Archive pour le Tag 'héritiers'

LFI: les héritiers partagent déjà l’héritage

LFI: les héritiers partagent déjà l’héritage

Il est possible que le retour de Mélenchon s’impose rapidement à la tête du mouvement LFI. Un parti qui pourrait éclater tellement les héritiers se partagent déjà les dépouilles d’un Mélenchon qui n’est pourtant pas encore mort.

Le problème de ce parti qui représente un courant non négligeable désormais en politique, c’est qu’il est surtout incarné par Mélenchon et que les lieutenants ne sont pas à la hauteur. Aussi Bompard successeur de Mélenchon, lui, a fait le ménage en écartant tous les héritiers potentiels. Il utilise en cela la bonne vieille méthode communiste et stalinienne.

Le problème c’est que la plupart des dauphins ne sont vraiment pas du calibre de Mélenchon ni sur le plan politique, ni sur le plan intellectuel et encore moins sur le plan du charisme. Clémentine Autain ( transfuge du PC) par exemple qui depuis des mois tente de se placer en prenant du champ avec Mélenchon. Elle se verrait bien à la place de Mélenchon voir comme candidate présidentielle en multipliant les interventions publiques contre la direction de LFI. Une pratique de dénonciation médiatique habituelle chez elle notamment lorsqu’elle était communiste. Éric Coquerel aussi. Ou encore François Ruffin au profil davantage syndicaliste que politique. Et même plus le plus équilibré Alexis Corbière !

Lors d’une Assemblée représentative du mouvement Insoumis – composée de 160 personnes dont cent militants « tirés au sort »au sein des groupes d’action, l’unité de base – une nouvelle direction – la «coordination des espaces» – a été présentée. Les principaux responsables n’ont pas été réellement élus mais choisis « en fonction de leurs compétences » On y trouve des ténors dont Mathilde Panot, chef de file des députés insoumis ou Manon Aubry, coprésidente du Groupe de la gauche au Parlement européen.

M élenchon n’est pas mort mais ses héritiers se disputent déjà l’héritage

Mélenchon n’est pas mort mais ses héritiers se disputent déjà l’héritage

Il est possible que le retour de Mélenchon s’impose rapidement à la tête du mouvement LFI. Un parti qui pourrait éclater tellement les héritiers se partagent déjà les dépouilles d’un Mélenchon qui n’est pourtant pas encore mort.

Le problème de ce parti qui représente un courant non négligeable désormais en politique, c’est qu’il est surtout incarné par Mélenchon et que les lieutenants ne sont pas à la hauteur. Aussi Bompard successeur de Mélenchon, lui, a fait le ménage en écartant tous les héritiers potentiels. Il utilise en cela la bonne vieille méthode communiste.

Le problème c’est que la plupart des dauphins ne sont vraiment pas du calibre de Mélenchon ni sur le plan politique, ni sur le plan intellectuel et encore moins sur le plan du charisme. Clémentine Autain ( transfuge du PC) par exemple qui depuis des mois tente de se placer en prenant du champ avec Mélenchon. Éric Coquerel aussi. Ou encore François Ruffin au profil davantage syndicaliste que politique.

Ce week-end, lors d’une Assemblée représentative du mouvement Insoumis – composée de 160 personnes dont cent militants « tirés au sort »au sein des groupes d’action, l’unité de base – une nouvelle direction – la «coordination des espaces» – a été présentée.Les principaux responsables n’ont pas été réellement élus mais choisis « en fonction de leurs compétences » On y trouve des ténors dont Mathilde Panot, chef de file des députés insoumis ou Manon Aubry, coprésidente du Groupe de la gauche au Parlement européen.

Succession: Les larmes de crocodile des pauvres héritiers

Succession: Les larmes de crocodile des pauvres héritiers

 

L’économiste Alain Trannoy considère, dans une tribune au « Monde », que le patrimoine, en particulier la propriété foncière, particulièrement mal répartie en France, doit être taxé.

 

Tribune. 

 

 

Contrairement à la campagne présidentielle de 2017, le programme de tous les candidats compte un volet sur la taxation des successions, témoignant du goût français pour l’enrichissement par l’héritage… ou pour sa remise en cause. La comparaison des programmes permet de repérer cinq objectifs en matière de réforme de la taxation de l’héritage.

Premièrement, une demande quasi unanime de réduction de la taxation sur la « transmission populaire », selon l’expression d’Emmanuel Macron, soit celle des « petits » patrimoines. Mais quel serait le seuil ? 300 000 euros, par exemple, ce qui exempterait 95 % de la population ? En deuxième lieu, une réduction des taux sur les transmissions basées sur un lien autre que la parenté en ligne directe (oncle, cousin, parent éloigné, personne aidante, association, voisinage…). En troisième lieu, pouvoir donner plus fréquemment aux enfants et aux petits-enfants en franchise de droits, pour aider les jeunes générations au moment où elles en ont le plus besoin : installation professionnelle, achat d’un bien immobilier… En quatrième lieu, apporter à chaque jeune adulte une sorte de pécule initial pour commencer dans la vie – c’est une reprise de l’idée du penseur Thomas Paine (1737-1809). Enfin, « prendre tout ce qui dépasse », ou tout du moins accroître la taxation de la richesse au-delà d’un certain seuil, par exemple 2 millions d’euros.

N’injurions pas l’avenir, mais, à date, si la gauche ne revient pas au pouvoir, on aura sans doute une fiscalité qui répondra en partie aux trois premières demandes sans satisfaire les deux dernières, et la France aura rejoint banalement le clan des pays, de plus en plus nombreux, qui ont baissé leur impôt sur les successions au cours des vingt dernières années. Rappelons pour mémoire que les droits de succession ne sont plus qu’un « mauvais » souvenir pour l’Autriche, la Suède, la Norvège, la République tchèque, le Portugal, la Russie, la Chine, etc.

Rien d’anormal qu’en démocratie le souhait de la majorité de la population soit exaucé. L’impôt sur les successions est très impopulaire. Mais nombre d’économistes opposent à ce vœu deux arguments, l’un que l’on peut qualifier d’égalité, l’autre d’efficacité.

Selon le premier, il est patent qu’un héritier n’est pour rien dans la

Âge moyen des héritiers : 55 ans !

 

Âge moyen des héritiers : 55 ans !

Un graphique révélateur qui montre qu’en fait il n’y a guère de justification économique et sociale à la tradition des héritages sinon la logique de l’ancien régime. En moyenne, les héritiers ont en effet 55 ans. Une moyenne évidemment avec des écarts car certains héritent malheureusement plus jeunes et beaucoup ont entre 60 et 70 ans quand ils recueillent  le patrimoine de leurs aînés.

 

Âge moyen des héritiers : 55 ans ! dans société




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