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Elections Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Elections Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Macron sans doute conscient des risques de l’énorme défaite du pouvoir aux élections européennes souhaite désormais rencontrer Marine Le Pen . Mais cette dernière  q hésite et pose des conditions politiques ( démission de Macron ou dissolution de l’Assemblée nationale .). Marine Le Pen  a en effet tout à perdre dans un débat où elle brille rarement. À l’inverse le président veut sauver la majorité pour éviter un désastre. Mais si Marine Le Pen refuse, cela risque de paraître aux yeux de l’opinion comme un manque de courage et de compétence. Finalement le Front National pourrait perdre le crédit qu’il a obtenu l’heure du débat entre Attal et Bardella. Un débat qui n’a pas vraiment départagé les deux débatteurs mais qui a donné une certaine crédibilité à la tête de liste du Front National. 

 

Selon différentes enquêtes d’opinion à quinze jours du scrutin, le Rassemblement national recueille de 30% à 33% des intentions de vote, devant la majorité macroniste autour de 16% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann, donnée entre 14 et 15%. Mais, «je n’ai jamais cru aux sondages. On verra le 9 juin», a assuré le chef de l’État, exhortant toutefois les Français à se garder des candidats lepénistes: «réveillez-vous et regardez-les de près !»

Européennes : Macron veut rencontrer Marine Le Pen….qui hésite !

Macron sans doute conscient des risques de l’énorme défaite du pouvoir aux élections européennes souhaite désormais rencontrer Marine Le Pen . Mais cette dernière  q hésite et pose des conditions politiques ( démission de Macron ou dissolution de l’Assemblée nationale .). Marine Le Pen  a en effet tout à perdre dans un débat où elle brille rarement. À l’inverse le président veut sauver la majorité pour éviter un désastre. Mais si Marine Le Pen refuse, cela risque de paraître aux yeux de l’opinion comme un manque de courage et de compétence. Finalement le Front National pourrait perdre le crédit qu’il a obtenu l’heure du débat entre Attal et Bardella. Un débat qui n’a pas vraiment départagé les deux débatteurs mais qui a donné une certaine crédibilité à la tête de liste du Front National. 

 

Selon différentes enquêtes d’opinion à quinze jours du scrutin, le Rassemblement national recueille de 30% à 33% des intentions de vote, devant la majorité macroniste autour de 16% et la liste PS-Place Publique de Raphaël Glucksmann, donnée entre 14 et 15%. Mais, «je n’ai jamais cru aux sondages. On verra le 9 juin», a assuré le chef de l’État, exhortant toutefois les Français à se garder des candidats lepénistes: «réveillez-vous et regardez-les de près !»

Réforme des retraites : maintenant Macron hésite

Réforme des retraites : maintenant Macron hésite

Selon un papier du Monde si la réforme est toujours jugée « indispensable », selon les mots de la porte-parole du gouvernement, le chef de l’Etat et les ministres habilités à évoquer ce sujet explosif s’ingénient à déconstruire ce qui a été énoncé. Macron lui-même s’interroge sérieusement en raison d’une part de la chute de popularité de l’exécutif, aussi des perspectives de perte de la majorité à l’Assemblée nationale .

 

Bien malin qui peut dire à quoi ressemblera la réforme des retraites lorsque le gouvernement, confirmé ou remanié au lendemain des élections législatives des 12 et 19 juin, entrera dans le vif du sujet. En deux mois, le projet d’Emmanuel Macron de repousser « progressivement et par étapes » l’age de départ à 65 ans a perdu de sa consistance. Jour après jour, le chef de l’Etat et les ministres habilités à évoquer ce sujet explosif s’ingénient à déconstruire ce qui a été énoncé, au point que le projet d’origine apparaît mort-né.

Certes, la réforme est toujours jugée « indispensable », selon les mots d’Olivia Grégoire, porte-parole du gouvernement. Cependant, le report de l’âge légal à 65 ans « n’est pas un totem », a fait valoir la première ministre, Elisabeth Borne, laissant entendre que d’autres pistes, comme l’allongement de la durée de cotisation, pouvaient être explorées. Jugé au départ urgent, au point de nécessiter la présentation d’un projet de loi devant le Parlement dès l’été, le chantier ne démarrera réellement qu’« en septembre ou octobre » a, par ailleurs, précisé le ministre du travail, Olivier Dussopt.

Les atermoiements autour du report de l’âge de la retraite, considéré comme « la mère des réformes » par le ministre de l’économie, Bruno Le Maire, sont à l’image de cette drôle de campagne des élections législatives où rien n’accroche parce que l’exécutif s’ingénie à noyer le poisson plutôt que de préciser ses projets. Electoralement parlant, Emmanuel Macron a quelques bonnes raisons de pratiquer ce jeu d’évitement. Les Français sont majoritairement hostiles à l’idée de travailler plus longtemps ; les syndicats sont unanimement opposés à la retraite à 65 ans, au point qu’Yves Veyrier, le secrétaire général de FO sur le départ, a donné pour mission à son successeur de mener prioritairement le combat contre cette réforme.

De son côté, Jean-Luc Mélenchon a coalisé la gauche anti-Macron autour d’un projet qui prône notamment le retour à la retraite à 60 ans, quel qu’en soit le coût (évalué à 100 milliards d’euros par l’Institut Montaigne). Devant le risque de voir la campagne des élections législatives se transformer en un dangereux référendum pour ou contre la retraite à 65 ans, Emmanuel Macron a préféré pratiquer le déminage.

La rançon est double. En premier lieu, le chef de l’Etat donne l’impression d’être sur la défensive sur un dossier qui, jusqu’à présent, ne lui a guère réussi : le projet de retraite par points qu’il portait durant le premier quinquennat n’a pas abouti, si bien qu’il est à ce jour, à la différence de Jacques Chirac, de Nicolas Sarkozy et de François Hollande, un président de la République qui n’est pas parvenu à conduire une réforme des retraites. Ses opposants le savent. Ils feront tout pour qu’il reste dans cette situation.

Plus fondamentalement, aucune pédagogie n’est faite autour de la question de travailler plus longtemps, non seulement pour assurer l’équilibre du système de retraite par répartition, mais plus largement pour garantir le financement du modèle social. Or, c’est bien sur ce postulat qu’Emmanuel Macron a construit son nouveau mandat.

Le chef de l’Etat entend à la fois poursuivre la baisse des impôts et commencer à rembourser l’impressionnante dette française, à partir de 2026. Dans une conjoncture de plus en plus maussade, il ne peut espérer y parvenir qu’en augmentant substantiellement la quantité de travail pour doper la croissance. Plus il donne l’impression de louvoyer sur ce sujet, plus il compromet la réalisation de ses objectifs.

Le pétrole hésite

Le pétrole hésite 

 

 

En ce moment le pétrole fait du yo-yo dans une tendance légèrement haussière. En cause, les incertitudes sur la vigueur de la reprise, certaines menaces géopolitiques aussi surtout la vraie capacité de l’OPEP à faire respecter ses propres quotas. Les cours du pétrole ont donc terminé proche de l’équilibre mardi à New York, les investisseurs se montrant prudents avant la publication des chiffres hebdomadaires sur les stocks américains. Le prix du baril de « light sweet crude » (WTI), référence américaine du brut, a reculé de 4 cents à 47,55 dollars sur le contrat pour livraison en septembre au New York Mercantile Exchange (Nymex).

 

2017 : Hulot hésite

2017 : Hulot hésite

 

 

Nicolas Hulot en tête des personnalités préférées par les Français n’est pas pour l’instant encore candidat pour 2017 mais il explique dans le Parisien que sa «décision n’est pas définitive». Une réflexion par ailleurs de bon sens qui expose bien la problématique pour être candidat à l’élection de la présidence de la république. Au passage il donne un sérieux coup de griffe au concept d’agroécologie développée par Nicolas Sarkozy. «J’ai une intuition à me forger», a-t-il ajouté, laissant entendre qu’il pourrait y aller s’il était suivi par un collectif. Car selon lui, c’est la société civile qui doit jouer un rôle en 2017. Nicolas Hulot a expliqué qu’il réfléchissait à la «façon de faire émerger une force citoyenne». «La seule question que je me pose, c’est : qu’est-ce-qu’on peut faire pour alimenter le débat public et faire converger des intelligences diffuses, qui rayonnent souvent dans la société civile de manière invisible ?», a-t-il ajouté. «Ce qui tue la politique, c’est la pratique politique partisane», a insisté l’ancien rival malheureux d’Eva Joly à la primaire écologiste. Nicolas Hulot va lancer une «plate-forme» pour rassembler des propositions de la société civile.  «Il faut définir 10-15 mesures, savoir où on va et comment on y va», a ajouté l’ancien envoyé spécial de François Hollande pour la planète. Lorsque Daniel Cohn-Bendit, chroniqueur pour Europe 1, lui a signalé qu’il était le mieux placé pour «incarner l’alternative écologique», Nicolas Hulot n’a pas fermé la porte. «Il ne suffit pas d’avoir une forme de popularité, ce n’est pas aussi simple que ça», a-t-il répondu, tout en expliquant qu’il cherchait à savoir actuellement «s’il y avait des passerelles» pour «une dynamique collective». Il a également évoqué la possibilité de reproposer un engagement à signer par les candidats comme il l’avait fait en 2007. «Ce n’est pas une obligation d’être candidat, on peut refaire une sorte de pacte», a lancé Nicolas Hulot. «On a besoin de créer du lien, ma préoccupation c’est de rassembler les intelligences», a-t-il lâché.  Au passage, il a égratigné l’ancien président Nicolas Sarkozy et ses dernières déclarations contre l’agroécologie. «C’est pathétique que quelqu’un de ce niveau puisse traiter des sujets aussi importants de manière si méprisante», a souligné Nicolas Hulot. Il a estimé que sur l’écologie «il n’y a pas eu une réflexion de ce bord là politique (ndlr : la droite)». Mais s’il a redit son respect de François Hollande, il s’en est pris au débat sur la déchéance de nationalité. «Je n’ai pas compris, la pertinence, l’utilité et l’énergie qu’on y consacre (…) c’est un moment de détournement d’attention. Dans le climat actuel, je ne vois pas en quoi ce sujet va résoudre quoi que ce soit», a fustigé celui qui a récemment refusé d’entrer au gouvernement. Il a également jugé concernant le référendum sur l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes que la consultation devait «s’élargir» à 3 régions. Le gouvernement a annoncé qu’il ne consulterait que la Loire-Atlantique.

Séparation activités bancaires : la BCE hésite toujours

Séparation activités bancaires : la BCE hésite toujours

La belle unanimité sur la séparation des activités bancaires semblent avoir fait long feu ; même la BCE hésite encore. Dans un document publié ce lundi 28 janvier, la Banque centrale européenne (BCE) explique sa position sur le rapport Liikanen, qui prônait l’isolation de certaines activités bancaires dans une filiale distincte. « De manière générale, l’Eurosystème (des banques centrales de la zone euro) voit un intérêt à séparer certaines activités à haut risque des institutions financières qui ne sont pas associées à la fourniture de services aux clients », explique la BCE dans ce document résumant sa position sur le rapport Liikanen. Mais elle ajoute que « de nouvelles analyses sont nécessaires sur la possibilité de permettre à l’entité recueillant les dépôts de jouer un rôle de ‘market-maker’ (animation de marché, ndlr), en fonction de certaines limites ».

 

 

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