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Changement d’heure : un rituel idiot et nuisible à la santé

Changement d’heure : un rituel idiot et nuisible à la santé

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle !

Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile. 54 % Selon un sondage OpinionWay pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ». En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %. Un rapport remis au Sénat français en 1997concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Le débat idiot entre défense et retraites

Le débat idiot entre défense et retraites

Au sein de certaines élites très proches du patronat mais aussi au sein des syndicats de salariés émerge le thème de l’opposition entre les questions de défense et la réforme des retraites. Un débat totalement idiot pourquoi pas aussi opposer la santé à l’éducation ou la sécurité à la recherche etc. Tout cela n’a aucun sens sinon qu’à instrumentaliser la problématique de défense au service d’intérêts corporatistes étroits.

Certes on ne peut nier les questions de financement et les déséquilibres financiers de l’État qui se caractérisent par un très fort endettement proche de 113 % du PIB et le déficit voisin de 6 %. Il y a sans doute des choix plus rigoureux à opérer chez tous les opérateurs qui interviennent dans le champ régalien. Même dans les secteurs dits sensibles des rationalisations sont possibles car il y a notamment beaucoup trop d’échelons, d’étagères de procédures inutiles qui sécrètent elles-mêmes leur propre développement en termes de masse salariale et d’investissement. Sans parler de la technocratie. La vérité c’est que l’État ne contrôle plus ce développement pas davantage d’ailleurs que les autres collectivités. Comme dans la plupart du privé, l’audit devrait être permanent ( au moins annuel) pour vérifier la bonne allocation des ressources et les résultats.

Il est ridicule de d’opposer l’indispensable renforcement de la défense à la question des retraites. Très grossièrement le budget de la défense tourne autour de 50 milliards et devrait doubler en quelques années. L’enjeu des retraites représente des sommes autrement plus importantes. Le montant consacré aux retraites tourne autour de 400 milliards… pour l’instant. Par ailleurs la réforme devrait concerner moins l’âge que le nombre d’années de versement et surtout les inégalités dûes à la pénibilité. Au lieu de cela, on s’arc-boute le plus souvent sur des tabous en fait pour refuser d’entrer dans une réelle discussion. Les organisations qui refusent le débat seront le moment venu sévèrement sanctionnées par leurs mandants et plus généralement par l’opinion publique qui ne supporte plus d’entendre le même catéchisme des années 50 rétrograde et corporatiste.

On ne peut en effet isoler le financement des retraites de la situation économique et financière globale de la France. Une situation financière hypothéquée par le manque global de travail donc de croissance et de ressources publiques. C’est l’ensemble des champs régaliens qu’il convient de prendre en compte à matière d’équilibre financier. La seule comparaison entre les retraites et la défense est évidemment réductrice et idiote.

Et de ce point de vue se saisir de la question de la défense qui met en cause à terme le progrès et le développement pour l’opposer à la problématique de la défense prouve à quel point certains leaders, certaines organisations cultivent l’ambiguïté, la démagogie et le manque de courage.

Le débat idiot entre défense et retraites

Société-Le débat idiot entre défense et retraites

Au sein de certaines élites très proches du patronat mais aussi au sein des syndicats de salariés émerge le thème de l’opposition entre les questions de défense et la réforme des retraites. Un débat totalement idiot pourquoi pas aussi opposer la santé à l’éducation ou la sécurité à la recherche etc. Tout cela n’a aucun sens sinon qu’à instrumentaliser la problématique de défense au service d’intérêts corporatistes étroits.

Certes on ne peut nier les questions de financement et les déséquilibres financiers de l’État qui se caractérisent par un très fort endettement proche de 113 % du PIB et le déficit voisin de 6 %. Il y a sans doute des choix plus rigoureux à opérer chez tous les opérateurs qui interviennent dans le champ régalien. Même dans les secteurs dits sensibles des rationalisations sont possibles car il y a notamment beaucoup trop d’échelons, d’étagères de procédures inutiles qui sécrètent elles-mêmes leur propre développement en termes de masse salariale et d’investissement. Sans parler de la technocratie. La vérité c’est que l’État ne contrôle plus ce développement pas davantage d’ailleurs que les autres collectivités. Comme dans la plupart du privé, l’audit devrait être permanent ( au moins annuel) pour vérifier la bonne allocation des ressources et les résultats.

Il est ridicule de d’opposer l’indispensable renforcement de la défense à la question des retraites. Très grossièrement le budget de la défense tourne autour de 50 milliards et devrait doubler en quelques années. L’enjeu des retraites représente des sommes autrement plus importantes. Le montant consacré aux retraites tourne autour de 400 milliards… pour l’instant. Par ailleurs la réforme devrait concerner moins l’âge que le nombre d’années de versement et surtout les inégalités dûes à la pénibilité. Au lieu de cela, on s’arc-boute le plus souvent sur des tabous en fait pour refuser d’entrer dans une réelle discussion. Les organisations qui refusent le débat seront le moment venu sévèrement sanctionnées par leurs mandants et plus généralement par l’opinion publique qui ne supporte plus d’entendre le même catéchisme des années 50 rétrograde et corporatiste.

On ne peut en effet isoler le financement des retraites de la situation économique et financière globale de la France. Une situation financière hypothéquée par le manque global de travail donc de croissance et de ressources publiques. C’est l’ensemble des champs régaliens qu’il convient de prendre en compte à matière d’équilibre financier. La seule comparaison entre les retraites et la défense est évidemment réductrice et idiote.

Et de ce point de vue se saisir de la question de la défense qui met en cause à terme le progrès et le développement pour l’opposer à la problématique de la défense prouve à quel point certains leaders, certaines organisations cultivent l’ambiguïté, la démagogie et le manque de courage.

Retraites ou défense : le débat idiot

Politique-Le débat idiot entre défense et retraites

Au sein de certaines élites très proches du patronat mais aussi au sein des syndicats de salariés émerge le thème de l’opposition entre les questions de défense et la réforme des retraites. Un débat totalement idiot pourquoi pas aussi opposer la santé à l’éducation ou la sécurité à la recherche etc. Tout cela n’a aucun sens sinon qu’à instrumentaliser la problématique de défense au service d’intérêts corporatistes étroits.

Certes on ne peut nier les questions de financement et les déséquilibres financiers de l’État qui se caractérisent par un très fort endettement proche de 113 % du PIB et le déficit voisin de 6 %. Il y a sans doute des choix plus rigoureux à opérer chez tous les opérateurs qui interviennent dans le champ régalien. Même dans les secteurs dits sensibles des rationalisations sont possibles car il y a notamment beaucoup trop d’échelons, d’étagères de procédures inutiles qui sécrètent elles-mêmes leur propre développement en termes de masse salariale et d’investissement. Sans parler de la technocratie. La vérité c’est que l’État ne contrôle plus ce développement pas davantage d’ailleurs que les autres collectivités. Comme dans la plupart du privé, l’audit devrait être permanent ( au moins annuel) pour vérifier la bonne allocation des ressources et les résultats.

Il est ridicule de d’opposer l’indispensable renforcement de la défense à la question des retraites. Très grossièrement le budget de la défense tourne autour de 50 milliards et devrait doubler en quelques années. L’enjeu des retraites représente des sommes autrement plus importantes. Le montant consacré aux retraites tourne autour de 400 milliards… pour l’instant. Par ailleurs la réforme devrait concerner moins l’âge que le nombre d’années de versement et surtout les inégalités dûs à la pénibilité. Au lieu de cela, on s’arc-boute le plus souvent sur des tabous en fait pour refuser d’entrer dans une réelle discussion. Les organisations qui refusent le débat seront le moment venu sévèrement sanctionnées par leurs mandants et plus généralement par l’opinion publique qui ne supporte plus d’entendre le même catéchisme rétrograde et corporatiste.

Et de ce point de vue se saisir de la question de la défense qui met en cause à terme le progrès et le développement pour l’opposer à la problématique de la défense prouve à quel point certains leaders, certaines organisations cultivent l’ambiguïté, la démagogie et le manque de courage.

Le débat idiot entre défense et retraites

Politique-Le débat idiot entre défense et retraites

Au sein de certaines élites très proches du patronat mais aussi au sein des syndicats de salariés émerge le thème de l’opposition entre les questions de défense et la réforme des retraites. Un débat totalement idiot pourquoi pas aussi opposer la santé à l’éducation ou la sécurité à la recherche. Tout cela n’a aucun sens sinon qu’à instrumentaliser la problématique de défense au service d’intérêts corporatistes étroits.

Certes on ne peut nier les questions de financement et les déséquilibres financiers de l’État qui se caractérisent par un très fort endettement proche de 113 % du PIB et le déficit voisin de 6 %. Il y a sans doute des choix plus rigoureux à opérer chez tous les opérateurs qui interviennent dans le champ régalien. Même dans les secteurs dits sensibles des rationalisations sont possibles car il y a notamment beaucoup trop d’échelons, d’étagères de procédures inutiles qui sécrètent elles-mêmes leur propre développement en termes de masse salariale et d’investissement. Sans parler de la technocratie. La vérité c’est que l’État ne contrôle plus ce développement pas davantage d’ailleurs que les autres collectivités. Comme dans la plupart du privé, l’audit devrait être permanent ( au moins annuel) pour vérifier la bonne allocation des ressources et les résultats.

Il est ridicule de dopposer l’indispensable renforcement de la défense à la question des retraites. Très grossièrement le budget de la défense tourne autour de 50 milliards et devrait doubler en quelques années. L’enjeu des retraites représente des sommes autrement plus importantes. Le montant consacré aux retraites tourne autour de 400 milliards… pour l’instant. Par ailleurs la réforme devrait concerner moins l’âge que le nombre d’années de versement et surtout les inégalités dûs à la pénibilité. Au lieu de cela, on s’arc-boute le plus souvent sur des tabous en fait pour refuser d’entrer dans une réelle discussion. Les organisations qui refusent le débat seront le moment venu sévèrement sanctionnées par leurs mandants et plus généralement par l’opinion publique qui ne supporte plus d’entendre le même catéchisme rétrograde et corporatiste.

Et de ce point de vue se saisir de la question de la défense qui met en cause à terme le progrès et le développement pour l’opposer à la problématique de la défense prouve à quel point certains leaders, certaines organisations cultivent l’ambiguïté, la démagogie et le manque de courage.

Le débat idiot entre défense et retraite

Le débat idiot entre défense et retraites

Au sein de certaines élites très proches du patronat mais aussi au sein des syndicats de salariés émerge le thème de l’opposition entre les questions de défense et la réforme des retraites. Un débat totalement idiot pourquoi pas aussi opposer la santé à l’éducation ou la sécurité à la recherche. Tout cela n’a aucun sens sinon qu’à instrumentaliser la problématique de défense au service d’intérêts corporatistes étroits.

Certes on ne peut nier les questions de financement et les déséquilibres financiers de l’État qui se caractérisent par un très fort endettement proche de 113 % du PIB et le déficit voisin de 6 %. Il y a sans doute des choix plus rigoureux à opérer chez tous les opérateurs qui interviennent dans le champ régalien. Même dans les secteurs dits sensibles des rationalisations sont possibles car il y a notamment beaucoup trop d’échelons, d’étagères de procédures inutiles qui sécrètent elles-mêmes leur propre développement en termes de masse salariale et d’investissement. Sans parler de la technocratie. La vérité c’est que l’État ne contrôle plus ce développement pas davantage d’ailleurs que les autres collectivités. Comme dans la plupart du privé, l’audit devrait être permanent ( au moins annuel) pour vérifier la bonne allocation des ressources et les résultats.

Il est ridicule de dopposer l’indispensable renforcement de la défense à la question des retraites. Très grossièrement le budget de la défense tourne autour de 50 milliards et devrait doubler en quelques années. L’enjeu des retraites représente des sommes autrement plus importantes. Le montant consacré aux retraites tourne autour de 400 milliards… pour l’instant. Par ailleurs la réforme devrait concerner moins l’âge que le nombre d’années de versement et surtout les inégalités dûs à la pénibilité. Au lieu de cela, on s’arc-boute le plus souvent sur des tabous en fait pour refuser d’entrer dans une réelle discussion. Les organisations qui refusent le débat seront le moment venu sévèrement sanctionnées par leurs mandants et plus généralement par l’opinion publique qui ne supporte plus d’entendre le même catéchisme rétrograde et corporatiste.

Et de ce point de vue se saisir de la question de la défense qui met en cause à terme le progrès et le développement pour l’opposer à la problématique de la défense prouve à quel point certains leaders, certaines organisations cultivent l’ambiguïté, la démagogie et le manque de courage.

Société-Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Société-Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière  ( à adapter selon la pénibilité)  qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité , le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe et plus juste que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Social -Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Social -Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité , le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe et plus juste que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

Réforme des retraites : le tabou idiot des 64 ans

En fonction de l’âge de naissance le nombre de trimestres validés varie pour permettre un départ à 64 ans avec un taux plein. On s’oriente progressivement vers un nombre de trimestres nécessaires de 43 ans

Par exemple  vous êtes né à partir du 1er janvier 1965, vous devez avoir 172 trimestres validés, soit l’équivalent de 43 ans de carrière. Il est probable que ces 43 ans seront retenus à l’occasion de la nouvelle réflexion engagée sur la réforme. Quand on sait qu’en moyenne les jeunes Français commencent leur carrière professionnelle à 21 ans on aboutit donc à 64 ans. Pourquoi dès lors fixer cet âge car ce qui compte c’est évidemment le nombre d’années de carrière qui en moyenne mène au même résultat  mais tient compte du temps de travail sur toute la vie. En réalité le tabou des 64 ans est devenu surtout un objet de clivage politique entre notamment la droite et la gauche alors que la réforme doit être autrement plus complexe que la ligne rouge légale des 64 ans.

Par ailleurs dans la réalité, l’âge moyen de la retraite en France n’a cessé d’augmenter, passant de 61,1 ans en 2008 à 63,4 ans 15 ans plus tard.

Société- Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux

Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux

 

 

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle !

 

Des études montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.

54 % Selon un sondage OpinionWay , les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ».

En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été.

Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %. Un rapport remis au Sénat français en 1997 concluait déjà : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux

Changement d’heure : toujours le même rituel idiot et dangereux

 

 

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle !

 

Des études montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.

54 % Selon un sondage OpinionWay , les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %). Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ».

En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France). La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été.

Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %. Un rapport remis au Sénat français en 1997 concluait déjà : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Société-Changement d’heure : un rituel idiot et nuisible à la santé

Société-Changement d’heure  : un  rituel idiot et nuisible à la santé

 

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé  le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle ! Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation.

 

Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ». Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile.  54 % Selon un sondage OpinionWay pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %).

 

Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une  réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ».

En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France).

La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.

Un rapport remis au Sénat français en 1997concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

 

Technocratie-Changement d’heure :toujours aussi idiot et nuisible à la santé

Technocratie-Changement d’heure :toujours aussi idiot et nuisible à la santé

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle !

Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ».

Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile. 54 % Selon un sondage OpinionWay pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %).

Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ».

En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France).

La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.

Un rapport remis au Sénat français en 1997 concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Changement d’heure :toujours aussi idiot et nuisible à la santé

Changement d’heure :toujours aussi idiot et nuisible à la santé

Non seulement le changement d’heure ne permet pratiquement aucune économie d’énergie mais il est néfaste pour la santé. Il faut être un technocrate pour penser le contraire en matière d’énergie. Ce qui est économisé le matin est dépensé le soir et inversement. C’est un peu comme si on décidait de raccourcir les mois d’une journée pour réduire la consommation mensuelle !

Des études récentes montrent que l’avancement de l’heure au printemps (qui retarde la sécrétion de la mélatonine – l’hormone du sommeil) peut réduire le temps de sommeil de façon transitoire, et ainsi augmenter le nombre et la gravité des accidents cardiaques pendant au moins 7 jours après le changement d’heure et augmenter la fréquence des accidents du travail et de la circulation. Selon le Dr Marc Schwob: « Changer d’heure provoque entre autres des troubles du sommeil et de l’attention. Les enfants et les personnes âgées sont particulièrement touchés et mettent environ une semaine pour s’adapter aux nouveaux horaires ».

Au-delà de la phase transitoire d’adaptation au nouvel horaire, le coucher du soleil tardif en été peut rendre l’endormissement plus difficile. 54 % Selon un sondage OpinionWay pour Comprendre Choisir, les Français seraient majoritairement contre cette pratique du changement d’heure (54 %), contre un peu moins d’un sur cinq favorables (19 %) et un peu plus d’un sur quatre indifférents (27 %).

Ils ignorent notamment que cela leur permet des économies (59 %) et mettent en avant un impact négatif sur « le sommeil, l’alimentation ou l’humeur » (75 %). Ce dernier constat est régulièrement appuyé par des études sur l’impact du changement d’heure dont une réalisée par la Commission européenne, qui écrit que « la santé peut être affectée par le changement de biorythme du corps, avec de possibles troubles du sommeil et de l’humeur ».

En 2008, une étude suédoise publiée dans le New England Journal of Medicine, s’appuyant sur des statistiques du pays entre 1987 et 2006, constatait elle « une augmentation statistiquement significative du risque de crise cardiaque » dans la semaine suivant le changement d’heure, notamment celui d’été. La baisse de consommation d’éclairage pourrait être compensée par l’augmentation des besoins de chauffage le matin au début du printemps. Un rapport de l’École des Mines de 1992 concluait cependant à un effet minime (< 0,1 TWh pour la France).

La généralisation des lampes plus économes en énergie (les lampes fluocompactes et plus récemment les lampes à LED) réduit l’économie d’énergie permise par le passage à l’heure d’été. Une étude portant sur l’État de l’Indiana conclut que la faible économie d’énergie réalisée sur l’éclairage est très largement compensée par une utilisation accrue de la climatisation. Le supplément d’énergie consommée est estimé dans ce rapport d’environ 2 à 4 %.

Un rapport remis au Sénat français en 1997 concluait : « Il ressort de l’ensemble de cette étude que les avantages annoncés ou attendus du changement semestriel de l’heure ne sont pas suffisamment importants pour compenser les inconvénients ressentis par les populations », en particulier en ce qui concerne la santé publique, les conditions de travail et les modes de vie, l’agriculture, la protection de l’environnement et la sécurité routière.

Elon Musk cherche un idiot pour diriger le réseau

Twitter : Elon Musk cherche un idiot pour diriger le réseau

Elon Musk , le milliardaire qui a mis en danger la totalité de son groupe en rachetant le réseau Twitter pour la somme folle de 44 milliards multiplie actuellement les déclarations les plus folles. Les actionnaires de son groupe sont particulièrement mécontents car la valorisation s’est écroulée. Du coup, Elon Musk acculé pourrait bien être contraint d’abord de se désengager physiquement de la gestion de Twitter voire peut-être même de s’en débarrasser complètement. Et pour en rajouter à la stupidité des déclarations de l’intéressé il déclare qu’il cherche « quelqu’un d’assez idiot » pour reprendre la direction de tweeter.

Musk a déclaré mardi 20 décembre qu’il quitterait ses fonctions de directeur général de Twitter après avoir trouvé un remplaçant. «Je démissionnerai de mon poste de PDG dès que je trouverai quelqu’un d’assez idiot pour prendre le poste ! Après cela, je dirigerai simplement les équipes de logiciels et de serveurs », a-t-il écrit sur la plateforme.

Le propriétaire de la plateforme de microblogging réagissait au résultat du sondage qu’il avait lui-même initié lundi sur Twitter, demandant s’il devait se retirer de la tête de l’entreprise ou non, 57% des 17 millions de votants répondant par l’affirmative. S’il avait affirmé dans un premier temps qu’il se plierait au résultat de son sondage, Musk avait envoyé ces dernières heures des signaux plutôt contradictoires, semblant dans un premier temps estimer que le résultat avait été faussé par le vote de bots.

La vérité c’est que le patron de Twitter semble complètement désemparé pour rentabiliser le réseau. Twitter n’avait jamais réalisé le moindre profit mais maintenant ce sont les annonceurs qui partent mais aussi les utilisateurs trop en désaccord avec les propos provocateurs et réactionnaires du patron.

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