Archive pour le Tag 'Grèce'

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Objectif virer la Grèce et Tsipras

Objectif virer la  Grèce et Tsipras

Finalement les concessions du gouvernement grecs n’ont aucune importance, l’objectif pour certains pays notamment l’Allemagne c’est de virer la Grèce et son gouvernement. On peut les comprendre car d’une  certaine manière les allemands devront être solidaires de la dépréciation à terme de l’euro ‘(déjà commencée, on est proche de la parité avec le dollar). Les allemands devront payer comme d’autres ont payés pour leurs dette s antérieures (guerres mondiales, réunification). Les dettes européennes ne pourront être remboursées les taux vont monter, l’inflation avec , à terme ce sera la dévaluation de fait de l’euro. Ce que l’Allemagne ne veut pas, la France lui imposera car derrière l’affaire Grecque c’est la France qui est visée. Des sources au sein du gouvernement grec estiment « évident que certains pays » européens ne veulent pas qu’un accord soit trouvé pour sauver Athènes de la banqueroute, rapporte dimanche l’agence de presse grecque ANA.  »Il est évident que certains pays, pour des raisons qui n’ont rien à voir avec les réformes et le programme, ne veulent pas d’un accord », déclarent ces sources citées par ANA.  Elles affirment que les ministres des Finances de la zone euro s’étaient mis d’accord sur « un calendrier pertinent » et qu’un « accord de principe » avait été trouvé, mais qu’un « groupe de pays ont soulevé la question de la ‘confiance’, sans toutefois préciser ce qui devrait être fait« . Dans un climat de défiance envers Athènes, et avec certains pays évoquant ouvertement un Grexit, les ministres ont échoué samedi 11 juillet à Bruxelles à accoucher d’un texte qui servirait de base au sommet des chefs d’État et de gouvernement européens dimanche, régulièrement présenté comme la dernière limite pour sauver la Grèce de l’effondrement financierLes travaux doivent reprendre dimanche 12 juillet à 9h00.  « Il y a plusieurs pays qui bloquent » et ne veulent pas d’un troisième plan d’aide, a résumé une source européenne, alors qu’Allemagne et Finlande, deux faucons vis-à-vis d’Athènes, semblent près de dire ouvertement qu’ils ne veulent plus de la Grèce dans la zone euro.

 

Grèce : la guerre franco-allemande

Grèce : la guerre franco-allemande

 

Une situation complètement ubuesque puisque la Grèce a consenti à toutes les exigences de l’Eurogroupe mais maintenant c’est sa bonne foi qui est en cause comme si on pouvait intégrer cette dimension dans un texte. En fait derrière cette volonté d’humilier encore les grecs se cache un féroce  affrontement entre Merkel et Hollande. Merkel qui ne peut s’attaquer directement à la France et qui se sert de l’alibi grec pour montrer ses muscles et imposer sa politique. La France, elle, qui s’accroche désespérément à la Grèce pour la sauver et se sauver en même temps. L’Allemagne tape sur la Grèce mais c’est la France, l’Espagne, l’Italie et d’autres en délicatesse avec le pacte européen de stabilité qui sont visés.  Les ministres des Finances de la zone euro se sont réunis samedi à Bruxelles pour examiner le plan de réformes déposé par la Grèce en vue d’obtenir un nouveau plan d’aide, une réunion cruciale pour le maintien du pays dans le bloc monétaire mais dont l’issue reste incertaine. L’optimisme et le volontarisme affichés par la France sur ce dossier tranche en effet avec le scepticisme de nombreuses capitales aux yeux desquelles la crédibilité du gouvernement d’Alexis Tsipras a été brisée pendant les longues négociations. « La confiance a été détruite d’une manière incroyable au cours des derniers mois », a dit le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, à son arrivée à la réunion de l’Eurogroupe.  Les dernières propositions du gouvernement grec, a-t-il encore estimé, sont loin d’être suffisantes pour l’octroi d’un troisième plan d’aide à Athènes. Les experts de la Commission européenne, de la Banque centrale européenne (BCE) et du Fonds monétaire international leur ont pourtant donné un premier avis favorable. Ils ont chiffré à 82 milliards d’euros les besoins financiers supplémentaires de la Grèce pour faire face à ses obligations.  Le Premier ministre grec, Alexis Tsipras, a obtenu aux premières heures de samedi le soutien du Parlement au programme de réformes qu’il se propose de mettre en œuvre en échange d’un prêt de 53,5 milliards d’euros sur les trois prochaines années du Mécanisme européen de stabilité (MES).  Alors que les banques grecques sont fermées et complètement dépendantes des liquidités d’urgence accordées par la BCE, le plan Tsipras est considéré comme la dernière chance d’éviter l’effondrement financier et économique du pays.  François Hollande, qui s’est investi personnellement pour faire aboutir les négociations, avait salué vendredi le paquet de réformes déposé par la Grèce, à laquelle Paris a prêté une assistance technique et politique pour leur élaboration.

 

Eurogroupe : tout faire pour humilier davantage la Grèce

Eurogroupe : tout faire pour humilier davantage la Grèce

La Grèce n’est pas sans responsabilité dans la manière de mener les négociations cependant cette fois l’attitude de l’Eurogroupe touche au ridicule. Tsipras a présenté des mesures qui sont exactement ce que voulait Bruxelles mais ce n’est pas assez maintenant. Il en faut encore davantage. On aura compris que l’objectif n’est pas seulement financier mais qu’il s’agit de discréditer le plus possible Cyriza ne serait-ce que pour éviter la contagion ailleurs en Europe.  Peu avant minuit ce samedi, l’Eurogroupe a donc annoncé la suspension des discussions dans le dossier grec et annoncé leur reprise ce dimanche. Il juge les garanties apportées par la Grèce insuffisantes. Son président a annoncé que « c’était toujours très difficile« .Les ministres des Finances de la zone euro étaient réunis à Bruxelles pour examiner les propositions du gouvernement grec d’Alexis Tsipras, qui a fait adopter la nuit précédente par le Parlement, un nouveau plan de réformes. A son arrivée à l’Eurogroupe, le Commissaire européen aux affaires économiques, Pierre Moscovici, a estimé que la mise en œuvre rapide des réformes grecques serait la clef de tout, pour parvenir à une solution.  Certains restent cependant méfiants car ce n’est pas la première fois qu’un accord semble être à portée main et s’évapore. L’Allemagne affiche toujours la plus grande méfiance, estimant que jusqu’à la fin de l’Eurogroupe, tout reste encore possible. Les négociations vont « être extrêmement difficiles », a mis en garde le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, jugeant « insuffisantes » les réformes proposées par Athènes. Les Pays-Bas doutent également sérieusement de la capacité de la Grèce à mener les réformes auquel le gouvernement d’Alexis Tsipras s’est engagé.  Face à ce scepticisme, pour le ministre des Finances français, Michel Sapin, il faut que la Grèce donne des gages à ses partenaires européens.  »La confiance est un élément déterminant de l’accord, si nous voulons un accord global et un accord durable, ce que souhaite la France depuis le début, il faut que les Grecs, le gouvernement grec, le ministre des finances grec, apporte des réponses »  sur la date d’une décision, les moyens de sa mise en place et le rythme qui compte être suivi. « C’est ça qui va redonner de la confiance du côté des institutions européennes, de l’Eurogroupe, il faut qu’on montre aussi que si cette confiance est là. Si la détermination politique des Grecs est là, alors nous avons la capacité d’apporter des soutiens qui sont des soutiens indispensables pour réussir ces réformes« , a ajouté le ministre.

Grèce : Tsipras plie devant les créanciers

Grèce : Tsipras plie devant les créanciers

 

Cette fois la balle est dans le camp des créanciers car Tsipras a cédé devant les exigences des créanciers exprimées notamment dans le projet du 25 juin. Le plan Tsipras prévoit un excédent primaire (avant service de la dette) de 1% en 2015, 2 % en 2016, 3 % en 2017 et 3,5 % en 2018.  Pour parvenir à ces objectifs, il sera imposé un taux normal de TVA de 23 %, notamment sur les restaurants et un taux réduit de 13 % sur les hôtels, l’alimentation de base et l’énergie. La décote de 30 % dans les îles sera progressivement supprimée en partant des îles les plus riches. Si les objectifs sont atteints, elle sera maintenue dans les îles les plus pauvres. Une revue aura lieu fin 2016. Concernant les retraites, la proposition grecque prévoit une réduction des dépenses de 0,25 % à 0,5 % du PIB en 2015 et de 1 % du PIB en 2016. L’âge de départ à la retraite sera de 67 ans en 2022. Le gouvernement demande que la suppression du complément de retraite pour les plus fragiles, l’EKAS soit reportée à fin 2019 au lieu de fin 2018. Mais sa suppression commencera immédiatement par les 20 % qui touchent le plus. La retraite complémentaire sera gelée jusqu’en 2021. Les cotisations santé des retraités seront portées de 4 % à 6 %. Le programme prévoit par ailleurs des réformes ambitieuses (mais acceptée par le gouvernement depuis longtemps) de l’administration fiscale, notamment. Les réformes du marché du travail seront mise en place en accord avec les standards de l’OCDE qui sont acceptés par Athènes. Enfin, des hausses de taxes et d’impôts sont prévues : sur les sociétés (de 26 % à 28 %), sur les compagnies maritimes ou le luxe. Davantage de privatisations sont aussi proposées. Les dépenses militaires sont réduites de 100 millions d’euros en 2015 et de 200 millions d’euros en 2016. Moins que ce que demandaient les créanciers. En tout, les mesures s’élèvent à 13 milliards d’euros sur trois ans, soit en moyenne plus que les 8 milliards d’euros de la proposition de Syriza du 22 juin. Politiquement, la pilule sera difficile à faire accepter par Syriza, le parti au pouvoir.. Le texte proposé ressemble, il est vrai, à une victoire posthume du « oui » puisque le plan légèrement modifié du 25 juin est désormais proposé par Alexis Tsipras. Selon le Guardian, le premier ministre interpréterait ce « non » de dimanche avant tout comme le renouvellement de son mandat, qui le renforcerait dans sa capacité à prendre le « meilleur parti » pour le pays. Or, faute de liquidités, l’économie grecque se meurt rapidement. La situation s’aggrave de jour en jour. Et le premier ministre ne veut pas prendre le risque, ni l’initiative, d’un Grexit. Il doit donc faire des concessions importantes. Reste un élément essentiel ‘l’indispensable restructuration la dette, concession que doivent accepter  les créanciers pour que la plan d’austérité de Tsipras puisse être voté et accepté en Grèce. En fait pour des questions d’affichage Bruxelles et l’Allemagne vont refuser la restructuration, c’est à dire l’amputation de la dette mais accepter sans doute un allongement de la maturité (ce qui en fait revient au m^me).

Grèce et Chine font baisser Wall Street

Grèce et Chine font baisser Wall Street

 

 

Obama est inquiet à la fois par la situation en Asie mais aussi par la question Grecque. Il s’en est entretenu avec Merkel au téléphone, il souhaite un accord avec la Grèce. Du coup Lagarde, directrice du FMI, reconnait maintenant qu’il faut uen restructuration de la dette grecque. Le principal souci vient de l’Asie (Chine et Japon notamment op la croissance est à l’arrêt.  Du coup on craint même un krach boursier qui pourrait faire contagion. Wall Street a fini en baisse mercredi — après le compte rendu de la dernière réunion de la Fed — dans un marché alourdi dès l’ouverture par l’effondrement des bourses chinoises qui ajoutent un motif d’inquiétude, en plus du feuilleton grec. Les « minutes » du dernier comité de politique monétaire (FOMC) ont accentué les pertes deux heures avant la clôture. De nombreux responsables de la Réserve fédérale y ont exprimé leur volonté de voir d’autres signes de renforcement de l’économie américaine avant de relever les taux, tout en manifestant leurs inquiétudes sur la Grèce. En Chine, les autorités ont annoncé une nouvelle batterie de mesures pour tenter d’enrayer la glissade des actions, tombées mercredi à des plus bas de quatre mois. En vain, les autorités de régulation des marchés financiers chinois évoquant même désormais un « sentiment de panique », qui commence à se propager sur les autres places asiatiques.  Après un an d’emballement financé par la dette, les actions ont été  corrigées de 30% par rapport à leurs pics de mi-juin, perdant près de 3.000 milliards de dollars de capitalisation. « La chute des actions en Chine fait peur au marché », note Tim Ghriskey, responsable de l’investissement de Solaris Group.

Grèce plus Chine : danger pour la croissance mondiale

Grèce plus Chine : danger pour la croissance mondiale

 

 

Deux pays qui ne pèsent pas le même poids mais qui influencent actuellement les marchés. La Chine d’abord parce que son industrie este en panne du fait de l’atonie de la demande mondiale. Du coup les cours des matières premières baissent dangereusement. La Grèce, elle, est la petite goutte qui pourraiat faire déborder les taux. Or cette remontée des taux (déjà en cours mais qui pourrait s’accentuer en cas de Grexit) porterait un coup supplémentaire aux investissements tant des ménages que des entreprises.  Le pétrole Brent a ainsi  perdu près de 15% sa valeur en 15 jours, (-10% en cinq jours), chutant encore de 2,6% ce mardi. A 55,2 dollars le baril, il n’est pas encore à son plus bas des dernières années (47,7 dollars le 15 janvier 2015), mais s’en rapproche. Le prix du fer s’est effondré dans des proportions encore plus élevées, passant de près de 66 dollars la tonne à 52 dollars hier (-21%). Le cuivre, lui, a perdu 20% en cinq jours ! Une contagion a bien sûr lieu de marché à marché. Quand les prix des actions baissent, des arbitrages conduisent les investisseurs à vendre d’autres titres. Il y a donc bien un effet grec. Mais ce n’est pas tout. Les marchés raisonnent, logiquement, en termes d’offre et de demande. Côté offre, pas de bouleversement ces derniers jours. Mais s’agissant de la demande, le premier facteur de baisse des cours des matières premières industrielles et du pétrole, c’est l’évolution de l’économie chinoise, qui en est la première consommatrice au monde. Le krach de la bourse de Shanghai (-30%) inquiète les investisseurs. On savait l’économie de la Chine sur la voie du ralentissement, le taux de croissance prévu (+7%) étant peut être surestimé. La production industrielle chinoise est l’arrêt depuis plusieurs mois, souligne le directeur des études économiques de Natixis, Patrick Artus. La chute des actions chinoises ne peut qu’accentuer le mouvement, en déprimant l’investissement. D’où l’inquiétude des marchés.

Grèce: nouveau dernier délai dimanche…ou plus tard

Grèce:  nouveau dernier délai dimanche…ou plus tard

 

Bruxelles n’en finit pas de lancer des ultimatums, cette fois c’est dimanche, le dernier carat ! A moins que ce ne soit repoussé aux calendes…grecques ! En vérité le feuilleton risque de durer car il n’est pas question d’envisager un réel plan global. Tout au plus une  aide partielle et provisoire pour gagner du temps (ou plutôt en perdre). Personne n’y comprend plus rien. La Grèce n’aurait pas fait de propositions sérieuses. En fait l’Allemagne et d’autres voudraient virer la Grèce en prenant n’importe quel prétexte. Une Grèce certes pas sans défaut mais qui constitue actuellement la cible idéale pour exacerber tous les nationalismes. Du pain béni pour les politiques démagos «  on ne va quand même pas encore payer pour ces fainéants » ! Cela démontre à l’évidence qu’il n’ya aucune gouvernance au plan européen ; Et dimanche il est possible qu’on recule encore la date de l’ultimatum. A moins qu’Obama siffle la fin de la récréation pour demander à l’Europe de ne plus jouer à l’apprenti sorcier. Car en attendant les bourses plongent  et surtout la remontée des taux d’intérêt vont menacer la fragile croissance mondiale. Réunis mardi en sommet à Bruxelles, les pays membres de la zone euro se sont donnés jusqu’au week-end pour s’accorder sur un plan d’aide susceptible de maintenir au sein de la monnaie unique une Grèce au bord de l’effondrement économique. Isolée diplomatiquement après la victoire du « non » dimanche lors du referendum organisé sur les propositions des créanciers, la Grèce a obtenu un sursis de moins de 48 heures pour présenter un plan de réformes et déposer une demande officielle d’aide au Mécanisme européen de stabilité (MES).   »La dure réalité est qu’il ne nous reste plus que cinq jours pour parvenir à un accord définitif », a prévenu Donald Tusk, le président du Conseil européen, au cours d’une conférence de presse à l’issue du sommet. Alors que de nombreux analystes estimaient que la réunion de mardi constituait la dernière chance pour sortir de l’impasse, cette échéance a de fait été repoussée à une rencontre des ministres des Finances de la zone euro samedi.  La chancelière allemande Angela Merkel a souhaité obtenir dans la semaine suffisamment de propositions de la part d’Athènes pour demander au Bundestag d’approuver l’ouverture de discussions en vue d’un nouveau plan d’aide à long terme. Les 28 chefs d’Etat et de gouvernement de l’Union européenne se réuniront dimanche à condition que le Premier ministre grec Alexis Tsipras soumette d’ici jeudi un plan détaillé, a-t-elle déclaré.  Si ce plan est jugé adéquat et que le gouvernement grec commence à le mettre en œuvre, un prêt à court terme pourra être accordé à la Grèce, a poursuivi la chancelière tout en affirmant « ne pas être exagérément optimiste » quant à une solution. Si elle n’a pas exclu un rééchelonnement de la dette grecque sur le long terme, elle s’est en revanche montrée intransigeante dans son refus d’une décote réclamée par Alexis Tsipras, affirmant que cette option était impossible parce qu’illégale.  (Comme la dette allemande de la seconde guerre mondiale de plusieurs  centaines de milliards à l’égard de la Grèce ?)

Trichet : comme les autres, à « mort la Grèce « 

Trichet : comme les autres,  à « mort la Grèce  »

 

Formidable Trichet qui n’a jamais eu la moindre formation ou expérience économique, ce qui ne l’a pas empêché de diriger –mal- la BCE dans le sens que souhaitait l’Allemagne. Et c’est pourquoi il était tellement apprécié.  Et qui répète encore ce que dit m’Allemagne : » la Grèce dehors ». Putassier en plus quand il sollicité la condamnation des Français et leur nationalisme. Au fait il était bien gouverneur de la Banque de rance quand les déficits français se sosnt accumulés ? Er c’est combien la retraite d’un ancien gouverneur ? Et quel était son salaire de président de la BCE en 2007 ? Le «traitement de base» du Président du directoire, Jean-Claude Trichet, était  de 345 252 euros par an, celle du vice-président, Lucas Papademos, de 295 920 euros, et celle des quatre autres membres du directoire, de 246 588 euros chacun A ces sommes s’ajoutent «une indemnité de résidence et une indemnité pour frais de représentation. Pour ce qui concerne le président, un logement de fonction appartenant à la BCE est mis à sa disposition, à la place de l’indemnité de résidence. Conformément aux conditions d’emploi du personnel de la Banque centrale européenne, les membres du Directoire ont droit à des allocations scolaires, de foyer et pour enfant à charge, en fonction de leur situation individuelle». Ces indemnités supplémentaires ainsi que «les prestations qu’ils ont perçues au titre des cotisations de la BCE aux régimes d’assurance maladie et accidents se sont élevées au total à 579 842 euros (557 421 en 2006), portant le montant total des émoluments à 2 207 366 euros (2 153 013 en 2006)». En comparaison, le  président de la Réserve fédérale américaine ne gagne «que» 186.000 dollars (dévalués) alors que celui de la Banque nationale de Belgique atteint le record de… 475.000 euros. Le président de la Commission, lui, ne gagne que 280 608 euros par an auxquels s’ajoutent une indemnité de résidence de 42 091 euros et 16 800 euros d’indemnité de représentation. Un traitement similaire à celui du Président de la Cour de justice européenne.  La Grèce s’apprête à demander une nouvelle aide financière mais Trichet s’y oppose, il faudrait sans doute toucher à sa retraite (payée par la dette française).  Pour l’ancien président de la Banque centrale européenne (BCE), Athènes doit d’abord s’engager à faire de nouvelles réformes.  Pour Jean-Claude Trichet, Athènes doit fournir « des engagements crédibles, qui permettent de remettre la Grèce sur des rails, d’avoir de la croissance, des créations d’emplois, d’être à nouveau compétitive« . A cette condition, une nouvelle aide est possible. Les Grecs ont massivement rejeté, lors du référendum de dimanche, le plan proposé par les créanciers du pays. Mais selon Jean-Claude Trichet, la Grèce doit d’abord s’en prendre à elle-même et à ses dépenses excessives avant la crise : « quand les Français avaient 36% d’augmentation de salaire, les fonctionnaires grecs avaient 117% d’augmentation de salaire. Il y a eu un dérapage non contrôlé« . « Ce que vous appelez l’austérité« , ajoute-t-il, « c’est le retour progressif à une situation d’équilibre« . Alexis Tsipras veut renégocier, sans attendre, la dette de son pays. Jean-Claude Trichet est opposé à toute réduction de cette dette : « Les Français ont sur la Grèce une créance de 45 milliards d’euros (…) On ne peut pas en parler légèrement dans l’état des finances publiques françaises et compte tenu de ce qu’on a déjà demandé aux contribuables français (…) Je suis totalement contre un abandon de créance« . Plus putasser tu meurs !

Grèce : le FMI silencieux !

Grèce : le FMI silencieux !

 

 

Le FMI accusé d’incompétence tant par les grecs que par les européens (plus discrètement) se montre bien silencieux depuis le « non » des grecs. Pas étonnant le FMI a imposé des cures d’austérité à nombre de pays qui ont eu du mal à s’en relever ; Un FMI composé de médecins de Molière qui préconisent surtout la saignée d’autant plus facilement que la plupart sont des économistes d’administration ne connaissant pas grand-chose des réalités économiques et sociales . Du coup Lagarde, la speakerine du FMI se tait ou presque.  Honni à Athènes et désavoué par les Européens, le FMI aborde le prochain round de négociations avec la Grèce dans une posture délicate, soucieux d’arracher un compromis mais aussi de récupérer l’argent prêté au pays. Signe de ce flottement, le Fonds monétaire international aura attendu près de vingt-quatre heures pour réagir à la victoire massive du « non » au plan de réformes qu’il avait concocté avec les autres créanciers de la Grèce (Commission et Banque centrale européennes). « Le FMI a pris acte du référendum tenu en Grèce », a sobrement réagi sa directrice générale Christine Lagarde. « Nous nous tenons prêt à aider la Grèce si on nous en fait la demande », s’est-elle bornée à déclarer. C’est bien là toute la question: les Européens ont-ils encore envie de voir l’institution de Washington prendre place à la table des négociations? Les Grecs ont déjà répondu sans équivoque en faisant porter au FMI une responsabilité « criminelle » dans les cures d’austérité qui ont fait chuter leur produit intérieur brut de 25% sur cinq ans. Le reste de la zone euro est bien moins tranché mais pas toujours mieux disposé. En appelant jeudi à accorder une nouvelle aide massive ( près de 40 milliards)  et un allègement de dette à la Grèce, le FMI a brusquement changé de vision et ainsi irrité jusqu’à ses plus proches alliés sur le continent, notamment l’Allemagne, au risque d’affaiblir son aura. Le FMI a chois de ne pas envoyer de représenta lors de la réunion de l’Eurogroupe.

 

Le débat français sur la Grèce pollué par 2017

Le débat français sur la Grèce pollué par 2017

 

Le débat français concernant la Grèce est complètement pollué par la perspective de 2017. En gros, on se positionne à droite contre tout ce que dit Hollande en manifestant beaucoup de condescendance voire de mépris pour les grecs comme si la France était irréprochable.  De son coté Hollande parle pour ne pas fâcher sa gauche et les écolos (et ainsi favoriser uen candidature unique en 2017) . C’est assez symptomatique, alors que le dossier grec concerne l’ensemble de l’Europe, la victoire du « Non » lors du referendum hellénique provoque un débat… franco-français qui oppose droite et gauche. A droite, globalement, on commence à prendre acte qu’une sortie de la Grèce de la zone euro serait la meilleure chose. A l’inverse, à gauche, on plaide plutôt pour une reprise des négociations avec le gouvernement d’Alexis Tsipras. Il faudrait aussi rappeler par exemple à  Giscard D’Estaing qui maintenant souhaite le départ des grecs que c’est lui, l’un des principaux artisans (avec Chirac)  de l’entrée de la Grèce  («  on ne dit pas non à Platon «  avait dit Giscard qui n’est pas à une  contradiction près. Certes la Grèce n’est  pas sans responsabilité (corruption, absence d’Etat, clientélisme politique etc.) pour autant on a voulu l’entrée de la Grèce (l’Allemagne aussi) comme aujourd’hui on veut l’entrée de l’Albanie dans l’Union. Même Juppé a dérapé. « La Grèce n’est plus en mesure aujourd’hui d’assumer des disciplines de la zone euro. Chercher à l’y maintenir à tout prix, par des arrangements de circonstance, fragiliserait l’ensemble du système. Nous devons l’aider à organiser sa sortie, sans drame. Ce qui ne veut pas dire qu’elle doit aussi sortir de l’Union ». Une position finalement assez faux cul qui vise aussi à contrer Sarkozy expéditif sur le dossier grec : » il faut virer la Grèce et Tsipras avec ».  Des propos surtout à usage interne dans la perspective de 2017 mais qui ne sont pas très responsables. D’abord ils risquent de déstabiliser un peu plus les marchés (avec comme conséquence l’augmentation des taux) et surtout font l’impasse sur la situation dramatique de l’endettement françaisis (31 000 euros par habitant). Une dette également impossible à rembourser, tout aussi irresponsable que la dette Grecque.

Grèce-Yanis Varoufakis : les créanciers le dégoûtent

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Le ministre des finances démissionnaire  aura marqué les esprits grâce à son sens de la formule. Une verve qui aura joué dans son départ. En effet, ce lundi 6 juillet, le ministre grec des Finances a annoncé sa démission. Et pour ne pas déroger à sa réputation, il l’a fait avec panache : « je porterai le dégoût des créanciers avec fierté », écrit-il sur son blog. Cette dernière pique conclut 5 mois de franc-parler. Florilège de ses meilleures phrases.

29 janvier 2015: « nous sommes pour un mode de vie frugal »

« Nous sommes pour un mode de vie frugal, nous ne pensons pas que développement signifie multiplication de Porsche Cayenne dans les rues étroites de nos villes, ordures sur les plages et dioxyde de carbone dans l’atmosphère », explique-t-il lors de sa première conférence de presse à Athènes, deux jours après sa prise de fonction.

5 février 2015:  » nous ne sommes même pas tombés d’accord sur le fait de ne pas être d’accord »

« De mon point de vue, nous ne sommes même pas tombés d’accord sur le fait de ne pas être d’accord », déclare Varoufakis à Berlin après un entretien avec son homologue allemand Wolfgang Schäuble.

8 février 2015:  » si on enlève la carte Grèce, les autres s’écroulent »

« La sortie de la Grèce de l’euro n’est pas une perspective qui rentre dans nos plans, simplement parce que nous pensons que l’Europe est fragile. C’est comme quand on construit un château de cartes. Si on enlève la carte Grèce, les autres s’écroulent », prévient-il dans un entretien à la télévision italienne RAI.

11 février 2015: « substance intellectuelle »

« Wolfgang Schäuble est probablement le seul politique européen avec de la substance intellectuelle », déclare Varoufakis à l’hebdomadaire Stern au sujet du ministre allemand des Finances, qui passe pourtant pour l’un des plus intransigeants vis-à-vis des Grecs.

25 février 2015:  » attendez-vous au pire »

« Ce que je dis à mes homologues est ceci: si vous pensez que vous avez intérêt à abattre des gouvernements progressistes comme le nôtre (…) alors attendez-vous au pire », met-il en garde dans Charlie Hebdo.

27 février 2015:  » nous sommes fiers de (son) niveau d’imprécision »

« Nous sommes fiers de (son) niveau d’imprécision », lance Yanis Varoufakis au sujet du programme d’engagements de réformes transmis par Athènes à ses partenaires européens. En grec, il se félicite de « l’ambiguïté créatrice » de l’accord.

15 mars 2015 : « un honneur que Bild essaie de me nuire »

« C’est un honneur que Bild essaie de me nuire. Plus ils le font, mieux je dors la nuit », déclare Varoufakis à l’agence grecque ANA, après que le tabloïd allemand eut annoncé sa démission imminente.

15 mars 2015:  » petits problèmes insignifiants de liquidité »

« De petits problèmes insignifiants de liquidité ne doivent pas diviser l’Europe », relativise Yanis Varoufakis sur la chaîne allemande ARD.

26 mai 2015: « nous avons rempli nos obligations vis-à-vis des créanciers »

« Depuis quatre mois nous avons rempli nos obligations vis-à-vis des créanciers en puisant jusqu’au fond de notre économie, on ne peut pas faire cela indéfiniment et nos créanciers le savent », lance le ministre sur CNN. « Donc il commence à être temps qu’ils se mettent d’accord » et « fassent le dernier quart du chemin, puisque nous en avons déjà fait les trois autres quarts ».

3 juillet 2015 : « plus gros ratage de l’histoire »

« Nous avons un très mauvais système de gouvernance en Europe », déclare-t-il à BBC News. « Ce n’est pas la bonne manière de diriger une union monétaire. C’est une parodie. C’est une comédie des erreurs depuis maintenant cinq ans. » « Le programme qu’ils ont imposé à ce pays et qu’ils veulent continuer à imposer (…) va rester comme le plus gros ratage de l’histoire économique ».

4 juillet 2015: « ce qu’ils font avec la Grèce a un nom: terrorisme »

« Ce qu’ils font avec la Grèce a un nom: terrorisme », accuse Yanis Varoufakis dans El Mundo. « Pourquoi est-ce qu’ils nous ont forcés à fermer les banques? Pour insuffler la peur aux gens. Et quand il s’agit de répandre la peur, on appelle ce phénomène le terrorisme », développe le ministre au sujet de la politique du FMI, de la BCE et de l’UE.

 

Grèce : « un referendum qui ne change rien » (Pascal Lamy)

Grèce : « un referendum qui ne change rien » (Pascal Lamy)

 

Sur la plan financier ce référendum ne change rien, il y a toujours  le risque d’un chaos pour la Grèce. Pour autant cela confère à Tsipras uen autorité pour vraiment négocier avec des partenaires certes réticents mais qui doivent prendre en compte la situation explosive de la région. Pour l’ancien commissaire européen, après le référendum, le Premier ministre grec « est donc en meilleure position de négociation ». Mais Pascal Lamy s’inquiète : « La situation empire tous les jours. L’économie grecque est en chute libre ». Il craint que la Grèce « s’effondre dans un chaos ».  Pour Pascal Lamy, « le non au référendum ne change rien à la situation économique et financière de la Grèce. Les banques sont fermées. Le pays va vers une situation où il n’y aura plus de cash du tout. Par contre, l’équation politique a changé. Le Premier ministre, en réussissant son pari (…) est en meilleure position de négociation. Ses interlocuteurs européens vont devoir davantage aider la Grèce qu’ils ne l’auraient fait avant ce référendum. La contrepartie, c’est qu’Alexis Tsipras a aussi une autorité plus forte sur sa propre majorité ». Le premier ministre grec a-t-il eu raison ? « Il a eu, pour l’instant, raison« , répond Pascal Lamy. « Il ressort avec une main politique renforcée mais aussi avec une responsabilité renforcée. Pour tous ceux qui sont pour le maintien du pays dans la zone euro, y compris en Grèce, ce n’est pas forcément une mauvaise nouvelle. » L’ancien commissaire européen au Commerce appelle les dirigeants français et allemands à « se mettre d’accord pour qu’ensuite le Conseil européen reconstruise les ponts avec la Grèce et regarde ce sujet avec l’angle qu’il faut et qui n’est pas l’angle comptable, mais qui est un angle géoéconomique et géopolitique ». « Si la Grèce s’effondre dans un chaos, c’est un problème majeur pour l’Europe compte tenu de ce qui se passe dans le bassin méditerranéen et au Moyen-Orient. »

Grèce : démission du ministre des Finances

Grèce : démission du ministre des Finances

 

C’est à la fois uen surprise et pas une surprise. Une surprise car avec le non massif, le ministre des finances et tout le gouvernement se retrouvent renforcés. Le ministre des finances avait menacé de démissionner mais en cas de victoire du oui. Une démission  cependant du domaine du possible car d’une  certaine manière des divisions se sosnt créées au sein même du parti de Tsipras avec d’uen coté des radicaux, de l’autre des plus modérés prêts à assouplir leurs positions vis-à-vis de Bruxelles. C’est un verrou qui saute et qui devrait en tout cas favoriser la reprise des négociations avec la commission européenne, aussi avec  la BCE.  

Il faut un compromis sur la Grèce (Macron)

Il faut un   compromis sur la Grèce (Macron)

 

 

Macron a raison, il faut nécessairement un compromis maintenant, il a d’autant plus raison que la France elle-même est dans uen position financière particulièrement délicate et deviendrait donc une cible pour Bruxelles et les marchés  si la Grèce devait sortir de l’euro. Le ministre français de l’Economie, Emmanuel Macron, a donc estimé dimanche qu’il faudrait trouver un compromis pour la Grèce quelle que soit l’issue du référendum et ne pas se réfugier derrière l’action de la Banque centrale européenne (BCE). Les électeurs grecs sont appelés aux urnes ce dimanche pour se prononcer sur des propositions soumises par les créanciers du pays en vue d’un accord « aides financières contre réformes », un référendum à l’issue incertaine et qui pourrait ouvrir la voie à une sortie du pays de la zone euro. « Même si le non grec devait l’emporter, notre responsabilité dès demain ce sera de ne pas faire le traité de Versailles de la zone euro », a jugé Emmanuel Macron en évoquant le texte signé après la Première Guerre mondiale et qui détermina les sanctions prises par les alliés contre l’Allemagne, souvent accusé d’avoir ouvert la voie à la montée du nazisme en précipitant l’Allemagne dans la crise économique.   »La situation de la zone grecque, nous l’avons coproduite (…) Il faut être exigeant et trouver un compromis pour la Grèce sur la base des réformes, de la soutenabilité de la dette, d’évolution des finances dans le temps. Nous aussi nous devons faire des efforts », a-t-il ajouté à l’occasion des Rencontres économiques d’Aix-en-Provence.

Grèce : « Tsipras doit partir » (Sarkozy)

Grèce : « Tsipras  doit partir » (Sarkozy)

 

Comme d’habitude Sarkozy ne faiat pas dans la dentelle, il veut que Tsipras parte en cas de oui comme de non eu referendum. L’argumentaire est spécieux et uniquement destiné à prendre le contrepied de Hollande (par ailleurs au discours très ambigu). Accessoirement il sait sans complexe sur la démocratie grecque.  Quant à sa proposition de gouvernement économique européen, c’est l’arlésienne. Si les Grecs répondent « non » au référendum organisé dimanche sur le plan d’aide européen à leur pays, alors leur Premier ministre Alexis Tsipras devra « partir », a donc déclaré, samedi, l’ancien président français Nicolas Sarkozy devant environ 4.00O sympathisants et militants. Il était l’invité d’honneur, dans le Loir-et-Cher, de la Fête de la Violette, le rassemblement annuel de la Droite Forte, courant conservateur du parti Les Républicains. Selon lui, « M. Tsipras s’est mis dans une situation impossible. Si le peuple grec dit oui au plan que propose l’Europe, Tsipras est obligé de partir. Si les Grecs disent non, Tspiras ne peut plus négocier, parce qu’alors, il reviendrait négocier avec ses partenaires européens avec un mandat encore plus dur que celui d’avant le référendum ». « Aujourd’hui, la question est moins de savoir comment protéger la Grèce que comment on protège les 18 autres pays actuellement membres de la zone euro », a affirmé M. Sarkozy. Quel que soit le résultat du référendum, l’Union européenne devra se doter rapidement d’un gouvernement économique (…) pour poser les conditions d’une harmonisation de nos politiques économiques. Ça doit être fait vite et sur la base d’un axe franco-allemand indestructible », a déclaré samedi l’ancien président français. « Quelle que soit la décision des Grecs, je demande que soit convoqué un sommet des chefs d’Etats de la zone euro sans tarder et que nous décidions à 18 ou 19 de tirer les conséquences de tout ce qu’il s’est passé depuis la création de la monnaie unique », a-t-il poursuivi.  Nicolas Sarkozy a fustigé le gouvernement grec d’Alexis Tsipras, qui a appelé les Grecs à voter « non » au plan « argent frais contre réformes » proposé par les créanciers d’Athènes.  »Avec Mme (Angela) Merkel, nous avons tout fait pour que la Grèce ne sombre pas », a-t-il dit, en se référant à la première crise de la dette grecque, dans les années 2010-2012. « Mais il y a eu un fait nouveau (…) c’est que la Grèce s’est dotée d’un premier ministre qui ne partage aucune de nos valeurs », a-t-il poursuivi. « Un homme qui dit aux créanciers qu’il a peu à faire de ce qu’ils pensent. »  »Mais moi je veux dit au premier ministre grec, prenez garde monsieur, parce que les créanciers, ce sont les contribuables français et européens », a-t-il lancé. « Vous n’avez pas le droit de les insulter et vous n’avez pas le droit de fuir les responsabilités qui sont les vôtres. »

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