Archive pour le Tag 'Hidalgo'

« Littérature »-Sandrine Rousseau, Borne, François Hollande, Hidalgo les plus nuls !

« Littérature »-Sandrine Rousseau, Borne,  François Hollande, Hidalgo les plus nuls !

 Une manière générale les livres politiques connaissent peu de succès auprès du public. Des tirages papier assez marginaux qui n’ont rien à voir évidemment avec le taux de lecture sur d’autres médias. En cause,  le fait que certains n’ont pas grand-chose à dire ou qu’ils feraient mieux de s’abstenir. À noter toutefois des tirages satisfaisants à droite avec Jordan Bardella ( avec une grosse campagne de pub) ,139.071 exemplaires vendus pour « Ce que je cherche ». Juste derrière, Philippe de Villiers avec «Mémoricide » 136.529 ventes. Enfin, le troisième, c’est Nicolas Sarkozy avec 84.000 exemplaires du Temps des combats, Un des rares hommes politiques à vendre régulièrement sa prose. À gauche visiblement la littérature politique ne séduit pas pour preuve:

L’ex-Première ministre Élisabeth Borne fait un bide avec ses Vingt mois à Matignon (Flammarion) qui n’ont intéressé que 4.700 acheteurs. Même François Hollande, président redevenu simple député, ne s’est vendu qu’à 6.700 exemplaires.

1.700 pour Boris Vallaud et En PermanenceCe qui nous porte (Seuil), de Sandrine Rousseau, n’atteint même pas la barre des 1.000. Mais la palme des flops revient à Anne Hidalgo avec Le lieu des possibles et ses 227 exemplaires écoulés.
Notons que nombre de ces derniers livres ont été achetés par les auteurs eux-mêmes être distribués aux amis!

 

Près de 10 milliards de dette : le bilan économique d’Anne Hidalgo

Près de 10 milliards de dette : le bilan économique d’Anne Hidalgo 

 Anne Hidalgo – qui vient d’annoncer au Monde sa décision de ne pas briguer de troisième mandat - assure avoir «des comptes à l’équilibre». La preuve, selon elle, ils sont «certifiés par un commissaire aux comptes et validés par les agences de notation». Une semaine auparavant, son ancien premier adjoint et ancien adjoint aux finances de la capitale, Emmanuel Grégoire, s’était lui aussi présenté en fervent défenseur du bilan de l’équipe municipale et notamment de son volet financier. En assurant sans sourciller que la Ville, «très bien gérée», n’avait «aucun problème de soutenabilité».   dette de la ville a plus que doublé depuis l’arrivée d’Anne Hidalgo à sa tête en 2014, passant de 4 à 9 milliards.

 

Sondage Municipales Paris : Rachida Dati en tête, Hidalgo marginalisée

Sondage Municipales Paris : Rachida Dati en tête, Hidalgo marginalisée

D’après un sondage Ipsos pour le JDD Rachida Dati dans  tous les cas de figure,  arriverait très largement en tête. « L’électorat Renaissance la soutient et celui de LR ne l’a pas abandonnée », explique Mathieu Gallard, directeur d’études chez Ipsos. Si Rachida Dati parvenait à conduire une liste soutenue à la fois par Renaissance, le MoDem, Horizons et Les Républicains – son objectif -, elle obtiendrait 38%.  La maire PS de Paris est en situation de grande faiblesse. Son bilan est largement décrié : 40% des Parisiens interrogés s’en disent très mécontents, un niveau très élevé. Dans les intentions de vote, elle obtiendrait un score très faible : entre 12 et 14% quelle que soit l’hypothèse. La chute est spectaculaire par rapport à 2020, où elle rassemblait alors 29,3%. Par ailleurs, Emmanuel Grégoire, son premier adjoint pourtant très peu connu, ferait mieux qu’elle, même si au final cela ne changerait pas grand-chose. ( info La Tribune)

Mais si les résultats ne sont pas bons pour l’exécutif parisien, ils demeurent très solides pour la gauche dans sa totalité (autour de 43%). C’est le quatrième enseignement. L’addition des listes LFI, Écologistes, PS/PC est ainsi quasiment égale à celle de 2020. « C’est l’impopularité d’Anne Hidalgo qui, en fait, 

C’est pourquoi le scrutin va garder beaucoup d’incertitudes. La première n’est pas la moindre. La règle du jeu reste en effet encore inconnue. Le scrutin d’arrondissement, qui était jusqu’à présent la norme (et favorisait la gauche), pourrait être remis en question. La majorité présidentielle a l’intention de déposer ce printemps un texte pour revenir sur la loi « PLM » (Paris, Lyon et Marseille) et faire en sorte qu’à l’instar des autres villes leurs maires soient élus directement par leurs habitants. Lors de sa conférence de presse du 16 janvier, Emmanuel Macron s’y est engagé. Président du groupe Renaissance à l’Assemblée nationale et élu parisien, Sylvain Maillard travaille activement sur le sujet. Reste à décider si cela passera par une proposition de loi ou un projet de loi. La deuxième solution, privilégiée par l’Élysée, aurait le mérite d’aller plus vite, alors que tout doit être bouclé avant février 2025, un an avant les élections. Si cette réforme ne voyait pas le jour, il pourrait y avoir des conséquences. À gauche, des listes LFI pourraient se maintenir au second tour et affaiblir son camp. « Dans des arrondissements de droite, des listes LR, potentiellement soutenues par leurs maires, pourraient obtenir des scores notables », relève Mathieu Gallard.

Les autres incertitudes tiennent aux protagonistes principales. Un an avant les municipales de 2020, Anne Hidalgo semblait déjà dans une situation inextricable avant de parvenir à se faire réélire. Mise en examen dans l’affaire Renault-Nissan, Rachida Dati pourrait, elle, être jugée à l’occasion d’un procès avant mars 2026.

 

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

Anne Hidalgo paye aussi sa politique catastrophique à Paris

 

 

ENTRETIEN - Au premier tour de l’élection présidentielle, la maire de Paris Anne Hidalgo a recueilli à peine plus de 2% des suffrages dans sa ville. Le journaliste et historien Didier Rykner y voit une conséquence directe de la politique que mène l’élue .

Didier Rykner est journaliste et historien de l’art français. Engagé pour la défense du patrimoine, il publie régulièrement ses enquêtes et analyses sur le site La Tribune de l’art . Il a publié La disparition de Paris, aux éditions Les belles lettres.

 

LE FIGARO. – La maire de Paris Anne Hidalgo recueille 22.936 voix dans la capitale, soit 2,17% des suffrages. Comment l’expliquez-vous ?

Didier RYKNER. - Il y a plusieurs raisons. On ne peut évidemment exclure l’affaiblissement du parti socialiste qui était déjà historiquement bas lors de la dernière présidentielle. Mais un score aussi dérisoire a surtout deux explications : une campagne totalement ratée où elle a passé son temps à se contredire et à se ridiculiser (elle est allée jusqu’à se demander pourquoi Paris avait une histoire !) et un bilan catastrophique dans la gestion de sa ville que les autres régions ont découvert grâce notamment aux réseaux sociaux, largement repris par les journaux.

N’est-ce pas réducteur d’imputer le résultat à sa politique à la tête de Paris ?

Comme je le disais, ce n’est certainement pas la seule raison, mais cela a forcément compté. La meilleure preuve en est son score à peine supérieur à la moyenne nationale à Paris même. Je crois que jamais un maire sortant candidat à la présidentielle n’avait terminé à un tel niveau. Le communiste Robert Hue, en 2002, avait obtenu 3,2 % en 2002, mais dans sa ville, Montigny-lès-Cormeilles, il avait réuni 16,15 % des voix… Quand on fédère aussi peu d’électeurs dans sa propre ville, on doit s’interroger. Cela pose indubitablement la question de sa légitimité. Cela pose surtout celle de l’élection parisienne, qui comme à Lyon et Marseille ne se fait pas avec un scrutin de liste direct, mais par arrondissement, de manière indirecte. Comme les électeurs de toutes les villes de France, les Parisiens ont le droit de choisir directement leur maire.

À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation.

 

Même dans les arrondissements où elle est d’habitude plébiscitée, Anne Hidalgo ne franchit jamais la barre des 3 % : 2,39 % dans le 18e, 2,26 % dans le 19e et 2,40 % dans le 20e. Quelle est la particularité de ces arrondissements ? Quel est le bilan d’Anne Hidalgo dans ces secteurs ?

Le bilan d’Anne Hidalgo est désastreux dans tout Paris, et il l’est particulièrement dans ces arrondissements. À la saleté des rues, à l’abandon du patrimoine, au non-entretien de l’espace public, au bétonnage qu’on voit ici comme ailleurs s’ajoutent des questions de sécurité, notamment liées au crack, qui aggravent encore la situation. Ces arrondissements ont l’impression d’être abandonnés encore plus que les autres.

Quels sont les chantiers entrepris par l’actuelle municipalité, entre 2020 et aujourd’hui, qui ont pu influer sur le vote des Parisiens ?

Il y a tellement à dire que j’ai écrit tout un livre sur ce sujet, et que je pourrais y rajouter un tome 2 ! La municipalité n’écoute rien ni personne et poursuit ses projets sans écouter la population. Les Parisiens ne veulent pas de tours, comme l’avait montré une consultation faite par Bertrand Delanoë, et pourtant on construit des tours et on lance même le chantier de la tour Triangle peu avant les élections et alors qu’une enquête du parquet financier est en cours ! Les Parisiens veulent des arbres, et pourtant on les coupe comme je l’ai montré en photos dans La Disparition de Paris ! Les Parisiens veulent une ville propre, des rues en bon état, un mobilier urbain respecté, des monuments restaurés, et pourtant la mairie s’en fiche ! Tout cela a influencé le vote des Parisiens. Anne Hidalgo ne peut s’en prendre qu’à elle-même.

Et maintenant, que va-t-il se passer ?

Maintenant, j’espère qu’enfin une opposition crédible va se créer à Paris. Nous ne voulons pas de politique politicienne. Il faudrait que le mouvement citoyen qui s’est créé autour de #saccageparis, et qui comporte des personnalités remarquables, dont certaines d’ailleurs avaient voté Hidalgo en 2014 et qui ont depuis réalisé leur erreur, se fédère davantage. Il y a beaucoup de jeunes de moins de quarante ans dans l’opposition à la mairie actuelle. Ils sont l’avenir de Paris.


Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

Sondage Hidalgo : près de 70 % des parisiens mécontents

 

Les sondages sont évidemment catastrophique pour Hidalgo, la gauchiste bobo, dans la perspective de l’élection présidentielle. On ne lui accorde que quelques pour cent. Le problème c’est que le discrédit qui touche la candidate aux présidentielles vise maintenant Anne Hidalgo en tant que maire de Paris. Un sondage tenu interne par le parti socialiste lui-même montrerait que la maire de Paris est contestée par 67 % de l’opinion.Les parisiens regrettent sans doute l’autre mondain Delanoé, aussi inefficace mais tellement brillant quand il parle pour ne rien dire. Et qui va maintenant porter cette parole chez Macron ! Un juste reclassement.

Notons que les parisiens auraient lieu de s’inquiéter également dans la mesure où ils accordent leurs suffrages à la mondaine Rachida Dati qui récolteraient, elle 40 % de bonnes opinions. Changer Hidalgo pour Rachida Dati s’est échangé un cheval borgne pour un âne douteux. Surtout depuis la découverte que Rachid a Dati se faisait discrètement rémunérer par Renault ? On s’interroge sur le type de service !

 Un sondage Opinionway, non publié jusqu’ici, révèle le jugement très sévère des Parisiens à l’endroit de la maire de la capitale. L’entourage d’Anne Hidalgo assure n’avoir jamais eu vent de cette enquête, pourtant commandée par le PS

 

 

Selon une enquête Opinionway réalisée entre les 1er et 4 février, seuls 27% des Parisiens ont une bonne opinion d’Anne Hidalgo et 67% ne sont pas satisfaits de son action. Cela place la maire de Paris loin derrière Rachida Dati, qui récolte 40% de bonnes opinions. Et 62% des sondés souhaitent des changements importants dans l’action municipale.

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Présidentielle sondage : Lasalle devant Hidalgo !

Présidentielle sondage : Lasalle devant Hidalgo !
Macron est toujours donné largement en tête du premier tour de la présidentielle (31%) devant Marine Le Pen (17%), Eric Zemmour (13%), Valérie Pécresse (12%) et Jean-Luc Mélenchon (11%) selon un sondage <https://www.lefigaro.fr/fig-data/sondages-programmes-candidats-discours-dates-deplacements-scrutin-20210906/> Kantar-Epoka publié jeudi.

Le chef de l’État bondit de 6 points dans les intentions de vote depuis un précédent sondage Kantar du 21-23 février. Parmi la proportion d’électeurs affirmant avoir l’intention de voter Macron, 70% se disent sûrs de leur choix à 31 jours du 1er tour. Éric Zemmour enregistre une baisse de 3,5 points par rapport à la précédente étude.
Derrière Emmanuel Macron et les quatre candidats au-dessus de 10%, Yannick Jadot se classe en 6e position suivi par Fabien Roussel et Nicolas Dupont-Aignan avec respectivement 3% chacun. Jean Lassalle et Philippe Poutou, tous deux crédités de 2%, devancent Anne Hidalgo (1,5%). La candidate trotskiste Nathalie Arthaud ferme la marche avec 0,5% selon ce sondage Kantar-Epoka.

2002 perspectives pour Anne Hidalgo : c’est cuit

 

 

2002 perspectives pour Anne Hidalgo : c’est cuit

 

Virginie Martin, polititologue et sociologue, estime  qu’il n’y a pratiquement pas d’espoir que la campagne électorale d’Anne Hidalgo  décolle. De fait,  la plupart de sondages ne lui donne pas plus de 4 %. Une véritable débâcle. Interview sur France Info

Qu’est-ce qui pourrait faire enfin décoller la campagne d’Anne Hidalgo ?

Virginie Martin : Je ne sais pas. Pas grand chose, je pense, malheureusement pour elle, c’est difficile. La campagne rame, elle est très peu audible. Elle n’arrive vraiment pas imprimer. Aujourd’hui, on a entendu un discours qui se raccrochait plutôt au passé du Parti socialiste plutôt qu’à un avenir. Ça manque quand même un peu de colonne vertébrale idéologique pour demain et après-demain.

Dans son entourage, il se dit qu’elle veut absolument y croire. Il y a une espèce de volonté, absolument de pureté, d’aller jusqu’au bout. J’ai plutôt l’impression aujourd’hui qu’elle a envie de tenir jusqu’au bout, même si, effectivement, il peut se jouer la faillite économique du PS, qui est déjà aujourd’hui dans une très mauvaise posture financière.

Anne Hidalgo avait réclamé une primaire de la gauche, mais ne reconnaît pas aujourd’hui la primaire populaire. Les électeurs ne s’y perdent-ils pas un peu ?

Ils s’y perdent totalement. D’autant que son discours et ses positions ont fluctué. Elle a été plutôt, à un moment donné, favorable à l’égard de cette primaire populaire. Aujourd’hui, plutôt défavorable. Elle a été plutôt ouverte vis-à-vis des Verts. Aujourd’hui, elle tape beaucoup sur Yannick Jadot. Il y a une ligne qui n’est pas constante. Et là, évidemment, pour imprimer, c’est très compliqué. Etre audible, ce n’est pas possible quand on n’est pas constant.

Anne Hidalgo n’a-t-elle pas un problème de positionnement idéologique ?

C’est une difficulté, une difficulté aussi des cinq ans qui viennent de passer. Le PS aurait pu se réarmer idéologiquement, vraiment se positionner très clairement aussi par rapport à Emmanuel Macron. Tout ça aurait pu se faire. Il y a eu du temps. Le programme aurait pu aussi avoir plus de souffle. Benoît Hamon, typiquement, avait un programme très riche. Il n’a pas fait beaucoup de points, il a quand même dépassé les 5%. Là, on a un peu l’impression qu’il y a une tentative de se réconcilier avec les catégories populaires. Mais finalement, Anne Hidalgo se raccroche plutôt au passé, avec le mariage pour tous, la peine de mort, l’accord climat 2015… Qu’est ce qui a été fait depuis cinq ans au sein même du parti ? Peut être pas assez de travail aussi, et pas assez de préparation pour cette élection.

Anne Hidalgo comme première ministre Jadot (EELV) : Au secours !

Anne  Hidalgo comme première ministre Jadot (EELV) : Au secours !

 

Il se pourrait bien que Jadot candidat d’Europe écologie les Verts ait  commis encore une nouvelle bévue en proposant à Anne Hidalgo de devenir éventuellement sa première ministre. Au lieu d’augmenter son capital de voix cela pourrait bien lui retirer plusieurs points. Faut-il rappeler que la première orientation présidentielle Hidalgo a consisté à envisager de doubler le salaire des enseignants ; évidemment sans proposition de financement et sans prise en compte des conséquences sur l’ensemble des grilles de fonctionnaires. Une autre particularité d’  Hidalgo est de considérer que les municipaux travaillent trop et n’ont pas à se plier à la loi des 35 heures. Hidalgo ( ancienne fonctionnaire elle aussi)  entretient visiblement des liens ambigus avec le concept de travail.

 

Alors que pour l’instant le candidat écolo ne parvient guère à dépasser les 7 à 8 % dans les sondages, il en est déjà à distribuer le poste de Premier ministre, en plus à une bobo pour le moins évaporée et coupée des réalités sociaux économiques.

L’eurodéputé EELV a cependant précisé qu’il ne souhaitait pas «former (un) gouvernement le 14 décembre» alors que les Français sont «à peine entrés dans la campagne présidentielle». Quoi qu’il en soit, le candidat écologiste a refait part de sa volonté de «travailler avec les socialistes et tous les progressistes»«Venez avec vos idées, avec votre histoire, avec vos propositions. Travaillons à un projet commun, à un contrat de gouvernement, travaillons sur le fond», leur a-t-il proposé. De toute évidence il y aura du travail !

 

Présidentielle- Jadot (EELV)- propose Hidalgo comme première ministre: Au secours !

Présidentielle- Jadot (EELV)- propose Hidalgo comme première ministre: Au secours !

 

Il se pourrait bien que Jadot candidat d’Europe écologie les Verts ait  commis encore une nouvelle bévue en proposant à Anne Hidalgo de devenir éventuellement sa première ministre. Au lieu d’augmenter son capital de voix cela pourrait bien lui retirer plusieurs points. Faut-il rappeler que la première orientation présidentielle Hidalgo a consisté à envisager de doubler le salaire des enseignants ; évidemment sans proposition de financement et sans prise en compte des conséquences sur l’ensemble des grilles de fonctionnaires. Une autre particularité d’  Hidalgo est de considérer que les municipaux travaillent trop et n’ont pas à se plier à la loi des 35 heures. Hidalgo ( ancienne fonctionnaire elle aussi)  entretient visiblement des liens ambigus avec le concept de travail.

 

Alors que pour l’instant le candidat écolo ne parvient guère à dépasser les 7 à 8 % dans les sondages, il en est déjà à distribuer le poste de Premier ministre, en plus à une bobo pour le moins évaporée et coupée des réalités sociaux économiques.

L’eurodéputé EELV a cependant précisé qu’il ne souhaitait pas «former (un) gouvernement le 14 décembre» alors que les Français sont «à peine entrés dans la campagne présidentielle». Quoi qu’il en soit, le candidat écologiste a refait part de sa volonté de «travailler avec les socialistes et tous les progressistes»«Venez avec vos idées, avec votre histoire, avec vos propositions. Travaillons à un projet commun, à un contrat de gouvernement, travaillons sur le fond», leur a-t-il proposé. De toute évidence il y aura du travail !

 

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Présidentielle 2022: Ségolène Royal enfonce Hidalgo !

Si il y en a une qui a la haine très tenace, c’est bien Ségolène Royal. L’intéressée n’a jamais digéré sa défaite aux présidentielles faces à Sarkozy. Elle n’a jamais admis qu’on se prive des énormes compétences qu’elle s’attribue. Aussi depuis ce temps-là , elle consacre surtout son temps son temps politique à la démolition de la concurrence. Cette fois, elle tire sur quelqu’un qui est pratiquement déjà morte à savoir Anne Hidalgo en lui conseillant de se retirer des présidentielles. En réalité, Ségolène Royal n’a jamais renoncé à l’idée même de se représenter un jour et préfère sans doute le néant socialiste total ( vers lequel on se dirige) au choix d’une autre personnalité telle.

« Il faut qu’elle se désiste pour un des deux candidats qui est devant elle », a estimé vendredi 10 décembre l’ancienne candidate socialiste à l’élection présidentielle de 2007, qui s’est également dite prête à « prendre [ses] responsabilités » en cas de primaire. Bref le dernière coup de poignard dans le dos en déclarant notamment: « Elle a envie de se retirer, elle ne sait pas trop comment, mais [sa proposition] n’est pas respectueuse des autres », a fustigé Ségolène Royal, qui a ajouté : « Jean-Luc Mélenchon, il a fait un travail, il a été excellent dans son meeting, ses équipes ont travaillé, il est lancé dans cette campagne. Yannick Jadot, il est passé par une primaire, qui n’a pas été simple. Ils ont fait le job, ils ont fait le travail. On ne peut pas d’un coup leur demander de décrocher pour un changement d’avis. »

Ségolène Royal ne ferme toutefois pas la porte à une candidature à une hypothétique primaire. « J’ai toujours dit, y compris à la direction du PS, que j’étais disponible si on venait me chercher », a-t-elle certifié, assurant qu’elle prendrait « [ses] responsabilités » si « [son] nom sortait ».

Présidentielle 2022 : Hidalgo pour une primaire pour cacher la déroute

Présidentielle 2022 : Hidalgo pour une primaire pour cacher la déroute

 

Officiellement Anne Hidalgo pour renforcer les chances de la gauche propose une primaire afin désigner le candidat unique . Une proposition également faite par Arnaud Montebourg. Officieusement ,il s’agit plutôt de trouver une issue à la déroute électorale d’Anne Hidalgo qui pourrait ne recueillir que 3% %.

 

De toute manière ,l’addition de toutes les voies potentielles selon les sondages actuels donne seulement entre 20 et 25 % à toute la gauche. Autant dire que la défaite est à peu près assurée et  que l’union n’y change rien. Cela d’autant plus que les divergences idéologiques sont énormes. Pourtant Anne Hidalgo affirme « La gauche doit se retrouver, se rassembler pour gouverner. Il faut organiser une primaire de cette gauche, arbitrée par nos concitoyens. Ils seront très, très nombreux car ils souhaitent retrouver l’espoir 

Un peu plus tôt dans la soirée, Arnaud Montebourg avait lancé un appel du même type, constatant les faiblesses des candidatures de gauche – dont la sienne, jaugée à 2 %.

Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo veut une primaire pour cacher la déroute

Présidentielle 2022 : Anne Hidalgo veut une primaire pour cacher la déroute

 

Officiellement Anne Hidalgo pour renforcer les chances de la gauche propose une primaire afin désigner le candidat unique . Une proposition également faite par Arnaud Montebourg. Officieusement ,il s’agit plutôt de trouver une issue à la déroute électorale d’Anne Hidalgo qui pourrait ne recueillir que 3% %.

 

De toute manière ,l’addition de toutes les voies potentielles selon les sondages actuels donne seulement entre 20 et 25 % à toute la gauche. Autant dire que la défaite est à peu près assurée et  que l’union n’y change rien. Cela d’autant plus que les divergences idéologiques sont énormes. Pourtant Anne Hidalgo affirme « La gauche doit se retrouver, se rassembler pour gouverner. Il faut organiser une primaire de cette gauche, arbitrée par nos concitoyens. Ils seront très, très nombreux car ils souhaitent retrouver l’espoir 

Un peu plus tôt dans la soirée, Arnaud Montebourg avait lancé un appel du même type, constatant les faiblesses des candidatures de gauche – dont la sienne, jaugée à 2 %. 

Non à l’union de la gauche : Jadot et Hidalgo d’accord !

Non à l’union de la gauche : Jadot et Hidalgod’accord  !

Les fidèles de l’union de la gauche y croient encore mais pas les leaders des partis considérés et pas davantage les sympathisants. Des sympathisants aussi divisés que leurs responsables de partis. De toute manière, une éventuelle union entre le parti socialiste, les insoumis et les écolos ne permettraient guère de dépasser les 25 % de voix aux présidentielles.

Dès lors pourquoi s’effacer puisque la défaite est à peu près assuré sauf événement imprévisible. L’objectif n’est pas la victoire électorale mais la prise de position pour des élections futures. Or ne pas présenter de candidats aux présidentielles, c’est condamner les partis respectifs à la disparition.

De ce point de vue, le parti socialiste comme le parti communiste jadis joue certainement ses dernières cartes.

 Sur le plan idéologique, de grandes différences séparent ses différentes organisations avec des orientations qui vont du libéralisme classique ( courant Hollande), en passant par la social-démocratie, le socialisme et le communisme sans parler des gauchistes nombreux à Europe écologie les Verts.

 

Jadot et Hidalgo ont cependant trouvé un terrain d’accord commun : celui qui consiste à dire non à l’union de la gauche !

Politique-Tous gaullistes: de Zemmour à Hidalgo !

Tous gaullistes: de Zemmour à Hidalgo !

 

La prochaine cérémonie rendant hommage au général De Gaulle verra se réunir à peu près la quasi-totalité du monde politique ,extrême gauche exceptée. De Zemmour à Hidalgo en passant évidemment par les républicains, tous les candidats à l’élection de 2022 seront présents. Aujourd’hui De Gaulle est mis à toutes les sauces et tout le monde s’y réfère ou presque par manque sans doute de repères idéologiques et d’incarnation des valeurs. Même Zemmour sera présent lui qui défend le bilan de Pétain affirmant que ce dernier a sauvé la vie de juifs. Bref on sait que l’histoire sera réécrite chaque jour à la convenance parfois trop souvent de l’instrumentalisation qu’on en souhaite. « Challenges » note le véritable rapt politique du phénomène De Gaulle.

 

« Notre confrère Franz-Olivier Giesbert vient de publier Le sursaut (Gallimard), premier tome brillant d’une trilogie consacrée à l’histoire de la Vème République. Il s’agit d’abord d’une ode au Général de Gaulle. Une fois encore, Giesbert a saisi avant bien d’autres l’air du temps, à nouveau au gaullisme. Puisque « c’était mieux avant », c’était forcément mieux sous la férule du Général, un vrai chef, exclusivement mû par « les intérêts et la grandeur de la France », ce qui laisse entendre que ses successeurs, eux, ne l’étaient pas forcément… Cette façon de raconter l’Histoire politique récente est à la fois simplificatrice et enjolivée. Mais elle n’en est pas moins au cœur de l’actuelle campagne présidentielle. Une campagne où ils sont nombreux à vouloir s’approprier les mannes de de Gaulle. Et parfois cela ressemble à un détournement idéologique, à un rapt politique ». 

Sondage présidentiel :Hidalgo devant Jadot

Hidalgo passe devant Jadot

 

Brutalement une étude de l’IFOP fait passer Hidalgo de quatre à 7 % au détriment de Yannick Jadot qui n’enregistre que 6 %. Des sondages à prendre avec de grandes pincettes car commandés par des médias dirigés par des intérêts financiers qui selon les cas ont intérêt à se valoriser ou inversement à sous-estimer tels ou tel candidat dans leur intérêt. De toute manière des écarts de 1 % n’ont aucune signification statistique content tenu des marges d’erreur qui peuvent aller jusqu’à 3 % comme en témoigne d’ailleurs la diversité des résultats de plusieurs enquêtes

Dans le dernier sondage IFOP , Emmanuel Macron arrive en tête des intentions de votes, avec 23% au premier tour. Marine Le Pen occupe la deuxième position, avec 17%. Elle est suivie de près par le quasi-candidat Éric Zemmour, qui est crédité de 15%. Faute de candidat désigné, l’étiquette LR recueille quant à elle 12,5% des intentions de votes.

 

Régulièrement donné au-dessus d’Anne Hidalgo dans les enquêtes d’opinion, l’écologiste Yannick Jadot n’est crédité que de 6% des intentions de vote dans ce sondage, alors que la candidate socialiste est à 7%. «Il est possible que Jadot puisse pâtir d’une candidature animaliste, même si la fuite d’électeurs écologistes sera probablement limitée», analyse Frédéric Dabi.


*L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 915 personnes inscrites sur les listes électorales, extrait d’un échantillon de 1 001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d’agglomération.

À VOIR AUSSI - Présidentielle 2022: Hélène Thouy, la candidate du Parti Animaliste, compte sur les voix des déçus de la politique

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