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Entourage de Sarkozy : nouvelles condamnations notamment de Guéant

Entourage de Sarkozy : nouvelles condamnations notamment de Guéant

 

Un vent juridique mauvais souffle toujours autour de Sarkozy et de son entourage. Sarkozy doit toujours rendre compte de plusieurs inculpations dans différentes affaires. Son entourage est lui aussi visé par la justice en particulier l’ancien ministre de l’intérieur Claude Guéant actuellement en prison.

Un  tribunal a encore condamné Claude Guéant à un an d’emprisonnement dont quatre mois avec sursis, assorti d’un mandat de dépôt, dans le procès des sondages de l’Élysée. Dans cette affaire, le tribunal a jugé que les millions d’euros en conseil politique et sondages facturés à l’Élysée entre 2007 et 2012 par les sociétés de Patrick Buisson et Pierre Giacometti, ainsi que par l’Institut Ipsos, avaient bien fait l’objet de favoritisme. Deux contrats signés par Patrick Buisson constituent en outre bien un détournement de fonds publics à hauteur de 1,4 million d’euros, a expliqué le président Benjamin Blanchet.

Quatre autres anciens conseillers ou collaborateurs de Nicolas Sarkozy, soupçonnés de favoritisme, recel de favoritisme et détournement de fonds publics, comparaissaient à ce procès. Le tribunal a décidé de condamner Patrick Buisson, absent également pour le rendu du verdict, à deux ans d’emprisonnement avec sursis, ainsi qu’à une amende de 150.000 €. Patrick Buisson a été condamné pour détournement de fonds publics et abus de biens sociaux au préjudice de ses sociétés. Sa peine est assortie d’une interdiction de diriger ou de gérer une entreprise commerciale pendant dix ans.

L’ex-sondeur Pierre Giacometti a quant à lui été condamné à six mois de prison avec sursis ainsi qu’à 70.000 € d’amende. Enfin, l’ancienne directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Élysée, Emmanuelle Mignon, a été condamnée à six mois de prison avec sursis, une peine bien plus lourde que les 10.000 euros d’amende requis

Sarkozy–sondages de l’Élysée : Guéant encore reconnu coupable

Sarkozy–sondages de l’Élysée : Guéant encore reconnu coupable

 

Nouvelle proposition de condamnation pour Guéant dans l’affaire des sondages de l’Élysée qui se sont affranchis de toutes les règles des marchés publics. Notons que Sarkozy principal bénéficiaire de l’affaire à seulement été convoqué ( mais pas entendu puisqu’il a refusé de répondre considérant qu’il était protégé par son statut d’ancien président!).

Le parquet a réclamé un an d’emprisonnement dont six mois ferme à l’encontre de l’ancien secrétaire général de la présidence Claude Guéant, jugé pour favoritisme et détournement de fonds publics par négligence. Le ministère public a par ailleurs demandé une peine de deux ans d’emprisonnement dont un an ferme et 100.000 euros d’amende contre l’ex-conseiller Patrick Buisson, ainsi que 550.000 euros d’amende pour ses deux sociétés.Mis en cause dans de nombreuses affaires, il est condamné en 2017 à deux ans de prison, dont un an ferme pour complicité de détournement de fonds publics et recel dans l’affaire des primes en liquide. Il est mis en examen pour « blanchiment de fraude fiscale en bande organisée », « faux et usage de faux », « financement illégal de campagne électorale », « recel de détournement de fonds publics » et « corruption passive », puis pour association de malfaiteurs avec Nicolas Sarkozy, Brice Hortefeux et Thierry Gaubert en 2020, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Sarkozy-Kadhafi. Une enquête pour l’instant complètement enterrée.

À l’issue de près de trois heures de réquisitoire, les procureurs financiers ont demandé que la peine de Claude Guéant, «grand manitou de l’Élysée» au «rôle central dans les infractions», soit assortie de 10.000 euros d’amende. Le ministère public a par ailleurs requis deux ans d’emprisonnement dont un an ferme et 100.000 euros d’amende contre l’ex-conseiller Patrick Buisson, ainsi que 550.000 euros d’amende contre ses deux sociétés Publifact et Publi-Opinion. Ce dernier a «généré des profits en s’affranchissant de la réglementation en vigueur, ou pire, en détournant des fonds publics», ont estimé les magistrats.

 

Financement libyen : Claude Guéant mis en examen

Financement libyen : Claude Guéant mis en examen

Claude Guéant, ancien ministre du gouvernement de François Fillon sous la présidence de Nicolas Sarkozy, a été mis en examen, jeudi, pour « association de malfaiteurs » dans l’affaire des financements libyens, d’après le parquet national financier. 

 

L’ancien ministre Claude Guéant a été à son tour mis en examen pour « association de malfaiteurs » par les juges chargés de l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007, a confirmé le parquet national financier interrogé par l’AFP. Cette nouvelle charge, retenue mercredi contre le bras droit de l’ancien président à l’issue d’un nouvel interrogatoire, était attendue depuis la mise en examen sous cette même qualification de Nicolas Sarkozy en octobre.

Déjà mis en examen pour neuf infractions dans le dossier

L’avocat de l’ancien ministre de l’Intérieur (2011-2012), déjà mis en examen pour neuf infractions dans ce dossier notamment pour « corruption », n’était pas joignable dans l’immédiat pour réagir. Cette nouvelle qualification d »association de malfaiteurs », lourde de sens dans son intitulé, est aussi plus facile à poursuivre jusqu’à un éventuel procès pour les juges, puisqu’elle n’exige d’eux que la démonstration d’ »actes préparatoires » au « pacte de corruption » qu’ils tentent de démontrer depuis 2013.

Nicolas Sarkozydéjà poursuivi notamment pour « corruption », a ainsi été mis en examen de ce chef en octobre pour « avoir laissé » en conscience ses lieutenants, Claude Guéant et Brice Hortefeux, s’impliquer dans le pacte corruptif soupçonné avec le régime de Mouammar Kadhafi à partir de 2005. Thierry Gaubert, collaborateur de Nicolas Sarkozy dans les années 90, a été le premier à être mis en examen pour « association de malfaiteurs » le 31 janvier 2020, après un réquisitoire supplétif du PNF invitant les juges à instruire dans cette direction. L’ancien ministre Brice Hortefeux, pour l’instant témoin assisté dans ce dossier, pourrait être prochainement concerné à son tour par de telles poursuites.

 

L’enquête a été ouverte après la publication par Mediapart en 2012, dans l’entre-deux tours de la présidentielle, d’un document censé prouver que la campagne victorieuse de Nicolas Sarkozy avait été financée par le régime de Mouammar Kadhafi. Témoignages de dignitaires libyens, notes des services secrets de Tripoli, accusations d’un intermédiaire… En sept ans de travail, les magistrats ont réuni une somme d’indices troublants qui ont donné corps à la thèse selon laquelle la campagne de Nicolas Sarkozy aurait été financée par le régime de Mouammar Kadhafi. Toutefois, aucune preuve matérielle indiscutable n’a pour l’heure été trouvée, même si des mouvements de fonds suspects ont conduit à neuf mises en examen à ce jour.

Ces dernières années, les ennuis judiciaires se sont accumulés pour Claude Guéant: condamné en appel en 2017 dans le procès des primes en liquide au ministère de l’Intérieur, l’ancien secrétaire général de l’Élysée doit être jugé en 2021 dans l’affaire des sondages de la présidence Sarkozy.

Affaire libyenne : Claude Guéant mis en examen

Affaire libyenne : Claude Guéant mis en examen

L’ancien ministre de l’Intérieur français Claude Guéant est mis en examen pour « association de malfaiteurs » dans l’affaire des financements lybiens, a confirmé le parquet national financier interrogé par l’AFP, ce jeudi. Il est déjà mis en examen pour « corruption » dans cette même affaire.

Claude Guéant était entendu dans cette affaire ce mercredi au tribunal judiciaire de Paris par la juge d’instruction Aude Buresi. Elle est chargée de l’enquête sur un possible financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy en 2007.

Le bras droit de l’ancien président à l’issue d’un nouvel interrogatoire, était attendue depuis la mise en examen sous cette même qualification de Nicolas Sarkozy en octobre. Claude Guéant n’avait plus été interrogé depuis deux ans.

Fin novembre sur BFMTV, Claude Guéant reconnaissait avoir eu des discussions avec Ziad Takieddine dès les années 2002-2003 mais réfutait toujours avoir reçu de l’argent de la part de l’homme d’affaires franco-libyen.

Ziad Takieddine, dont les accusations depuis 2012 ont allumé la mèche judiciaire, a opéré une volte-face retentissante le 11 novembre, en retirant ses accusations contre l’ancien président, obligeant le parquet national financier à sortir de sa réserve pour souligner que les charges « ne se limitent pas aux déclarations » de cet intermédiaire sulfureux.

Mais dans Paris Match, Zied Takieddine a maintenu avoir remis de l’argent libyen à Claude Guéant, proposant toutefois une nouvelle version : il assure désormais avoir reçu chez lui Claude Guéant en 2005 pour lui remettre cinq millions d’euros, en cash, destinés selon lui à un contrat de formation de personnels libyens. Une « fable », selon l’ancien ministre.

 

 

 

Claude Guéant, ancien ministre de l’intérieur condamné à un an de prison qu’il ne fera pas

Claude Guéant, ancien ministre de l’intérieur condamné à un an de prison qu’il ne fera pas

 

 On se souvient que Claude Guéant avait mis directement dans sa poche dés s du ministère de l’intérieur. Ce qui avait amené une enquête et conduit à une procédure judiciaire. À l’issue de celle-ci, Claude Guéant reconnue, coupable a été condamné à un an de prison. Il faut d’abord noter que cette affaire judiciaire a traîné pendant des années grâce aux recours de la procédure. À comparer évidemment avec les comparutions immédiates de certains petits délinquants qui écopent de mesures d’emprisonnement à exécuter. La sanction restera cependant symbolique pour Claude Guéant par ailleurs impliqué dans d’autres affaires sulfureuses. Mais comme l’affaire a traîné l’intéressé a pris de l’âge, il a atteint le seuil fatidique des plus de 70 ans (il en a 74) et pourra donc bénéficier d’un aménagement de sa peine qui lui évitera de mettre un pied en prison. Finalement un peu comme dans la plupart des affaires politiques ou financières, le traitement judiciaire traîne tellement qu’au bout du compte on enterre le dossier (comme pour Chirac) ou bien on le fait traîner jusqu’à ce que la procédure soit éteinte (ce qui risque de se passer pour les affaires Sarkozy ou Tapie).

Claude Guéant encore mis en examen

Claude Guéant encore mis en examen

Claude Guéant est soupçonné de financement illégal de campagne électorale, d’escroquerie, de favoritisme, d’abus de biens sociaux et de recel.  proche. L’ex-bras droit de Nicolas Sarkozy, soutenu à l’époque par l’UMP, avait été défait au second tour par le candidat dissident de la droite Thierry Solère, qui a conservé en mai son siège de député des Hauts-de-Seine. Le maire LR de Boulogne, Pierre-Christophe Baguet, avait diffusé un tract soutenant Claude Guéant, ce qu’avait dénoncé Thierry Solère, soupçonnant Pierre-Christophe Baguet de l’avoir financé pour partie avec l’argent de la municipalité. L’enquête préliminaire, ouverte en février 2014, a débouché le 29 mai dernier sur l’ouverture d’une information judiciaire contre X, s’est borné à commenter jeudi le parquet de Nanterre. «J’ai été informé récemment par un cadre dirigeant de la municipalité qu’une facture avait été réglée par le biais d’un marché public à un imprimeur qui se trouve aussi être celui de la ville», avait à l’époque indiqué à l’AFP Thierry Solère, quelques jours après l’ouverture de l’enquête préliminaire. Cette nouvelle mise en examen de Claude Guéant s’ajoute à celles qui le visent dans l’affaire des sondages douteux de l’Élysée, ainsi que dans le dossier des soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy. En janvier, l’ancien secrétaire général de l’Élysée avait été condamné en appel à deux ans d’emprisonnement dont un ferme dans l’affaire des primes en liquide du ministère de l’Intérieur.

 

Deux ans de prison ferme pour Guéant pour avoir tapé dans la caisse

 

Deux ans de Prison ferme pour Guéant pour avoir tapé dans la caisse

 

En clair Guéant a tapé dans la caisse des fonds secrets. Il est donc condamné en appel à deux ans de prison.  .Il s’agit de l’affaire des 10 000 euros mensuels reçus de fonds secrets par Guéant ; une affaire pas très claire  (pas plus que la vente de la vente par Guéant  de deux tableaux  à 500  000 euros à un intermédiaire malaisien !)    Guéant a perçu des primes de cabinet en espèces alors qu’il dirigeait le cabinet de Nicolas Sarkozy place Beauvau. »Il s’est expliqué longuement sur ce système qui existait depuis 1926, et qui concernait au ministère de l’Intérieur jusqu’à 400 personnes », avait explique son avocat. Selon lui, Claude Guéant a détaillé aux enquêteurs comment, lorsque Lionel Jospin avait mis fin à l’utilisation des fonds spéciaux pour les primes de collaborateur de cabinet, le ministère de l’Intérieur « a maintenu l’exception ». « À l’Intérieur, il a fallu trois ans pour mettre les choses à niveau. On ne pouvait pas dire aux gens, du jour au lendemain, que leur traitement était amputé. Les dotations de l’État pour compenser ces pertes de revenus sont passées de 434.000 euros en 2002 à une somme de l’ordre d’1,3 million d’euros en 2005. Entre-temps, le ministère de l’Intérieur, privé de fonds spéciaux, a assuré la transition par ses frais d’enquête et de surveillance (FES) », avait dit son  l’avocat. Claude Guéant recevait tous les mois une enveloppe de l’ordre de 10.000 euros en espèces puisés des FES de la police et versée par Michel Gaudin, alors directeur général de la police nationale. Ce dernier a confirmé le montant lors de sa garde à vue simultanée. Claude Guéant aurait admis avoir conservé pour lui environ 4.000 euros mensuels au titre des compléments de salaires, de 2002 à 2004. Il a également déclaré avoir « redistribué » les 6.000 euros restants entre plusieurs autres membres du cabinet dont le directeur de cabinet adjoint, le délégué police et le chef de cabinet. Interrogés par les enquêteurs préalablement à la garde à vue de Claude Guéant, Daniel Canepa, ancien directeur adjoint, Jacques Lamotte, ancien contrôleur général des services actifs de la police nationale, et Michel Camux, ancien chef de cabinet de Nicolas Sarkozy, auraient bel et bien confirmé avoir reçu des espèces.. Rappelons qu’l y a eu aussi l’affaire sur sa vente suspecte de tableaux, cédés 500.000 euros en 2008 à un avocat de Malaisie, quelques semaines avant l’achat d’un appartement parisien. Selon plusieurs experts, les deux tableaux d’un peintre flamand du XVIIe ont été largement surévalués. « Nous avons remis aux enquêteurs une expertise qui démontre que la vente de ces deux toiles s’est faite à un prix raisonnable », avait réplique l’avocat du ministre. Enfin, autre dossier, celui de l’arbitrage de Bernard Tapie dans le volet Adidas. Notons enfin que Guéant a aussi été entendu et mis en garde à vue dans l’affaire Tapie où il est intervenu.

Attentat de Nice: Guéant défend (mal) Sarkozy

Attentat de Nice: Guéant défend  (mal) Sarkozy

Dans une interview à RTL Guéant descend mal Sarkozy pour partie responsable de la désorganisation des services de renseignements en outre Claude Guéant n’apporte guère de solution très innovante illustrant ainsi le désarroi de la classe politique.

La suppression des Renseignements généraux (RG), décidée en 2008 sous Nicolas Sarkozy n’a-t-elle pas appauvri les moyens de la police?

Cette mise en cause de la fusion entre les anciens Renseignements généraux et la direction de la Sécurité du territoire (DST) est un procès politicien scandaleux. Les «RG» étaient un service dont la vocation n’était plus en accord avec son temps. J’ai connu une époque durant laquelle ils faisaient des sondages d’opinion et assistaient à des meetings politiques… Est-ce vraiment le rôle d’un service de police dans une démocratie moderne ? Après la fusion, les effectifs des anciens «RG» ont été affectés à la DST, qui a vu ses effectifs plus que doubler. Or, l’une des principales missions de la DST est précisément de lutter contre le terrorisme.

Mais le rôle des services de renseignements territoriaux est crucial dans la lutte contre le terrorisme

Les anciens «RG» territoriaux – environ 1 500 personnes à l’époque – n’ont pas disparu. Ils ont été réaffectés dans les commissariats de police. Depuis 2012, rien n’empêchait le gouvernement d’augmenter leur nombre s’il le souhaitait.

Après ce nouvel attentat à Nice, quelles mesures de sécurité devraient prendre le gouvernement ?

Dans la lutte contre le terrorisme, le «risque zéro» n’existe pas. Il n’y a pas de mesure qui constitue une parade à coup sûr contre tout attentat. D’autant que les responsables de l’Etat islamique appellent leurs partisans à frapper la France par tous les moyens : fusillade, bombe, attaque à l’arme blanche, voitures béliers et même jet depuis des précipices… La menace est de plus très diffuse entre, d’une part, des correspondants directs de Daech et, d’autre part, des initiatives isolées. Il ne suffit pas de démanteler un réseau de terroristes. A mon sens, le gouvernement tarde néanmoins à prendre quelques mesures importantes.

Lesquelles ?

La collaboration entre les pays européens doit d’abord être renforcée. Il est invraisemblable qu’il n’existe toujours pas un fichier commun des personnes suspectées d’être liées au terrorisme en Europe. Un tel fichier, qui pourrait s’appuyer sur le logiciel SIS Schengen et compterait quelques dizaines de milliers de personnes, éviterait que les contrôles aux frontières soient inopérants. Je rappelle que la gendarmerie a laissé filer Salah Abdeslam au lendemain de l’attentat du Bataclan alors même qu’il était connu des services belges !

Claude Guéant encore mis en examen pour les sondages de l’Elysée

Claude Guéant encore mis en examen pour les sondages de l’Elysée

C’est la troisième fois que Guéant est mis en examen. Cette fois il s’agit de l’affaire des sondages de l’Élysée. Claude Guéant a déjà été condamné à propos des primes qu’il a indument encaissées au ministère de l’intérieur, il est aussi mis en examen sur les conditions de financement de la campagne électorale de Nicolas Sarkozy en 2007. Bref ce ne sont pas moins de 20 à 30 personnes proches de Nicolas Sarkozy qui sont maintenant impliqués dans 7 différentes affaires en cours, Nicolas Sarkozy faisant lui-même l’objet de 2 mises en examen. Claude Guéant a donc été mis en examen pour complicité de favoritisme dans l’affaire des sondages de l’Elysée, a-t-on appris auprès du Parquet national financier (PNF). L’ancien secrétaire général de l’Elysée sous la présidence de Nicolas Sarkozy a été entendu pendant environ quatre heures dans la matinée par un juge d’instruction au Pôle financier de Paris.  En juillet, Le Monde affirmait qu’une note retrouvée par les enquêteurs prouvait qu’un contrat était passé entre les mains du secrétaire général de l’Elysée. Début février, Emmanuelle Mignon, qui fut directrice de cabinet de Nicolas Sarkozy à l’Elysée de mai 2007 à juillet 2008, a été mise en examen pour favoritisme dans ce dossier. Ces derniers mois, l’enquête a abouti à la mise en examen notamment de Patrick Buisson, dont la société Publifact est au coeur de l’enquête, et de Pierre Giacometti, lui aussi conseiller de Nicolas Sarkozy durant son mandat. L’information judiciaire pour favoritisme, détournement de fonds publics – dont détournement ou destruction d’archives publiques – vise des sondages et des prestations de communication commandés par la présidence de 2007 à 2012.  L’affaire, qui s’est ouverte en 2009 avec la remise d’un rapport de la Cour des comptes consacré à la gestion du budget de l’Elysée, a pris un tour judiciaire l’année suivante à la suite du dépôt d’une plainte de l’association Anticor. Selon le plaignant, une bonne partie des sondages commandés sans appel d’offres par la société Publifact, entre 2007 et 2009, n’avaient pas d’intérêt public lié à la fonction présidentielle. Sur la période 2010-2012, Anticor estime que certains sondages réalisés, après appels d’offres, ne relevaient pas non plus de la fonction présidentielle. Sont également visés par leur plainte des contrats de prestations en communication passés entre 2007 et 2012 entre l’Elysée et les sociétés de Pierre Giacometti et de Patrick Buisson, soupçonnés d’avoir bénéficié de favoritisme. Claude Guéant a été condamné en novembre dernier à deux ans de prison avec sursis dans l’affaire des primes en liquide perçues lorsqu’il était conseiller de Nicolas Sarkozy de 2002 à 2004 au ministère de l’Intérieur. L’ancien secrétaire général de l’Elysée, qui a décidé de faire appel, s’est également vu infliger une amende de 75.000 euros et une interdiction d’exercer dans la fonction publique pendant cinq ans.

Guéant : deux ans de prison avec sursis

Guéant : deux ans de prison avec sursis

Deux  proches de Sarkozy lourdement condamnés après le détournement de fonds du ministère de l’intérieur. La justice a infligé à l’ancien secrétaire général de l’Elysée, qui a décidé de faire appel, 75.000 euros d’amende et une interdiction d’exercer dans la fonction publique pendant cinq ans. Michel Gaudin, actuel directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à la présidence du parti Les Républicains, est quant à lui condamné à dix mois avec sursis et trois anciens hauts fonctionnaires à huit mois de prison avec sursis et des peines d’amende. L’affaire porte sur des primes en espèces que se versaient chaque mois des membres du cabinet de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur, et qui étaient prélevées sur une enveloppe destinée aux frais d’enquête et de surveillance des policiers. Le tribunal correctionnel a jugé que les faits reprochés à Claude Guéant, 70 ans, poursuivi pour complicité et recel de détournement de fonds publics, constituaient une « atteinte aux valeurs républicaines ». Un tel « mépris assumé de la loi » de la part d’un des plus hauts personnages de l’Etat a porté « une atteinte d’une exceptionnelle gravité à l’ordre public », dit le jugement. Lors du procès, en octobre, le Parquet national financier avait mis en avant le « rôle moteur » de Claude Guéant, contre lequel il avait requis 30 mois de prison, 75.000 euros d’amende, et cinq ans d’interdiction de droits civiques. Il était accusé d’avoir « ordonné » à Michel Gaudin, ancien directeur général de la police nationale, de lui remettre 210.000 euros provenant des frais d’enquête et de surveillance du ministère de l’Intérieur, « à des seules fins d’enrichissement personnel ».

Le procès de Guéant « l’arnaqueur » commence aujourd’hui

Le procès de Guéant  « l’arnaqueur » commence aujourd’hui

 

 

Guéant est impliqué dans de nombreuses affaires et l’ancien premier flic de France est un spécialiste des accommodements avec la loi ; Son défaut comme beaucoup d’anciens copains de Sarkozy ( on se demande vraiment où Sarkosy va les chercher !) : c’est l’amour du fric. Cette fois le procès se tiendra seulement sur l’affaire des primes du ministère de l’intérieur qu’il a mis dans sa poche au lieu de la distribuer coutume c’était l’usage. Avec  toutes ses implications, Guéant pourrait monopoliser un tribunal pendant plusieurs années. Il est donc temps que la droite revienne au pouvoir pour enterrer toutes ces affaires ennuyeuses, l’ affaire Tapie surtout ! .  A l’époque où il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy au ministère de l’Intérieur, Claude Guéant est cette fois  accusé d’avoir profité de sommes d’argent prélevées sur les frais d’enquête des policiers. Son procès débute ce lundi devant le tribunal correctionnel de Paris.  Claude Guéant est jugé à partir de ce lundi après-midi au tribunal correctionnel de Paris. Un procès pour complicité de détournement de fonds public et recel dans l’affaire dite des « primes de Beauvau » qui remonte au début des années 2000. Entre 2002 et 2004 Claude Guéant est le directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, ministre de l’Intérieur. A cette époque, il touche, en plus de son salaire, des primes mais il les trouve, c’est l’expression qu’il utilisera devant les enquêteurs, un peu « étriquées » et surtout inférieures à celles de ses prédécesseurs. Un système est donc mis en place à Beauvau. Il est orchestré par un autre proche de Nicolas Sarkozy, Michel Gaudin, patron de la police nationale de l’époque également jugé pour détournements de fonds publics. Des sommes d’argent sont régulièrement prélevées sur l’enveloppe des frais d’enquête des policiers, du liquide qui sert entre autres à rémunérer leurs indics. Et ce sont au moins 10.000 euros par mois que se partagent plusieurs membres du cabinet Sarkozy, dont Claude Guéant qui s’en attribue la moitié. Le duo Guéant-Gaudin sera en partie confondu des années plus tard par des écoutes téléphoniques concernant une toute autre enquête, celle qui porte sur un éventuel financement libyen de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy. Claude Guéant sera également piégé par des factures de biens de consommation payés en liquide: plus de 9.000 euros chez Darty ou encore 10 mille euros chez un cuisiniste.

Affaire Tapie : Guéant mouillé ?

Affaire Tapie : Guéant mouillé ?

 

Le parquet de Paris demande aux magistrats de convoquer Claude Guéant pour un interrogatoire et de le mettre en examen du chef de « complicité (par instructions) de détournements de fonds publics commis par un particulier », a-t-on précisé. La justice cherche à savoir si Claude Guéant a favorisé l’arbitrage qui a soldé le litige entre Bernard Tapie et le Crédit Lyonnais, lorsqu’il était secrétaire général de l’Elysée, en 2008. « En guise de consignes d’instructions, ce réquisitoire se borne à dire que finalement ce qui est reproché à Claude Guéant, c’est la surveillance et le suivi des phases de l’arbitrage, on est très loin d’une instruction, d’une consigne particulière », a dit son avocat, Philippe Bouchez el Ghozi, à Reuters. « Claude Guéant a toujours dit qu’effectivement il s’était informé de ce qu’il se passait parce qu’il était légitime que l’Etat soit informé d’une procédure qui pouvait impacter les finances publiques », a-t-il ajouté. Six personnes ont pour l’heure été mises en examen par les juges qui soupçonnent un « simulacre d’arbitrage » et s’interrogent notamment sur les liens entre Bernard Tapie et l’un des ex-juges du tribunal ad hoc, Pierre Estoup. L’arbitrage, qui avait accordé 404 millions d’euros à Bernard Tapie, a été annulé en février par la cour d’appel de Paris. L’homme d’affaires entend réclamer un peu plus d’un milliard d’euros lors d’un nouveau procès qui s’ouvrira fin septembre.

 

Procès Pérol : c’est Sarkozy ( Guéant)

Procès Pérol : c’est Sarkozy ( Guéant)

 

Un, procès débile, avec des arguments débiles et des témoignages qui le sont tout autant. Celui de Guéant qui affirme que c’est Sarkozy qui a proposé Pérol à la tête de la BPCE. Evidemment on voit mal l’intéressé se proposer lui même officiellement. Encore une fois plus de la moitié des grands dirigeants des très grands et entreprises  françaises ont utilisé leur passage de conseiller comme accélérateur de carrière. Des centaines, des milliers même depuis toujours ; Pérol n’est pas plus coupable que les autres. Ce qui est en cause ce n’est pas un individu mais l’oligarchie des fonctionnaires qui monopolise les postes politiques  et économiques. Une des solution serait d’interdire aux fonctionnaire de faire de la politique y compris comme conseiller des ministres ( puisque cela les menet inévitablemenet à des fonctions politiques et/ou économiques).  Le président de la BPCE, François Pérol, comparaît depuis lundi devant le tribunal correctionnel de Paris pour « prise illégale d’intérêts ». Il est accusé d’avoir été nommé à la tête de cette banque alors qu’il avait suivi leur fusion en 2009 quand il était conseiller de Nicolas Sarkozy. Entendu ce jeudi, Claude Guéant a pris sa défense et pointé l’ex-président de la République.   »C’est le président Nicolas Sarkozy qui a proposé le nom de Pérol« . Entendu ce jeudi au tribunal correctionnel de Paris, dans le cadre du procès de François Pérol, Claude Guéant a affirmé que la nomination de l’ancien conseiller de Nicolas Sarkozy à la tête de la BPCE en 2009 était une idée du président. Une manière de défendre François Pérol, jugé pour « prise illégale d’intérêts ».  François Pérol a suivi de près la fusion entre la Banque Populaire et la Caisse d’Epargne alors qu’il était à l’Elysée et a ensuite été nommé à la tête de cette banque. « Nicolas Sarkozy était très directif vis-à-vis de ses collaborateurs« , a expliqué Claude Guéant à la barre, « alors quand le président a demandé à François Pérol de prendre ces fonctions, celui-ci l’a ressenti plus comme un devoir que comme une satisfaction« . Là,  Guéant se fout clairement de la gueule du tribunal !

 

Guéant en correctionnelle

Guéant en correctionnelle

Pour avoir pioché dans la caisse du ministère de ‘intérieur,  Claude Guéant, ancien ministre de l’Intérieur, se retrouve sous la menace imminente d’un renvoi en correctionnelle pour détournement de fonds publics et recel.. Cette caisse  est censée rémunérer les dépenses professionnelles des fonctionnaires de police et payer leurs informateurs. Claude Guéant, alors directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy, aurait perçu 10.000 euros par mois en liquide de 2002 à 2004, d’après un rapport d’inspection daté de juin 2013. Dans les médias, l’ancien ministre avait justifié ces prélèvements par le besoin de compenser l’arrêt des fonds spéciaux en 2002. Ces fonds permettaient de gratifier des fonctionnaires avec des primes en liquide. L’avocat de Claude Guéant, Me Phlippe Bouchez El Ghozi estime qu’une citation directe visant Claude Guéant pour un renvoi au tribunal « comme un voleur de mobylette » dit-il reviendrait à dénier son droit à se défendre. « On va finalement juger les pratiques au sein du ministère de l’Intérieur depuis 70 ans consistant à utiliser les frais d’enquêtes et de surveillance, en partie pour des compléments de rémunération de fonctionnaires. » L’avocat de Claude Guéant ajoute que « la citation directe sans juge d’instruction constitue un problème, d’égalité des armes, de respect des droits de la défense ». Mais, pour le parquet financier, il n’y a pas besoin d’un juge d’instruction dans ce dossier, où dit-on, tout est complet. Outre l’ex-ministre UMP, l’affaire concerne aussi Michel Gaudin, patron de la police nationale au moment des faits.

 

Financement campagne Sarkozy : Le fils de Claude Guéant impliqué

Financement campagne Sarkozy : Le fils  Guéant impliqué

 

 

Encore une nouvelle piste du financement de la campagne de Sarkozy par la Lybie, il s’agirait de rétro commissions sur des contrats avec la Lybie. Comme par hasard,  c’est le fils de Claude Guéant qui est impliqué dans cette affaire de mafia politico-financière. Et on se demande commente Sarkozy peut passer entre les mailles du filet judicaire, il fauta dire qu’il est avocat d ’ »affaires » justement ! . Le fils de l’ex-ministre UMP de l’Intérieur Claude Guéant a été placé en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur des accusations de financement libyen de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007, a-t-on appris mardi de source judiciaire. Selon iTélé, qui a révélé l’information, François Guéant, avocat de profession, a été placé en garde à vue lundi.  Claude Guéant a été mis en examen début mars pour faux, usage de faux et blanchiment de fraude fiscale en bande organisée dans cette affaire.  Le parquet de Paris a ouvert en avril 2013 une information judiciaire sur des allégations de l’homme d’affaires Ziad Takieddine, qui dit avoir des preuves du financement par la Libye de la campagne de Nicolas Sarkozy en 2007. L’information porte sur des chefs de « corruption active et passive », « trafic d’influence », « faux et usage de faux », « abus de biens sociaux » et « blanchiment, complicité et recel de ces infractions ».  Le président de l’UMP a toujours démenti les dires de l’homme d’affaires franco-libanais. Selon Charlie Hebdo à paraître mercredi, le domicile à Genève de l’homme d’affaires Alexandre Djouhri, intermédiaire français spécialiste des contrats moyen-orientaux, a par ailleurs été perquisitionné la semaine dernière dans cette enquête.  Son domicile a été fouillé pendant plusieurs jours dans le cadre d’une « problématique de versement de commissions », a confirmé au journal Le Temps un magistrat genevois.  Le porte-parole de la justice genevoise, Henri Della Casa, a confirmé mardi des perquisitions, sans plus de précisions.

 

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