Archive pour le Tag 'hypocrite'

Economie et Agriculture: Le discours incohérent et hypocrite sur la souveraineté

Economie et Agriculture:  Le discours incohérent et hypocrite sur la souveraineté

 

Inutile de tourner autour du pot, c’est sciemment que l’agriculture a été sacrifiée et pas pour des motifs écologiques mais pour des motifs de stratégie économique. L’objectif de l’Europe est depuis longtemps d’accepter les produits agricoles beaucoup moins chers des pays tiers du fait des moindres contraintes sociales, sanitaires et environnementales. En échange, l’Europe et la France vendent des avions, des armes, des voitures, des centrales nucléaires et surtout des services.

 

L’économie agricole est totalement mondialisée précisément pour permettre l’échange de produits à faible valeur ajoutée comme l’agriculture contre des produits beaucoup plus élaborés. L’équation est impossible à résoudre. Aucun pays ne peut rétablir une souveraineté totale sur l’agriculture. Il faudrait pour cela sacrifier nos exportations sur les produits industriels et les services très profitables. C’est la spécialisation économique qui l’impose autant que la libéralisation économique mondiale. C’est à peu de la même manière qu’on s’est débarrassé de la petite industrie peu spécialisée. On ne garde que le haut du panier- et encore avec des délocalisations- pour privilégier nos exportations de haute valeur ajoutée. Une politique en outre voulue par le pouvoir au service des intérêts financiers qui dirigent l’économie. Mais une politique qu’on ne peut bousculer sans remettre en cause les équilibres globaux de notre modèle économique. La crise dépasse le seul champ agricole et affecte de bien d’autres aspects économiques, sociaux, sanitaires, financiers et environnementaux. Des aspects à prendre en compte sauf à tomber dans le simplisme et la démagogie. C’est une chose de reconnaître la situation de l’agriculture, c’est autre chose que de définir une politique cohérente et efficace. Affirmer qu’on peut retrouver une pleine souveraineté en fermant les frontières en tout cas en contrôlant que les produits sont soumis aux mêmes règles sociales, environnementales, sociales et sanitaires relèvent de la démagogie. Le rééquilibrage des flux est possible mais la fermeture totale des frontières une illusion dangereuse. Un seul exemple de disparités impossibles à réduire: celui des salaires autour de 1500 € bruts pour 35 heures dans l’agriculture en France et entre 200 et 300 € dans d’autres pays.

 

Un exemple de fermeture des frontières celui de Cuba, le modèle de Mélenchon :

En moyenne, le salaire moyen à Cuba est de 30.62 €. Cette donnée est issue de la moyenne des salaires moyens renseignés par les internautes habitant dans le pays. La différence avec le salaire moyen en France est de 98%.

Economie et Agriculture: Le discours hypocrite sur la souveraineté

Economie et Agriculture:  Le discours hypocrite sur la souveraineté

Inutile de tourner autour du pot, c’est sciemment que l’agriculture a été sacrifiée et pas pour des motifs écologiques mais pour des motifs de stratégie économique. L’objectif de l’Europe est depuis longtemps d’accepter les produits agricoles beaucoup moins chers des pays tiers du fait des moindres contraintes sociales, sanitaires et environnementales. En échange, l’Europe et la France vendent des avions, des armes, des voitures, des centrales nucléaires et surtout des services.

L’économie agricole est totalement mondialisée précisément pour permettre l’échange de produits à faible valeur ajoutée comme l’agriculture contre des produits beaucoup plus élaborés.

L’équation est impossible à résoudre. Aucun pays ne peut rétablir une souveraineté totale sur l’agriculture. Il faudrait pour cela sacrifier nos exportations sur les produits industriels et les services très profitables. C’est la spécialisation économique qui l’impose autant que la libéralisation économique mondiale.

C’est à peu de la même manière qu’on s’est débarrassé de la petite industrie peu spécialisée. On ne garde que le haut du panier- et encore avec des délocalisations- pour privilégier nos exportations de haute valeur ajoutée. Une politique en outre voulue par le pouvoir au service des intérêts financiers qui dirigent l’économie. Mais une politique qu’on ne peut bousculer sans remettre en cause les équilibres globaux de notre modèle économique. La crise dépasse le seul champ agricole et affecte de bien d’autres aspects économiques, sociaux, sanitaires, financiers et environnementaux. Des aspects à prendre en compte sauf à tomber dans le simplisme et la démagogie. C’est une chose de reconnaître la situation de l’agriculture, c’est autre chose que de définir une politique cohérente et efficace.

Affirmer qu’on peut retrouver une pleine souveraineté en fermant les frontières en tout cas en contrôlant que les produits sont soumis aux mêmes règles sociales, environnementales, sociales et sanitaires relèvent de la démagogie. Le rééquilibrage des flux est possible mais la fermeture totale des frontières une illusion dangereuse. Un seul exemple de disparités impossibles à réduire: celui des salaires autour de 1500 € bruts pour 35 heures dans l’agriculture en France et entre 200 et 300 € dans d’autres pays.

Agriculture: Le discours hypocrite sur la souveraineté

Agriculture:  Le discours hypocrite sur la souveraineté

Inutile de tourner autour du pot, c’est sciemment que l’agriculture a été sacrifiée et pas pour des motifs écologiques mais pour des motifs de stratégie économique. L’objectif de l’Europe est depuis longtemps d’accepter les produits agricoles beaucoup moins chers des pays tiers du fait des moindres contraintes sociales, sanitaires et environnementales. En échange, l’Europe et la France vendent des avions, des armes, des voitures, des centrales nucléaires et surtout des services.

L’économie agricole est totalement mondialisée précisément pour permettre l’échange de produits à faible valeur ajoutée comme l’agriculture contre des produits beaucoup plus élaborés.

L’équation est impossible à résoudre. Aucun pays ne peut rétablir une souveraineté totale sur l’agriculture. Il faudrait pour cela sacrifier nos exportations sur les produits industriels et les services très profitables. C’est la spécialisation économique qui l’impose autant que la libéralisation économique mondiale.

C’est à peu de la même manière qu’on s’est débarrassé de la petite industrie peu spécialisée. On ne garde que le haut du panier- et encore avec des délocalisations- pour privilégier nos exportations de haute valeur ajoutée. Une politique en outre voulue par le pouvoir au service des intérêts financiers qui dirigent l’économie. Mais une politique qu’on ne peut bousculer sans remettre en cause les équilibres globaux de notre modèle économique. La crise dépasse le seul champ agricole et affecte de bien d’autres aspects économiques, sociaux, sanitaires, financiers et environnementaux. Des aspects à prendre en compte sauf à tomber dans le simplisme et la démagogie. C’est une chose de reconnaître la situation de l’agriculture, c’est autre chose que de définir une politique cohérente et efficace.

Affirmer qu’on peut retrouver une pleine souveraineté en fermant les frontières en tout cas en contrôlant que les produits sont soumis aux mêmes règles sociales, environnementales, sociales et sanitaires relèvent de la démagogie. Le rééquilibrage des flux est possible mais la fermeture totale des frontières une illusion dangereuse. Un seul exemple de disparités impossibles à réduire: celui des salaires autour de 1500 € bruts pour 35 heures dans l’agriculture en France et entre 200 et 300 € dans d’autres pays.

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

Sandrine Rousseau : attaque Ignoble et hypocrite contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

Ignoble et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La honteuse et hypocrite attaque de Sandrine Rousseau contre Gabriel Attal

La radicalité de Sandrine Rousseau touche cette fois à des sommets d’hypocrisie avec son attaque contre Gabriel Attal. Une attaque doublement hypocrite en plus quand elle le désigne comme « juif et gay » mais affirme » en même temps ne pas se livrer à une attaque.

Sandrine Rousseau montre là sa véritable personnalité sulfureuse qui cette fois touche les limites du racisme. Une déclaration totalement inacceptable pour une élue nationale sans scrupules et dontle projet politique est en permanence uniquement de faire parler d’elle.

L’élue EELV est par ailleurs revenue sur un tweet controversé, publié après la nomination de Gabriel Attal au poste de premier ministre. «Gabriel Attal est juif et gay. Très bien. Aucune attaque, de près ou de loin, de manière directe ou indirecte, là-dessus. Jamais.», écrivait-elle alors. Si elle assure avoir voulu «dénoncer les attaques antisémites» à l’égard du nouveau locataire de Matignon et le «défendre», Sandrine Rousseau a jugé la formulation de son message «maladroit». «Je continuerai à le défendre là-dessus», a-t-elle renchéri.

Curieuse façon de défendre quelqu’un que de l’enfoncer davantage. Cette radicalité coûtera cher aux différentes élections pour des écolos désormais en pleine errance politicienne. La première facture pourrait intervenir aux élections européennes

Cop 26: Un fiasco hypocrite

Cop 26: Un fiasco hypocrite

 

Avec maintenant un peu de recul, les médias reconnaissent que la COP 26 constitue une véritable arnaque. On constate en effet un nombre impressionnant d’engagements partiels qui en réalité ne sont nullement contraignants et surtout la mise de côté de l’objectif central de ne pas dépasser 1,5° de réchauffement par rapport à l’ère pré industrielle. Même ambiguïté concernant les énergies fossiles y compris le charbon. Un papier du « monde confirme » l’échec de cette COP 26

 

Papier du « Monde ». ( extrait)

 

 

C’était sans doute le plus spectaculaire des rendez-vous manqués de cette conférence mondiale tant attendue sur le climat, mais on en retiendra surtout la persistance du profond clivage Nord-Sud. La solidarité des pays développés à l’égard des plus vulnérables, qui ne sont pas responsables du dérèglement climatique mais se trouvent souvent en première ligne, n’a pas été à la hauteur du défi : les pays riches ont certes accepté de doubler les fonds consacrés à l’adaptation au réchauffement climatique, mais ils ont refusé des financements spécifiques pour les dégâts irréversibles auxquels il n’est plus possible de s’adapter.

On se dirige donc toujours vers 2,7 °C de réchauffement à la fin du siècle. L’action a été repoussée à l’an prochain. Le renoncement sur le charbon montre qu’il sera difficile de sortir à temps de cette énergie, la plus polluante. Ainsi, malgré la mise à disposition de 8,5 milliards de dollars (7,4 milliards d’euros) annoncée par la France, l’Allemagne, l’Union européenne et les Etats-Unis pour l’aider dans sa transition énergétique, l’Afrique du Sud s’est exprimée contre la mention d’une sortie du charbon dans le pacte climatique de Glasgow. Les pays du Sud ont rappelé qu’ils étaient aussi en droit de profiter des énergies fossiles pour se développer, comme l’ont fait avant eux les pays du Nord : lorsque les riches parlent de transition énergétique, les pauvres, eux, demandent simplement l’accès à l’énergie.

Parmi les problèmes non résolus, enfin, figurent ceux de la crédibilité et de la transparence des promesses faites. Aucun dispositif ne permet de vérifier la validité et la force des annonces dont cette COP26 a été riche, pas plus que des engagements de neutralité carbone. L’Australie, l’Arabie saoudite, le Brésil, la Turquie et la Russie se sont engagés à atteindre des émissions nettes nulles d’ici à 2050, 2053 ou 2060, mais sans fixer d’objectifs réalistes de réduction des émissions pour 2030. A la COP27, qu’accueillera l’Egypte en 2022, les Etats devront faire mieux. Procrastiner n’est plus une option.

Affaire Ghosn : le Japon se ridiculise avec sa justice hypocrite

Affaire Ghosn : le Japon se ridiculise avec sa justice hypocrite

Il  y a évidemment quelque chose de surréaliste dans la condamnation par le Japon de l’ancien président de Renault et Nissan. Pire, Nissan à l’origine de l’affaire a non seulement été complice de Ghosn mais plusieurs de ses dirigeants dont le directeur général ont aussi pioché dans la caisse. Il est donc parti particulièrement savoureux de lire le dernier communiqué de Nissan :  « La fuite de Carlos gone vers le Liban sans la permission du tribunal, en violation des conditions de sa liberté sous caution, bafoue le système judiciaire japonais. Nissan trouve cela extrêmement regrettable». C’est oublier que pour la justice de samouraï en papier mâché, il y a deux poids deux mesures au Japon..Une culture samouraï très malléable et même ridicule quand on sait par exemple qu’aucun dirigeant de responsable de l’accident nucléaire de Fukushima qui a fait notamment 45 morts n’ont été mis en prison et ont été même dispensés de toute sanction.

Les trois anciens dirigeants de Tepco, qui n’ont cessé de mentir pendant toute la durée de la catastrophe, ont été acquittés par la justice qui ne les estime pas responsable de négligence. Huit ans et demi après l’accident nucléaire de Fukushima, ils encouraient de la prison ferme. Ils étaient les seules personnes physiques à être jugées dans le cadre de ce sinistre, le pire accident nucléaire après Tchernobyl (Ukraine) en 1986.

Huit ans et demi après l’accident nucléaire de Fukushima, les trois ex-dirigeants de la compagnie Tepco ont été acquittés par le tribunal de Tokyo qui a jugé qu’ils ne pouvaient être tenus coupables des conséquences de la catastrophe nucléaire survenue à la suite d’un gigantesque tsunami.

L’ancien président du conseil d’administration de Tokyo Electric Power (Tepco) au moment du drame, Tsunehisa Katsumata (79 ans), ainsi que deux anciens vice-PDG, Sakae Muto (69 ans) et Ichiro Takekuro (73 ans), avaient plaidé non coupables devant le tribunal de Tokyo.

Ces trois anciens responsables de l’opérateur de la centrale nucléaire Fukushima Daiichi, dévastée par le tsunami du 11 mars 2011, sont les seules personnes physiques à être jugées dans le cadre de cette catastrophe, le pire accident nucléaire après Tchernobyl (Ukraine) en 1986.

Ce 19 septembre 2019 « pourrait devenir un jour historique dans les efforts des victimes du désastre pour obtenir justice », a commenté Shaun Brunie, spécialiste de l’énergie nucléaire au sein de l’organisation écologiste Greenpeace. L’accident de Fukushima a été qualifié de « désastre créé par l’homme » par une commission d’enquête japonaise, car l’humain n’a pas su le prévenir ni le maîtriser.

Les poursuites engagées contre les ex-dirigeants s’appuient sur le décès de 45 patients de l’hôpital de Futaba, à quelques kilomètres de la centrale, lors de leur évacuation d’urgence dans des conditions extrêmes, avec un bus qui a tourné en rond pendant plusieurs heures. Pour ces personnes âgées, l’épreuve s’est avérée insurmontable.

Les procureurs avaient refusé à deux reprises d’engager des poursuites contre les dirigeants de Tepco, arguant que les éléments du dossier étaient insuffisants. Mais un réexamen de l’affaire en 2015 par un panel de citoyens (une procédure peu utilisée au Japon) a tranché pour un procès au pénal.

Les trois accusés se voient reprocher par les plaignants d’avoir péché par inaction, alors qu’ils avaient connaissance du risque d’un tsunami majeur aux abords de la centrale construite en bord de mer, à quelque 220 kilomètres au nord-est de Tokyo. L’esprit samouraï n’a guère soufflé sur la justice japonaise. Enfin le nationalisme japonais et ses contradictions discréditent un régime obsolète tant sur le plan de la justice que même en matière d’économie. Le Japon est en effet englué dans une dépression depuis des dizaines d’années et un endettement mortifère. Notons enfin que le taux de pauvreté est l’un des plus importants des pays développés.

Pauvreté : un beau discours hypocrite

Pauvreté : un beau discours hypocrite

 

Comme d’habitude, Macron n’a pas été avare de paroles pour s’épancher sur le drame de la pauvreté. Une sorte de discours de curé de campagne surtout de la part de celui qui a consenti 7 à 8 milliards de réductions fiscales aux plus riches alors que dans le même temps il augmentait la fiscalité notamment la TVA d’une quinzaine de milliards. Ce qui mécaniquement a tué la consommation des ménages mais aussi la croissance. Du coup, le chômage reprend et participe évidemment au développement de la pauvreté qui se nourrit elle-même à hauteur de 85 % des conséquences eu ce chômage.  l’enflure du discours de Macon cache mal l’indigence des actes quand il déclare : « Ce plan de lutte contre la pauvreté n’est pas un plan de charité. Productif, éducatif, solidariste : ce triptyque est la sève du projet républicain. C’est la racine même de ce qu’est la République ».  Ce combat justifie la mobilisation de toutes les forces de la nation. Le problème, ça n’est pas vous, c’est nous. Le problème, ce n’est pas celles et ceux qui naissent et vivent dans la pauvreté, c’est ceux qui ne veulent plus regarder, ou s’habituent. » Et d’ajouter des menaces pour les précaires auxquels il promet le fameux revenu universel mais en 2020. »Ce revenu universel d’activité viendra avec  »des droits et des devoirs, dit le président ». Dans le  »contrat », un bénéficiaire ne pourra pas refuser « plus de deux offres raisonnables d’emploi » adapté à sa situation. « Je n’ai jamais cru au revenu universel sans condition d’activité en contrepartie. Parce qu’il installe les gens dans une place où personne ne peut être bien. Car cela revient à se satisfaire de reléguer à vie les gens dans une pauvreté qu’on aurait adoucie. L’émancipation, c’est savoir que si la nation nous doit quelque chose, c’est que nous lui devons quelque chose en retour. « Des propos hypocrites. On comprend évidemment qu’on incite davantage à l’insertion professionnelle mais on comprend moins cette sorte de chantage général qui n’a aucun sens si on ne tient pas compte des réalités concrètes personnelles et locales de certains bénéficiaires qui ne pourront pas accepter de nous offre d’emploi irréaliste. Par exemple comme souvent en ce moment des CDD d’une vingtaine d’heures par semaine à 30 km du domicile et sans moyen de transport en commun. Bref travaillait pour environ 700 € nets mensuels quand il faut en dépenser la moitié pour le déplacement, les repas avec en moins certaines prestations sociales.

Migrants : un accord particulièrement hypocrite

Migrants : un accord particulièrement hypocrite

Un faux accord particulièrement hypocrite puisqu’il n’engage les pays que sur la base du volontariat pourtant une  victoire d’après Macron qui reconnaît  que  Le sommet n’a pas permis de débloquer la réforme du régime d’asile européen, enlisée depuis deux ans, qui était son objectif initial. Deux points ont fait l’objet d’un pseudo accord : les « plateformes régionales de débarquement «de migrants secourus en mer hors d’Europe et les centres contrôlés.  Les plates formes extérieures à L’Europe destinée à renvoyer les migrants vers leurs lieux de départ. Des plateformes que les pays non européens ne veulent pas (sauf négociation financière !). Deuxième pseudo décision : les  « centres contrôlés » sur le territoire de l’UE pour  répartir les migrants  dans l’Union quand ils sont éligibles à l’asile et renvoyés vers leur pays dans le cas contraire. Problème, la plupart es pays ne veulent pas de ces centres sur leur territoire et pas de contingents d’immigrés y compris pour l’asile. Macron a évité l’échec total mais crier victoire est particulièrement excessif. « Il est beaucoup trop tôt pour parler d’un succès. Nous avons réussi à obtenir un accord (au sommet) mais c’est en fait la partie la plus facile de la tâche qui nous attend sur le terrain, quand nous commencerons à le mettre en œuvre », a rapidement tempéré Donald Tusk vendredi. De nombreux désaccords subsistent et la concrétisation des projets sur lesquels les Européens se sont accordés durant la nuit n’est pas certaine.  »C’est un accord très flou sans chiffrage et qui n’engage à rien », estime Sébastien Maillard, directeur de l’Institut Jacques Delors, cité par l’AFP. Le Premier ministre belge Charles Michel a été catégorique : « Tant que l’accord de Dublin n’aura pas été réformé, il n’y aura pas de solidarité », a-t-il déclaré. La Belgique est l’un des huit pays de l’UE à avoir accepté de prendre en charge les rescapés du navire humanitaire Lifeline autorisé à accoster sur l’île de Malte après avoir été refusé par l’Italie. « Cette opération ne sera pas renouvelée avant une réforme de Dublin », a averti Charles Michel.

 

Migrants : Juncker est « un hypocrite » (Mélenchon)

Migrants : Juncker est « un hypocrite »(Mélenchon)

C’est le jugement de Mélenchon à propos de la politique des quotas. Un Mélenchon qui n’a pas tort sur le constat mais plus court sur les solutions. Il notamment raison quand il signale que la politique agricole européenne tue les productions vivrières en Afrique. (les produits européens sont moins chers que les produits locaux grâce aux subventions).  Pour le leader de gauche, « nous avons notre part de responsabilités, car la politique économique de l’Europe massacre les économies locales par conséquent l’Europe est directement responsable de l’immigration » avant de comparer la politique des quotas et de répartition des migrants à une « ânerie ». Selon Jean-Luc Mélenchon, il faut avant tout « arrêter cette stratégie des partenariats économiques qui demandent à tous ces pays d’abattre leurs droits de douanes si bien que les marchandises européennes submergent les marchés locaux ».   Et si le co-fondateur du parti de Gauche reconnaît que l’Union européenne n’influence guère l’économie au Soudan, en Érythrée ou en Somalie, il dénonce volontiers les guerres sur place. « Dans toutes ces guerres, il n’y en a aucune qui soient des guerres spontanées. Dans toutes ces guerres, il n’y en a aucune qui ne soient pas aux mains des grandes puissances car le matériel, ainsi que le fric, vient de quelque part ».  Selon lui, un véritable travail en amont est nécessaire afin d’apporter des réponses sérieuses, loin de la politique des quotas. « Autrefois on allait chercher les gens au milieu de la mer, maintenant on les empêche d’arriver », a conclu Jean-Luc Mélenchon.

Leonarda: Hollande : une décsion bâtarde et hypocrite

Leonarda: Hollande : une décsion bâtarde et hypocrite

 

Comme d’habitude Hollande n’a pas tranché, il faut dire qu’il avait l’opinion publique contre lui pour annuler l’expulsion. Du coup  une décision bâtarde qui autorise Leonarda à rester mais sans sa famille. En outre, il ne pouvait déjuger Valls, le seul ministre populaire de ce gouvernement. Du coup Hollande mécontente tout le monde. « Si elle en fait la demande, compte tenu des circonstances (…) un accueil lui sera réservé (en France), et à elle seule », a tranché le chef de l’Etat, seul face à une caméra sous les ors de la Salle des fêtes de l’Elysée.   »Le geste du Président est un geste de générosité pour Leonarda mais la famille ne reviendra pas… », a martelé le ministre de l’Intérieur Manuel Valls dans une interview au JDD. La proposition présidentielle a été immédiatement repoussée par l’adolescente de 15 ans depuis le Kosovo. « Je n’irai pas seule en France, je n’abandonnerai pas ma famille », a répliqué Leonarda Dibrani, soulignant qu’elle n’était « pas la seule à devoir aller à l’école » parmi ses cinq frères et sœurs expulsés avec ses parents une dizaine de jours plus tôt. Seconde annonce présidentielle : les arrestations d’enfants dans le cadre scolaire seront désormais « prohibées » quelles qu’en soient les circonstances, à l’intérieur ou hors des établissements. M. Valls a adressé samedi soir aux préfets une circulaire en ce sens. Désormais, la « protection » du cadre scolaire « s’étend au temps périscolaire et aux activités organisées par les structures destinées à l’accueil collectif des mineurs », selon le texte de cette instruction transmis à l’AFP. Mais la démonstration d’ascendant présidentiel a été mise à mal par le premier secrétaire du PS, Harlem Désir, en personne. « Tous les enfants de la famille de Leonarda (doivent pouvoir) finir leurs études en France accompagnés de leur mère », a-t-il déclaré à l’AFP. Le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon qui avait « exigé » la démission de Manuel Valls, a jugé d’une « cruauté abjecte » le fait de sommer une jeune collégienne de « choisir entre vivre en famille ou revenir seule en France poursuivre ses études ». Le chef de l’Etat a commis une « grave faute politique et morale », a renchéri le Parti communiste. « C’est inhumain, indécent et illégal », a ajouté l’association la Voix des Rroms. François Hollande « a porté un coup terrible à l’autorité de l’Etat », a affirmé le président de l’UMP Jean-François Copé. François Fillon (UMP) a « regretté l’indécision caricaturale » de M. Hollande qui, « à force de chercher des synthèses, apparaît ambigu face à l’immigration irrégulière et lâche par rapport à une adolescente condamnée à choisir entre la France et sa famille ».   »Les critiques ne m’atteignent pas », affirme pour sa part M. Valls au JDD après des jours de polémiques et de manifestations. « Je ne répondrai pas aux attaques stériles », ajoute-t-il. « Quand elles viennent de notre propre camp, je le déplore, car cela nous affaiblit collectivement ».   »Rien ne me détournera de mon cap », conclut-il.  Des milliers de lycéens ont manifesté jeudi et vendredi pour réclamer le retour de la collégienne ainsi que celui de Khatchik Kachatryan, un élève arménien de 19 ans expulsé il y a une semaine. Quelque 500 lycéens parisiens sont encore descendus dans la rue samedi, malgré le début des vacances scolaires.

 




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