Archive pour le Tag 'grosse'

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Covid Asie : grosse vague du variant Delta

Covid Asie : grosse vague du variant Delta

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Une grosse vague du variant Delta affecte la vie y compris dans des pays qui semblaient avoir complètement presque maîtrisé la propagation du virus. Cela concerne par exemple Japon, le Vietnam, la Thaïlande, la Malaisie ou encore même la Chine. L’Australie est également concernée ; Le nombre de cas a bondi également à Sydney, où la police a verrouillé le quartier d’affaire du centre-ville pour empêcher une manifestation contre le confinement strict prévu pour durer jusqu’à la fin août.

.La Malaisie, particulièrement touchée par la maladie, a annoncé 17.786 cas samedi, un nombre record. La Thaïlande a également fait état d’un record quodidien de 18.912 nouvelles contaminations au virus, et de 178 nouveaux décès, là aussi un bilan sans précédent sur une seule journée.

Le gouvernement thaïlandais a souligné que le variant Delta représentait plus de 60% des cas, et jusqu’à 80% à Bangkok.

La Chine est elle aussi confrontée à la propagation rapide du variant dans la ville de Nanjing, dans l’Est du pays, dont l’origine est imputée à du personnel aéroportuaire ayant nettoyé un avion en provenance de Russie. Notons que systématiquement les contaminations constatées en Chine sont officiellement imputées à une importation d’un pays étranger !

Cryptomonnaies : la grosse chute

Cryptomonnaies : la grosse chute

comme souvent le cours des cryptomonnaies enregistrent des hausses mais aussi des baisses très significatives en raison notamment de la spéculation et des interrogations sur leur valeur qui ne repose sur aucun actif réel.  La baisse récente des prix des cryptomonnaies a fait disparaître 400 milliards de dollars du marché qui est désormais évalué à un peu plus de 2.000 milliards de dollars. On recenserait 9000 crypto monnaies !

Il y a quelques années, le bitcoin, encore plus volatil à l’époque, avait gagné 1.375% en 2017 avant de chuter de près de 80% en 2018.

. Le régulateur américain des marchés, la SEC, a encore appelé début mai «les investisseurs à comprendre que le bitcoin est un investissement très spéculatif» et à «définir le niveau de risque qu’ils sont prêts à accepter» avant de se plonger dans le marché des cryptomonnaies.

Rafale : très grosse commande de 30 appareils en Égypte

Rafale : très grosse commande de 30 appareils en Égypte

 

Selon des informations du site d’information Disclose , le gouvernement égyptien serait en effet sur le point de finaliser une nouvelle commande de 30 avions de combat de Dassault Aviation, pour un montant de 3,75 milliards d’euros. Ils s’ajouteraient aux 24 appareils commandés en 2015 et déjà livrés à l’Egypte.

A ce contrat de 3,75 milliards d’euros pour Dassault Aviation s’ajouteraient également deux autres, d’une valeur totale de 200 millions d’euros « au profit du missilier MBDA et de l’équipementier Safran Electronics & Defense », écrit Disclose. Ce qui porterait le montant total de la commande égyptienne à 3,95 milliards d’euros.

Grosse manif agricole à Strasbourg

Grosse manifestation agricole à Strasbourg

Pour influencer la future politique agricole commune une grosse manifestation agricole en tracteurs a été organisée vendredi à Strasbourg devant le Parlement européen. On aurait compté de l’ordre de 1500 tracteurs .

 

La plupart des tracteurs arboraient des pancartes proclamant «Plus vert, c’est plus cher», «Non à la technocratie, vive le bon sens paysan» ou encore «PAC 2023, la mort de l’agriculture».

 

«On a l’impression que la volonté de décroissance agricole est plutôt le leitmotiv (…) C’est inadmissible pour nous», a déclaré Éric Thirouin, le président de l’Association générale des producteurs de blé (AGPB).  Ce qui risque de se traduire par:

«un tiers d’aides en moins (…) pour plus de la moitié» des céréaliers français. «Les contraintes environnementales deviennent tellement importantes et ubuesques qu’elles sont presque impossibles à mettre en oeuvre», a renchéri Fabrice Couturier, président de la FDSEA Moselle. «On ne peut pas faire que de l’environnement sans tenir compte de l’économie», a-t-il poursuivi, ajoutant que, si les agriculteurs n’étaient pas entendus, leur «ultime levier, ce sera les choix électoraux» lors des prochaines élections.

Dans le cadre des orientations européennes, la France doit présenter son plan stratégique national (PSN) en juin.

 

Élections départementales et régionales : la grosse ficelle de la demande de report de Richard Ferrand

Élections départementales et régionales : la grosse ficelle de la demande de report de Richard Ferrand

Les élections départementales et régionales ont déjà été reportées de mars en juin. En cause, l’environnement sanitaire qui fausserait les résultats. Une objection qui n’est pas sans fondement si l’on se fie aux résultats complètement tronqués des élections municipales où nombre de responsables ont été élus avec de l’ordre de 20 % des voix et un taux d’abstention de 60 % voire davantage.

 

Mais la vraie raison des pas forcément sanitaire mais politique. Car il est vraisemblable qu’une fois encore le parti du président de la république, la république en marche risque de subir un terrible revers. La république en marche demeure en effet un parti tout à fait virtuel sans implantation réelle au plan local et surtout sans fonctionnement démocratique.

 

Du coup de report en report les élections départementales et régionales pourraient même être déplacées après les élections présidentielles. Une nouvelle débâcle de la majorité lors d’une séance électorale gâcherait l’image du pouvoir actuel à la veille des élections présidentielles.

 

le  président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, qui retrouve un peu de liberté politique après le classement de son affaire juridique ( pour prescription !), s’autorise donc– évidemment avec l’assentiment de l’Élysée– une annonce- en apparence disruptive mais en réalité très complaisante pour proposer le report des élections locales en octobre.

 

Dans un courrier au Premier ministre que le JDD a pu consulter, il se dit « favorable à un report [...] au tout début du mois d’octobre 2021″, les 3 et 10. Ce proche d’Emmanuel Macron explique : « Nous pourrions ainsi bénéficier pleinement des effets de la vaccination de la moitié de nos compatriotes dès la fin de l’été, comme l’a annoncé le Président de la République, et offrir à tous les candidats la possibilité de mener une campagne électorale normale. »

A minima, les dates des 20 et 27 juin lui « semblent plus favorables », car « chaque semaine de vaccination est une semaine gagnée », défend Ferrand, conscient des « ajustements matériels » (concernant notamment les comptes de campagne) que supposerait un décalage en octobre. « Vous mesurez chaque jour que les décisions les plus pertinentes sont rarement les plus aisées, alors qu’à l’inverse, la commodité apparente du statu quo n’emporte pas toujours les effets escomptés », écrit-il à Jean Castex.

Après consultation des forces politiques et des associations d’élus locaux, l’exécutif doit rendre sa décision « assez rapidement », a fait savoir le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, renvoyant aux débats prévus sur le sujet, les 13 et 14 avril, à l’Assemblée nationale et au Sénat.

Automobile : nouvelle grosse chute

Automobile : nouvelle grosse chute

 

Les immatriculations neuves de l’Hexagone plongent en février de près de 21%, ce qui porte la chute à 15% sur deux mois.

Le secteur automobile subit une nouvelle grosse chute lié bien sûr à la situation sanitaire mais pas seulement. Certes les ménages hésitent à engager des investissements importants que représentent une automobile et leur attentisme se ressent dans tous les champs d’activité économique. Ceci étant, le secteur automobile est victime d’interrogations supplémentaires concernant son avenir propre. En effet la question se pose de savoir s’il faut conserver son véhicule le plus longtemps, le changer mais avec quel type de motorisation.

 

On parle évidemment beaucoup de la voiture électrique mais son coût est encore largement inaccessible pour une grande partie de la population. En outre sa fiabilité et ses vertus environnementales restent à démontrer. Ici ou là on annonce des restrictions voir des interdictions de véhicules à moteur thermique dans les 10 ou 20 ans. Or en moyenne des véhicules en circulation ont un âge moyen de 10,6 ans avec évidemment des écarts autour de la moyenne. Ce sont ses interrogations sur la date et les modalités de l’interdiction des véhicules thermiques qui rendent les acheteurs potentiels particulièrement dubitatifs et donc attentistes

 

Les ventes de voitures ont donc encore plongé de 21% en février accentuant la chute du mois de janvier (-6%). Les modèles diesel ont atteint un plus bas historique depuis les années 1980, mais les voitures 100% électrique n’ont pas reproduit leur performance des mois précédents. Les professionnels n’attendent pas de reprise avant le second semestre.

 

les immatriculations neuves de l’Hexagone plongent en février de près de 21%, ce qui porte la chute à 15% sur deux mois.

Coronavirus : grosse dégradation

Coronavirus : grosse dégradation

  • Le rythme de la pandémie s’emballe comme c’était prévu et la France risque de connaître malheureusement la même situation qu’a connue le Royaume-Uni. Un Royaume-Uni qui a enregistré déjà plus de 100 000 morts. La France, elle, n’a enregistré jusqu’à maintenant « que » 75 000 morts mais le rythme s’accélère. Surtout du fait de la progression du virus britannique. Ainsi on comptait il y a seulement quelques semaines, au début du mois de janvier environ 1 % des contaminations provenant du virus britannique, désormais une étude flash des mondes que le virus britannique est responsable d’environ 20 % des cas et qu’il montra tour de 40 à 60 % courant mars.

Les chiffres de l’épidémie attestent en tout cas d’une hausse de la circulation du virus du territoire, mercredi. Les hospitalisations continuent d’augmenter, avec 27.169 personnes soignées dans les hôpitaux (+128 par rapport à mardi). Les réanimations suivent également le même chemin : après avoir passé la barre des 3.000 cas graves en début de semaine, on y compte un total de 3.107. Le nombre de morts est lui aussi en augmentation, avec 74.456.

 

Sénégal: enterrement d’une grosse affaire de corruption

Sénégal: enterrement d’une grosse affaire de corruption

Sans doute du fait de l’apparition des noms de British Petroleum et de celui du frère du président, la justice vient d’enterrer une immense affaire de corruption au Sénégal.

L’affaire porte sur l’attribution, en juin 2012, de l’exploration et de l’exploitation de deux champs pétroliers et gaziers à la société Petro-Tim de l’homme d’affaires australo-roumain Frank Timis, novice dans le secteur, associée à Petrosen (Société des pétroles du Sénégal).

Macky Sall avait pris la tête du pays en avril 2012. La BBC a affirmé en juin 2019 que la compagnie de Frank Timis avait secrètement versé en 2014 une prime de 250.000 dollars à Agritrans, une société contrôlée par Aliou Sall.

La BBC disait aussi que les participations du groupe de Frank Timis avaient été rachetées par BP en 2017 pour 250 millions de dollars, assortis de redevances de quelque 10 milliards de dollars sur 40 ans, détournant d’importants revenus des caisses de l’Etat.

Grosse manif de beaufs pro-Trump

Grosse manif de beaufs pro-Trump

 

La démocratie autorise évidemment des rassemblements de manifestants y compris quand les causes sont discutables. C’est le cas aux États-Unis où les sélecteurs républicains manipulés par Trump participaient samedi à un énorme rassemblement autour de la Maison-Blanche. Sans doute ce rassemblement sera-t-il rééquilibré dans les jours qui viennent par des manifestations en faveur au président élu Joe Biden. La caractéristique des manifestants de Trump  est cependant à 70 % de contester le processus démocratique considérant que les élections ont été truquées.

D’une certaine façon, cette attitude est assez proche de ce qu’on rencontre dans nombre de pays africains où le moins que l’on puisse dire c’est que la maturité politique et démocratique doit encore progresser. Il faut constater que le camp de Trump rassemble à peu près tout ce que les États-Unis comptent de beaufs c’est-à-dire d’individus certes respectables mais qui n’auront jamais le prix Nobel. Ce sont les couches moyennes apeurées qui adhèrent aux théories caricaturales de leur président. Bref des sortes de beaufs prêts à avaler n’importe quel discours qui les confortent  dans leur conviction simpliste et souvent aussi raciste.

Ce danger menace nombre de pays la France compris. D’abord et peut-être parce que les intellectuels généralistes se font rares. Il se réfugie dans leur discipline respective alors que la crise est caractérisée par une complexification des facteurs explicatifs, certains économiques, d’autres sociaux, culturels, environnementaux et technologiques. Du coup, il est plus facile de croire que la crise peut être imputée à un seul facteur responsable, un pays, une race . De ce point de vue, les intellectuels de par leur frilosité portent une responsabilité dans cette caricature de la crise utilisée par les candidats populistes.

Ce qui globalement est en cause c’est la crédibilité de la parole publique. Dans nombre de pays pour faire face à tous les dangers qui menacent l’économie comme la démocratie, on attend l’homme fort qui viendrait résoudre tous les problèmes car la classe politique classique a perdu le contact avec les réalités socioéconomiques depuis qu’elle a transformé le mandat électoral en métier. Une sorte de clergé politique s’est accaparée la démocratie dans laquelle les électeurs ne croient plus beaucoup. D’une certaine façon, Trump  est le produit de ces différents phénomènes et la France comme bien d’autres pays pourraient se livrer un homme providentiel (ou une femme), aussi incompétent que déséquilibré, du moment qu’il fait office de thérapie anxiolytique.

Reconfinement : produits non essentiels interdis mardi dans les grandes surfaces, encore une grosse connerie !

Reconfinement : produits non essentiels interdis mardi dans les grandes surfaces, encore une grosse connerie !

 

On peut légitimement se demander si ce gouvernement multiplie les erreurs par volonté ou par incompétence. En effet, la décision du Premier ministre d’interdire la vente de produits non essentiels dans les grandes surfaces constitue une belle connerie. Le problème est en effet de ne pas créer de distorsions de concurrence entre les grands magasins et les petits commerces mais aussi de ne pas favoriser par des décisions anachroniques les plates-formes numériques de distribution comme Amazon.

 La solution n’était pas d’interdire la vente de produits non  essentiels mais d’autoriser la réouverture des petits commerces sous réserve bien entendu de mesures barrière effectivement respectées. Notons que dans les grandes surfaces, les clients se côtoient voire se bousculent, tripotent les produits en toute impunité et contre toute logique de protection sanitaire.

Comme précédemment, il aurait été possible d’ouvrir les petits commerces quitte à limiter le nombre de clients présents au même moment dans l’établissement. En même temps,  le Premier ministre offre  un énorme cadeau à des plates-formes comme Amazon qui vont pouvoir commercialiser les produits n’en essentiels désormais interdits dans les supermarchés.

Parmi les incohérences il faudrait aussi ajouter la fermeture des magasins commercialisant des produits culturels ou encore l’interdiction du sport de plein air.

 

Encore une grosse manif en Biélorussie

Encore une grosse manif en Biélorussie

 

En dépit des pressions, en dépit de l’arrestation et de l’emprisonnement de milliers et de milliers d’opposants et de manifestants, une nouvelle manifestation imposante s’est encore déroulée dans la capitale biélorusse pour protester contre le trucage des élections présidentielles du 9 août remportée par le sortant Alexandre Loukachenko. Près de 30.000 personnes ont pris part aux manifestations, selon l’agence de presse Interfax qui précise qu’environ 50 personnes ont été interpellées par la police

Près de 13.000 personnes sont détenues par les autorités depuis les élections, dont des opposants au régime qui n’ont pas souhaité quitter le pays. Les médias indépendants ont également été la cible d’une forte répression.

L’opposante biélorusse Svetlana Tsikhanouskaïa a donné mardi jusqu’au 25 octobre au président Alexandre Loukachenko pour quitter le pouvoir sous peine de lancer un appel à la grève générale.

Recrutement des cadres: la grosse chute de 30 à 40 %

Recrutement des cadres: la grosse chute de 30 à 40 %

 

Les embauches de cadres sont en chute libre avec 170.00 recrutements prévus cette année, contre 281.300 recensés en 2019. . Lors d’un point presse ce jeudi matin, le directeur général de l’organisation des cadres, Gilles Gateau, a tiré la sonnette d’alarme.

« L’enquête montre un effondrement très important des recrutements de cadres, surtout par rapport au 300.000 prévus en début d’année. Les dernières annonces du chef de l’État vont sûrement abaisser ces prévisions. C’est une baisse de 30% à 40% par rapport aux intentions d’embauches initiales de 2020. C’est une baisse sans précédent par son ampleur et sa brutalité. C’est un choc très lourd. Des signaux étaient déjà visibles sur le nombre d’offres déposées sur le site de l’Apec en début d’année. »

SONDAGE popularité Castex. : Grosse chute

Covid-19 : Paris en « alerte maximale » comme Marseille mais pas de fermeture des restos !

Tous les indicateurs montrent que Paris, d’autres villes aussi comme Lyon, Lille, Grenoble, Toulouse, et Saint-Etienne ont depuis le 25 septembre atteint les limites qui les classent en alerte maximale. La décision les concernant sera prise lundi. Par contre, contrairement à Marseille il est vraisemblable qu’on ne fermera pas les cafés et les restaurants à Paris. Pourquoi ? Tout simplement parce que Paris est la capitale et que les lobbys peuvent peser davantage qu’à Marseille. On notera évidemment la grande différence de traitement entre Paris et Marseille;  cela d’autant plus que les experts eux-mêmes ne sont même pas l’accord à Marseille sur les critères qui justifient le classement en alerte maximale. Du coup, pour ne pas être encore une fois ridicule, le ministre de la santé pourrait décider de réouvrir avec des conditions les cafés et restaurants de Marseille.

 

.A Paris et sa petite couronne, les trois seuils fixés par le gouvernement pour passer en « zone d’alerte maximale » ont été dépassés, mais que « depuis quelques heures ». Les données seront donc réexaminées ce dimanche pour un éventuel renforcement des restrictions dès ce lundi. Un tel classement « supposera que les habitants de Paris et de la petite couronne réduisent temporairement leurs interactions sociales de manière drastique, en tout cas plus importante que ce qu’ils font déjà : plus de fêtes de famille, plus de soirées, fermeture totale des bars », a rappelé Olivier Véran. Une nouvelle fois le ministre de la santé pourrait se contredire si l’on en juge après son communiqué du 1er octobre :

Si Paris et sa petite couronne passent en alerte maximale « dès lundi », les bars devront alors totalement fermer. Les restaurants pourraient rester ouverts, des discussions vont avoir lieu. En revanche, les fêtes de familles et les soirées seront interdites (@olivierveranpic.twitter.com/detYJ6X2Ux

 

SONDAGE popularité Castex. : Grosse chute

D’après la moyenne des sondages qu’effectue le JDD Castex est passé en juillet  de 49,4% à 42,29% de satisfaction en septembre.

Dans le détail, la popularité d’Emmanuel Macron se situe en septembre dans un intervalle qui va de 35% à 45% de satisfaction, avec des évolutions diverses en fonction des instituts.

  • Il perd six points en un mois chez BVA (à 38% contre 44% en août et 39% en juillet), quatre chez Elabe (à 35% contre 39% en août et déjà 35% en juillet).
  • Il prend deux points en un mois dans le baromètre Ifop-JDD (de 36% à 38%), deux points en deux mois chez Kantar (de 33% à 35%) et un point dans le baromètre Ifop-Paris Match (de 38% à 39%) et celui d’Ipsos (de 39% à 40%). Enfin, il stagne chez Harris Interactive (45%).

Au-delà de la question exacte qui est posée, les différences d’une enquête à l’autre peuvent aussi relever de la méthodologie utilisée par chacun des instituts (mode de collecte, taille et « redressement » de l’échantillon…) appelle le JDD qui devrait aussi préciser que cela dépend aussi de la coloration politique du journal. !

SONDAGE Yannick Jadot : grosse baisse de popularité

SONDAGE Yannick Jadot : grosse baisse de popularité

 

Le moins que l’on puisse dire c’est que Yannick Jadot peine à incarner le futur leader incontestable des écologistes. D’une certaine manière,  plus les écolos progressent et plus Yannick Jadot tend à se marginaliser. A peine 16 % des Français disent avoir une « bonne image » de la figure de proue des écologistes, dans le baromètre politique Elabe pour « Les Echos » et Radio classique. Son point de plus bas depuis plus d’un an.

 

Il faut dire que Yannick Jadot est difficilement identifiable en matière de positionnement politique écartelé entre le radicalisme des verts et ses positions personnelles relativement modérées voir même assez proches de la politique du pouvoir. Sans doute plus proche par exemple  du MoDem que des gauchistes qui contrôlent les verts. En plus Yannick Jadot cultive une politique de médiatisation très personnelle mettant même en scène sa vie familiale, ce qui déplaît fondamentalement aux écolos purs et durs.

L’eurodéputé n’avait gagné que 4 points dans la foulée des municipales, fin juin. Depuis, sur deux mois, il en a perdu 6. Et se retrouve même 9 points plus bas qu’après les européennes de mai 2019. L’ancien activiste de Greenpeace n’occupe que la 27e marche du classement des personnalités politiques (qui en compte 33), quand Nicolas Hulot, retiré de la vie politique, est troisième avec 46 % de bonnes opinions.

Biélorussie : nouvelle grosse manif contre la dictature

Biélorussie : nouvelle grosse manif contre la dictature

 

Sans doute encore plus de 100 000 manifestants à Minsk (Biélorussie), dimanche 6 septembre, pour protester contre la dictature et le trucage des élections présidentielles qui a permis au dictateur Loukachenko de conserver le pouvoir après déjà 20 ans d’exercice. Les  manifestants sont partis en début d’après-midi en cortège des différents quartiers de Minsk, pour se réunir progressivement jusqu’à former deux impressionnants défilés sur des boulevards convergeant vers le centre. Criant des slogans comme  »Tribunal ! » ou « Combien vous payent-ils ? » à destination des forces de l’ordre- très fortement présente y compris l’armée–, les manifestants se sont ensuite dirigés vers le palais de l’Indépendance, la résidence d’Alexandre Loukachenko protégée par un important dispositif de sécurité.

Des Biélorusses manifestent contre le président Alexandre Loukachenko à l’appel de l’opposition, le 6 septembre 2020 à Minsk (Biélorussie).  (TUT.BY / AFP)

Selon des journalistes de l’AFP, la mobilisation était supérieure à celle des précédents week-ends, et plus de 100 000 Biélorusses défilaient.

Comme la semaine dernière, les forces de l’ordre ont été déployées en masse, avec des canons à eau et même l’armée et des véhicules blindés autour de bâtiments stratégiques. Les stations de métro ont été fermées avec des barrières et des barbelés.

L’ONG de défense des droits de l’Homme Viasna a fait état de 75 manifestants interpellés. D’autres manifestations ont eu lieu dans de nombreuses villes du pays, notamment à Grodno (ouest) où des échauffourées ont éclaté avec la police.

Loin de sembler reculer, le régime d’Alexandre Loukachenko a récemment répondu par de nouvelles arrestations à la mobilisation des étudiants, qui ont multiplié les actions et se sont mis en grève après la rentrée du 1er septembre. Plusieurs dizaines d’entre eux ont été arrêtés dans la semaine, une réponse répressive qui touche aussi les journalistes biélorusses dont une vingtaine ont été interpellés.

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