Archive pour le Tag 'hausse de TVA'

Centres équestres : un fonds cheval pour compenser la hausse de TVA de 7 à 20%

Centres équestres : un fonds cheval pour compenser la hausse de TVA de 7 à 20%

 

Alors que l’équilibre financier de centres équestre est très précaire, Moscovici assomme la filière en se couchant devant Bruxelles (qui évidemment n’a pas autre chose à faire que de s’occuper de cette fiscalité !). La hausse de TVA  concerne les « redevables de la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) applicable aux prestations correspondant au droit d’utilisation des animaux à des fins d’activités physiques et sportives et de toutes installations agricoles nécessaires à cet effet ». Il entre en vigueur au 1er janvier 2014. Cette suppression du taux réduit pour les centres équestres fait suite aux injonctions de Bruxelles, et doit éviter à la France d’être condamnée devant la Cour de justice européenne si elle ne s’y conformait pas, a expliqué mardi le ministre de l’Economie Pierre Moscovici après avoir annoncé des aménagements. Ainsi, pour aider la filière à absorber cette hausse qui menace la survie, selon les professionnels, d’un tiers des centres équestres, le gouvernement propose que « les contrats conclus avant le 31 décembre 2013 (continuent) à bénéficier du taux réduit jusqu’à leur terme ». De plus, « une aide aux centres équestres » va être mise en place via un « fonds cheval » piloté par les représentants de la filière, dont le montant n’a pas été précisé.  Selon M. Moscovici, ces deux mesures vont permettre d’absorber les deux tiers des coûts liés à la hausse de la TVA. Le dernier tiers devant être absorbé sur la marge ou répercuté sur le consommateur, a-t-il indiqué, estimant ce surcoût à 60 centimes de l’heure.

SNCF- hausse de TVA : un mauvais coup pour l’environnement

SNCF- hausse de TVA : un mauvais coup pour l’environnement

 

Alors que le trafic SNCF stagne, le gouvernement augmente la TVA de 3%. Curieuse conception de la politique des transports et de la prise en compte de l’environnement.(’ Par parenthèse les verts politisés d’EELV se taisent !) Mécaniquement le trafic par fer risque de baisser en 2014 au mieux de se stabiliser. Alors que les consommateurs trouvent déjà les billets de trains trop chers, une nouvelle augmentation est prévue après le 1er janvier 2014. A cette date, le taux de TVA sur les transports va passer de 7 à 10%, une mesure destinée à financer le Crédit d’impôt compétitivité (CICE). Guillaume Pepy, le PDG de la SNCF, a annoncé que cette augmentation serait répercutée sur les prix de vente au détail. Il veut que les raisons de cette hausse soient claires dans l’esprit des consommateurs. »Si la TVA augmente de trois points au 1er janvier, nous n’augmenterons pas les prix, nous, mais les prix des billets augmenteront au bénéfice de l’État de 3% », a déclaré Guillaume Pepy, dimanche 20 octobre. Selon lui il y a déjà eu dans le passé 4,5% d’augmentation liés aux taxes, et qui n’ont rien à voir avec l’opérateur. Cette augmentation supplémentaire risque donc de détourner les usagers du transport ferroviaire, alors que la SNCF enregistre une baisse de sa fréquentation cette année, le covoiturage et les avions low cost ayant de plus en plus la faveur des voyageurs. Mais ce qui gêne aussi Guillaume Pepy, c’est que ce relèvement de la TVA va l’empêcher de procéder à la revalorisation annuelle de ses tarifs, pour prendre en compte l’inflation. Il demande donc une nouvelle fois à ce que « les transports de la vie quotidienne » soient exemptés tout comme les tarifs sociaux dont bénéficient les chômeurs et les étudiants. Et il ne se gêne pas pour ironiser sur certains choix du gouvernement. « Il y a des exemptions vitales, comme le cinéma par exemple », a déclaré Guillaume Pepy, qui va voir le taux de TVA sur les billets d’entrée passer de 7 à 5,5%.Mais le coût de cette mesure est estimé à une soixantaine de millions d’euros, alors que l’application de la TVA sur les transports représenterait pour l’Etat un manque à gagner d’un milliard d’euros. Pour contrer cette inflation des billets de trains, et devant l’appétence des clients pour ce type d’offre, le groupe a annoncé qu’il allait développer ses offres à bas prix. Le nombre d’offres Prem’s, IDTGV, Ouigo, devrait doubler d’ici à 2017, pour atteindre 25% des billets vendus.

 

Restauration : suppression d’emplois avec la hausse de TVA

Restauration : suppression d’emplois avec la hausse de TVA

 

La saison d’été a déjà été catastrophique de dan nombreuses régions, avec la hausse de TVA de nombreux emplois seront menacés (après déjà la suppression de 2500 postes en 2 ans). . Après avoir chuté de 1,91% l’an dernier, le chiffre d’affaires de la restauration a encore baissé de 2% au premier trimestre. En juillet, la baisse s’est même établie à 13%. Les plus touchés sont les restaurants classiques avec service à table. Ils ont perdu 6,72% de chiffre d’affaires sur l’année dernière.   »J’arrivais à faire entre 80 et 110 couverts le midi. Aujourd’hui quand on en fait 50, on est heureux « , se plaint Thierry Maquet, un restaurateur niçois. Pour lui, les dégâts s’établissent à une perte de 20% de son chiffre d’affaires. En cause : les clients privilégient désormais le prix à la qualité des produits ». On a de plus en plus de concurrence. On a le snack, on a le boulanger qui fait de la restauration. On n’a pas les mêmes armes », s’enflamme le restaurateur. Les professionnels espèrent bien attirer l’attention des pouvoirs publics sur leur situation, alors que se joue actuellement les arbitrages sur les augmentations de TVA. Pour contribuer au financement du Crédit d’impôt compétitivité et emploi (CICE), le gouvernement a, en effet, prévu de faire passer le taux normal à 20% et celui intermédiaire, qui concerne la restauration, de 7% à 10%.  Or ces trois points de TVA vont encore affaiblir le secteur, met en garde Laurent Caraux, président d’honneur du syndicat national de la restauration thématique et commerciale (SNRTC). « Si nous répercutons ces trois points de TVA sur les prix, on sait très bien que les consommateurs ne pourront pas les payer. Donc on va encore faire baisser notre fréquentation. Et quand on sait que les acteurs de la restauration sont sur de marges qui se comptent à un ou deux points, on aura beaucoup de dégats », explique-t-il. Les syndicats font aussi jouer la corde de la préservation de l’emploi. En France, depuis deux ans, les restaurants traditionnels ont restreint leurs effectifs de 10%, soit 2.500 emplois.




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