Archive pour le Tag 'hausse'

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États-Unis : emplois toujours en hausse

États-Unis : emplois toujours en hausse

Preuve que la croissance est toujours dynamique aux États-Unis, l’emploi continue de progresser. L’envers de la médaille c’est que l’inflation se maintient et que cela pourrait justifier de la part de la banque fédérale américaine de décaler dans le temps la baisse des taux d’intérêt.
La hausse a atteint 180 000 emplois. On attendait 150.000 créations, selon le consensus publié par briefing.com. Les données pour le mois de février ont, par ailleurs, été revues en hausse, à 155.000 emplois créés, contre 140.000 annoncés initialement.

La hausse concerne la quasi-totalité des secteurs, à la notable exception des services aux entreprises, ainsi que l’ensemble des régions des États-Unis. Au-delà des créations d’emplois, le mois de mars a été marqué par la poursuite du ralentissement des hausses de salaires dans le secteur privé. Ils ont progressé de 5,1% sur un an, pour les personnes ayant conservé leur emploi, soit au même niveau que le mois précédent.

 

Les chiffres de l’emploi privé sont un indicateur de la santé du marché global de l’emploi. Ces données officielles pour mars seront publiés ce vendredi. Les marchés prévoient un ralentissement des créations d’emplois par rapport à février, selon le consensus de briefing.com, avec un taux de chômage qui pourrait se replier légèrement, de 3,9% à 3,8%.

 

Vin : Des tarifs garantis aussi ?

Vin : Des tarifs garantis aussi ?

Le vin de Bordeaux autrefois débordant de santé s’interroge sur les moyens de régulation pour faire remonter les prix. Des prix en chute libre qui parfois ne dépasse même pas 1000 € pour  900 l. Du coup la profession évoque aussi les idées de tarif et prix garantiss et de revenu minimum à l’hectare.

Théoriquement il est clair qu’il est plus sain de partir d’un prix de production pour aboutir à un tarif de vente. Mais mettre cela en pratique contredit les habitudes commerciales actuelles non seulement françaises mais internationales dans le Bordeaux qui en a  longtemps profité et profite encore pour les très grandes marques.

Il est bien difficile en plus de déterminer un prix qui couvre les coûts de production compte tenu de la diversité de qualité des vins du Bordeaux.

« Pour nous aujourd’hui la réponse à court terme, c’est d’arriver à avoir une évolution législative qui permette effectivement de fixer son prix dit « marche en avant ». On veut pouvoir travailler sur des indicateurs de prix de revient avec des indicateurs de coût de production », expose Lionel Chol à La Tribune, président de Bordeaux Négoce depuis 2016 et directeur général de Ballande France et Associé. On parle de réfléchir à la notion de prix et à la prise en compte des coûts de production. Si on veut aller vite et répondre à cette crise, il faut passer par un arsenal législatif », avise-t-il à La Tribune, alors que l’autorité de la concurrence interdit aujourd’hui de fixer un prix de vente minimum.

Pour arrêter la spirale, l’interprofession mise sur le plan d’arrachage de 8.000 hectares qui se poursuit jusqu’à fin mai, une campagne de distillation et une stratégie de diversification.

Le « narratif  » de la hausse des salaires !

Le « narratif  » de la hausse des salaires

 
Médias, institutions et pouvoirs publics ne cessent d’affirmer que les salaires ont progressé. C’est le » narratif » à la mode. Certes on a enregistré des hausses de rémunération mais pas à hauteur de l’inflation réelle. Il y a d’abord la question de l’obsolescence de l’indicateur de hausse des prix concernant la consommation des ménages. Un indicateur désormais complètement faussé avec le changement intervenu en matière de nature et de volume des achats des ménages. Des ménages dont les dépenses sont de plus en plus contraintes. Autrement dit des dépenses obligées concernant en particulier le logement, l’alimentation, le transport les biens et services indispensables. Soit en moyenne 80 % du revenu.

L’autre critique concernant les augmentations de salaire c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’une régularisation par rapport à l’inflation intérieure ou d’une avance sur les prévisions à venir de l’inflation.

Or dans la période comme l’indique d’ailleurs la Banque de France les salaires réagissent en retard par rapport à l’inflation. Par conséquent, les augmentations actuelles autour de 3,5 % prévus en 2024 sont surtout là pour corriger–mais insuffisamment–les fortes inflations passées notamment en matière d’alimentation et d’énergie mais aussi de services.

En moyenne, les hausses négociées s’établissent à 3,5%, pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la Banque de France.

La banque de France affirme qu’il y aura cependant des hausses pour les salaires de 2024. L’institution s’est penchée sur 117 accords de branches et 1500 accords d’entreprises couvrant l’année en cours. Bilan : les hausses négociées s’établissent en moyenne à 3,5% pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la banque des banques. . «Les salaires réagissent avec retard à l’inflation», reconnaît Erwan Gauthier, l’un des coauteurs de la note et chef du service des études microéconomiques à la Banque de France.

Dernier élément la progression de l’inflation autour de 2 % ne sera certainement pas tenue en particulier en raison des hausses constatées dans les services. En moyenne il y a bien une baisse des rémunérations comme en témoigne d’ailleurs le tassement de la consommation des ménages.

Salaires : Le « narratif » de la hausse

Salaires : Le « narratif » de la hausse

Médias, institutions et pouvoirs publics ne cessent d’affirmer que les salaires ont progressé. C’est le » narratif » à la mode.  Certes on a enregistré des hausses de rémunération mais pas à hauteur de l’inflation réelle. Il y a d’abord la question de l’obsolescence de l’indicateur de hausse des prix concernant la consommation des ménages. Un indicateur désormais complètement faussé avec le changement intervenu en matière de nature et de volume des achats des ménages. Des ménages dont  les dépenses sont de plus en plus contraintes. Autrement dit des dépenses obligées concernant en particulier le logement, l’alimentation, le transport les biens et services indispensables. Soit en moyenne 80 % du revenu.

L’autre critique concernant les augmentations de salaire c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’une régularisation par rapport à l’inflation intérieure ou d’une avance sur les prévisions à venir de l’inflation.

Or dans la période comme l’indique d’ailleurs la Banque de France les salaires réagissent en retard par rapport à l’inflation. Par conséquent, les augmentations actuelles autour de 3,5 % prévus en 2024 sont surtout là pour corriger–mais insuffisamment–les fortes inflations passées notamment en matière d’alimentation et d’énergie mais aussi de services.

En moyenne, les hausses négociées s’établissent à 3,5%, pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la Banque de France.

 La banque de France affirme qu’il y aura cependant des hausses pour les salaires de 2024. L’institution s’est penchée sur 117 accords de branches et 1500 accords d’entreprises couvrant l’année en cours. Bilan : les hausses négociées s’établissent en moyenne à 3,5% pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la banque des banques. . «Les salaires réagissent avec retard à l’inflation», reconnaît Erwan Gauthier, l’un des coauteurs de la note et chef du service des études microéconomiques à la Banque de France.

Dernier élément la progression de l’inflation autour de 2 % ne sera certainement pas tenue en particulier  en raison des hausses constatées dans les services. En moyenne il y a bien une baisse des rémunérations comme en témoigne d’ailleurs le tassement de la consommation des ménages.

 

Hausse des Salaires : Le mensonge

Hausse des Salaires : Le mensonge

Médias, institutions et pouvoirs publics ne cessent d’affirmer que les salaires ont progressé. Certes on a enregistré des hausses de rémunération mais pas à hauteur de l’inflation réelle. Il y a d’abord la question de l’obsolescence de l’indicateur de hausse des prix concernant la consommation des ménages. Un indicateur désormais complètement faussé avec le changement intervenu en matière de nature et de volume des achats des ménages. Des ménages dont  les dépenses sont de plus en plus contraintes. Autrement dit des dépenses obligées concernant en particulier le logement, l’alimentation, le transport les biens et services indispensables. Soit en moyenne 80 % du revenu.

L’autre critique concernant les augmentations de salaire c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’une régularisation par rapport à l’inflation intérieure ou d’une avance sur les prévisions à venir de l’inflation.

Or dans la période comme l’indique d’ailleurs la Banque de France les salaires réagissent en retard par rapport à l’inflation. Par conséquent, les augmentations actuelles autour de 3,5 % prévus en 2024 sont surtout là pour corriger–mais insuffisamment–les fortes inflations passées notamment en matière d’alimentation et d’énergie mais aussi de services.

En moyenne, les hausses négociées s’établissent à 3,5%, pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la Banque de France.

 La banque de France affirme qu’il y aura cependant des hausses pour les salaires de 2024. L’institution s’est penchée sur 117 accords de branches et 1500 accords d’entreprises couvrant l’année en cours. Bilan : les hausses négociées s’établissent en moyenne à 3,5% pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la banque des banques. . «Les salaires réagissent avec retard à l’inflation», reconnaît Erwan Gauthier, l’un des coauteurs de la note et chef du service des études microéconomiques à la Banque de France.

Dernier élément la progression de l’inflation autour de 2 % ne sera certainement pas tenue en particulier  en raison des hausses constatées dans les services. En moyenne il y a bien une baisse des rémunérations comme en témoigne d’ailleurs le tassement de la consommation des ménages.

 

Inflation–Prix des assurances : hausse de 6 %

Inflation–Prix des assurances : hausse de 6 %

 

En 2023, les assurances ont dépensé 6,5 milliards pour rembourser en partie les dégâts liés aux catastrophes climatiques, contre 3,5 milliards par an dans les années 2010. Ce qui justifierait l’augmentation des tarifs de 6 %. Alors qu’officiellement l’inflation ne devrait pas dépasser 2 % d’après le gouvernement, les assurances justifient l’augmentation des tarifs de 6 % par la croissance des sinistres. Notons que l’assurance représente un coût d’environ 5 % dans le budget des ménages.

 

Face à la multiplication des sinistres, elles augmentent en revanche leurs tarifs : + 6% en moyenne cette année, par rapport à 2023. La hausse pourrait au mieux ralentir, si les événements climatiques étaient mieux anticipés. « Plus on prend de mesure de prévention, plus cette prévention est efficace et plus on pourra maîtriser l’augmentation des sinistrés, des dommages, et il y aura moins d’impact sur les tarifs », explique Florence Lustman, présidente de France Assureurs.

Selon les associations de consommateurs, l’augmentation des tarifs sert également à couvrir les coûts de fonctionnement des assurances.

Rémunération : Hausse de TVA pour financer les salaires ?

Rémunération : Hausse de  TVA pour financer les salaires ?

 

Encore une idée bien française celle qui consiste à finalement diminuer le pouvoir d’achat des consommateurs pour financer la hausse des salaires. Évidemment,  on donnera un nom justifiant de cette politique à savoir la « TVA sociale » qui en fait est une hausse de TVA. C’est en tout cas l’idée du ministre de l’économie qui pense pouvoir opérer ainsi un transfert de 60 milliards d’euros.

Ce principe de TVA sociale va entraîner une hausse des prix . LA TVA sociale pourrait même avoir un effet encore plus délétère pour les ménages les plus modestes car la part de leur revenu dépensé en consommation est beaucoup plus importante.

« Je ne prétends pas que cela soit la seule solution et elle peut-être améliorée », souligne le locataire de Bercy. Autre piste possible: une CSG sociale.  Autrement dit une augmentation de la CSG. Si celle-ci n’est pas évoquée par le locataire de Bercy, le dispositif aurait l’avantage d’être « plus juste » . En effet, cet impôt est prélevé sur les revenus du travail, du capital, et des retraites notamment.

Pour résumer, il s’agit de donner d’une main et de reprendre de l’autre !

 

Prix des assurances : hausse de 6 %

Prix des assurances : hausse de 6 %

 

En 2023, les assurances ont dépensé 6,5 milliards pour rembourser en partie les dégâts liés aux catastrophes climatiques, contre 3,5 milliards par an dans les années 2010. Ce qui justifierait l’augmentation des tarifs de 6 %. Alors qu’officiellement l’inflation ne devrait pas dépasser 2 % d’après le gouvernement, les assurances justifient l’augmentation des tarifs de 6 % par la croissance des sinistres. Notons que l’assurance représente un coût d’environ 5 % dans le budget des ménages.

 

Face à la multiplication des sinistres, elles augmentent en revanche leurs tarifs : + 6% en moyenne cette année, par rapport à 2023. La hausse pourrait au mieux ralentir, si les événements climatiques étaient mieux anticipés. « Plus on prend de mesure de prévention, plus cette prévention est efficace et plus on pourra maîtriser l’augmentation des sinistrés, des dommages, et il y aura moins d’impact sur les tarifs », explique Florence Lustman, présidente de France Assureurs.

Selon les associations de consommateurs, l’augmentation des tarifs sert également à couvrir les coûts de fonctionnement des assurances.

Salaires : Le mensonge de la hausse

Salaires : Le mensonge de la hausse

Médias, institutions et pouvoirs publics ne cessent d’affirmer que les salaires ont progressé. Certes on a enregistré des hausses de rémunération mais pas à hauteur de l’inflation réelle. Il y a d’abord la question de l’obsolescence de l’indicateur de hausse des prix concernant la consommation des ménages. Un indicateur désormais complètement faussé avec le changement intervenu en matière de nature et de volume des achats des ménages. Des ménages dont  les dépenses sont de plus en plus contraintes. Autrement dit des dépenses obligées concernant en particulier le logement, l’alimentation, le transport les biens et services indispensables. Soit en moyenne 80 % du revenu.

L’autre critique concernant les augmentations de salaire c’est qu’on ne sait pas s’il s’agit d’une régularisation par rapport à l’inflation intérieure ou d’une avance sur les prévisions à venir de l’inflation.

Or dans la période comme l’indique d’ailleurs la Banque de France les salaires réagissent en retard par rapport à l’inflation. Par conséquent, les augmentations actuelles autour de 3,5 % prévus en 2024 sont surtout là pour corriger–mais insuffisamment–les fortes inflations passées notamment en matière d’alimentation et d’énergie mais aussi de services.

En moyenne, les hausses négociées s’établissent à 3,5%, pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la Banque de France.

 La banque de France affirme qu’il y aura cependant des hausses pour les salaires de 2024. L’institution s’est penchée sur 117 accords de branches et 1500 accords d’entreprises couvrant l’année en cours. Bilan : les hausses négociées s’établissent en moyenne à 3,5% pour une inflation contenue autour des 2%, selon les prévisions de la banque des banques. . «Les salaires réagissent avec retard à l’inflation», reconnaît Erwan Gauthier, l’un des coauteurs de la note et chef du service des études microéconomiques à la Banque de France.

Dernier élément la progression de l’inflation autour de 2 % ne sera certainement pas tenue en particulier  en raison des hausses constatées dans les services. En moyenne il y a bien une baisse des rémunérations comme en témoigne d’ailleurs le tassement de la consommation des ménages.

 

Impôts : hausse rampante

Impôts : hausse rampante
 « Le nominalisme fiscal français peut conduire nos prélèvements obligatoires à revêtir un caractère confiscatoire », alerte l’enseignant à Paris II (Panthéon-Assas), membre du Cercle des fiscalistes. La loi de finances 2024 a prévu, comme chaque année au cours de la période récente, d’indexer les tranches de revenus du barème de l’impôt sur le revenu (IR), sur la prévision d’évolution de l’indice des prix à la consommation hors tabac de 2023 par rapport à 2022, soit 4,8 %. Selon l’exposé des motifs de la loi, « ces dispositions permettront de neutraliser les effets de l’inflation sur le niveau d’imposition des ménages ». Cet article contient en réalité un double aveu. En premier lieu, l’inflation à prendre en compte, pour appréhender les conditions de vie des Français sur l’année 2023, ne correspond donc pas au glissement des prix sur douze mois, entre décembre 2022 et décembre 2023, s’élevant à 3,7 %, mais bien à la moyenne des prix de l’année 2023 comparée à ceux de l’année 2022, en augmentation de 4,8 %.

 

par Philippe Baillot, enseignant à Paris II (Panthéon-Assas), membre du Cercle des fiscalistes dans « l’Opinion ».
Le second aveu met à mal le mantra gouvernemental : « ni hausse des impôts, ni hausse des déficits ». En effet, si le barème de l’IR est relevé de 4,8 %, il n’en va pas de même de l’ensemble des seuils et barèmes d’imposition, par exemple de notre fiscalité patrimoniale (à l’image des droits de succession, de l’Impôt sur la Fortune Immobilière, de l’imposition des revenus du capital, …). Par suite, c’est l’ensemble des prélèvements applicables sur le patrimoine qui se trouve subrepticement majoré d’autant, en l’absence même de tout vote de nos représentants !

Cette hausse masquée s’inscrit dans une tradition de notre fiscalité : son nominalisme consistant à ne pas intégrer les conséquences de l’inflation dans la détermination de l’assiette ou de nos taux d’imposition. A titre d’exemples, l’abattement de 100.000 euros sur les successions en ligne directe date de 2012, celui de 152.500 euros sur les capitaux des contrats d’assurance-vie de 1998, le seuil de 1.300.000 de déclenchement de l’IFI de 2011. Or, pour simplement stabiliser les prélèvements dus ces montants auraient dû être portés respectivement à plus de 130.000 euros, 250.000 euros et 1.700.000 euros !

Ainsi, à l’encontre des principes de notre déclaration des droits de 1789, en l’absence de tout vote de nos représentants « la quotité (et) l’assiette » de nos prélèvements se trouvent massivement accrues. Notre nominalisme fiscal peut même conduire nos prélèvements obligatoires à revêtir un caractère confiscatoire, à l’image de l’imposition des fruits du capital au taux de 30%.

A titre d’illustration, la valorisation annuelle au taux de 4% d’un capital de 100 euros va générer un « produit » de 4 euros, appelant une imposition de 1,2 euro. Or si, au cours de l’année considérée, l’inflation s’est élevée à 2 %, conformément à l’objectif de la Banque Centrale Européenne, l’augmentation du pouvoir d’achat de notre épargnant se sera limitée à 2 euros. Dans ce cas, le taux réel de la flat tax n’est plus de 30 % mais de 60% !

Avec une inflation de 2%, le taux réel de la flat tax n’est plus de 30 % mais de 60%

Pire encore, en 2023, le placement préféré des Français – les « fonds en euros » – aura rapporté en moyenne 2,5 % et appelé au fil de l’eau le prélèvement d’une CSG au taux de 17,2 %, en présence d’une inflation énoncée à 4,8 %. Ainsi, notre État moderne ne trouve-t-il rien à redire à prélever sa dîme sur une perte en capital, en procédant alors de facto à une forme de confiscation, à l’encontre de la logique de notre Déclaration des droits : « La propriété étant un droit inviolable et sacré, nul ne peut en être privé, si ce n’est lorsque la nécessité publique, légalement constatée, l’exige évidemment, et sous la condition d’une juste et préalable indemnité ».

Les agences de notation accordent la plus grande importance à la capacité de l’État de prélever l’impôt et de nos concitoyens à y consentir. Or, notre nominalisme fiscal s’accompagne de lourdes conséquences, en termes d’accroissement de nos prélèvements, de mise en œuvre de taux confiscatoires : des conséquences propres à fragiliser notre pacte civil. L’indexation effective des taux et seuils d’imposition devrait donc (re)devenir la règle.

Fiscalité- Hausse de la TVA pour financer les salaires ?

Hausse de la TVA pour financer les salaires ?

 

Encore une idée bien française celle qui consiste à finalement diminuer le pouvoir d’achat des consommateurs pour financer la hausse des salaires. Évidemment,  on donnera un nom justifiant de cette politique à savoir la « TVA sociale » qui en fait est une hausse de TVA. C’est en tout cas l’idée du ministre de l’économie qui pense pouvoir opérer ainsi un transfert de 60 milliards d’euros.

Ce principe de TVA sociale va entraîner une hausse des prix . LA TVA sociale pourrait même avoir un effet encore plus délétère pour les ménages les plus modestes car la part de leur revenu dépensé en consommation est beaucoup plus importante.

« Je ne prétends pas que cela soit la seule solution et elle peut-être améliorée », souligne le locataire de Bercy. Autre piste possible: une CSG sociale.  Autrement dit une augmentation de la CSG. Si celle-ci n’est pas évoquée par le locataire de Bercy, le dispositif aurait l’avantage d’être « plus juste » . En effet, cet impôt est prélevé sur les revenus du travail, du capital, et des retraites notamment.

Pour résumer, il s’agit de donner d’une main et de reprendre de l’autre !

 

Hausse de la TVA pour financer les salaires ?

Hausse de la TVA pour financer les salaires ?

 

Encore une idée bien française celle qui consiste à finalement diminuer le pouvoir d’achat des consommateurs pour financer la hausse des salaires. Évidemment,  on donnera un nom justifiant de cette politique à savoir la « TVA sociale » qui en fait est une hausse de TVA. C’est en tout cas l’idée du ministre de l’économie qui pense pouvoir opérer ainsi un transfert de 60 milliards d’euros.

Ce principe de TVA sociale va entraîner une hausse des prix . LA TVA sociale pourrait même avoir un effet encore plus délétère pour les ménages les plus modestes car la part de leur revenu dépensé en consommation est beaucoup plus importante.

« Je ne prétends pas que cela soit la seule solution et elle peut-être améliorée », souligne le locataire de Bercy. Autre piste possible: une CSG sociale.  Autrement dit une augmentation de la CSG. Si celle-ci n’est pas évoquée par le locataire de Bercy, le dispositif aurait l’avantage d’être « plus juste » . En effet, cet impôt est prélevé sur les revenus du travail, du capital, et des retraites notamment.

Pour résumer, il s’agit de donner d’une main et de reprendre de l’autre !

 

Epargne-Livret A : Hausse de collecte

Epargne-Livret A : Hausse de collecte

L’encours des Livrets A et des Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) a progressé de 3,40 milliards d’euros en février. Le signe sans doute des inquiétudes des épargnants concernant l’avenir. Une situation qui pèse sur le volume de la consommation et la croissance.

. Dans le détail, les dépôts sur les Livrets A ont dépassé les retraits de 2,36 milliards d’euros le mois dernier, et de 1,04 milliard d’euros pour les LDDS. La somme de ces deux montants dits de «collecte nette» est près de deux fois inférieure au mois de février 2023 (8,17 milliards d’euros), mais constitue néanmoins la quatrième performance pour un deuxième mois de l’année depuis la généralisation de la distribution dans toutes les banques il y a 15 ans.

Elle est de plus supérieure à la collecte nette du mois de janvier (3,25 milliards d’euros), pourtant très propice à l’épargne, une première depuis 2009. L’encours total des Livrets A et LDDS atteint fin février un niveau record de 571,5 milliards d’euros. L’attrait de ces deux produits, au capital garanti et disponible à tout moment, s’essouffle quelque peu, mais reste toujours fort depuis la fixation de son taux à 3% net jusqu’en janvier 2025.

Niveau des océans : hausse importante en un an

Niveau des océans : hausse importante en un an

 

La hausse moyenne du niveau des océans dans le monde a été de 0,76 centimètre entre 2022 et 2023, un « bond important » par rapport à d’autres années, dû à la fois au phénomène El Nino et au changement climatique, a indiqué jeudi la Nasa.

Le niveau des océans a en moyenne gagné 9,4 cm depuis 1993, selon ces données fondées sur des observations satellites.

 

Le principal responsable est le changement climatique, qui implique la fonte de glace (calotte glaciaire, glaciers) mais aussi l’expansion des océans sous l’effet de l’absorption de chaleur.

L’élévation du niveau de la mer se fait de plus en plus rapidement: son rythme a plus que doublé entre 1993 (0,18 cm par an) et actuellement (0,42 cm).

« Le rythme actuel signifie que nous sommes en chemin pour ajouter 20 cm supplémentaires au niveau mondial des océans d’ici 2050″, a déclaré dans un communiqué Nadya Vinogradova Shiffer, directrice de l’équipe en charge de ce dossier à la Nasa.

C

Le Livret A : Hausse de la collecte

Le Livret A : Hausse de la collecte

L’encours des Livrets A et des Livrets de développement durable et solidaire (LDDS) a progressé de 3,40 milliards d’euros en février. Le signe sans doute des inquiétudes des épargnants concernant l’avenir. Une situation qui pèse sur le volume de la consommation et la croissance.

. Dans le détail, les dépôts sur les Livrets A ont dépassé les retraits de 2,36 milliards d’euros le mois dernier, et de 1,04 milliard d’euros pour les LDDS. La somme de ces deux montants dits de «collecte nette» est près de deux fois inférieure au mois de février 2023 (8,17 milliards d’euros), mais constitue néanmoins la quatrième performance pour un deuxième mois de l’année depuis la généralisation de la distribution dans toutes les banques il y a 15 ans.

Elle est de plus supérieure à la collecte nette du mois de janvier (3,25 milliards d’euros), pourtant très propice à l’épargne, une première depuis 2009. L’encours total des Livrets A et LDDS atteint fin février un niveau record de 571,5 milliards d’euros. L’attrait de ces deux produits, au capital garanti et disponible à tout moment, s’essouffle quelque peu, mais reste toujours fort depuis la fixation de son taux à 3% net jusqu’en janvier 2025.

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