Archive pour le Tag 'Grande -Bretagne'

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Grande Bretagne, ultralibéralisme mais pas pour les banques ; conséquences : 82 milliards perdus !

Grande Bretagne, ultralibéralisme mais pas pour les banques ; conséquences : 82 milliards perdus !

Après avoir sauvé les banques, il faut privatiser en Grande Bretagne, c’est une exigence idéologique. Bilan de l’ordre de 80 milliards qui seront perdus par le contribuable. L’État pourrait en effet ne jamais récupérer la totalité des 66 milliards de livres (82 milliards d’euros) injectés au capital des banques Royal Bank of Scotland (RBS) et Lloyds Banking Group au plus fort de la crise, redoute une commission parlementaire, dans un rapport publié ce vendredi. Sa crainte est que les candidats au rachat soient trop peu nombreux pour valoriser ces établissements, lorsqu’ils seront privatisés. Les pouvoirs publics – et donc les contribuables – détiennent toujours 81% de RBS et 39,6% de Lloyds.  Le document, très critique sur la gestion de la crise financière par le gouvernement travailliste, accuse le Trésor d’avoir pris «part à une faillite collective monumentale» en raison de son incapacité à «comprendre comment le boom» du secteur bancaire avant la crise «pouvait amener à une crise bancaire». La commission parlementaire des finances publiques prend pour exemple le sauvetage de la banque Northern Rock en 2007-2008, qu’il étrille sévèrement. «Le Trésor manquait de compétences pour comprendre Northern Rock. Il a mis trop de temps à nationaliser la banque», juge la commission. «Le sauvetage de Northern Rock devrait coûter au contribuable environ 2 milliards de livres», ajoute la députée travailliste Margaret Hodge, qui préside cette commission. Le parti travailliste au pouvoir n’avait eu d’autres choix que de nationaliser à grand frais Northern Rock, dont la politique de prêts risqués a été particulièrement préjudiciable.  Plus inquiétant encore, le rapport met en doute la capacité du Trésor à gérer une nouvelle crise. Il «doit s’assurer qu’il est préparé pour gérer toute future crise», réclame la commission.

Grande Bretagne : referendum sur l’Europe ?

Grande Bretagne : referendum sur l’Europe ?

 

C’est ce que demande Cohn Bendit ; il a raison car depuis l’adhésion de la Grande Bretagne, l’Europe est en permanence torpillée par la Grande Bretagne. A cause d’elle, l’Europe s’est réduite à une seule zone de libre échange, à cause delle la zone euro ne peut avancer car Cameron veut être présent dans les nouvelles instances européennes de la zone euro, à cause d’elle l’Europe ne peut se doter d’un outil budgétaire à la hauteur. Le problème de la Grande Bretagne, c’est celui de la France, elle se croit encore un des premiers pays du monde, la  sœur des Etats Unis alors que, comme la France, c’est devenu un petit pays ; de plus qui s’enfonce dans la récession. La grande puissance mondiale au rang d’un pays en déclin, comme la France. L’histoire, la superbe, la prétention ne suffisent plus à cacher la misère de ce pays qui veut être dans l’Europe mais aussi en dehors, à coté mais au cœur, proche mais éloigné en même temps. Le président du groupe écologiste au Parlement européen Daniel Cohn-Bendit s’est dit favorable à un référendum en Grande-Bretagne sur son maintien dans l’Union européenne, dans une interview au quotidien allemand Tagesspiegel. Le président du groupe écologiste au Parlement européen Daniel Cohn-Bendit s’est dit favorable à un référendum en Grande-Bretagne sur son maintien dans l’Union européenne, dans une interview au quotidien allemand Tagesspiegel. Il était interrogé après le vote du Parlement britannique poussant le Premier ministre David Cameron à radicaliser son attitude vis-à-vis de l’Europe sur la question du budget. A cet égard, le leader écologiste critique sévèrerent l’attitude des travaillistes britanniques qui ont voté avec les eurosceptiques pour mettre en difficulté M. Cameron. « Le comportement des députés travaillistes constitue le plus gros scandale », estime-t-il, dénonçant leur « pur opportunisme ». « Ils surfent uniquement sur une vague d’euroscepticisme en Grande-Bretagne parce qu’ils savent qu’ainsi ils peuvent coincer Cameron », dit-il. S’agissant du Premier ministre britannique, M. Cohn-Bendit estime qu’il souhaite exercer « le chantage permanent » avec l’Europe et qu’un référendum posant aux électeurs la question du maintien dans l’UE empêcherait par la suite ce type de comportement. Les eurosceptiques et l’opposition travailliste ont infligé mercredi un cinglant camouflet au Premier ministre britannique David Cameron, pressé de radicaliser son attitude en vue d’obtenir une réduction du budget pluriannuel de l’UE, au lieu du simple gel qu’il exige aujourd’hui. La chancelière Angela Merkel doit se rendre mercredi à Londres pour s’entretenir dans la soirée avec M. Cameron.

 

Grande Bretagne : manif énorme contre l’austérité

Grande Bretagne : manif énorme contre l’austérité

 

100 000 personnes sont descendues dans la rue samedi à Londres et dans d’autres villes britanniques pour manifester leur opposition à la politique d’austérité du gouvernement, déterminé malgré son impopularité grandissante à poursuivre cette cure de rigueur afin de réduire les déficits.  Pompiers, infirmières, enseignants, jeunes sans-emploi, militants ou représentants de l’opposition: des manifestants de toute origine ont défilé côte à côte pendant plusieurs heures dans la capitale, mais aussi à Glasgow (Ecosse) et à Belfast (Irlande du Nord), autour d’un même mot d’ordre: «non aux coupes budgétaires». A Londres, une grande banderole bleue ouvrait le cortège avec l’inscription : «l’austérité est un échec», une critique récurrente de l’opposition qui accuse la politique de rigueur d’entraver la reprise. «Le fait qu’il y ait des centaines et des centaines de personnes qui défilent aujourd’hui (…) est un bon indicateur: il y a un important pourcentage de gens dans ce pays qui sont fondamentalement contre les coupes, toutes les coupes», s’est réjoui un manifestant de 21 ans, dans le cortège. «Cela montre qu’il y a une résistance», a renchéri une jeune fille de 17 ans. Et d’ajouter : «Le gouvernement va avoir peur en voyant qu’il y a tellement de gens qui s’opposent à lui». Le secrétaire général de la confédération syndicale TUC Brendan Barber s’est félicité de cette mobilisation qui envoie «un message très fort». Ni les syndicats, ni la police n’ont toutefois fourni d’indications précises sur l’importance du défilé. Les organisateurs ont simplement déclaré que la police leur avait communiqué le chiffre d’au moins 100 000 manifestants. Prenant la parole à Hyde Park, un grand parc du centre de Londres, le dirigeant travailliste Ed Miliband a accusé le Premier ministre conservateur David Cameron de «faire des coupes trop importantes et trop rapides». «Il s’accroche à une politique économique qui ne marche pas», a-t-il lancé, tout en admettant que les travaillistes auraient «aussi des arbitrages difficiles à faire» quand ils reviendraient au pouvoir. Cette partie de son discours a été huée par certains manifestants, qui ont en revanche applaudi quand un dirigeant syndical a appelé à l’organisation d’une grève générale de 24 heures. Le gouvernement «nous avait dit que si nous faisions des sacrifices, la reprise économique serait au rendez-vous», a expliqué Brendan Barber. «Au lieu de quoi nous nous sommes enfoncés dans la récession». «La barque est pleine», a renchéri Dave Prentis, dirigeant d’Unison, plus grand syndicat de salariés du secteur public.

 

Grande-Bretagne: David Cameron serre encore la vis

Grande-Bretagne: David Cameron serre encore la vis

« Si nous n’agissons pas, si nous ne prenons pas des décisions difficiles et douloureuses, si nous ne faisons pas preuve de détermination et d’imagination, la Grande-Bretagne ne sera peut-être pas dans l’avenir ce qu’elle a été par le passé », a mis en garde David Cameron au quatrième et dernier jour de la conférence annuelle du parti conservateur qui se déroule à Birmingham (centre de l’Angleterre).   »Parce que la vérité est la suivante, nous sommes aujourd’hui dans une course mondiale, l’heure de vérité a sonné pour des pays comme le nôtre. Allons-nous nager ou couler, agir ou décliner », a-t-il déclaré, sur un ton grave.  Son discours fait suite aux annonces faites lundi par le ministre britannique des Finances, George Osborne, de nouvelles coupes draconiennes de 10 milliards de livres dans les dépenses sociales.  Ces coupes, qui toucheront notamment les allocations familiales ou les aides aux logements des jeunes chômeurs, s’ajoutent aux coupes de 18 milliards de livres déjà prévues d’ici à 2015 par le gouvernement de coalition conservateurs/libéraux démocrates de David Cameron.  Prise en tenaille entre ces mesures d’austérité et la crise de la zone euro, l’économie britannique est retombée en début d’année dans la récession.  La Grande-Bretagne peut toujours « gagner dans le monde difficile d’aujourd’hui », a cependant estimé le Premier Ministre, si elle suit l’exemple de la Chine et des pays émergents comme l’Inde ou le Brésil en rendant son économie moins « sclérosée ».   »Comment allons-nous nous en sortir? Ce n’est pas compliqué. En travaillant dur. En donnant la priorité à la famille. En prenant nos responsabilités. En servant les autres », a-t-il énuméré, reprenant les valeurs traditionnelles des Conservateurs.  Pour le travailliste Michael Dugher, « c’était le discours défensif (…) d’un dirigeant manifestement fragilisé » par le marasme économique et une forte impopularité.  Pour Fraser Nelson, le rédacteur en chef du magazine de droite The Spectator, le Premier ministre « a voulu dire +nous nous battons pour notre survie économique mais, bon, soyons optimistes (..) nous sommes un grand pays+ ».  Tim Bale, professeur de politique à l’université Queen’s Mary de Londres, a lui vu dans l’allocution de David Cameron « un discours dicté par les circonstances ». « En ce moment il n’a pas d’autres choix que d’apporter un peu d’espoir aux gens en leur promettant qu’après les moments difficiles, le pays s’en sortira et rejoindra le groupe des vainqueurs plutôt que celui des pays en déclin », a-t-il jugé.   »L’objet de son discours est de dire que ce qu’ils font, produit des résultats mais lentement », et que ce « n’est pas sa politique qui est en cause mais le contexte international ».

 

 

Les banquiers coupables de délits répondront devant la justice ; pas en France, en Grande Bretagne !

Les banquiers coupables de délits répondront  devant la justice ; pas en France, en Grande Bretagne !

Les banquiers devant la justice pour délit financier ; non pas en France, en Grande Bretagne. Nos banques françaises ont perdu des milliards en s’aventurant sur des produits à haut risque avec l’argent des déposants ; pas d’inquiétude, la BCE prête pour a trésorerie, les déposants et les actionnaires pour les pertes. Le contribuable est aussi sollicité car l’argent ainsi prêté vient de sa poche car c’est lui qui finance la BCE, les Etats, les MES et autres institutions financières publiques qui renflouent. En France les banquiers ne sont pas inquiétés, inutile on a notre bouc émissaire : kerviel ; le seul, l’unique responsable de la déroute de nos banques. Condamné à 400 000 ans de versement de son salaire. Les banquiers britanniques, eux, qui ont commis des délits financiers doivent en répondre devant des tribunaux, a estimé samedi le ministre britannique de la Justice Ken Clarke, alors qu’une nouvelle série de scandales secouent la City.   »Des investigations doivent bien sûr encore être menées, mais une fois que ces enquêtes seront terminées, si des délits ont été commis, leurs auteurs devront être traduits en justice », a-t-il expliqué sur la BBC, jugeant « choquants » les comportements révélés par ces affaires.   »Nous ne traitons pas comme il le convient les délits financiers au plan judiciaire dans ce pays », a-t-il ajouté. « Je pense qu’il est plus facile de s’en tirer quand on commet un délit financier que pratiquement n’importe quel autre délit ».  M. Clarke a aussi prôné un meilleur encadrement du secteur financier, soulignant que le gouvernement devrait résister aux pressions de la City.   »Il faut réfléchir à des règles plus contraignantes, comme nous avons prévu de le faire », a-t-il expliqué. « Nous devrons résister aux puissants lobbies qui vont nous dire que nous allons trop loin, que cela va nuire à la compétitivité (de la City) et autres choses du même acabit ».  La banque britannique Barclays a écopé mercredi d’amendes record pour avoir tenté de manipuler des taux d’intérêt de référence définissant le prix auquel les banques se prêtent de l’argent, mais aussi indirectement ceux des crédits aux ménages et aux entreprises.  Nombreux sont ceux qui réclament la démission de son patron, Bob Diamond, symbole de tous les excès de la City avec ses bonus faramineux et ses déclarations fracassantes.  L’autorité des marchés financiers a en outre révélé vendredi des « manquements graves » de la part des quatre grandes banques du pays: Barclays encore, Royal Bank of Scotland (RBS), Lloyds et HSBC. L’affaire porte sur la commercialisation de produits financiers plus ou moins complexes à des PME.  RBS a aussi cette semaine essuyé les foudres de ses clients, après un bug informatique qui a empêché pendant plusieurs jours des millions de personnes de retirer de l’argent ou de faire des virements.   »Quelque chose est vraiment allé de travers dans le secteur bancaire britannique, et nous avons besoin de le remettre en ordre », a résumé vendredi le gouverneur de la banque d’Angleterre Mervyn King.  Le Premier ministre David Cameron a aussi réclamé des enquêtes approfondies sur les récents scandales, pour que les responsables rendent des comptes.

 

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