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SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SNCF : des grèves à Noel pour tuer encore un peu plus l’entreprise

SUD-Rail et la CGT menacent encore de faire grève à Noël à la SNCF. La SNCF est pourtant une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années , les jusqu’au-boutistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire, l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé. On fait rarement pire en matière de résultats de l’action syndicale !

Ces extrémistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. La gréviculture mine littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermées. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et la grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme ……dans une entreprise nationalisée de chemins de fer portée à bout de bras par l’État !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF.

Les syndicats Sud rail et CGT ont maintenu leur préavis de grève pendant Noël mais sans appeler nettement à la grève. Une attitude particulièrement hypocrite et irresponsable.

SNCF : SUD-Rail, Une grève à Noël pour tuer encore un peu plus entreprise

SNCF : SUD-Rail, Une grève à Noël pour tuer encore un peu plus entreprise

SUD-Rail ,Le syndicat gauchiste, menace encore de de faire grève à Noël à la SNCF. Une entreprise qui détient sans doute le record européen voire mondial des grèves. Il est clair que depuis des années et des années les gauchistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire,l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le symbole sacré du statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé.

Ces gauchistes en choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. Ces fils de Robespierre, de Lénine et de Trotsky minent littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermée. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et à grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre le capitalisme, l’-l’impérialisme, la démocratie représentative et qui sont visés dans une entreprise nationalisée de chemins de fer !

Bref, il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF. Le syndicat SUD-Rail a donc décidé vendredi de maintenir son appel à la grève des aiguilleurs couvrant le premier week-end des vacances, du 15 au 19 décembre, après une journée de négociation avec la direction de la SNCF qu’il juge infructueuse.

SNCF : Toujours de nouvelles grèves

SNCF : Toujours de nouvelles grèves


On vient encore de connaître plussieurs grèves successives, grève des contrôleurs, grève générale et maintenant grève des aiguilleurs. Des aiguilleurs dont effectivement on exige beaucoup de technicité comparés et de tensions par rapport par exemple aux contrôleurs. Reste que l’entreprise reste la championne de France des conflits .

Il est clair que depuis des années et des années les gauchistes et autres corporatistes ont décidé de tuer définitivement une entreprise particulièrement malade tant sur le plan économique que financier. Pire,l’action des extrémistes a même réussi à faire sauter le symbole sacré du statut créant ainsi des inégalités inadmissibles entre anciens qui en bénéficient encore et nouveaux qui sont soumis aux règles du privé.

Ces gauchistes ont choisi le champ géographique de la SNCF pour s’exercer à la révolution. Ces fils de Robespierre, de Lénine et de Trotsky minent littéralement une entreprise qui perd régulièrement des parts de marché partout. C’est en raison de ses dysfonctionnements et d’un manque de compétitivité chronique que la SNCF a d’abord perdu le transport express, ensuite le transport de messagerie puis pratiquement une grande partie du transport de wagons et trains complets. En transport de personnes, la plupart des petites lignes ont été fermée. Les lignes inter cités sont très menacées. Restent surtout les lignes urbaines et à grande vitesse.

Ces gauchistes accordent peu d’importance d’ailleurs à la satisfaction même de la revendication, l’action compte bien davantage que le résultat ; L’objectif c’est la lutte contre capitalisme, l’anti-impérialisme qui sont visés dans une entreprise nationalisée !

Bref il y a longtemps que certains syndicats se sont transformés en véritables fossoyeurs d’une entreprise qui ne cesse de se ratatiner en même temps que de s’enfoncer dans un endettement incommensurable même en dépit de l’immense aide de l’État.

Les départs en vacances de Noël risquent donc virer au cauchemar pour les clients de la SNCF. Le syndicat SUD-Rail a donc décidé vendredi de maintenir son appel à la grève des aiguilleurs couvrant le premier week-end des vacances, du 15 au 19 décembre, après une journée de négociation avec la direction de la SNCF qu’il juge infructueuse.

Réforme des retraites : vers des grandes grèves générales en janvier

Réforme des retraites : vers une grande grève générale en janvier


Contrairement aux habitudes, les syndicats ont pris le temps de la réflexion sur la stratégie à conduire pour contrer la réforme des retraites du gouvernement. Ils ont sans doute aussi tenu compte de leurs différentes appréciations concernant la nécessité d’une réforme et ses modalités. Pour l’instant, l’objectif est de construire une solide unité pour préparer de grandes grèves générales sans doute en janvier.

Des grèves qui seront largement soutenues par les syndicats des salariés des régimes spéciaux mais aussi par tous les salariés.

En effet pour diviser, le pouvoir a prévu d’appliquer la clause du grand-père aux régimes spéciaux ; en clair n’appliquer la réforme des retraites qu’aux nouveaux entrants alors que la réforme s’appliquera dès maintenant dans le privé pour les salariés nés à partir de 1961.

Une inégalité qui pourrait bien renforcer la mobilisation du privé d’autant que les fonctionnaires pourront être complètement exemptés. Bref on est loin de la réforme universelle et égalitaire.

Dans un communiqué commun, publié ce mardi, ils mettent en garde l’exécutif : « Les organisations sont comme la très grande majorité de la population, fermement opposées à tout recul de l’âge légal de départ en retraite comme à toute augmentation de la durée de cotisation ». Et de menacer : « Si le gouvernement demeurait arc-bouté sur son projet, il y aurait des mobilisations et grèves unitaires en janvier ». Ou encore « le gouvernement en s’entêtant, porterait l’entière responsabilité d’un conflit social majeur ».

Le climat général pourrait effectivement se détériorer car la conjoncture sociale est relativement inflammable notamment avec l’inflation qui tue le pouvoir d’achat. L’inflation sur les produits alimentaires, ainsi que sur les coûts de l’énergie ne cesse de grimper. Et ce n’est pas terminé : en janvier prochain, le gouvernement va réduire son soutien aux ménages, en supprimant par exemple la ristourne à la pompe, ou encore en limitant les effets du bouclier tarifaire sur le gaz et l’électricité.

Jusqu’alors les revendications portaient sur les salaires et les conditions de travail, mais la retraite, thème fédérateur par excellence, pourrait être l’étincelle qui met le feu aux poudres.
Surtout que le projet du gouvernement est ambitieux. La semaine dernière, Elisabeth Borne a fait savoir, dans un entretien au Parisien -Aujourd’hui en France, qu’elle souhaitait reculer l’âge de départ de 62 ans à 65 ans… Et ce pour dès la génération née en 1961. Sans compter que l’exécutif veut aller vite, et voir entrer en vigueur sa réforme dès l’été 2023. Il vise la présentation de son projet mi-décembre, pour un envoi au conseil d’Etat en fin d’année, une inscription en conseil des ministres en janvier, et une discussion parlementaire en début d’année.prix de l’énergie à 10 %, Comité d’entreprises etc… )

Il n’empêche, malgré le risque d’embrasement social que comporte ce projet de réforme, et le contexte dans lequel il va être présenté, le gouvernement se montre déterminé.
Selon plusieurs ministres : « il n’y a jamais de bons moments pour faire ce type de réformes ». Il en va, selon eux, de la réussite du quinquennat. « Emmanuel Macron doit transformer radicalement la société. Or, pour le pouvoir la réforme des retraites est la mère des réformes, c’est sans doute ce qui pourra seulement rester de la gestion de Macron mais cette réforme pourrait aussi être son tombeau.

Production réduite notamment en raison des grèves

Nucléaire: Production réduite notamment en raison des grèves

Le moins que l’on puisse dire, c’est que la situation n’aide pas EDF à promouvoir l’indispensable électricité nucléaire. Le constat est terrible 29 des 56 réacteurs nucléaires en France sont à l’arrêt. Des facteurs explicatifs externes à l’entreprise mais aussi des responsabilités internes.

Ainsi la production a été retardée après la nécessité de remettre aux normes la quasi-totalité des réacteurs. Une opération de grand carénage retardé par le Covid qui a neutralisé l’action des agents EDF et des sous-traitants. EDF n’a cependant rien fait pour développer une stratégie de rattrapage de cet entretien.

Récemment, il y a eu aussi une grève qui a paralysé les réacteurs en cours d’entretien. Il aura fallu attendre des semaines pour que syndicats et direction se mettent d’accord sur une revalorisation des salaires.

On ne peut s’empêcher de s’interroger sur les retards de production. Certains ont des raisons objectives mais certains pourraient constituer des formes de pression d’EDF pour obtenir de nouveaux financements en particulier concernant la construction EPR. Outre les questions techniques l’entreprise doit faire face à un management défaillant.Le groupe français a donc annoncé jeudi avoir abaissé sa prévision de production nucléaire en France pour 2022, en raison de l’impact des grèves sur la maintenance de ses réacteurs et l’allongement de la durée d’arrêt de 4 réacteurs nucléaires. . Résultat : la production nucléaire ne sera pas comprise entre 280-300 TWh (térawattheures) en 2022 comme l’énergéticien français l’envisageait jusqu’ici, mais devrait se situer dans une fourchette allant de 275 à 285 TWh (térawattheures).

Le groupe a confirmé ses estimations de la production nucléaire en France pour 2023 et 2024, soit respectivement 300-330 TWh et 315-345 TWh. Pour rappel, la capacité du parc français avoisine les 460 TW.

Cet environnement encore dégrader les résultats financiers du groupe. Par ailleurs se pose la question récurrente de la situation financière de l’entreprise qui traîne un lourd boulet d’endettement alors qu’elle doit aussi faire face au financement des nouveaux EPR.

Grèves interprofessionnelles CGT les 27 octobre et 10 novembre: Pour mobiliser ou pour enterrer ?

Grèves interprofessionnelles CGT les 27 octobre et 10 novembre: Pour mobiliser ou pour enterrer ?

La question de la stratégie syndicale se repose évidemment avec les appels répétés à des grèves interprofessionnelles décidées unilatéralement par la CGT.

Pourtant la dernière mobilisation n’a guère été un succès tout juste environ 100 000 participants en France quand normalement les syndicats unis sont capables de rassembler 1 million de personnes.
Le problème c’est que cette fois encore la CGT décide seule de la date et des modalités à la fois dans la précipitation mais aussi dans la confusion entre objectif syndicaux et objectifs politiques; entre bataille des syndicats révolutionnaires contre les syndicats réformistes et entre bataille interne CGT entre réalistes et corporatistes radicaux pour la succession de Martinez.

Depuis déjà des années c’est à peu près la même stratégie syndicale qui est suivie avec une succession de journées de grève et de manifestations de moins en moins suivie et qui visent peut-être à faire davantage de mécontents pour entretenir le climat politique que pour donner satisfaction.

De toute manière en l’état de la situation syndicale aucun mouvement d’ampleur significative n’est envisageable sans un accord préalable et des discussions approfondies entre tous les syndicats. La CGT pense toujours avoir le monopole alors qu’elle est devenue minoritaire même si sa présence dans la rue plus criarde peut donner l’illusion inverse.La CGT appelle donc à deux journées de grèves et de manifestations nationales et interprofessionnelles, les 27 octobre et 10 novembre, pour demander une augmentation des salaires, a affirmé vendredi à l’AFP la secrétaire confédérale Céline Verzeletti.

Ces journées seront l’occasion de réclamer une augmentation du Smic, une indexation de tous les salaires sur l’inflation, une revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, a-t-elle précisé. Les gauchistes de Solidaires et la FSU pourraient se joindre à la mobilisation le 10 novembre.

Grêves : l’irresponsabilité de l’ultra gauche

Mouvements sociaux : l’irresponsabilité de l’ultra gauche

Une fois de plus la France revit une instrumentalisation par l’ultra gauche du climat social. Un climat social caractérisé de manière fort légitime par les inquiétudes des ménages et des épargnants quant aux conséquences de l’inflation. Officiellement cette inflation serait en France de l’ordre de 6 % hors en moyenne les revenus n’augmenteront pas davantage que 3 %. À l’intérieur de cette moyenne, il faudrait prendre en compte l’évolution de la structure de consommation des moins favorisés touchés de plein fouet par la hausse considérable des produits d’alimentation, du carburant et de certains services.

Comme le gouvernement n’a pas voulu sciemment s’attaquer à la régulation des superprofits réalisée en particulier grâce à la spéculation des grandes entreprises, les salariés ont été d’autant plus fondés à réclamer un ajustement des rémunérations d’autant que les salaires en euros constants sont bloqués depuis des années.

Le problème c’est qu’immédiatement la CGT la plus radicale est en train de solliciter les secteurs stratégiques pour tenter de bloquer le pays. Il s’agit comme d’habitude d’un détournement de l’objectif syndical qui consiste normalement à obtenir satisfaction pour les salariés représentés.et en priorité aux plus défavorisés et non au secteur mieux protégés dont le corporatisme se retourne précisément contre les faibles et les plus dépendants sous couverts de lutte révolutionnaire.

Bref, l’affrontement entre les syndicats à caractère révolutionnaire et- où très corporatiste comme certains à la CGT, à Sud ou encore à la FSU face aux syndicats réformistes comme la CFDT ou la CGC.

Pour l’ultra gauche, la radicalité fait office de politique syndicale. Il s’agit moins d’obtenir satisfaction que de contester le pouvoir politique. Le scénario est toujours le même au départ des salariés font état de leurs revendications mais assez rapidement une minorité ultra gauche prend la conduite du mouvement social. L’objectif est de politiser la demande sociale et de rechercher l’affrontement avec le pouvoir politique et économique.

Mais face au durcissement et aux excès, les mouvements deviennent rapidement minoritaires. Néanmoins ils se radicalisent de plus en plus en dépit d’une baisse de participation active au mouvement. Et cette fuite en avant se termine en débâcle et en reprise honteuse.

Cette politique syndicale irresponsable porte une grave atteinte à l’avenir même des activités. Là où la CGT par exemple été ultra majoritaire, elle ne cesse de reculer précisément en raison de l’inefficacité de sa politique d’affrontement systématique. C’est de cette manière que la CFDT, syndicat très minoritaire il y a 60 ans est devenu progressivement majoritaire car plus responsable, plus compétent et plus efficace.

La politique radicale de la CGT a porté un rude coup à certaines activités économiques, à certaines entreprises et par conséquent aux salariés concernés.

Dans la période cette stratégie suicidaire est aussi alimentée par les communistes et autres gauchistes de la Nupes. Avec en plus une confusion totale des gens entre responsabilités syndicales et responsabilité politique.

Le pire c’est que pouvoir politique et Macron en particulier n’ont guère favorisé le dialogue social depuis 2017 et d’une certaine façon ont aussi alimenté la radicalité de l’ultra gauche.

Grèves : l’irresponsabilité de l’ultra gauche

Grèves : l’irresponsabilité de l’ultra gauche

Une fois de plus la France a vécu une instrumentalisation par l’ultra gauche du climat social. Un climat social caractérisé de manière fort légitime par les inquiétudes des ménages et des épargnants quant aux conséquences de l’inflation. Officiellement, cette inflation serait en France de l’ordre de 6 % hors en moyenne les revenus n’augmenteront pas davantage que 3 %. À l’intérieur de cette moyenne, il faudrait prendre en compte l’évolution de la structure de consommation des moins favorisés touchés de plein fouet par la hausse considérable des produits d’alimentation, du carburant et de certains services.

Comme le gouvernement n’a pas voulu sciemment s’attaquer à la régulation des superprofits réalisée en particulier grâce à la spéculation des grandes entreprises, les salariés ont été d’autant plus fondés à réclamer un ajustement des rémunérations d’autant que les salaires en euros constants sont bloqués depuis des années.

Le problème c’est qu’immédiatement la CGT la plus radicale est en train de solliciter les secteurs stratégiques pour tenter de bloquer le pays. Il s’agit comme d’habitude d’un détournement de l’objectif syndical qui consiste normalement à obtenir satisfaction pour les salariés représentés.

Bref, l’affrontement entre les syndicats à caractère révolutionnaire et- où très corporatiste comme certains à la CGT, à Sud ou encore à la FSU face aux syndicats réformistes comme la CFDT ou la CGC.

Pour l’ultra gauche, la radicalité fait office de politique syndicale. Il s’agit moins d’obtenir satisfaction que de contester le pouvoir politique. Le scénario est toujours le même au départ des salariés font état de leurs revendications mais assez rapidement une minorité ultra gauche prend la conduite du mouvement social. L’objectif est de politiser la demande sociale et de rechercher l’affrontement avec le pouvoir politique et économique.

Mais face au durcissement et aux excès, les mouvements deviennent rapidement minoritaires. Néanmoins ils se radicalisent de plus en plus en dépit d’une baisse de participation active au mouvement. Et cette fuite en avant se termine en débâcle et en reprise honteuse.

Cette politique syndicale irresponsable porte une grave atteinte à l’avenir même des activités. Là où la CGT par exemple été ultra majoritaire, elle ne cesse de reculer précisément en raison de l’inefficacité de sa politique d’affrontement systématique. C’est de cette manière que la CFDT, syndicat très minoritaire il y a 60 ans est devenu progressivement majoritaire car plus responsable, plus compétent et plus efficace.

La politique radicale de la CGT a porté un rude coup à certaines activités économiques, à certaines entreprises et par conséquent aux salariés concernés.

Dans la période cette stratégie suicidaire est aussi alimentée par les communistes et autres gauchistes de la Nupes. Avec en plus une confusion totale des gens entre responsabilités syndicales et responsabilité politique.

Le pire c’est que pouvoir politique et Macron en particulier n’ont guère favorisé le dialogue social depuis 2017 et d’une certaine façon ont aussi alimenté la radicalité de l’ultra gauche.

Grèves EDF: : des actions ciblées qui vont tuer l’entreprise

Grèves EDF: : des actionsciblées qui vont tuer l’entreprise

Il est évident que les salariés EDF comme d’autres sont légitimes à faire valoir leurs revendications salariales mais en ciblant le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires, ils s’attaquent directement à la demande des usagers et à l’intérêt national.

En cause le fait que la fédération de l’énergie CGT fait partie de l’avant-garde mobilisée par la confédération suite aux déconvenues de la CGT chez Total. (Un accord a été signé par des syndicats majoritaires mais la CGT continue le mouvement au moins jusqu’à la grève confédérale de mardi).

Dans le même temps, la France est contrainte d’importer de l’électricité de l’étranger ce qui participe encore à l’écroulement de la balance commerciale dont le déficit va atteindre record de 150 milliards en 2022. De quoi aussi renchérir les conditions de production dans l’économie française.

Ce ciblage est évidemment complètement irresponsable surtout à un moment où le nucléaire pourtant indispensable est encore discuté.

Les conséquences de cette politique syndicale irresponsable sont évidemment graves pour l’avenir de la filière mais aussi pour EDF. Il ne faudra pas se plaindre si un jour EDF est remis en cause dans sa situation juridique voire même dans le statut des travailleurs. C’est la même radicalité qui a contraint la SNCF à recroqueviller dans son activité ( abandon du trafic express, abandon de la messagerie, pratiquement marginal désormais en transport de marchandises, abandon de petites lignes). Pire d’un point de vue syndical le statut de cheminot a été supprimé.

EDF a été forcé de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève pour les salaires de ses employés sur certains sites.

EDF a donc été contraint de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève de ses employés sur certains sites. (SICCOLI PATRICK/SIPA)

Les mouvements sociaux peuvent « avoir un impact sur le planning de retour en production de certains réacteurs ». Voilà le message diffusé samedi matin par une porte-parole d’EDF. En raison de la grève de ses salariés sur certains sites, le groupe a dû repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires. « Pour les réacteurs en production, cela peut se traduire par des baisses de puissance temporaire », a-t-elle ajouté. Ces retards vont d’un jour à près de trois semaines selon les réacteurs, précise le site du géant de l’électricité français.

Depuis le début de la grève, EDF a ainsi identifié des mouvements sociaux sur six sites vendredi, tandis que la CGT en dénombrait neuf samedi matin (Belleville, Bugey, Cattenom, Cruas, Dampierre, Gravelines, Paluel, Saint-Alban et Tricastin). Dans chacune de ces centrales, le syndicat recense des blocages dans les travaux programmés sur un ou plusieurs réacteurs, ainsi que parfois des baisses de puissance.

Ce mouvement vise à faire pression sur les négociations salariales des entreprises du secteur de l’énergie et notamment EDF, où une première réunion est prévue mardi.

EDF: des grèves ciblées qui vont tuer l’entreprise

EDF: : des grèves ciblées qui vont tuer l’entreprise

Il est évident que les salariés EDF comme d’autres sont légitimes à faire valoir leurs revendications salariales mais en ciblant le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires, ils s’attaquent directement à la demande des usagers et à l’intérêt national.

En cause le fait que la fédération de l’énergie CGT fait partie de l’avant-garde mobilisée par la confédération suite aux déconvenues de la CGT chez Total. (Un accord a été signé par des syndicats majoritaires mais la CGT continue le mouvement au moins jusqu’à la grève confédérale de mardi).

Dans le même temps, la France est contrainte d’importer de l’électricité de l’étranger ce qui participe encore à l’écroulement de la balance commerciale dont le déficit va atteindre record de 150 milliards en 2022. De quoi aussi renchérir les conditions de production dans l’économie française.

Ce ciblage est évidemment complètement irresponsable surtout à un moment où le nucléaire pourtant indispensable est encore discuté.

Les conséquences de cette politique syndicale irresponsable sont évidemment graves pour l’avenir de la filière mais aussi pour EDF. Il ne faudra pas se plaindre si un jour EDF est remis en cause dans sa situation juridique voire même dans le statut des travailleurs. C’est la même radicalité qui a contraint la SNCF à recroqueviller dans son activité ( abandon du trafic express, abandon de la messagerie, pratiquement marginal désormais en transport de marchandises, abandon de petites lignes). Pire d’un point de vue syndical le statut de cheminot a été supprimé.

EDF a été forcé de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève pour les salaires de ses employés sur certains sites.

EDF a donc été contraint de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève de ses employés sur certains sites. (SICCOLI PATRICK/SIPA)

Les mouvements sociaux peuvent « avoir un impact sur le planning de retour en production de certains réacteurs ». Voilà le message diffusé samedi matin par une porte-parole d’EDF. En raison de la grève de ses salariés sur certains sites, le groupe a dû repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires. « Pour les réacteurs en production, cela peut se traduire par des baisses de puissance temporaire », a-t-elle ajouté. Ces retards vont d’un jour à près de trois semaines selon les réacteurs, précise le site du géant de l’électricité français.

Depuis le début de la grève, EDF a ainsi identifié des mouvements sociaux sur six sites vendredi, tandis que la CGT en dénombrait neuf samedi matin (Belleville, Bugey, Cattenom, Cruas, Dampierre, Gravelines, Paluel, Saint-Alban et Tricastin). Dans chacune de ces centrales, le syndicat recense des blocages dans les travaux programmés sur un ou plusieurs réacteurs, ainsi que parfois des baisses de puissance.

Ce mouvement vise à faire pression sur les négociations salariales des entreprises du secteur de l’énergie et notamment EDF, où une première réunion est prévue mardi.

Électricité : des grèves ciblées qui vont tuer EDF

Électricité : des grèves ciblées qui vont tuer EDF

Il est évident que les salariés EDF comme d’autres sont légitimes à faire valoir leurs revendications salariales mais en ciblant le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires, ils s’attaquent directement à la demande des usagers.

En cause le fait que la fédération de l’énergie CGT fait partie de l’avant-garde mobilisée par la confédération suite aux déconvenues de la CGT chez Total. (Un accord a été signé par des syndicats majoritaires mais la CGT continue le mouvement au moins jusqu’à la grève confédérale de mardi).

Dans le même temps, la France est contrainte d’importer de l’électricité de l’étranger ce qui participe encore à l’écroulement de la balance commerciale dont le déficit va atteindre record de 150 milliards en 2022. De quoi aussi renchérir les conditions de production dans l’économie française.

Ce ciblage est évidemment complètement irresponsable surtout à un moment où le nucléaire pourtant indispensable est encore discuté.

Les conséquences de cette politique syndicale irresponsable sont évidemment graves pour l’avenir de la filière mais aussi pour EDF. Il ne faudra pas se plaindre si un jour EDF est remis en cause dans sa situation juridique voire même dans le statut des travailleurs. C’est la même radicalité qui a contraint la SNCF à recroqueviller dans son activité ( abandon du trafic express, abandon de la messagerie, pratiquement marginal désormais en transport de marchandises, abandon de petites lignes). Pire d’un point de vue syndical le statut de cheminot a été supprimé.

EDF a été forcé de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève pour les salaires de ses employés sur certains sites.

EDF a donc été contraint de repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires en raison de la grève de ses employés sur certains sites. (SICCOLI PATRICK/SIPA)

Les mouvements sociaux peuvent « avoir un impact sur le planning de retour en production de certains réacteurs ». Voilà le message diffusé samedi matin par une porte-parole d’EDF. En raison de la grève de ses salariés sur certains sites, le groupe a dû repousser le redémarrage de cinq réacteurs nucléaires. « Pour les réacteurs en production, cela peut se traduire par des baisses de puissance temporaire », a-t-elle ajouté. Ces retards vont d’un jour à près de trois semaines selon les réacteurs, précise le site du géant de l’électricité français.

Depuis le début de la grève, EDF a ainsi identifié des mouvements sociaux sur six sites vendredi, tandis que la CGT en dénombrait neuf samedi matin (Belleville, Bugey, Cattenom, Cruas, Dampierre, Gravelines, Paluel, Saint-Alban et Tricastin). Dans chacune de ces centrales, le syndicat recense des blocages dans les travaux programmés sur un ou plusieurs réacteurs, ainsi que parfois des baisses de puissance.

Ce mouvement vise à faire pression sur les négociations salariales des entreprises du secteur de l’énergie et notamment EDF, où une première réunion est prévue mardi.

Social- Grèves SNCF: pour tuer l’entreprise et le service public

Social- Grèves SNCF:  pour tuer l’entreprise et le service public 

 

 

La SNCF est évidemment engluée dans une situation économique , financière et concurrentielle  inextricable. En clair, elle ne cesse de perdre des parts de marché sur tous les créneaux, accuse une crise financière sans fin et se trouve maintenant affrontée à une concurrence anarchique ( réciproquement la SNCF va concurrencer les autres réseaux des pays étrangers !).

C’est encore le moment choisi par les syndicats pour appeler à une nouvelle grève pendant les vacances de Noël.Certes les préavis viennent d’être levés mais le mal est fait car la SNCF rétablir un service normal ce week-end.

En fait, les syndicats sont engagés dans une fuite en avant gauchiste pilotée par Sud rail. Un mouvement qui va concerner essentiellement les agents de conduite et les contrôleurs et qui évidemment va porter une nouvelle atteinte à l’image d’une entreprise complètement cangrenée par la gréviculture , le gauchisme et l’irresponsabilité.

On voudrait tuer définitivement l’entreprise et le service public  qu’on ne s’y prendrait pas autrement avec comme horizon un jour une société recroquevillée sur quelques activités que le corporatisme irresponsable n’aura encore pas réussi à étrangler complètement.

Cette grève en pleine période pandémique va surtout porter atteinte à l’intérêt des usagers. Le paradoxe c’est que parallèlement la SNCF est engagée dans la voie d’une libéralisation qui va autoriser la concurrence pour la circulation des TGV et permettre à cette concurrence de pénétrer largement les TER via les appels d’offres.

Les syndicats font la démonstration de leur incompétence même à conduire un mouvement syndical dans l’intérêt des cheminots, de l’entreprise et des clients. L’histoire retiendra sans doute qu’ils ont largement contribué à saboter leur outil de travail, à le déconsidérer et à persuader les pouvoirs publics de tuer progressivement une entreprise ingérable.

Le gauchisme syndical a déjà largement favorisé la disparition du transport ferroviaire de messagerie, puis la quasi extinction du transport de fret ; il pourra se glorifier d’avoir largement participé à l’extinction du transport SNCF de personnes

Grèves SNCF: pour tuer l’entreprise et le service public

Grèves SNCF:  pour tuer l’entreprise et le service public 

 

 

 

La SNCF est évidemment engluée dans une situation économique , financière et concurrentielle  inextricable. En clair, elle ne cesse de perdre des parts de marché sur tous les créneaux, accuse une crise financière sans fin et se trouve maintenant affrontée à une concurrence anarchique ( réciproquement la SNCF va concurrencer les autres réseaux des pays étrangers !).

C’est encore le moment choisi par les syndicats pour appeler à une nouvelle grève pendant les vacances de Noël.Certes les préavis viennent d’être levés mais le mal est fait car la SNCF rétablir un service normal ce week-end.

En fait, les syndicats sont engagés dans une fuite en avant gauchiste pilotée par Sud rail. Un mouvement qui va concerner essentiellement les agents de conduite et les contrôleurs et qui évidemment va porter une nouvelle atteinte à l’image d’une entreprise complètement cangrenée par la gréviculture , le gauchisme et l’irresponsabilité.

On voudrait tuer définitivement l’entreprise et le service public  qu’on ne s’y prendrait pas autrement avec comme horizon un jour une société recroquevillée sur quelques activités que le corporatisme irresponsable n’aura encore pas réussi à étrangler complètement.

Cette grève en pleine période pandémique va surtout porter atteinte à l’intérêt des usagers. Le paradoxe c’est que parallèlement la SNCF est engagée dans la voie d’une libéralisation qui va autoriser la concurrence pour la circulation des TGV et permettre à cette concurrence de pénétrer largement les TER via les appels d’offres.

Les syndicats font la démonstration de leur incompétence même à conduire un mouvement syndical dans l’intérêt des cheminots, de l’entreprise et des clients. L’histoire retiendra sans doute qu’ils ont largement contribué à saboter leur outil de travail, à le déconsidérer et à persuader les pouvoirs publics de tuer progressivement une entreprise ingérable.

Le gauchisme syndical a déjà largement favorisé la disparition du transport ferroviaire de messagerie, puis la quasi extinction du transport de fret ; il pourra se glorifier d’avoir largement participé à l’extinction du transport SNCF de personnes

 

 

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SNCF: Nouvelles grèves des syndicats pour tuer l’entreprise et le service public

SNCF: Nouvelles grèves des syndicats pour tuer l’entreprise et le service public 

 

 

 

La SNCF est évidemment engluée dans une situation économique , financière et concurrentielle  inextricable. En clair, elle ne cesse de perdre des parts de marché sur tous les créneaux, accuse une crise financière sans fin et se trouve maintenant affrontée à une concurrence anarchique ( réciproquement la SNCF va concurrencer les autres réseaux des pays étrangers !).

C’est encore le moment choisi par les syndicats pour appeler à une nouvelle grève pendant les vacances de Noël.

En fait, les syndicats sont engagés dans une fuite en avant gauchiste pilotée par Sud rail. Un mouvement qui va concerner essentiellement les agents de conduite et les contrôleurs et qui évidemment va porter une nouvelle atteinte à l’image d’une entreprise complètement cangrenée par la gréviculture , le gauchisme et l’irresponsabilité.

On voudrait tuer définitivement l’entreprise et le service public  qu’on ne s’y prendrait pas autrement avec comme horizon un jour une société recroquevillée sur quelques activités que le corporatisme irresponsable n’aura encore pas réussi à étrangler complètement.

Cette grève en pleine période pandémique va surtout porter atteinte à l’intérêt des usagers. Le paradoxe c’est que parallèlement la SNCF est engagée dans la voie d’une libéralisation qui va autoriser la concurrence pour la circulation des TGV et permettre à cette concurrence de pénétrer largement les TER via les appels d’offres.

Les syndicats font la démonstration de leur incompétence même à conduire un mouvement syndical dans l’intérêt des cheminots, de l’entreprise et des clients. L’histoire retiendra sans doute qu’ils ont largement contribué à saboter leur outil de travail, à le déconsidérer et à persuader les pouvoirs publics de tuer progressivement une entreprise ingérable.

Le gauchisme syndical a déjà largement favorisé la disparition du transport ferroviaire de messagerie, puis la quasi extinction du transport de fret ; il pourra se glorifier d’avoir largement participé à l’extinction du transport SNCF de personnes

 

 

Nouvelles grèves des syndicats pour tuer la SNCF

 

Nouvelles grèves des syndicats pour tuer la SNCF

 

 

La SNCF est évidemment engluée dans une situation économique , financière et concurrentielle  inextricable. En clair, elle ne cesse de perdre des parts de marché sur tous les créneaux, accuse une crise financière sans fin et se trouve maintenant affrontée à une concurrence anarchique ( réciproquement la SNCF va concurrencer les autres réseaux des pays étrangers !).

C’est encore le moment choisi par les syndicats pour appeler à une nouvelle grève pendant les vacances de Noël.

En fait, les syndicats sont engagés dans une fuite en avant gauchiste pilotée par Sud rail. Un mouvement qui va concerner essentiellement les agents de conduite et les contrôleurs et qui évidemment va porter une nouvelle atteinte à l’image d’une entreprise complètement cangrenée par la gréviculture , le gauchisme et l’irresponsabilité.

On voudrait tuer définitivement l’entreprise qu’on ne s’y prendrait pas autrement avec comme horizon un jour une société recroquevillée sur quelques activités que le corporatisme irresponsable n’aura encore pas réussi à étrangler complètement.

Cette grève en pleine période pandémique va surtout porter atteinte à l’intérêt des usagers. Le paradoxe c’est que parallèlement la SNCF est engagée dans la voie d’une libéralisation qui va autoriser la concurrence pour la circulation des TGV et permettre à cette concurrence de pénétrer largement les TER via les appels d’offres.

Les syndicats font la démonstration de leur incompétence même à conduire un mouvement syndical dans l’intérêt des cheminots, de l’entreprise et des clients. L’histoire retiendra sans doute qu’ils ont largement contribué à saboter leur outil de travail, à le déconsidérer et à persuader les pouvoirs publics de tuer progressivement une entreprise ingérable.

Le gauchisme syndical a déjà largement favorisé la disparition du transport ferroviaire de messagerie, puis la quasi extinction du transport de fret ; il pourra se glorifier d’avoir largement participé à l’extinction du transport SNCF de personnes

 

 

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