Archive pour le Tag 'honneurs'

Hollande a reçu les frondeurs avec les honneurs !

Hollande a reçu les frondeurs avec les honneurs !

 

Il l’avait promis  « moi président de la république, je ne recevrai pas les députés de la majorité…. ». Pourtant il  a reçu les frondeurs sans doute dans la perspective de résultats désastreux aux départementales. Un  désastre qui pourraiat le contraindre à recomposer son gouvernement avec ouverture à gauche ( verts, frondeurs), voire ouverture à des personnalités de la société civile en prévision des régionales d’abord et surtout de 2017. Pour rassurer Valls, qu’il compte garder , Hollande indique cependant qu’il ne changera pas de politique économique.  ( ceci étant l’ampleur  défaite pourrait le faire évoluer sur ces deux points!). Il n’est cependant pas certain que Valls ait apprécié cette rencontre officielle entre les frondeurs ( qui ont refusé de voter la loi Macron) et le Président de la république. Par sûr non plus que Valls goûte beaucoup un remaniement du gouvernement avec des fondeurs et des verts.  François Hollande a donc renoué le dialogue avec les « frondeurs » du Parti socialiste en préparation d’une fin de quinquennat où il espère engranger les premiers fruits de l’embellie économique et préserver ses chances pour l’élection présidentielle en 2017.  Le score de la droite et du Front national aux élections départementales de fin mars devrait obliger l’exécutif à redoubler d’efforts pour tenter de rassembler la gauche, avec ou sans les Verts, afin d’éviter une dispersion potentiellement mortelle pour le candidat socialiste à la présidentielle. Organisée sur une idée lancée il y a une quinzaine de jours par le député Henri Emmanuelli, la rencontre de mercredi soir à l’Elysée avec 14 élus socialistes a duré près de deux heures trente dans la salle où se tient le conseil des ministres.  Qualifiée de « très cash », « sans invective » ni « mise en cause personnelle », l’échange visait à refermer une ère de vives tensions qui a culminé le 17 février avec le passage en force du gouvernement pour faire adopter le projet de loi Macron sur la croissance et l’activité pour écarter la menace des frondeurs. « Le but était d’éviter le dialogue de sourds ou par médias interposés qui s’était installé : on ne peut pas être dans la même majorité et s’interpeller à distance », a expliqué à Reuters le député Christian Paul, présent à l’Elysée. « Il n’y avait pas de courtisans autour de la table mais des députés à qui le président n’a pas fait de procès. Un échange très cash, sans maquillage ni complaisance. »

Panthéon : des honneurs un peu politiciens

Panthéon : des honneurs un peu politiciens

 

Plusieurs personnages pourraient enter en même temps au panthéon, du jamais vu. Certes ces hommes et ces femmes sont tous méritants pour avoir servi le pays mais il est curieux que ce « paquet » de héros soit désigné à la veille d’élections. Le symbole n’est plus national il devient politique et surtout politicien ;   »Aux grands hommes la patrie reconnaissante ». Voici la devise inscrite au fronton du Panthéon. Le président François Hollande doit annoncer vendredi les noms des personnalités qui y entreront.  Selon plusieurs sources concordantes, quatre figures héroïques de la résistance ont été choisies par le chef de l’Etat, qui fera son annonce officielle lors d’un discours vendredi au Mont-Valérien où furent fusillés 22 membres du groupe Manouchian il y a 70 ans.  Germaine Tillion d’abord. Décédée en 2008, pilier d’un des premiers réseaux de résistance, active dans la libération des prisonniers français et anglais, elle est dénoncée et déportée à Ravensbrück. Ethnologue de formation, spécialiste de l’Algérie, Germaine Tillion dénonce les tortures pendant la guerre. Elle  est l’une des rares femmes élevées à la dignité de grand-croix de la Légion d’honneur, décoration qu’elle reçoit de Geneviève Anthonioz-de Gaulle, autre figure de la résistance française. La nièce du Général rencontre Germaine Tillion en déportation. Elle est connue pour son engagement en faveur des droits de l’Homme, longtemps présidente d’ATD Quart Monde. Pierre Brossolette, lui, décède dans les quartiers généraux de la Gestapo à Paris. Son entrée au Panthéon est un peu polémique, certains y voyant un affront à Jean Moulin, les deux résistants s’opposant sur la vision de la France d’après-guerre. Enfin, Jean Zay, ministre avant la guerre. Il sera condamné pour désertion sous Vichy puis fusillé par des miliciens en 1944 avant d’être réhabilité à titre posthume.

 




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