Archive pour le Tag 'historique'

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Sondage Hollande : impopularité historique

Sondage  Hollande : impopularité historique

Dans le  dernier baromètre BVA pour L’Express-Orange-France Inter, rendu public ce lundi soir. François Hollande atteint un record historique d’impopularité tandis que la popularité de Manuel Valls augmente à la suite de l’affaire Leonarda. Celle du FN aussi.  L’affaire Leonarda donne des ailes à la popularité de Manuel Valls et plombe celle de François Hollande et Jean-Marc Ayrault.De mémoire de sondeur, on n’avait jamais vu président aussi impopulaire… François Hollande attend un record historique avec 26% de bonnes opinions (-6 points), d’après le dernier baromètre BVA pour L’Express-Orange-France Inter, rendu public ce lundi soir. « Jamais, en 32 ans de mesures, un président n’était tombé en dessous de 30% de bonnes opinions », note BVA.   Cette plongée, après une très légère et très courte embellie, s’explique par une mauvaise rentrée en matière d’emploi, un message brouillé sur la « pause fiscale »… mais surtout l’affaire Leonarda, après laquelle cette enquête d’opinion a été menée. « François Hollande a semblé incapable de trancher » lors de son intervention télévisée qui n’a satisfait personne alors qu’il espérait contenter tout le monde, note ainsi Céline Bracq, directrice adjointe de BVA.    La cote de popularité de son Premier ministre Jean-Marc Ayrault suit le même chemin avec 25% de bonnes opinions seulement (-4 points) mais sans pulvériser le record historique, toujours détenu par Alain Juppé, tombé à 20% de bonnes opinions après les grandes grèves de 1995.  A l’inverse, cette séquence médiatique a profité au ministre de l’Intérieur Manuel Valls, qui dispose de 70% de bonnes opinions. Une moyenne que l’on retrouve à peu près chez les sympathisants de tous les partis politiques, alors que la polémique sur les Roms avait surtout fait progresser sa popularité à droite: cette fois même les sympathisants de gauche le soutiennent majoritairement, dans l’affaire Leonarda. Seule exception: à la gauche du PS, les mauvaises opinions sont majoritaires à son égard (59%).  Manuel Valls, souvent présenté comme le « ministre préféré des Français » est par ailleurs celui dont les sondés souhaitent le plus voir l’influence grandir dans la vie politique nationale (58%, +9 points). Derrière lui, le « Sage » de l’UMP, Alain Juppé perd 1 point, à 51%. Les deux centristes bientôt « mariés », Jean-Louis Borloo et François Bayrou, le suivent avec 44% et 37% respectivement. Le ministre de l’Intérieur n’est pas le seul à tirer son épingle du jeu dans le dernier baromètre: le FN lui aussi progresse. L’image du parti bénéficie de 28% de jugements positifs… faisant désormais jeu égal avec le PS, par exemple. Marine Le Pen obtient 30% de cote d’influence (+4 points), un niveau inédit pour la présidente du Front national. Sa nièce, Marion Maréchal Le Pen elle aussi, progresse beaucoup avec 43% de cote d’influence. Une progression que Gaël Sliman, directeur général de BVA, met en lien avec les priorités des Français. « Si les préoccupations majeures des Français consacrent toujours l’emploi comme priorité n°1, elles montrent une poussée spectaculaire des préoccupations liées à la fiscalité (26% et 17 points de hausse en un an) et à l’immigration (19% et 10 points de hausse en un an). » Des thématiques qui « servent la présidente du FN sans qu’elle n’ait (presque) rien à faire ou dire ».

Tourisme: une chute historique

Tourisme: une chute historique

Conséquences de la crise, de la fiscalité et de l’attentisme, le tourisme chute lourdement. Alors que les hôtels affichaient une baisse record de la fréquentation en juillet, c’est au tour des restaurants de faire grise mine. Les sociétés du SNRTC, qui représente les principales entreprises de restauration commerciale et traiteurs, ont enregistré en juillet une baisse de fréquentation de 13,2% en moyenne par rapport à la même période de 2012, selon les chiffres du syndicat nationale de la restauration thématique et commerciale, publiés ce lundi 5 août.   »La situation n’a jamais été aussi catastrophique, nos entreprises accusent une diminution inédite de leur chiffre d’affaires et les résultats de ces quatre dernières semaines nous font craindre le pire, notamment pour l’emploi », s’alarme Michel Morin, président du SNRTC.  Normalement, le mois de juillet est un « bon mois en terme de chiffre d’affaires » pour la restauration en raison notamment des soldes ou des départs en vacances, précise la SNRTC. Mais cette année, alors que la fréquentation diminuait déjà de 5% sur le premier semestre, la tendance à la baisse s’est encore accélérée en juillet, sous l’effet de la crise. « Si rien n’est fait dans le contexte actuel (…), la perspective d’une TVA au taux de 10% au 1er janvier (…) ne fera que nous affaiblir davantage », explique Laurent Caraux, président d’honneur du syndicat. Le dirigeant souligne que « dans un contexte de diminution du pouvoir d’achat, la répercussion sur les prix est difficile, voire impossible, les consommateurs régulant par eux-mêmes toute tentative de hausse », ce qui conduit « les entreprises de restauration tout droit vers l’asphyxie ». Alors que tous les indicateurs du secteur virent déjà au rouge et que le deuxième semestre « s’annonce désastreux », le SNRTC alerte donc « solennellement les pouvoirs publics sur les conséquences sociales en termes d’emplois et de pouvoir d’achat pour les milliers de salariés d’un des plus importants secteurs d’activité de France

Confiance des ménages : baisse historique de puis 1972

Confiance des ménages : baisse historique de puis 1972

 

Mauvis signe pour la consommation et la croissance, la confiance des ménages s’écroule à son plus bas historique. La confiance des ménages a une nouvelle fois baissé en juin pour atteindre son niveau le plus bas enregistré dans les statistiques, a annoncé jeudi l’Insee. L’indicateur synthétique ressort à 78 points, soit une baisse d’un point après celle de quatre points un mois plus tôt, alors que 19 économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un indice à 81, leurs estimations allant de 78 à 82. La moyenne longue de cet indicateur est calée à 100. Les statistiques de l’Insee remontent à 1972. L’opinion des ménages sur leur situation financière passée a augmenté d’un point, celle sur leur situation financière future est stable, et leur opinion sur l’opportunité de faire des achats importants a baissé d’un point. Ces trois soldes restent largement en dessous de leur moyenne de longue période, souligne l’institut de la statistique. L’opinion des ménages sur leur capacité d’épargne actuelle recule d’un point et celle sur leur capacité à épargner dans les mois à venir perd trois points. Les ménages sont un peu plus nombreux à considérer qu’il est opportun d’épargner (+2 points), ce solde restant « largement au-dessus » de sa moyenne de longue période. Les perspectives d’évolution du niveau de vie continuent de baisser (-2 points), atteignant un nouveau minimum historique. Les ménages sont plus nombreux à anticiper une augmentation du chômage, le solde gagnant deux points.

 

Chômage: chiffre catastrophique et historique attendu

Chômage: chiffre catastrophique et historique attendu

La boite à outils de Hollande ne semble pas de nature à relancer la croissance et à réduire le chômage ( témoin l’échec des emplois d’avenir). En effet Fin février, après une série noire de 22 mois, Pôle emploi recensait 3,187 millions de demandeurs d’emploi n’ayant pas travaillé au cours du mois (catégorie A) en métropole, soit seulement 8.000 de moins que le record absolu.  Depuis l’élection de François Hollande en mai 2012, en moyenne, plus de 28.000 nouveaux chômeurs sans activité ont poussé chaque mois la porte de Pôle emploi.   »Aujourd’hui plus que jamais le rassemblement du pays doit se faire sur ce qui est attendu par beaucoup de nos compatriotes: l’emploi, le redressement, la confiance », a déclaré le président de la République mercredi à l’Elysée.  Très pessimiste, le numéro un de la CFDT Laurent Berger a indiqué s’attendre à des chiffres « catastrophiques » pour le mois de mars, car « il n’y a aucune raison de penser qu’ils seront autres que catastrophiques ».  Mais au-delà du chiffre symbolique des « catégorie A » (sans aucune activité), Pôle emploi a déjà enregistré de nouveaux records depuis le printemps 2011: en février, en incluant ceux qui ont exercé une petite activité, ses listes recensaient près 5 millions de noms (Outre-mer compris), du jamais vu.  Parmi eux, deux millions de chômeurs de longue durée, un autre pic historique.  Face à cet afflux, un nouveau renfort de 2.000 CDI à Pôle emploi d’ici à septembre a été décidé par le gouvernement, comme en 2012.  En 1997, le chiffre des inscrits en catégorie A traduisait toutefois une situation encore plus dégradée, puisque la population en âge de travailler était moins nombreuse (25,6 millions, contre 28,3 millions en 2011, selon les plus récentes données de l’Insee).  Le taux de chômage, qui rapporte le nombre de chômeurs à la population active, tourne ainsi autour de 10,2%, alors que le record enregistré à deux reprises, en 1994 et 1997, est de 10,8% en métropole.  Mais les perspectives sont très pessimistes: le Fonds monétaire international (FMI) table sur une poursuite de la flambée, pour atteindre 11,6% en 2014 (Dom compris).  20.000 emplois d’avenir fin avril  Pour autant, le président de la République maintient son « objectif » d’inverser « à la fin d’année » la courbe du chômage, en hausse quasi-ininterrompue depuis cinq ans.  Dans son « programme de stabilité », présenté le 17 avril, le gouvernement prévoit – malgré une estimation de croissance quasi-nulle de 0,1% en 2013 – une légère reprise des créations d’emplois au second semestre et un recul du taux de chômage au dernier trimestre 2013. Les économistes estiment que, pour renverser la courbe, une croissance d’au moins 1,5% est nécessaire.  L’engagement du président sera tenu « grâce notamment à la reprise progressive de l’activité et aux premiers effets des nombreux dispositifs de soutien à l’emploi mis en place depuis dix mois », affirme Bercy.  Fin mars, François Hollande affirmait que « tous les outils », des outils « exceptionnels », étaient sur les rails pour mener la « bataille » contre le chômage: les emplois d’avenir, le contrat de génération, le crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE) et la loi sur la sécurisation de l’emploi.  Six mois après leur lancement, les emplois d’avenir peinent à décoller: fin avril, 20.000 environ devraient avoir été signés sur un objectif de 100.000 fin 2013. Malgré des subventions élevées (75% du Smic dans le secteur non marchand), les employeurs restent frileux face au profil des candidats, pas ou peu diplômés.  Le CICE devrait quant à lui permettre de sauver 15.000 emplois au premier semestre 2013, selon l’Insee.  Le contrat de génération, qui vise à favoriser l’embauche des jeunes et le maintien des seniors dans l’emploi, via des incitations financières, est lui opérationnel depuis début mars. Le gouvernement en espère 500.000 embauches de jeunes en CDI en cinq ans et autant de seniors maintenus dans l’emploi.  Quant à la loi sur la sécurisation de l’emploi, qui vise à fluidifier le marché du travail, elle devrait être adoptée définitivement le 14 mai.

 

Baisse historique de l’intérim en janvier, mauvais signe pour la croissance

Baisse  historique de l’intérim en janvier, mauvais signe pour la croissance

L’intérim constitue l’un des indicateurs avancés de la conjoncture, il confirme la récession dans laquelle la France est engagée. Les jours se suivent et les mauvaises nouvelles sur le front de l’emploi se succèdent. La fédération patronale de l’intérim, le Prisme, a publié ce jeudi matin son baromètre mensuel pour le mois de janvier. Et les chiffres sont mauvais, très mauvais même: une plongée de 16,2% des effectifs par rapport au même mois de l’année dernière, qui était lui-même en net recul. Soit, au final, un 15e mois d’affilée de repli qui ramène le nombre d’intérimaires en équivalent temps plein sous la barre des 500.000. Ce niveau est à deux dizaines seulement de son plus bas historique atteint en 2009 et très loin de son plus haut, qui a culminé à plus de 750.000, avant la crise. L’industrie continue inexorablement sa descente en enfer, avec un nouveau repli de 19,1% en janvier. «C’est le signe d’un effondrement des carnets de commande, notamment dans l’automobile qui pèse 20% du secteur», commente-t-on au Prisme qui regroupe plus de 600 entreprises de toutes tailles employant 23.000 salariés et représentant 90% du chiffre d’affaires du secteur. Mais la surprise est le plongeon en janvier, de 23%, du BTP. Soit un bond, dans les négatifs, de 10 points en un mois. «C’est la confirmation de l’arrêt des programmes de construction», se borne à indiquer le Prisme. Quant aux perspectives de cet indicateur avancé du marché du travail, elles ne sont pas moins sombres. Si les recrutements en CDI se sont plutôt maintenus en 2012, à un volume de 41.000 (soit 2000 seulement de moins qu’en 2011), les professionnels du secteur n’excluent pas un gros retournement en 2013. C’est dans ces conditions que va s’ouvrir, vendredi, la négociation sur la création d’un CDI intérimaire qui pourrait concerner 15.000 à 25.000 personnes. Les partenaires sociaux, qui ont exclu l’intérim d’une taxation des contrats courts lors de la négociation en janvier sur la sécurisation de l’emploi, ont jusqu’au 11 juillet pour se mettre d’accord. Les discussions, qui doivent durer jusqu’à fin juin, porteront essentiellement sur les modalités de la rémunération (l’égalité de traitement par rapport aux salariés de l’entreprise) et les périodes d’intermission. En cas d’échec, les surtaxations décidées sur les CDD s’appliqueront aussi aux contrats d’intérim. Pour l’heure, le camp patronal ne fixe qu’un point non négociable. Ce seront les entreprises qui choisiront, sélectionneront, les intérimaires qui pourront basculer en CDI. Preuve que cette négociation sera compliquée et très politique – elle sera conduite en même temps que la transposition de l’accord «emploi» sera débattue au Parlement -, chaque délégation syndicale du secteur sera chaperonnée par un permanent de la confédération.

 

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Le chômage : record historique, vers les 5 millions

  • Le chômage : record historique, vers les 5 millions

Un chômage historique et il n’y aura pas d’inversion de tendance comme promis par Hollande. Au contraire, il faut s’attendre à environ 400 000 chômeurs en plus. Car il faudrait au moins 1.5% de croissance ; nous n’en aurons pas en 2013.Sans cette réforme de la procédure de radiation, le nombre de nouveaux inscrits aurait été de 22.800.  En incluant ceux exerçant une activité réduite, 60.800 chômeurs de plus ont été comptabilisés, dont 24.000 en raison des effets de la réforme (36.800 sans cette réforme), pour atteindre 4.680.200 personnes.  L’entourage de Michel Sapin a réaffirmé mardi à l’AFP que l’objectif était toujours d’ »inverser la courbe du chômage avant la fin de l’année » et démenti un quelconque « renoncement » de François Hollande.  Deux mois après avoir réitéré, lors de ses vœux aux Français le 31 décembre, son engagement de parvenir « coûte que coûte » à inverser la tendance, le chef de l’Etat continue d’afficher son volontarisme mais semblait moins affirmatif samedi, liant désormais l’inversion de la courbe à une anticipation de la reprise de la croissance, qui n’est pas prévue avant 2014.  Comme chaque année, le ministère du Travail a par ailleurs revu l’ensemble de ses statistiques mensuelles depuis 1996. Il a réévalué le record absolu à 3.195.500 (au lieu de 3,205 millions) demandeurs d’emploi sans activité en janvier 1997 en métropole, un chiffre qui pourrait être atteint dans un ou deux mois.  Avec l’Outre-mer, 4,96 millions de personnes étaient inscrites sur les listes du service public de l’emploi, dont 3,42 millions sans activité. Corrigé de l’effet de la réforme des radiations, « cette progression inférieure à l’évolution moyenne constatée au second semestre 2012, était attendue et s’explique avant tout par le recul de l’activité fin 2012, dans le prolongement de la tendance depuis plus de 20 mois », a réagi le ministère du Travail dans un communiqué.  Cette réforme consiste, conformément aux recommandations du médiateur de Pôle emploi, à rayer des listes les demandeurs d’emploi ayant manqué à leurs obligations à partir de la date de la notification de leur radiation, et non plus, de manière rétroactive, à la date du manquement.  Cela engendre, exceptionnellement, pour le mois de janvier, un nombre moindre de sorties pour radiations.   »C’est une mesure favorable aux allocataires, réclamée depuis longtemps, mais nos prédécesseurs n’avaient pas voulu prendre de mesures qui avaient pour effet l’accroissement du nombre de demandeurs d’emploi », a-t-on expliqué au ministère du Travail.  Pour redresser la barre, l’exécutif mise sur de nouveaux outils, comme les emplois d’avenir, destiné aux jeunes pas ou peu diplômés. Mais le dispositif monte très lentement en puissance. Selon Jean-Marc Ayrault, « près de 8.000″ des 100.000 escomptés d’ici à la fin de l’année seraient sur les rails.  Les conséquences à court terme du contrat de génération, dont la loi va être promulguée, et de la loi sur la sécurisation de l’emploi, qui sera débattue au printemps, restent hypothétiques.  D’après Mathieu Plane, économiste à l’OFCE, ces outils « peuvent juste limiter la casse ». Pour l’expert, « il faudrait un minimum de 1,5% croissance annuelle pour pouvoir inverser la courbe du chômage et on en est très loin ».  Pour le président de l’UMP, Jean-François Copé, la poursuite de la hausse illustre le fait « qu’après bientôt 10 mois au pouvoir, François Hollande est en échec sur tous les plans ».  Ce qui alarme le plus les observateurs est l’explosion du nombre de chômeurs de longue durée (près de deux millions) et l’augmentation des demandeurs d’emploi en fin de droits à l’indemnisation.  Un phénomène qui a pris une dimension de drame social le 13 février, à Nantes, avec l’immolation par le feu d’un chômeur en fin de droits devant son agence Pôle emploi.   »Derrière ces chiffres, ce sont autant de réalités très difficiles, sur le plan économique, mais aussi sur le plan social et humain », a souligné la CFDT dans un communiqué, appelant à « ne pas laisser tomber les chômeurs » et à maintenir le niveau des allocations chômage.

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