Archive pour le Tag 'hystérie'

Politique-Aurore Berger ( Renaissance): Hystérie et diarrhée verbale

Politique-Aurore Berger ( Renaissance): Hystérie et diarrhée verbale


La députée invitée sur France Inter ce week-enda une nouvelle fois fait la preuve de son délire hystérique en tentant d’une part d’excuser sa bévue à l’assemblée nationale , d’autre part de justifier tout et n’importe quoi dans la politique de Macron.

Un seul exemple, son refus d’ une régulation géographique des médecins à laquelle le président de la république est opposé. Pour elle, la régulation géographique n’a de sens que s’il y a un surplus de médecins et non l’inverse ! De toute manière sa dialectique consiste à utiliser la diarrhée verbale pour ne pas laisser même une seconde aux journalistes pour émettre la moindre objection. Pour la compréhension de son propos et même pour sa santé physique, il y aurait urgence à ce que la présidente du groupe macroniste à l’assemblée apprenne à respirer et…. à penser.

.a députée est au centre des critiques depuis jeudi 8 juin. Alors que la proposition de loi Liot était discutée dans l’Hémicycle, Aurore Bergé avait dénoncé la « bataille de chiffonniers » à l’Assemblée nationale « en total décalage par rapport à l’effroi qui submerge notre pays » quelques instants après l’attaque au couteau à Annecy (Haute-Savoie).

La cheffe de groupe a été accusée de politiser et instrumentaliser le drame d’Annecy par les oppositions. « J’ai sincèrement pas du tout eu l’impression de politiser. On a tous humainement été submergés par une vague d’effroi. On s’est retrouvés dans cet hémicycle à nouveau complètement surchauffé, hystérique. On s’est senti en décalage et j’ai eu l’impression de ne rien dire d’autres que ça », s’est-elle justifiée.

La présidente du groupe a été fortement critiquée jusque dans son camp politique. « Je n’ai pas l’impression d’avoir perdu mes nerfs », dit-elle. Aurore Bergé « invite » ses détracteurs à prendre sa « place » et « on verra s’ils auraient fait mieux », a-t-elle répliqué.

« Je n’ai aucun problème à reconnaître une maladresse ( Formule à la mode qui ne veut strictement rien dire); Je n’ai pas essayé de me cacher. Si j’ai été mal comprise, c’est donc que j’étais maladroite. Par contre, je ne prendrais pas non plus des leçons de dignité, ni par l’extrême droite, ni de l’extrême gauche », a-t-elle souligné.

Aurore Berger ( Renaissance): Hystérie et diarrhée verbale

Aurore Berger ( Renaissance): Hystérie et diarrhée verbale


La députée invitée sur France Inter hier a une nouvelle fois fait la preuve de son délire hystérique en tentant d’une part d’excuser sa bévue à l’assemblée nationale , d’autre part de justifier tout et n’importe quoi dans la politique de Macron.

Un seul exemple, son refus d’ une régulation géographique des médecins à laquelle le président de la république est opposé. Pour elle, la régulation géographique n’a de sens que s’il y a un surplus de médecins et non l’inverse ! De toute manière sa dialectique consiste à utiliser la diarrhée verbale pour ne pas laisser même une seconde aux journalistes pour émettre la moindre objection. Pour la compréhension de son propos et même pour sa santé physique, il y aurait urgence à ce que la présidente du groupe macroniste à l’assemblée apprenne à respirer et…. à penser.

.a députée est au centre des critiques depuis jeudi 8 juin. Alors que la proposition de loi Liot était discutée dans l’Hémicycle, Aurore Bergé avait dénoncé la « bataille de chiffonniers » à l’Assemblée nationale « en total décalage par rapport à l’effroi qui submerge notre pays » quelques instants après l’attaque au couteau à Annecy (Haute-Savoie).

La cheffe de groupe a été accusée de politiser et instrumentaliser le drame d’Annecy par les oppositions. « J’ai sincèrement pas du tout eu l’impression de politiser. On a tous humainement été submergés par une vague d’effroi. On s’est retrouvés dans cet hémicycle à nouveau complètement surchauffé, hystérique. On s’est senti en décalage et j’ai eu l’impression de ne rien dire d’autres que ça », s’est-elle justifiée.

La présidente du groupe a été fortement critiquée jusque dans son camp politique. « Je n’ai pas l’impression d’avoir perdu mes nerfs », dit-elle. Aurore Bergé « invite » ses détracteurs à prendre sa « place » et « on verra s’ils auraient fait mieux », a-t-elle répliqué.

« Je n’ai aucun problème à reconnaître une maladresse ( Formule à la mode qui ne veut strictement rien dire); Je n’ai pas essayé de me cacher. Si j’ai été mal comprise, c’est donc que j’étais maladroite. Par contre, je ne prendrais pas non plus des leçons de dignité, ni par l’extrême droite, ni de l’extrême gauche », a-t-elle souligné.

Environnement: collapsologie ou hystérie

Environnement: collapsologie ou hystérie 

 

La collapsologie n’est pas réellement nouvelle mais elle est d’une certaine manière réhabilitée pour discréditer les écologistes et les experts de l’environnement. Certains climat- sceptiques hystérisent  ce qu’ils considèrent  comme des dérives des protecteurs de l’environnement en qualifiant les écolos de collapsolgues  voire de prophètes du malheur. Il conteste évidemment l’idée selon laquelle la civilisation est en péril. En fait, deux  idéologies s’affrontent : celle des partisans du productivisme sans limite et celle  de la décroissance ou en tout cas pour un  autre contenu de la croissance (calculée aujourd’hui uniquement sur l’addition des valeurs ajoutées, donc des valeurs marchandes). Les antis collapsologues agitent  évidemment le chiffon rouge du chômage pour démolir  les thèses économiques et sociales détendues par certains écologistes radicaux. Il est clair que la question n’est pas simple, qu’on ne changera pas brutalement la société et une transition écologique soit doit s’inscrire dans le temps pour progressivement faire évoluer les modes de production, d’échange, de consommation et de comportement. Le problème, c’est qu’il y a une certaine urgence avec le dérèglement climatique qui s’accélère et qui se traduit notamment par une augmentation des températures, un déplacement du climat, la raréfaction de l’eau en certains endroits, des inondations dans d’autres, une augmentation des tempêtes et autres typhons, d’une manière générale la fonte des glaces et la montée des eaux. Sur la tendance, il est évident que les objectifs de l’accord de Paris ne seront pas tenus et que la température aura augmenté d’au moins 2° ici la fin du siècle sinon davantage. Sur la tendance on sera même proche de 3 degrés. Il y a sûrement un chemin pour concilier la nécessité d’un développement économique et social avec  le respect et la protection de l’environnement. Encore faudrait-il sortir du clivage caricatural entre écologistes, considérés comme des collapsologues apocalyptiques et des productivistes irresponsables qui nient l’impact de l’activité humaine sur le climat et plus généralement sur l’environnement. Mais ce chemin n’est certainement celui qui consiste à faire des discours très volontaristes mais à ne rien changer concrètement. 

Crise sociale: hystérie entre gauchistes et bourgeoisie rétrograde

Crise sociale: hystérie   entre gauchistes  et  bourgeoisie  rétrograde

 

En France, le débat social est souvent réduit à une caricature entre le point de vue des gauchistes irresponsables  et celui des  bourgeois méprisants. Les chaînes d’info continue se régalent  de ce spectacle de Guignol parce qu’il hystérise  les positions et participe ainsi au théâtre médiatique en quête de sensationnalisme. Il y a quelque chose de surréaliste de part et d’autre. D’un côté,  il y a les positions des gauchistes qui s’appuient sur une idéologie révolutionnaire le plus souvent marxiste et de l’autre la droite la plus bête du monde qu’on trouve notamment au Medef, chez certains républicains et dans  la bourgeoisie journalistique.

 

Une tendance par ailleurs largement représentée dans le parti en marche, sorte de cocktail qui regroupe d’anciens socialistes mollassons en recherche autant d’idéologies que de carrières, de nombreux arrivistes sortis d’on ne sait où et d’anciens républicains psychorigides comme le Premier ministre par exemple. Des deux côtés, les positions obéissent davantage à des postures idéologiques qu’à une prise en compte de l’intérêt général. Certains leaders gauchistes vont même jusqu’à reconnaître que leur véritable objectif est la révolution ( et sans doute derrière un régime de type communiste comme peut-être en Chine où au Venezuela). De l’autre côté, on affirme sans vergogne, qu’il faut préserver les intérêts financiers des plus favorisés. Ainsi sur la question de l’âge de la retraite, les positions sont inconciliables.

 

Les républicains souhaitent un report de cet âge à 65 ans tandis que des gauchistes défendent des départs anticipés autour de 55 ans dans les régimes spéciaux. Deux positions complètement idiotes et injustes. La généralisation de la retraite à 65 ans est en effet complètement impossible pour certaines catégories sociales dont  les conditions de travail sont particulièrement difficiles voire accidentogènes. Pour cette catégorie, un âge de 60 ans est déjà très limite. En outre,  entre 60 et 65 ans, seuls 25 % sont encore actifs, les autres sont soit au chômage, soit en maladie, soit sans ressources autres que les aides sociales.

La posture des gauchistes n’est ni réaliste, ni juste socialement. Les gauchistes  raisonnent par corporation, par statut et souhaite le maintien de la retraite autour de 55 ans y compris pour des sédentaires qui ont passé toute leur carrière dans les bureaux et qui n’ont pas été soumis à des contraintes de pénibilité. D’un côté, ces gauchistes veulent ignorer totalement l’environnement économique et financier. De l’autre, les réactionnaires agitent le chiffon rouge de la faillite budgétaire pour mieux protéger les intérêts des privilégiés. Dans cet affrontement caricatural, il y a peu de place pour les syndicats de salariés réformistes et pour un patronat modéré.

Il faut ajouter à cela le manque de culture économique générale aussi bien des gauchistes que des journalistes et autres experts dont beaucoup se contentent de propos de bistrot. Bref un débat assez lamentable, pas au niveau des enjeux ; un débat qui cumule  la caricature, l’incompétence et l’hypocrisie. Une situation pas tellement étonnante dans la mesure où la France cultive toujours la maladie du centralisme théocratique, les méthodes de l’ancien régime et refuse délibérément un paritarisme qui priverait de leurs pouvoirs les technocrates. De part et d’autre, ont fait ainsi émerger les plus radicaux, les plus forts en gueule et les plus incompétents. Pas étonnant qu’ avec de tels interlocuteurs la France soit presque ingouvernable.

 

Iran- funérailles du général iranien Soleimani : une hystérie qui fait 50 morts

Iran- funérailles du général iranien Soleimani : une hystérie  qui fait 50 morts

L’ hystérie collective qui a fait 50 morts dans une bousculade lors de la funérailles du général iranien démontre à l’évidence la folie totale du régime qui manipule le peuple via  les gardiens de la révolution. Faire des martyrs supplémentaires nourrit le nationalisme et permet de faire oublier la crise sociale et démocratique dramatique de ce pays. Faut-il rappeler que suite à l’augmentation du carburant , le régime a réprimé dans le sang les manifestations des mécontents dont beaucoup opposés au régime. Au moins 50 personnes sont donc mortes dans une bousculade qui s’est produite mardi à Kerman, dans le sud-est de l’Iran, en marge des funérailles du puissant général iranien Qassem Soleimani, tué vendredi par l’armée américaine.

Des dizaines de milliers de personnes avaient afflué dans la matinée dans la ville natale de l’architecte de la politique d’influence régionale de l’Iran et commandant de la force Al Qods, unité d’élite des gardiens de la Révolution.

« Aujourd’hui, malheureusement un certain nombre de nos citoyens ont été blessés et un certain nombre tués », a dit le chef des services d’urgences, Pirhossein Kolivand, à la télévision d’Etat.

 

Selon l’agence de presse ISNA, le bilan de ce mouvement de foule s’établit à cinquante morts. L’agence semi-officielle Fars fait quant à elle fait état de 213 blessés.

Véritable déflagration, la mort du général Soleimani, tué vendredi près de l’aéroport de Bagdad dans une frappe américaine ordonnée par Donald Trump, a ravivé des tensions déjà fortes entre les États-Unis et la République islamique et fait craindre une déstabilisation dans la région.

Préparant sa riposte, l’Iran a annoncé qu’il examinait actuellement treize scénarios différents et promis un « cauchemar historique ».

« Les Américains doivent savoir que pour l’heure treize scénarios de vengeance ont été débattus au sein du conseil et même si le consensus se forme autour du scénario le plus faible, sa mise en oeuvre pourra être un cauchemar historique pour tous les Américains« , a prévenu le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale Ali Shamkhani, cité par l’agence Fars.

Présent à Kerman, où le slogan « Mort à l’Amérique » a été scandé, le général Hossein Salami, commandant des gardiens de la Révolution, a pour sa part prévenu que l’Iran prendrait « sa revanche, une revanche intense et décisive ».

 

Crise sociale: caricature et hystérie entre gauchistes irresponsables et bourgeoisie rétrograde

Crise sociale: caricature et hystérie   entre gauchistes irresponsables  et  bourgeoisie  rétrograde

 

En France le débat social est souvent réduit à une caricature entre le point de vue des gauchistes irresponsables  et celui des  bourgeois méprisants. Les chaînes d’info continue se régalent  de ce spectacle de Guignol parce qu’il hystérise  les positions et participe ainsi au théâtre médiatique en quête de sensationnalisme. Il y a quelque chose de surréaliste de part et d’autre. D’un côté,  il y a les positions des gauchistes qui s’appuient sur une idéologie révolutionnaire le plus souvent marxiste et de l’autre la droite la plus bête du monde qu’on trouve notamment au Medef, chez certains républicains et dans  la bourgeoisie journalistique.

Une tendance par ailleurs largement représentée dans le parti en marche, sorte de cocktail qui regroupe d’anciens socialistes mollassons en recherche autant d’idéologies que de carrières, de nombreux arrivistes sortis d’on ne sait où et d’anciens républicains psychorigides comme le Premier ministre par exemple. Des deux côtés, les positions obéissent davantage à des postures idéologiques qu’à une prise en compte de l’intérêt général. Certains leaders gauchistes vont même jusqu’à reconnaître que leur véritable objectif est la révolution ( et sans doute derrière un régime de type communiste comme peut-être en Chine où au Venezuela). De l’autre côté, on affirme sans vergogne, qu’il faut préserver les intérêts financiers des plus favorisés. Ainsi sur la question de l’âge de la retraite, les positions sont inconciliables.

Les républicains souhaitent un report de cet âge à 65 ans tandis que des gauchistes défendent des départs anticipés autour de 55 ans dans les régimes spéciaux. Deux positions complètement idiotes et injustes. La généralisation de la retraite à 65 ans est en effet complètement impossible pour certaines catégories sociales dont  les conditions de travail sont particulièrement difficiles voire accidentogènes. Pour cette catégorie, un âge de 60 ans est déjà très limite. En outre,  entre 60 et 65 ans, seuls 25 % sont encore actifs, les autres sont soit au chômage, soit en maladie, soit sans ressources autres que les aides sociales.

La posture des gauchistes n’est ni réaliste, ni juste socialement. Les gauchistes  raisonnent par corporation, par statut et souhaite le maintien de la retraite autour de 55 ans y compris pour des sédentaires qui ont passé toute leur carrière dans les bureaux et qui n’ont pas été soumis à des contraintes de pénibilité. D’un côté, ces gauchistes veulent ignorer totalement l’environnement économique et financier. De l’autre, les réactionnaires agitent le chiffon rouge de la faillite budgétaire pour mieux protéger les intérêts des privilégiés. Dans cet affrontement caricatural, il y a peu de place pour les syndicats de salariés réformistes et pour un patronat modéré.

Il faut ajouter à cela le manque de culture économique générale aussi bien des gauchistes que des journalistes et autres experts dont beaucoup se contentent de propos de bistrot. Bref un débat assez lamentable, pas au niveau des enjeux ; un débat qui cumule  la caricature, l’incompétence et l’hypocrisie. Une situation pas tellement étonnante dans la mesure où la France cultive toujours la maladie du centralisme théocratique, les méthodes de l’ancien régime et refuse délibérément un paritarisme qui priverait de leurs pouvoirs les technocrates. De part et d’autre, ont fait ainsi émerger les plus radicaux, les plus forts en gueule et les plus incompétents. Pas étonnant qu’ avec de tels interlocuteurs la France soit presque ingouvernable.

Affaire Benalla : pourquoi une telle hystérie du pouvoir ?

Affaire Benalla : pourquoi une telle hystérie du pouvoir ?

Si on se demande vraiment pourquoi le pouvoir manifeste une telle hystérie pour défendre un personnage relativement aussi secondaire que Benalla. Une sorte de videur qui assurait la sécurité pendant les voyages de Macron. Officiellement, sa mission aurait été d’organiser les déplacements du chef de l’État. Cependant on sait que les services officiels sont déjà suffisamment nombreux pour prendre en charge cette mission. D’où la question brûlante : Benalla un autre rôle ? Benalla est-il détenteur d’informations politiques menaçantes pour le pouvoir ? Il est clair en tout cas que le pouvoir se ridiculise en ce transformant en avocat d’un petit personnage sulfureux. Étonnant en effet que la ministre de la justice s’exprime avec autant de force pour défendre Benalla et l’inciter même à ne pas se rendre à la commission d’enquête du Sénat même chose pour Castaner  ministre pourtant chargé des relations avec le Parlement et patron de la république en marche. Maintenant ce sont des sénateurs d’en marche qui décident de ne pas assister à l’audience. Les godillots d’en marche, tous ralliés de la 25e heure à Macron, ne témoignent pas d’une grande autonomie par rapport au pouvoir. Il n’y a aucune ambiguïté et aucune confusion entre l’enquête judiciaire et l’enquête du Sénat. L’enquête judiciaire, elle, porte sur des faits délictueux clairement identifiés passibles de sanctions suite au débordement de Benalla. L’enquête parlementaire, cherche à comprendre comment fonctionne l’organisation de la sécurité du chef de l’État, qui en est réellement responsable, la commande, qui la compose ? Des interrogations dont la justice ne s’est pas saisie. Il n’y a donc aucune confusion. Pourtant  François Patriat, 75 ans, vieux crocodile de la politique, chef de file des sénateurs La République en Marche a déclaré.  »Les sénateurs de la République en Marche n’assisteront pas à l’audition de Benalla », a-t-il affirmé confirmant une information de BFMTV. Ce boycott concerne les trois sénateurs LREM suivants à savoir Alain de Belenet (Seine-et-Marne), vice-président de la commission, l’ancien ministre socialiste Alain Richard (Val-d’Oise) et le vice-président du Sénat Thani Mohamed Soilihi (Mayotte). Le jeune homme mis en examen pour violences sur un manifestant le 1er mai a récemment refusé de se rendre devant la commission d’enquête du sénatLors de l’audition, la commission va essayer de comprendre les principales fonctions d’Alexandre Benalla à la présidence de la République. L’audition de cet ancien collaborateur de l’Élysée raffermit les tensions qui règnent entre la Haute Assemblée et l’exécutif. Les sénateurs sont en effet accusés d’empiéter sur le domaine de l’enquête judiciaire.




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