Archive pour le Tag 'idiots'

Saboteurs de la SNCF: Des radicaux écolos cinglés, idiots utiles des dictatures

Saboteurs de la SNCF:  Des radicaux écolos cinglés,  idiots utiles des dictatures

 

On ne peut encore identifier les auteurs du sabotage criminel dont a été victime la SNCF. Parmi les hypothèses les plus vraisemblables, on pense évidemment aux écolos radicalisés plus ou moins anarchistes et marxistes qui mettent en cause le progrès économique mais aussi finalement la démocratie. Les intéressés sont en effet les idiots utiles des dictatures qui rêvent d’écraser la démocratie pour confier tous les pouvoirs à une élite éclairée. Une curieuse contradiction pour cette ultra gauche anarchiste.
Un message de soutien à la série d’actes de sabotage commis vendredi contre le réseau des lignes à grande vitesse de la SNCF a été reçu samedi par plusieurs médias, a-t-on appris de sources proches du dossier. Ce message a été adressé par e-mail à plusieurs médias ainsi qu’à des titres de la presse étrangère. Signé «une délégation inattendue», il justifie les actions et critique les Jeux olympiques de Paris (26 juillet – 11 août) en ayant recours à une dialectique utilisée par les militants de l’ultragauche anarchiste.

 

Le message débute par un titre: «Revendication du sabotage de lignes TGV quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Ils appellent cela une fête ? Nous y voyons une célébration du nationalisme, une gigantesque mise en scène de l’assujettissement des populations par les États».

Les auteurs de ce soutien au crime ne sont pas nécessairement les responsables directs du sabotage mais il participe à la diffusion de la violence sous toutes ses formes » l’abolition de la démocratie et le progrès.

Message de soutien aux saboteurs de la SNCF: Des radicaux écolos cinglés idiots utiles des dictatures

Message de soutien aux saboteurs de la SNCF:  Des radicaux écolos cinglés,  idiots utiles des dictatures

 

On ne peut encore identifier les auteurs du sabotage criminel dont a été victime la SNCF. Parmi les hypothèses les plus vraisemblables, on pense évidemment aux écolos radicalisés plus ou moins anarchistes et marxistes qui mettent en cause le progrès économique mais aussi finalement la démocratie. Les intéressés sont en effet les idiots utiles des dictatures qui rêvent d’écraser la démocratie pour confier tous les pouvoirs à une élite éclairée. Une curieuse contradiction pour cette ultra gauche anarchiste.
Un message de soutien à la série d’actes de sabotage commis vendredi contre le réseau des lignes à grande vitesse de la SNCF a été reçu samedi par plusieurs médias, a-t-on appris de sources proches du dossier. Ce message a été adressé par e-mail à plusieurs médias ainsi qu’à des titres de la presse étrangère. Signé «une délégation inattendue», il justifie les actions et critique les Jeux olympiques de Paris (26 juillet – 11 août) en ayant recours à une dialectique utilisée par les militants de l’ultragauche anarchiste.

 

Le message débute par un titre: «Revendication du sabotage de lignes TGV quelques heures avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024. Ils appellent cela une fête ? Nous y voyons une célébration du nationalisme, une gigantesque mise en scène de l’assujettissement des populations par les États».

Les auteurs de ce soutien au crime ne sont pas nécessairement les responsables directs du sabotage mais il participe à la diffusion de la violence sous toutes ses formes » l’abolition de la démocratie et le progrès.

Quelle LOI « ANTI-CASSEURS », ces idiots utiles du pouvoir

Quelle LOI « ANTI-CASSEURS », ces idiots utiles du pouvoir

Objectivement les casseurs nuisent à la démocratie et détruisent l’image de protestations légitimes. D’une certaine manière, ils sont des idiots utiles du pouvoir car bien entendu les médias en quête d’images spectaculaires se concentrent sur les débordements et les violences au lieu de parler du sujet politique. Pour l’instant, le gouvernement réfléchit à un projet de loi anticasseurs mais qui paraît assez vague.

Le gouvernement étudie par exemple la possibilité d’instaurer un « délit de construction des barricades », a appris BFMTV, confirmant une information de Franceinfo. Celui-ci pourrait venir en appui du délit d’attroupement, mais ce n’est qu’une piste de réflexion pour l’instant.

Le gouvernement réfléchit également à une interdiction administrative de manifester. Elle permettrait d’interdire à une personne de venir à une manifestation, si elle est considérée comme susceptible de commettre des exactions.

« L’idée, c’est d’appliquer aux manifestations ce que nous appliquons aux matchs de football. Quand nous avons des hooligans dont le but n’est pas de venir supporter un match de football, mais de casser des personnes et de casser des biens publics, aujourd’hui, on interdit l’accès aux stades », a expliqué le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin sur RMC ce jeudi.

Environnement- «Les idiots utiles de l’écologie radicale»–

Environnement- «Les idiots utiles de l’écologie radicale»–

Par Olivier Blond dans l’Opinion

Malgré leurs dénégations, les élus écologistes qui ont participé ou soutenu les manifestations à Sainte-Soline ont légitimé les actions violentes organisées et préméditées par des casseurs, alors qu’il fallait les dénoncer. Ils feignent d’être pacifiques mais savaient pertinemment que la manifestation allait dégénérer et entretiennent donc délibérément un double discours.

En cela, ils commettent une erreur profonde : ils endossent le rôle d’idiots utiles du nouvel extrémisme écologiste. A l’image de ces intellectuels bien-pensants qui croyaient défendre le progrès social en vantant les mérites du régime stalinien, ou plus tard du grand bond en avant de Mao Zedong, ou encore du génocide de Polpot, ils soutiennent des extrémistes dont ils ne partagent pas forcément complètement les idées, mais auxquels ils pensent devoir s’associer.

Ils négligent ainsi les leçons de l’histoire, car chaque fois que des modérés ou des démocrates ont cédé aux extrêmes, ils l’ont payé au prix fort. Les socialistes qui ont tenté de collaborer avec les Staliniens, les Républicains qui ont voté les pleins pouvoirs à Pétain ou à Hitler, les laïcs ou les modérés qui ont soutenu les islamistes en Iran en 1979, en Algérie dans les années quatre-vingt-dix, ou au Moyen-Orient… Pactiser avec les extrêmes n’apporte que le déshonneur et la défaite. C’est d’autant plus vrai que, de leur côté, les théoriciens de l’écologie radicale, comme Andreas Malm (auteur de « Comment saboter un pipeline » : un long éloge de la violence politique) ou Roger Hallam (fondateur d’Extinction Rebellion) expliquent avec une transparence presque déconcertante leurs objectifs.

« S’allier avec les extrémistes discrédite les élus locaux, dont je suis, qui agissent dans la légalité pour protéger l’environnement. Au niveau local, dans les mairies, dans les collectivités, dans les régions, nous sommes nombreux à nous battre, pied à pied, mais dans le respect des institutions de la République »
Malgré cela, certains écologistes croient encore que leur intérêt est de les soutenir. En échange de quelques « likes » et d’un peu de visibilité médiatique, ils livrent la jeunesse à des gens qui haïssent notre pays et qui veulent détruire notre système.

Mais ils n’y gagneront rien ! Les écologistes républicains peuvent multiplier les gestes positifs en direction des extrémistes, ils n’obtiendront rien en retour. C’est le sort qu’a connu Nicolas Hulot, qui se faisait jeter des ordures sur la tête, au sens propre, par des adhérents d’EELV, et qui n’a jamais été accepté par une grande partie du parti (avant même que n’éclate le scandale de harcèlement). C’est également celui de Yannick Jadot, qui a cru pouvoir pactiser avec Sandrine Rousseau pendant la campagne présidentielle – mais celle-ci a rompu dès le lendemain les accords noués après la primaire, comme s’ils n’avaient représenté que du vent.

Discrédit. Tout au contraire, s’allier avec les extrémistes discrédite les élus locaux, dont je suis, qui agissent dans la légalité pour protéger l’environnement. Au niveau local, dans les mairies, dans les collectivités, dans les régions, nous sommes nombreux à nous battre, pied à pied, mais dans le respect des institutions de la République. Certes, nos victoires restent souvent insuffisantes en regard des enjeux planétaires auxquels nous sommes confrontés. Mais elles sont toujours plus efficaces que les cocktails molotov et les bagarres contre la police qui n’apportent que destruction et violence. Il importe d’expliquer l’impasse que constitue cet extrémisme pour la société et en particulier pour la jeunesse, qui s’enfonce dans l’écoanxiété ou l’illégalité.

Les idiots utiles de l’écologie radicale accentuent ainsi la cause de leur faiblesse et le problème de notre pays : le discrédit du mouvement réformiste. L’extrémisme se nourrit en effet de l’échec d’une politique nationale à la hauteur des enjeux, qui appuie les élus de terrain et démultiplie leur action. Emmanuel Macronne s’intéresse pas plus à l’écologie que François Hollande. Mais ce n’est pas avec des haches, des boules de pétanques ou des mortiers que l’on convaincra l’Etat de nous soutenir, tout au contraire.

Ceux qui soutiennent, ne serait-ce que du bout des lèvres, les mouvements extrémistes, pensent peut-être qu’il ne faut pas désespérer les Billancourt de l’écologie. Comme toujours, l’idiot utile pense servir une juste cause. Mais en fait, il renforce son ennemi.

Pour finir, et face à tous ces abus, il devient nécessaire de redonner son sens au mot radicalité : celui de prendre les problèmes à la racine, résolument. Et non pas se donner des frissons narcissiques en jouant aux cow-boys et en attaquant la police, mais sans rien apporter au monde.

C’est ainsi que les « modérés » de l’écologie seraient naïfs de croire qu’ils font partie du même camp que les extrémistes. C’est faux. Il y a deux camps et ils sont inconciliables. Il faut l’assumer et défendre, haut et fort, une autre écologie.

Olivier Blond est conseiller régional d’Ile-de-France.

Provocations et Violences : les idiots utiles à Macron

Provocations et Violences : les idiots utiles à Macron

L’histoire se répète inlassablement en France comme ailleurs. Les régimes autoritaires et encore davantage les dictatures utilisent évidemment les violences minoritaires pour discréditer la légitimité des révoltes populaires.

Ainsi les pseudos révolutionnaires de papier de gauche et mouvements facho de droite profitent de la mobilisation historique de la rue contre le pouvoir technocratique et financier pour créer des incidents (et peut-être malheureusement un jour des accidents( que commence à utiliser le pouvoir.

Il suffit même dans certains médias de droite de focaliser sur le feu de trois poubelles pour décrire la situation de quasi insurrection dans le pays. Il y a évidemment des incidents plus graves quand les forces de l’ordre sont bêtement attaquées, quand les commerces subissent des dommages ou quand on casse des voitures.

C’est le retour des idiots utiles à Macron qui risquent de discréditer la justesse de la protestation jusque-là exceptionnellement massive et remarquablement organisée par les syndicats.

Le problème c’est que ces idiots utiles extrémistes contestent autant les syndicats que le pouvoir politique et même toute institution puisque le projet politique de ces extrémistes est d’installer la dictature.

La gauche politique, la gauche syndicale aurait beaucoup à perdre à soutenir, pire à impulser des mouvements de protestation violents s’attaquant aux biens et aux personnes. Il y a chez certains un manque évident de hauteur politique. Un phénomène qui touche malheureusement tout autant le pouvoir politique infantile actuel qu’une opposition qui se caractérise aussi souvent par la médiocrité de ses représentants.

Snapchat, TikTok, Twitter, YouTube: une fabrique de jeunes idiots dépendants ?

Snapchat, TikTok, Twitter, YouTube: une fabrique de jeunes idiots dépendants  ?

 

Malgré la maîtrise des outils numériques, les jeunes ne sont pas forcément armés pour faire face au flot d’information déversé quotidiennement sur les réseaux sociaux, et peuvent avoir une vision limitée de l’actualité puisque l’information reçue dépend directement de ses abonnements et des partages de ses amis. Il y a là le risque de s’enfermer dans des bulles de filtres estime Elodie Gentina, Associate professor, marketing, IÉSEG School of Management. L’experte note que les jeunes sont de plus en plus dépendants d’influenceurs journalistes officiels ou non qui réduisent les problématiques jusqu’à la caricature.

Les 18-25 ans, nés avec le numérique, ont recours à des outils différents pour s’informer. Ils privilégient Internet (66 %), via leur smartphone, puis la télévision (26 %). 

 

Nés avec le digital, les 18-25 ans sont plus équipés, plus connectés que les générations précédentes. Ils n’ont pas recours aux mêmes outils pour s’informer que les générations précédentes. Alors que les plus de 35 ans se tournent majoritairement vers la télévision (53%), Internet (23%) et enfin la radio (17%) quand ils veulent se tenir au courant de l’actualité, la tendance est inversée chez les moins de 35 ans. Ces derniers privilégient Internet (66%), via leur smartphone, puis la télévision (26%). Chez les moins de 25 ans, l’usage d’internet pour s’informer est encore plus marqué, atteignant 75% d’entre eux.

Bien que la télévision soit le premier moyen d’information (46% sont d’abord informés par ce moyen), seulement 21% des moins de 25 ans regardent le journal télévisé. D’après le 34e baromètre Kantar Public, les trois quarts des 18-25 ans s’informent d’abord sur Internet, et en particulier sur leurs smartphones, pour suivre l’actualité en temps réel. Ils peuvent accéder à des contenus personnalisés, commenter, évaluer, réagir et partager l’information rapidement et facilement.

Dès lors, les médias transitionnels n’ont plus que le choix d’aller toucher le jeune public là où il se trouve, en lui proposant une offre éditoriale adaptée à ses usages. C’est ce que certains journaux ont compris en proposant du contenu en ligne quotidiennement sur les réseaux sociaux pour toucher les jeunes lecteurs. Par exemple, Le Monde a investi les formats courts sur Snapchat et Instagram. En 2020, le journal a même sauté le pas vers TikTok, en diffusant du contenu au moment du mouvement #BlackLivesMatter. Quant à Libération, sa version numérique, se classant parmi les sites d’information mobiles les plus visités.

 

Le web (et plus particulièrement les réseaux sociaux) est devenu la porte d’accès à l’acquisition des connaissances chez les jeunes, modifiant ainsi leurs pratiques en matière de recherche et de consommation de l’information. Il est bien loin, le temps du rendez-vous familial devant le journal télévisé du 20h, ou celui de l’écoute des infos à la radio le matin. C’est souvent seuls, pendant les trajets, en attendant un rendez-vous, durant différentes pauses de la journée, que les jeunes suivant l’actualité via les réseaux Facebook, Instagram, Snapchat, Twitter… Selon les résultats du Baromètre Kantar 2021, 46% des jeunes s’informent via les réseaux sociaux numériques. Plus l’information est proche d’eux, plus les jeunes s’y intéressent.

Ils privilégient le contenu vidéo, plutôt que le contenu écrit, et recherchent un accès rapide, instantané et quotidien de l’actualité, en recourant à la multitude des supports numériques (tablettes numériques, smartphones…) présents dans leur quotidien. D’après l’étude Adweek, 78% des jeunes de moins de 25 ans visionnent des contenus vidéos chaque jour sur YouTube.

 

De nouveaux médias pure players comme Brut, Loopsider, Konbini ou encore Neo ont compris que les 18-25, peu intéressés par l’actualité politique et par les « hard news », recherchent des informations insolites et divertissantes. Ils ont su tirer leur succès des réseaux

Ces formats sont totalement en phase avec les attentes des 18-25 ans, qui privilégient la vidéo courte (1 à 5 minutes), commentée, au point qu’Emmanuel Macron avait consacré lui-même une interview exclusive à Brut en décembre dernier. Les vidéos virales de Brut ont généré 20 milliards de visionnages en 2020, au point qu’elles devanceraient la BBC avec 39 millions de spectateurs uniques par mois en Europe. Konbini compterait plus de 10 millions de visiteurs uniques tous les mois et Loopsider, plus récent, aurait 150 millions de vidéos vues par mois.

Bien que les jeunes soient séduits par tous ces nouveaux médias, centrés sur les vidéos, 70% d’entre eux continueraient de consulter au moins une page de média traditionnel sur les réseaux sociaux.

Les jeunes se sentent éloignés des sujets traités par les médias et de la hiérarchie des informations qui y est pratiquée. Les jeunes voient le monde en horizontalité, en réseau, et la parole du journaliste devient pour les jeunes aussi valable que celle d’un influenceur. Dès lors, on peut se poser la question de savoir si les influenceurs d’aujourd’hui sont les journalistes de demain, alors que des jeunes montent leur propre média en misant sur les réseaux sociaux. Par exemple, Hugo décrypte, surnommé le « petit prince de l’info », mise sur YouTube et Instagram pour convertir les jeunes à l’actualité.

D’autres journalistes ont aussi basculé sur les réseaux sociaux, comme Samuel Etienne qui animait jusqu’en avril 2021  »la Matinée Est Tienne » sur Twitch, afin d’échanger avec les jeunes sur l’actualité via la plate-forme de streaming dont il a su s’approprier les codes.

Malgré la maîtrise des outils numériques, les jeunes ne sont pas forcément armés pour faire face au flot d’information déversé quotidiennement sur les réseaux sociaux, et peuvent avoir une vision limitée de l’actualité puisque l’information reçue dépend directement de ses abonnements et des partages de ses amis. Il y a là le risque de s’enfermer dans des bulles de filtres.

Les parents et les enseignants ont un rôle éducatif à jouer pour aider leurs enfants à élargir leurs horizons, à prendre du recul sur le contenu de l’information reçue qui peut être ludique, sans réelle portée informative et bien sûr à situer les sources et développer des  »gestes barrières » pour repérer les fake news.

Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.

COP26 : un retard pour cacher l’échec

La conférence sur le climat de Glasgow joue les prolongations. L’objectif est maintenant de déboucher sur un texte de compromis suffisamment vague pour cacher les divergences et les chèques global de la rencontre notamment surl’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à l’ère préindustrielle.

 

Il y a aussi de nombreuses oppositions concernant la contribution mondiale de l’ordre de 100 milliards à attribuer aux pays en développement afin qu’ils puissent lutter également contre le changement climatique. Au-delà de la question symbolique des 100 milliards et de la «confiance brisée», les pays en développement ont mis sur la table une proposition pour créer un mécanisme spécifique de prise en compte des «pertes et préjudices», c’est-à-dire les dommages déjà causés par les impacts ravageurs des tempêtes, sécheresses et canicules qui se multiplient. En vain pour l’instant, en raison de l’opposition des pays riches, selon plusieurs observateurs. Un chiffrage de ses impacts–sans doute à multiplier par 10 la contribution mondiale au pays en développement.

 

Certes cette contribution mondiale serait nécessaire mais des divergences apparaissent sur son montant mais aussi sur son utilisation. Nombre de pays en développement à la démocratie douteuse pourrait en effet détourner au profit des dirigeants une manne destinée à l’adaptation à la nouvelle donne climatique.

 

Finalement on cherche le minima communs dans la déclaration finale. Pour tenter de limiter le réchauffement, le texte provisoire de la présidence britannique appelle les États membres à relever leurs engagements de réduction d’émissions plus régulièrement que prévu dans l’accord de Paris, et ce dès 2022. Même si la possibilité d’aménagements pour «circonstances nationales particulières» a été ajoutée par rapport à la première version, provoquant des critiques des ONG sur la réelle ambition des pays à limiter le réchauffement. Malgré les nouveaux engagements à l’échéance 2030 annoncés juste avant et depuis le début de la COP, le monde se dirige toujours vers un réchauffement «catastrophique» de 2,7°C, selon l’Onu. Alors qu’un réchauffement de 1,1°C environ provoque déjà aujourd’hui une multiplication des catastrophes.

Autre question sensible au cœur des négociations, les énergies fossiles, principales responsables du réchauffement de la planète. Alors que l’accord de Paris ne les mentionnait pas, le dernier projet de déclaration prévoit l’inclusion – adoucie par rapport à la première version – de la sortie de leur financement.

Le livre de Cyril Hanouna : la politique pour les idiots

Le livre de Cyril Hanouna : la politique pour les idiots

 

Le Monde analyse sans complaisance le livre de Cyrille Hanouna« Ce que m’ont dit les Français » sur la politique. Ou la politique façon camelot pour les idiots

Livre. «

 J’aime beaucoup cette citation du grand démographe Alfred Sauvy : “La démocratie, c’est l’art de diviser.” » A peine est-on arrivé à la page 53 du livre de Cyril Hanouna que, déjà, son acmé paraît atteint. La suffisance autosatisfaite de l’assertion, son érudition, son humour involontaire aussi, tant il paraît improbable qu’elle ait été prononcée par l’auteur lui-même, lui qui assurait le 1er octobre dans Le Parisien que le dernier bouquin qu’il avait lu était Oui-Oui et la gomme magique… Sa façon involontaire mais si parfaite, enfin, de résumer ce qui se passe chaque soir sur le plateau de « Touche pas à mon poste ! », le divertissement que l’animateur présente sur la chaîne C8. Pourquoi poursuivre notre lecture, puisqu’il est alors déjà clair que le livre n’a d’autre ambition que de prêter à son héros des références, une clairvoyance sur lui-même et une plume qu’il n’a pas (il a été écrit par Christophe Barbier) ?

Une supercherie

Le titre choisi, Ce que m’ont dit les Français, cache une supercherie. Loin de compiler des confidences, l’ouvrage se présente comme un long inventaire des invités les plus marquants (« gilets jaunes », antispécistes, extrémistes, etc.) venus à l’émission, soit une foule disparate de déclassés, d’oubliés ou d’incompris à qui Cyril Hanouna a permis d’exprimer leur désarroi, colère et vision du monde. Tout le monde y est bienvenu, comme Jean Messiha, ancien cadre du parti de Marine Le Pen devenu chroniqueur. « Il est désormais un showman dans une émission de divertissement, plus un politique. Pour moi, c’est une victoire », revendique l’animateur, convaincu qu’en le « dédiabolisant » et en l’« humanisant » il combat l’extrême droite. Les ministres du gouvernement passés par son « agora citoyenne » (Mounir Mahjoubi, Marlène Schiappa, François de Rugy, etc.) font figure de trophées, et leurs actions postérieures à leur apparition sur C8, de victoires personnelles pour le producteur.

Plus de 300 pages durant, Cyril Hanouna assure ainsi son propre service après-vente avec complaisance, mais aussi une vigueur trahissant une profonde recherche de légitimité. « Il ne s’agit pas de remplacer les chaînes d’info ou les JT des grands canaux hertziens, mais de parler des grands sujets politiques à des Français qui sont en marge du cadre démocratique et qui ne s’informent plus par les voies classiques », revendique-t-il à plusieurs reprises. Une ambition louable, qu’on peine cependant à voir s’incarner dans les confrontations binaires (les « clashs ») qu’il organise quotidiennement. « Je déteste quand les attaques deviennent personnelles et que l’on quitte le combat d’idées », prétend-il encore avec aplomb, mais contre toute évidence. Alors on referme l’ouvrage, perplexe, regrettant que le citoyen Hanouna n’ait pas usé avec le showman en quête invétérée d’audience du ton souvent féroce qu’on lui connaît.

Foot : le match Nice-Marseille interrompu par des supporters idiots

Foot : le match Nice-Marseille interrompu par des supporters idiots

 

 

Dans le sud de la France, on se demande si un concours du plus idiot n’a pas été lancé dans le football pour les supporters. Déjà le match Marseille Montpellier avait donné lieu à de sérieux incidents. Cette fois, les joueurs de Marseille agressés par des projectiles ont refusé de reprendre le jeu et le match a été interrompu.

Le championnat français n’est déjà pas très sexy au  regard des compétitions des pays voisins. Le défoulement de supporters abrutis ne renforce pas son image. Il aut espérer que la fédération sera prendre des mesures à la hauteur des incidents.

Fausse démocratie-Convention citoyenne : les idiots utiles de Macron

Fausse démocratie-Convention citoyenne : les idiots utiles de Macron

 

On peut difficilement a priori juger du manque de sincérité des 150 citoyens pris au hasard ( sans doute après un filtrage méthodique portant sur plusieurs milliers !) qui se sont engagés de façon un peu naïve dans cette opération de démocratie trottoir proposée par Macron  dont l’objectif était surtout de ne pas  affronter les organisations en charge habituellement des questions environnementales et de façon plus générale les partis politiques. C’est la stratégie habituelle de Macron: contourner les organisations qu’il s’agisse du terrain écologique,, politique ou encore sociale ( y compris à l’intérieur de LREM).  Macron se veut le parti lui-même, le seul membre décideur, le seul membre penseur, le seul membre représentatif, les autres n’étant assimilés qu’à des collaborateurs de seconde zone y compris d’ailleurs au sein de son propre gouvernement. Du coup, cette opération convention citoyenne sur l’environnement était cousue de fil blanc dès le départ l’objectif était de détourner l’attention sur nombre de problèmes dans lesquels a chuté le président pour tenter d’orienter l’intérêt sur un objet normalement plus fédérateur. Or comme il fallait s’y attendre,  cette convention citoyenne en quelques mois n’a pu se transformer en en lieu d’expertise expert de l’environnement même si quelques propositions ici ou là paraissent évidentes mais d’une façon générale elles paraissent évidents y comprises à ceux qui fréquentent les bistrots.

 

 Rien de révolutionnaire que de développer le progrès tout en préservant les ressources de la Terre, la biodiversité, la qualité de la vie bref protéger la vie tous ceux qui vivent. Et de là sont sortis les idées les plus saugrenues comme celle consistant à limiter à 110 km/h la vitesse sur les autoroutes. Notons d’abord que ce ne sont pas sur les autoroutes que ce produisent les masses de d’émissions polluantes mais dans les zones denses des agglomérations. Ensuite cela va imposer à chaque automobiliste de réinvestir dans la vieilles 2cv classiques. Et encore on a échappé à la proposition de réduction du temps de travail à 28 heures sans réduction de la rémunération évidemment bref des propositions qui seront vite enterrées, détournées, déformées mais par contre utilisées politiquement par Macron tenter l’opération de manipulation politique. On essaiera de choisir deux ou trois questions susceptibles de recueillir 60 à 80 % d’adhésion pour donner l’impression que la cote de popularité du président de la de république qui s’effrite de jour en jour est en train de remonter surtout à la veille des élections de 2022. La ficelle est énorme. Mais la procédure elle-même était nulle même si cela ne remet pas en cause la sincérité des participants mais plutôt leur naïveté. Et pourquoi pas aussi des une convection citoyenne sur la coronavirus ? Avec referendum évidemment !

Convention citoyenne : les idiots utiles de Macron

Convention citoyenne : les idiots utiles de Macron

 

On peut difficilement a priori juger du manque de sincérité des 150 citoyens pris au hasard ( sans doute après un filtrage méthodique portant sur plusieurs milliers !) qui .qui se sont engagés de façon un peu naïve dans cette opération de démocratie trottoir proposée par Macron  dont l’objectif était surtout de ne pas  affronter les organisations en charge habituellement des questions environnementales et de façon plus générale des partis politiques. C’est la stratégie habituelle de Macron: contourner les organisations qu’il  il s’agisse du terrain écologique,, politique ou encore sociale ( y compris à l’intérieur de LREM).  Macron se veut le parti lui-même, le seul membre décideur, le seul membre penseur, le seul membre représentatif, les autres n’étant assimilés qu’à des collaborateurs de seconde zone y compris d’ailleurs au sein de son propre gouvernement. Du coup, cette opération convention citoyenne sur l’environnement était cousue de fil blanc dès le départ l’objectif était de détourner l’attention sur nombre de problèmes dans lesquels a chuté le président pour tenter d’orienter l’intérêt sur un objet normalement plus fédérateur. Or comme il fallait s’y attendre cette convention citoyenne en quelques mois n’a pu se transformer en expert de l’environnement même si quelques propositions ici ou là paraissent évidents mais d’une façon générale elles paraissent évidents y comprises à ceux qui fréquentent les bistrots. Rien de révolutionnaire essayait de développer le progrès tout en préservant les ressources de la Terre, la biodiversité, la qualité de la vie bref protéger la vie tous ceux qui vivent. Et de là sont sortis les idées les plus saugrenues comme celle consistant à limiter à 110 km/h la vitesse sur les autoroutes. Notons d’abord que ce ne sont pas sur les autoroutes que ce produisent les masses de d’émissions polluantes mais dans les zones denses des agglomérations. Ensuite cela va imposer à chaque automobiliste de réinvestir dans la vieilles 2cv classiques. Et encore on a échappé à la proposition de réduction du temps de travail à 28 heures sans réduction de la rémunération évidemment bref des propositions qui seront vite enterrées, détournées, déformées mais par contre utilisées politiquement par Macron tenter l’opération de manipulation politique. On essaiera de choisir deux ou trois questions susceptibles de recueillir 60 à 80 % d’adhésion pour donner l’impression que la cote de popularité du président de la de république qui s’effrite de jour en jour est en train de remonter surtout à la veille des élections de 2022. La ficelle est énorme. Mais la procédure elle-même était nulle même si cela ne remet pas en cause la sincérité des participants mais plutôt leur naïveté. Et pourquoi pas aussi des une convection citoyenne sur la coronavirus ?




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