avis « plutôt défavorable » et 40% « très défavorable ».  6% ne se sont pas prononcés (+2 points en un mois).  Interrogés sur l’action de Manuel Valls en tant que Premier ministre, 44% des sondés ont porté un jugement favorable (6% « très favorable », 38% « plutôt favorable ») et 34% défavorables (22% plutôt défavorables, 12% très défavorables).  Mais près d’un quart (22%) ne se sont pas prononcés sur le nouveau locataire de Matignon dans ce sondage réalisé moins de deux semaines après la nomination de Manuel Valls pour succéder à Jean-Marc Ayrault.  Parmi les personnalités politiques, le maire UMP de Bordeaux Alain Juppé reste en tête du classement, après une progression de 4 points en un mois, à 56% de jugements favorables (13% ne se prononcent pas).  Il devance à nouveau l’ancien maire socialiste de Paris Bertrand Delanoë (55%, +7 points, 18% ne se prononcent pas).  En troisième position, le président de l’UDI Jean-Louis Borloo (52%, + 11 points), qui a depuis annoncé son retrait de ses mandats et fonctions politiques pour raisons de santé.  Dans ce baromètre, l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy gagne six points (45% favorables), tandis que son ancien Premier ministre François Fillon prend trois points (42%) et que le président de l’UMP Jean-François Copé progresse de neuf points (27%).  Chez les sympathisants de l’UMP, Nicolas Sarkozy demeure le leader politique le plus populaire et progresse même de dix points en un mois (89%), devançant Christine Lagarde, Alain Juppé et François Fillon.

 

Sondage : Valls, ni à gauche ni à droite….ailleurs (IFOP)

Sondage : Valls, ni à gauche ni à droite….ailleurs  (IFOP)

Dns le sondage de l’IFOP pour le JDD, Hollande n’est ni à gauche, ni à droite, il est ailleurs, le problème est de savoir où ? Entre l’austérité ou la relance ? En tout cas François Hollande trouvera, lui,  dans la lecture de ce sondage un motif d’inquiétude supplémentaire : seuls 20% des Français considèrent le pacte de responsabilité et ses 50 milliards d’économies à trouver comme une priorité. Preuve que la grande idée présidentielle n’imprime pas. Nommé à Matignon dans un contexte politique et économique explosif, Manuel Valls peut s’appuyer sur un atout non négligeable : son profil politique original. L’ancien maire d’Evry échappe en effet au clivage gauche/droite classique. Le nouveau Premier ministre est perçu comme un homme de gauche par un tiers des Français, un homme du centre par un autre tiers des Français et ni à droite, ni à gauche par le reste des personnes interrogées. Issu de l’aile droite du Parti socialiste, il est jugé de gauche par un sympathisant PS sur deux.

Sondage : Mélenchon et Le Pen jugés sectaires » (IFOP)

Sondage : Mélenchon et Le Pen jugés sectaires » (IFOP)

Les français sont lucides, ils reconnaissent la posture de contestation de Lepen et Mélenchon mais ne croient pas majoritairement à leur capacité de gouvernance. Une majorité de Français considère que le coprésident du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, et la présidente du FN, Marine Le Pen sont « sectaires », mais elle leur reconnaît à tous deux de vouloir « vraiment changer les choses », selon une enquête IFOP pour le Journal du Dimanche. Dans une comparaison des traits d’image des deux responsables politiques, 63% des personnes interrogées jugent que le qualificatif « sectaire » s’applique plutôt bien à Jean-Luc Mélenchon, et 60% à Marine Le Pen. Pour 56% des sondés, Mélenchon « veut vraiment changer les choses ». Il est devancé sur ce point par Marine Le Pen, avec 65% des personnes interrogées qui lui accordent ce qualificatif. S’agissant du qualificatif « comprend les problèmes des gens comme vous », 44% des personnes interrogées trouvent qu’il s’applique plutôt bien à Mélenchon, et 47% à Le Pen. Mais 37% jugent que la présidente du FN « a des solutions pour sortir de la crise », et 27% considèrent que cette formule s’applique plutôt bien au coprésident du PG.  63% des sondés estiment que Mélenchon « s’oppose trop au gouvernement » (37% pensent que cette formule s’applique plutôt mal à lui). 79% des personnes interrogées jugent que Le Pen « s’oppose aussi bien à l’UMP qu’au gouvernement », contre 21% pour qui ce n’est pas le cas.

sondage Ifop : trop d’assistanat pour 80%

sondage Ifop : trop d’assistanat pour 80%

Huit Français sur dix jugent qu’il y a « trop d’assistanat », selon un sondage Ifop . L’opinion selon laquelle « il y a trop d’assistanat et beaucoup de gens abusent des aides sociales » rencontre l’assentiment de 80 % des personnes interrogées, contre 79 % en novembre 2011 (également dans un sondage Ifop). 75 % (76 % il y a un an) pensent que « l’islam progresse trop en France, 70 % (contre 69 %) qu’il faut que « l’État donne plus de libertés aux entreprises », 66 % (comme en 2011) qu’il y a « trop d’immigrés en France » et 66 % (contre 68 %) que « seules les familles les plus aisées peuvent choisir l’établissement scolaire de leurs enfants ». La majorité est nettement moins forte sur deux autres opinions: 56 % (comme en 2011) jugent qu’on « ne se sent en sécurité nulle part », 51 % (contre 53 % il y a un an) que « les chômeurs pourraient trouver du travail s’ils le voulaient vraiment ». Les évolutions sont plus fortes, comme d’autres sondages l’ont montré, sur deux sujets d’actualité. 52 % sont opposés à l’opinion selon laquelle « les couples homosexuels devraient pouvoir adopter des enfants », alors que 53 % y étaient favorables il y a un an. Et 57 % sont hostiles à ce que « tous les étrangers résidant en France depuis plusieurs années » aient « le droit de vote aux élections municipales », alors que la moitié des sondés (49 %) approuvaient cette idée en novembre 2011. Enfin, 41 % (contre 46 % en novembre 2011) estiment qu’il « faut généraliser l’impôt sur le revenu à tous les foyers car actuellement les plus modestes, soit un ménage sur deux, n’en payent pas ». Par ailleurs, 72 % des sondés pensent qu’ »avec tous les traités que la France a signés, le gouvernement n’a plus aujourd’hui vraiment de marges de manoeuvre », soit presque autant que lors d’un précédent sondage Ifop réalisé le 22 avril dernier (74 %).

 

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