Archive pour le Tag 'grand'

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Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

Participation des salariés : le grand absent de la campagne électorale

 

Un peu partout on se lamente des difficultés de recrutement et assez souvent d’un manque d’adhésion des salariés à la stratégie des entreprises.

En cause en France, la vision très manichéenne du pouvoir total au patron et des salariés considérés seulement comme des moyens de production.

La France aurait pourtant besoin de forme d’association des salariés pour faire face au déficit chronique de compétitivité du pays. Plus que d’autres la France a un urgent besoin aussi de redonner un sens au travail.

Malheureusement la question de la participation des salariés et la grande absente de la campagne électorale . Du côté de la droite , on se satisfait de cette partition des responsabilités pour éloigner le spectre du socialisme. Inversement à gauche, on est particulièrement heureux de n’avoir pas à se mêler de gestion qui pourrait faire apparaître les contradictions et l’incongruité de certaines revendications. Bref un accord commun pour des motifs différents qui entretient une situation duale  voire caricaturale en France. On est loin de l’association pratiquée en Allemagne qui permet à l’appareil de production d’être particulièrement dynamique et compétitif sans parler du différentiel de salaire plus favorable outre-Rhin

2022-Le grand vide politique face à Zemmour

2022-Le grand vide politique face à Zemmour

À juste titre, Raphaël Glucksmann ,député européen a souligné le grand vide politique face à Zemmour. Pour preuve notamment ce débat avec Mélenchon ce dernier en dépit de sa qualité oratoire a largement peiné face à son débat  sur BFM.
 

« Mon problème ce n’est pas Zemmour, mon problème c’est nous », a lancé ce jeudi matin sur BFMTV-RMC le député européen Raphaël Glucksmann, fondateur du mouvement de gauche Place Publique. Interrogé sur la tenue du débat entre Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour ce jeudi soir sur BFMTV, il a critiqué le manque de « passion » de la classe politique actuelle.

« Mon problème ce n’est pas Zemmour, mon problème c’est nous, le vide qui lui fait face, le vide qui lui fait place. Mon problème c’est que face à Zemmour il n’y a pas de contre-récit », a-t-il déclaré, ajoutant que par conséquent, « le seul récit français qui s’impose aujourd’hui c’est celui d’Éric Zemmour ».

 Si le polémiste, condamné pour provocation à la haine, prend autant de place dans le débat public ces dernières semaines, c’est parce qu’il a « quelque chose que les autres semblent avoir perdu c’est la flamme, la foi », explique Raphaël Glucksmann. Et ce alors qu’autour de lui il y a « un univers où personne n’a la foi, où tout le monde débite des éléments de langage ultra-entendus et qu’il n’y a plus de sincérité ».

 « Sa France est extrêmement rabougrie, elle est petite, xénophobe, mais il a une foi », martèle le député européen. Et c’est ce supplément qu’il possède par rapport à ses adversaires qui le rend « extrêmement dangereux ».

« Vous savez ce qu’il se passe quand tout tourne autour d’un soleil? À la fin le soleil avale les astres morts, et c’est la leçon des États-Unis, la leçon de Trump, tout le monde lui a tapé dessus, tout le monde a fait des couv’ sur sa vie, ses frasques, ses mensonges… Et à la fin c’est lui qui gagne », déplore Raphaël Glucksmann.

En ce sens, selon lui, avant de s’attaquer à Éric Zemmour, qui n’est toujours pas officiellement candidat à la présidentielle, il faut que la gauche « s’interroge sur son vide », explique-t-il. « Sur le fait qu’elle a été au pouvoir pendant des années et a complètement déçu, n’a rien proposé comme transformation qui donne sens au fait d’être Français ». Il évoque également la nécessité de se questionner sur le libre-échange, la désindustrialisation du pays ou encore « le fait que le délitement civique s’imposait partout. C’est cela qui doit nous interroger ».:

France-Violences dans les stades de foot: Enfin la pénalisation ?

France-Violences dans les stades  de foot: Enfin la pénalisation ?

 

La violence dans les stades de football notamment à l’occasion des matchs professionnels a atteint un niveau inadmissible remarquédans le monde entier. En cause le laxisme des clubs vis-à-vis de leurs supporters et la paralysie des autorités sportives aussi bien de la ligue de football professionnel que de la fédération. Or les coupables peuvent être facilement repérés par les systèmes de caméras qui équipent les stades et par les chaînes de télévision.

Observons cependant que ce phénomène est plus global et qu’il affecte d’une façon générale les rassemblements dans le pays. Le signe d’un État particulièrement défaillant incapable de faire régner l’ordre et d’une justice très laxiste »Personne n’a vu arriver cette violence ». La ministre déléguée chargée des Sports Roxana Maracineanu s’est dite prête à prendre des mesures pour endiguer les violences de plus en plus nombreuses entre supporters en Ligue 1. Au micro de RTL ce vendredi 24 septembre, la ministre appelle « tout le monde à se mettre autour de la table » pour trouver des solutions.

Une déclaration finalement assez molle car la seule solution est une réponse pénale mettant en cause les individus coupables de violence et non la masse de supporters pacifiques.

 

Le grand vide politique face à Zemmour

Le grand vide politique face à Zemmour

À juste titre, Raphaël Glucksmann ,député européen a souligné le grand vide politique face à Zemmour. Pour preuve notamment ce débat avec Mélenchon ce dernier en dépit de sa qualité oratoire a largement peiné face à son débat hier sur BFM.

« Mon problème ce n’est pas Zemmour, mon problème c’est nous », a lancé ce jeudi matin sur BFMTV-RMC le député européen Raphaël Glucksmann, fondateur du mouvement de gauche Place Publique. Interrogé sur la tenue du débat entre Jean-Luc Mélenchon et Éric Zemmour ce jeudi soir sur BFMTV, il a critiqué le manque de « passion » de la classe politique actuelle.

« Mon problème ce n’est pas Zemmour, mon problème c’est nous, le vide qui lui fait face, le vide qui lui fait place. Mon problème c’est que face à Zemmour il n’y a pas de contre-récit », a-t-il déclaré, ajoutant que par conséquent, « le seul récit français qui s’impose aujourd’hui c’est celui d’Éric Zemmour ».

Si le polémiste, condamné pour provocation à la haine, prend autant de place dans le débat public ces dernières semaines, c’est parce qu’il a « quelque chose que les autres semblent avoir perdu c’est la flamme, la foi », explique Raphaël Glucksmann. Et ce alors qu’autour de lui il y a « un univers où personne n’a la foi, où tout le monde débite des éléments de langage ultra-entendus et qu’il n’y a plus de sincérité ».

« Sa France est extrêmement rabougrie, elle est petite, xénophobe, mais il a une foi », martèle le député européen. Et c’est ce supplément qu’il possède par rapport à ses adversaires qui le rend « extrêmement dangereux ».

« Vous savez ce qu’il se passe quand tout tourne autour d’un soleil? À la fin le soleil avale les astres morts, et c’est la leçon des États-Unis, la leçon de Trump, tout le monde lui a tapé dessus, tout le monde a fait des couv’ sur sa vie, ses frasques, ses mensonges… Et à la fin c’est lui qui gagne », déplore Raphaël Glucksmann.

En ce sens, selon lui, avant de s’attaquer à Éric Zemmour, qui n’est toujours pas officiellement candidat à la présidentielle, il faut que la gauche « s’interroge sur son vide », explique-t-il. « Sur le fait qu’elle a été au pouvoir pendant des années et a complètement déçu, n’a rien proposé comme transformation qui donne sens au fait d’être Français ». Il évoque également la nécessité de se questionner sur le libre-échange, la désindustrialisation du pays ou encore « le fait que le délitement civique s’imposait partout. C’est cela qui doit nous interroger ».:

Un « grand mouvement de revalorisation des salaires » ( Hidalgo)

Un « grand mouvement de revalorisation des salaires » ( Hidalgo)

Comme d’autres Hidalgo va sans doute participé à une vaste foire de promesses électorales. Anne Hidalgo a en effet déclaré vouloir « valoriser le travail  » et permettre aux « salaires de remonter ».

Dans son ouvrage Une femme française qui sort mercredi, elle se positionne en faveur d’un « grand mouvement de revalorisation des salaires », à commencer par ceux des professeurs, des policiers et des gendarmes.

Autre axe programmatique évoquée aujourd’hui par l’édile, celui d’une « décentralisation aboutie ». « Le temps des communes et de la décentralisation des pouvoirs est venue », écrit-elle dans son livre. Une façon de tenter de se détacher de son image de Parisienne, qui ne parviendrait qu’à s’adresser à un électorat « bobo ».

Sur la question environnementale elle a déclaré :« Les solutions écologistes ne sont pas un renoncement. Elles forment un choix, une nécessité. (…), Oui, je veux que les étudiants mangent à leur faim et et une nourriture saine. Oui, je veux que les enfants respirent un air pur. (…) Je porterai un plan sur 5 ans pour décarboner massivement notre économie. »

Bref, le concours Lépine des promesses est engagé.

Un autre grand patron tech chinoise viré

Un autre grand patron  tech chinoise viré

 

Le fondateur de JD.com, Richard Liu, n’est pas viré  à proprement parler mais mis dans un placard. D’autres grands patrons chinois ont déjà subi le même sort.

.En mars dernier, Colin Huang, fondateur et président de la plateforme Pinduoduo, rivale de JD.com et d’Alibaba, avait renoncé à son statut d’actionnaire de référence du groupe. Quelques mois auparavant, il avait confié la direction opérationnelle de Pinduoduo à Chen Lei, qui a depuis repris la fonction de président. Sans parler du grand patron qui a été purement et simplement tué: Lai Xiaomin, ancien patron du conglomérat financier China Huarong condamné notamment pour bigamie. À noter aussi la mise à l’écart du grand patron d’Alibaba.

Cryptomonnaies: Un grand risque de déstabilisation financière

 

Cryptomonnaies: Un grand risque de déstabilisation financière

L’économiste Luke Bartholomew prédit, dans une tribune au « Monde », une cohabitation délicate entre les cryptomonnaies privées et celles que s’apprêtent à émettre les banques centrales.(Extrait)

 

Tribune. 

Comment écarter la menace que représentent les cryptomonnaies pour la stabilité des systèmes financiers mondiaux, et permettre aux banques centrales de garder le contrôle de la masse monétaire et des taux d’intérêt ? La solution envisagée à ce problème très urgent passe par l’émission par les banques centrales de leurs propres monnaies numériques. Mais si celles-ci leur permettaient de garder le contrôle, elles pourraient également provoquer d’importants bouleversements.

D’ici quelques années, plusieurs grandes banques centrales émettront une forme de monnaie numérique nationale. Des travaux sont actuellement en cours à la Réserve fédérale américaine (Fed), à la Banque centrale européenne (BCE) et à la Banque d’Angleterre.

La Banque populaire de Chine a pris une longueur d’avance ; elle en est déjà au stade pilote. Elle a créé une cryptomonnaie nationale qui fonctionne à travers une application téléphonique. L’objectif déclaré est de remplacer l’argent liquide, d’améliorer l’inclusion financière et de mettre en place des systèmes de paiement plus efficaces dans tout le pays. La Chine dispose déjà d’un réseau de paiement par téléphone très sophistiqué, et la population semble avoir moins de scrupules en matière de protection de la confidentialité.

Une monnaie numérique émise par une banque centrale (MNBC) est similaire à certains égards au bitcoin, mais elle est émise dans la monnaie nationale : nous pourrions donc voir naître un « eurocoin » ou un « britcoin », stockés sur un registre numérique ou détenus sur des comptes de particuliers ouverts auprès de la banque centrale.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi  Les banques centrales accélèrent la cadence de l’innovation

Les avantages pour les gouvernements sont tout d’abord de prévenir la menace que font peser actuellement les monaies numériques privées sur la stabilité financière et leur pouvoir économique, et aussi de maintenir le contrôle de la masse monétaire et des taux d’intérêt pour soutenir la politique économique.

De plus, les banques centrales auraient de meilleures informations sur la manière dont les gens dépensent, et pourraient piloter plus facilement la « monnaie hélicoptère » (l’aide financière directe distribuée aux ménages ou aux entreprises). Les MNBC offriraient également une plus grande souplesse en matière de taux d’intérêt négatifs si elles débouchaient sur l’abolition de la monnaie en espèces. Cela pourrait contribuer à stimuler les économies en période de récession.

Les détenteurs de MNBC bénéficieraient d’un actif sans risque car, contrairement aux banques commerciales, les banques centrales ne peuvent pas faire faillite. Les processus de paiement seraient également beaucoup moins coûteux, plus rapides et plus aisés pour les mouvements de fonds internationaux.

Nord Stream 2 : Le grand marchandage, des garanties à l’Ukraine

Nord Stream 2 : Le grand marchandage, des garanties à l’Ukraine

L’Allemagne a enfin réussi à mettre fin à l’opposition américaine vis-à-vis du gazoduc Russo allemand. En échange les États-Unis semblent avoir obtenu des assurances pour l’indépendance et le développement de l’Ukraine souvent menacée par la Russie.

L’objectif est   de renforcer les liens de l’UE avec l’Ukraine en en faisant un partenaire privilégié de la transition énergétique à l’abri de toute menace de Moscou. Selon l’agence Bloomberg, Washington et Berlin seraient ainsi prêts à mobiliser conjointement 1 milliard de dollars pour un « fonds vert » destiné à développer les énergies renouvelables en Ukraine afin d’en faire un fournisseur d’hydrogène. L’Allemagne nommerait également un envoyé spécial chargé de soutenir les projets énergétiques bilatéraux avec l’Ukraine.

Le vice-président de la commission européenne, Maros Sefcovic, a en outre annoncé la semaine dernière une alliance sur les matières premières et les batteries avec Kiev. Sur les 30 matières premières critiques pour sa souveraineté identifiées par l’UE, 21 se trouvent en Ukraine, notamment le lithium, le cobalt, le titane et les terres rares. Le « Wall Street Journal » rapporte, par ailleurs, que l’Allemagne soutiendra les discussions sur l’énergie dans le cadre de l’initiative des trois mers (Baltique, Adriatique et mer Noire) qui vise à renforcer la coopération en Europe centrale, notamment dans le domaine de la politique énergétique.

La question qui reste posée est cependant celle de l’attitude de la Russie à l’avenir vis-à-vis de l’Ukraine.

Hypertrophie démocratique : un grand débat pour trouver un autre nom à EHPAD !

Hypertrophie démocratique : un grand débat pour trouver un autre nom à EHPAD !

 

Encore une caricature de débat démocratique avec ce grand débat ouvert pour changer le nom des EHPAD.

« L’EHPAD est mort, vie l’EHPAD » ! Je souhaite d’ailleurs que ce nom change. Je lancerai pour cela une consultation citoyenne à l’automne. »A déclaré la ministre inconnue Brigitte Bourguignon

“Les Français ne veulent plus du modèle actuel de l’Ehpad. Ils souhaitent rester le plus longtemps possible à domicile. Nous allons leur en donner les moyens avec le virage domiciliaire et les Ehpad en seront un des acteurs majeurs”, a défendu l’ancienne socialiste qui prépare un texte de loi sur le sujet. Emmanuel Macron prévoyait ce texte important pour le grand âge en 2019 mais la majorité n’a encore jamais trouvé le temps ou l’espace au Parlement pour le défendre. ·

En attendant, à la rentrée les Français seront invités à ce débat fondamental qui vise à changer le nom des EHPAD !

La bombe démographique avec le grand âge

La bombe démographique avec le grand âge

 

 

Quelque 2,6 millions de personnes ont 85 ans et plus en France en 2020, et ce nombre va croître de 70 % d’ici à 2040. Dans une tribune pour « Le Monde », des juristes, des responsables de fédérations, des médecins et des élus rappellent qu’il est « urgent d’agir » pour répondre au défi.

 

Tribune.

 

 Les relations avec ceux qui ont beaucoup vécu nous ramènent à l’essentiel, aux liens personnels, profonds. Elles permettent aussi de créer un lien entre les différentes époques et conditions sociales. Elles questionnent les urgences, rappellent des fondamentaux. Chez les personnes atteintes d’une altération des capacités physiques ou cognitives, l’objectif est de garder le plus vivant et authentique possible le dialogue avec la personne. Même si la parole est moins claire, même si l’expression ne se fait plus que par gestes et expressions, elle doit toujours être écoutée et reçue avec attention.

Le cri d’alarme lancé par des professionnels qui accompagnent les personnes très âgées n’a pourtant pas été entendu en 2018. Et la pandémie de Covid-19 a jeté une lumière crue sur leur difficulté de vivre, à domicile comme en établissement.

Face à des enjeux qui ne vont cesser de croître avec les évolutions démographiques, il est urgent d’agir : 2,6 millions de personnes ont 85 ans et plus en France en 2020. Ce nombre va croître de 70 % d’ici à 2040, en raison de l’augmentation de la durée de vie et de l’arrivée au grand âge des baby-boomeurs. Une bonne nouvelle. A condition qu’on ne refuse pas d’accorder les moyens nécessaires pour prendre en charge ceux qui ont le plus besoin de soins, d’attention ou de plaisirs : leur désir de vie est toujours là ; il doit être pris en compte.

Largement en retard dans ce domaine, la France ne fait pas assez pour le rattraper. Dans les années où Nicolas Sarkozy fit réaliser des études sérieuses et bien informées, le dossier fut refermé sans un mot. Le quinquennat de François Hollande a vu l’adoption de dispositions législatives intéressantes mais sans les moyens financiers à la hauteur des enjeux. Le gouvernement d’Edouard Philippe a permis une concertation approfondie et consensuelle portée par Dominique Libault ; puis un rapport de Myriam El Khomri sur la revalorisation des conditions d’exercice des professionnels ; enfin une réflexion de Denis Piveteau et de Jacques Wolfrom sur l’habitat partagé, permettant d’éviter l’isolement au domicile tout en demeurant « chez soi » avec des services communs. En fin de compte, 500 propositions émanant de nombreux rapports se sont empilées au fil des ans.

La pandémie de Covid-19 a mis en évidence les conditions souvent difficiles, voire inacceptables, dans lesquelles exercent les professionnels qui interviennent auprès des personnes âgées, en même temps que la souffrance de ceux dont ils prennent soin.

Bac: Le grand oral ne prépare pas au supérieur

Bac: Le grand oral ne prépare pas au supérieur

Jean-Rémi Girard, président du Syndicat national des lycées et collège (Snalc), invité d’Europe 1 dimanche estime que le grand oral ne prépare pas au supérieur. INTERVIEW sur Europe 1

 Le contrôle continu représentera au minimum 82% de la note finale de l’examen, l’épreuve écrite de philosophie et celle du grand oral correspondant aux 18 % restants. Epreuve phare du nouveau bac, cette dernière inquiète beaucoup d’élèves de Terminale et suscite de nombreuses critiques. Après une année scolaire très perturbée par le Covid-19, « on est à la limite de la purge », soupire Jean-Rémi Girard, président du Syndicat national des lycées et collège (Snalc), invité d’Europe 1 dimanche.

« Tous mes collègues travaillent dans des conditions très compliquées depuis novembre. La plupart du temps, on ne voyait les élèves qu’un jour sur deux », rappelle-t-il. D’autant que le ministère de l’Education nationale ne prévoit selon lui pas d’heures spécifiques pour la préparation de cette épreuve. « Nous devons préparer les élèves pendant les heures de spécialité, alors que le programme est déjà très chargé. »

Pour cette épreuve, les candidats préparent avec leurs professeurs deux questions liées à leurs enseignements de spécialités. Le jury en sélectionne une. Après un temps de préparation, l’élève présente sa réponse, qui doit être le fruit d’une « réflexion personnelle », selon le ministère. L’exercice doit permettre aux candidats d’apprendre à s’exprimer en public, « de façon claire et convaincante », compétence « fondamentale » pour la vie personnelle et professionnelle, soulignait début mai Jean-Michel Blanquer.

 

Pour Jean-Rémi Girard, le grand oral ne remplit pas ces objectifs, loin de là. « Le grand oral ne change rien au bachotage, les élèves vont préparer deux questions puis réciter leur réponse. Il faut arrêter de dire que ça prépare les élèves au supérieur. »

Justice : encore un grand débat en forme sans doute de bla-bla

Justice : encore un grand débat en forme sans doute de bla-bla

 

 

  • Curieux cette tendance du pouvoir a lancé des grands débats sur nombre de sujets en associant nombre d’acteurs. Bref la redécouverte de la démocratie. Ainsi c’est surtout sur la pression populaire et la constatation indiscutable d’une violence incontrôlée que le président de la république décide soudain de lancer les états généraux de la justice. Il y a dans cette annonce une certaine enflure sémantique dans la mesure où en réalité il ne s’agira que d’une discussion sur quelques semaines. Alors que l’ampleur du sujet mériterait sans doute une bonne année d’analyse et de propositions. Après le fast-food qui domine la gastronomie ordinaire c’est la fast démocraty qui domine le monde politique.

 

Ces semaines d’échanges – probablement jusqu’en décembre – doivent réunir l’ensemble des acteurs de la justice : magistrats, greffiers, avocats, administration pénitentiaire, notaires… « Et des citoyens », ajoute-t-on au cabinet du ministre de la Justice, Eric ­Dupond-Moretti. « L’idée est d’impulser enfin une réforme systémique », selon l’Elysée. Parmi les thèmes qui seront sur la table : les moyens, les missions et l’image de la justice, ainsi que la gestion des délais…

Il  faut « une refondation bâtie sur un mode transpartisan », selon l’Elysée, qui précise que les états généraux seront donc pilotés par « des politiques de très haut niveau et issus d’horizons politiques différents ». Du côté du garde des Sceaux, on insiste sur le besoin de « lutter contre le sentiment de ­défiance », en complément du projet de loi pour la confiance dans l’institution judiciaire, actuellement examiné au Parlement. Une curieuse démarche que de lancer avec pompes apparentes des Jetta États Généraux alors qu’une loi concernant l’institution judiciaire sera préalablement votée.

Foot : le grand retour de Benzema

Foot : le grand retour de Benzema

Indéniablement , le retour annoncé de Benzema en équipe de France de foot constitue un événement. En effet ce dernier a été écarté de la sélection pendant cinq ans essentiellement pour des questions de rapports avec l’entraîneur et pour des motifs extra-sportifs. Un retour sportivement justifié car l’intéressé est sans aucun doute l’un des meilleurs avants-centres du monde. Son retour tombe à pic dans la mesure où l’équipe de France peine à trouver la stabilité pour occuper le poste stratégique de numéro neuf.

 

Les 26 Bleus pour l’Euro 2020 (11 juin-11 juillet) :
Gardiens : Lloris (Tottenham), Mandanda (Marseille), Maignan (Lille)
Défenseurs : Pavard (Bayern), Varane (Real), Kimpembe (PSG), L. Hernandez (Bayern), Digne (Everton), Dubois (Lyon), Koundé (Séville), Lenglet (Barcelone), Zouma (Chelsea)
Milieux : Kanté (Chelsea), Pogba (Manchester United), Lemar (Atlético), Rabiot (Juventus), Sissoko (Tottenham), Tolisso (Bayern)
Attaquants : Ben Yedder (Monaco), Benzema (Real), Coman (Bayern), Dembélé (Barcelone), Giroud (Chelsea), Griezmann (Barcelone), Mbappé (PSG), M. Thuram (M’Gladbach)

INSÉCURITÉ: un grand débat sur la drogue pour quoi faire ?

INSÉCURITÉ: un grand débat sur la drogue pour quoi faire ?

 

 

À défaut de politique volontariste dans des différents champs régaliens notamment la sécurité ou encore la laïcité, le pouvoir fait de la communication en lançant des débats tous azimuts. Ce sera encore le cas où la question de la drogue dont le président estime qu’il a des effets délétères du point de vue sanitaire mais aussi sur la délinquance.

 

Pourquoi en fait un débat sur cet objet de délinquance ? Pourquoi pas aussi un débat sur le port d’armes ou l’alcoolisme. L’arsenal législatif est largement suffisant, il suffit de l’utiliser pour combattre les délits visés voire les crimes.  Le président semble en faites découvrir un problème qui est devenu général ce que la plupart des quartiers sensibles devenus des sortes de supermarchés de la drogue avec drive et même livraison à domicile (on compte au moins 50 centres de vente de drogue par département !). Le chiffre d’affaires de la drogue représente autour de 4 milliards effet vive plusieurs centaines de milliers de personnes. On compte au moins 1 million de consommateurs.

cannabis les chiffres:

Cannabis 45 % des adultes de 18 à 64 ans ont expérimenté le cannabis 11 % sont des usagers actuels 39 % des jeunes de 17 ans ont expérimenté le cannabis et 7 % sont des fumeurs réguliers Usage problématique ou dépendance pour 3 % des 18-64 ans et 7 % des 17 ans 59 000 personnes prises en charge en raison de leur consommation de cannabis dans les CSAPA 24 000 jeunes consommateurs de cannabis accueillis dans les CJC Conduire sous l’influence du cannabis multiplie par 1,7 le risque d’être responsable d’un accident mortel de la route 115 tonnes de cannabis saisies dont 85,4 tonnes de résine et 29,8 tonnes d’herbe 136 600 plants saisis De 150 000 à 200 000 consommateurs ont recours à l’autoculture Consommations (2018, 2017, 2014) En 2017, l’expérimentation du cannabis concerne 45 % des adultes de 18 à 64 ans. La consommation dans l’année s’élève à 11 % (15 % pour les hommes et 7 % pour les femmes), cette proportion s’avérant stable par rapport à 2014. Un usage régulier est déclaré par 3,6 % de la population [1]. Chez les collégiens, l’usage au cours de la vie a reculé entre 2014 et 2018 de 9,8 % à 6,7 % [3]. À 17 ans, près de quatre jeunes sur dix (39 %) ont expérimenté le cannabis. En 2017, ce niveau est en forte baisse par rapport à 2014 et s’avère le plus bas depuis 2000 [2]. L’usage régulier concerne 7,2 % des jeunes de 17 ans contre 9,2 % en 2014, les garçons plus souvent que les filles (9,7 % contre 4,5%). La France est le pays dont la prévalence de consommation de cannabis est la plus élevée chez les jeunes et les adultes en Europe [24]. Usage problématique et dépendance (2017, 2014) Selon le Cannabis Abuse Screening Test (CAST), outil de repérage des usages problématiques de cannabis, 25 % des usagers actuels de 18 à 64 ans présentent en 2017 un risque élevé d’usage problématique ou de dépendance ; cette proportion a progressé depuis 2014 (21 %). Au total, 3 % des 18-64 ans, (4 % des hommes et 1 % des femmes) sont concernés, soit un peu plus de 1 million de personnes [1]. À 17 ans, la fréquence de l’usage problématique a augmenté entre 2014 et 2017, passant de 22 % à 25 % des usagers actuels (29 % pour les garçons et 20 % pour les filles), soit une proportion de 7 % sur l’ensemble des jeunes de 17 ans (correspondant à environ 60 000 jeunes de cet âge) [2]. Soins (2016, 2014, 2013, 2010) Le nombre de personnes citant le cannabis comme produit posant le plus de problème dans les CSAPA a progressé de 55 % entre 2010 et 2016, passant de 38 000 à 59 000 patients [25]. Ce nombre représente un cinquième des personnes vues dans les CSAPA. Les plus jeunes consommateurs sont généralement accueillis dans l’une des 540 « consultations jeunes consommateurs » (CJC), qui dépendent le plus souvent d’un CSAPA [25, 26]. On peut estimer à 24 000 le nombre de jeunes consommateurs de cannabis accueillis au cours de l’année dans les CJC. Le nombre total de personnes vues par un professionnel de soins pour un problème lié au cannabis dépasse 59 000, d’autres professionnels (hospitaliers, médecins de ville) étant également susceptibles d’accueillir ces consommateurs. Environ 40 % des personnes vues pour un problème de consommation de cannabis dans les CSAPA sont adressées par la justice à la suite d’une interpellation. Le nombre de personnes hospitalisées dans un établissement de santé avec un diagnostic principal associé ou relié de troubles mentaux ou du comportement liés à l’usage de cannabis ou de dérivés est en hausse : 37 000 en 2017 vs 23 000 en 2013 [7]. Le cannabis est la première substance illicite à l’origine des recours aux urgences, soit 5 500 d’entre eux (27 %), un chiffre probablement sous-estimé [27]. Mortalité (2017, 2011) Ce risque d’être responsable d’un accident mortel est multiplié par 29 en cas de consommation conjointe d’alcool et de cannabis [12]. Vingt-huit décès liés à la toxicité aiguë cardiovasculaire du cannabis ont été signalés en 2017 [28]. Saisies (2018, 2017) Les saisies de cannabis ont fortement progressé en 2017 et 2018. Celles de résine, qui représentaient plus de 90 % du total tout au long des années 2000, restent majoritaires mais voient leur part baisser, alors que celles d’herbe augmentent nettement (25 %). Les saisies de plants se maintiennent à un niveau élevé [29]. La quasi-totalité de la résine saisie provient du Maroc où la culture de variétés hybrides se développe, contribuant à l’élévation des teneurs en THC [30]. L’herbe, outre la production locale, provient désormais de plus en plus d’Espagne et moins des Pays-Bas. Cultures sur le territoire national (2017) En 2017, 7 % des usagers récents (au cours du mois) de 18 à 64 ans, soit de 150 000 à 200 000 personnes, ont eu recours, durant l’année à l’autoculture pour se procurer leur cannabis [1]. Parmi les adolescents de 17 ans, 4,9 % des usagers dans le mois citent l’autoculture comme mode d’approvisionnement en cannabis [2]. Alors qu’on dénombre environ 300 magasins d’horticulture spécialisés dans la vente de produits pour la culture de plantes en intérieur (growshops), l’augmentation des saisies de plants depuis 2010 témoigne de l’implantation des pratiques de cannabiculture. Celles-ci peuvent inclure des plantations contrôlées notamment par des structures relevant du crime organisé [31]. OFDT – page 5 5,6 % des adultes ont expérimenté la cocaïne et 1,6 % sont des usagers actuels 2,8 % des jeunes de 17 ans ont expérimenté la cocaïne 16,4 tonnes de cocaïne saisies 70-80 € le gramme de cocaïne Cocaïne dont cocaïne basée (crack, freebase) Consommations (2017, 2014) En 2017, parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans, 5,6 % ont expérimenté la cocaïne. La consommation au cours de l’année, en progression, concerne 1,6 % des personnes âgées de 18 à 64 ans, et nettement plus les hommes que les femmes (2,3 % vs 0,9 %) [1]. En 2017, 2,8 % des jeunes de 17 ans déclarent avoir pris de la cocaïne au moins une fois au cours de leur vie : cette expérimentation concerne 3,1 % des garçons vs 2,4 % des filles [2]. En 2017, le nombre d’usagers de crack/freebase parmi les 15-64 ans était estimé, à partir des usagers fréquentant les structures de soins et de réduction des risques et des dommages, à 27 000 au cours du mois, soit une prévalence de moins de 1 pour mille [34]. Saisies (2018) Après avoir atteint 17,5 tonnes en 2017, un niveau sans précédent, les saisies de cocaïne se sont stabilisées à un niveau élevé, avec 16,4 tonnes en 2018 [29]. Les Antilles françaises jouent un rôle croissant dans l’approvisionnement du marché métropolitain par voie maritime. Outre ce vecteur principal, le trafic aérien par le biais des passeurs en provenance de Guyane ne cesse d’augmenter ces dernières années [32]. Les saisies de crack (cocaïne circulant sous sa forme chimique base) sont les plus élevées depuis 2000 [29]. Le marché du crack, concentré à Paris où il a gagné en visibilité, semble progresser en Île-de-France et dans le nord du pays [35]. Prix et pureté (2018, 2017, 2009) L’augmentation du prix médian du gramme de cocaïne se confirme, avec un niveau situé entre 70 et 80 € selon les sources, alors qu’il s’était stabilisé pendant quelques années entre 60 et 65 € [29, 32, 36]. Pour la cocaïne, le taux moyen de pureté des échantillons saisis dans la rue (< 10 g) atteint près de 59 %, alors qu’il était de 35 % en 2009 [33]. Drogues, Chiffres clés 2019 5,0 % des adultes ont expérimenté la MDMA/ecstasy 1,0 % sont des usagers actuels 3,4 % des 17 ans ont expérimenté la MDMA/ecstasy 1,07 million de comprimés d’ecstasy saisis 10 € le comprimé et 54 € le gramme de MDMA MDMA/ecstasy Consommations (2017) En 2017, 5,0 % des 18-64 ans ont expérimenté la MDMA/ecstasy et la consommation dans l’année concerne 1,0 % d’entre eux, après une forte hausse entre 2010 et 2014 (de 0,3 % à 0,9 %) [1]. L’expérimentation de MDMA/ecstasy à 17 ans est de 3,4 %, en recul par rapport à 2014 ; elle concerne 3,9 % des garçons et 2,8 % des filles [2]. Saisies (2018) Les quantités saisies de comprimés d’ecstasy restent élevées. La France étant aussi un pays de transit, une part importante des quantités saisies est destinée aux pays européens voisins, notamment le Royaume-Uni et l’Espagne [29]. Prix et pureté (2018, 2017) Le prix médian du comprimé d’ecstasy se situe autour de 10 €, de même que le parachute (dose de poudre enveloppée dans du papier à cigarette pour être gobée). Sous sa forme cristal/poudre, la MDMA se vend entre 40 et 60 € le gramme [29]. Les teneurs moyennes en MDMA dans les comprimés saisis ont augmenté au cours des dix dernières années. En 2017, elles semblent se stabiliser autour de 128 mg/comprimé. Ce phénomène s’observe en lien avec les nouveaux designs de comprimés présentant des formes en 3D, aux couleurs attrayantes, avec des masses élevées [32, 36]. La concentration moyenne mesurée sur les échantillons de MDMA poudre/cristal saisis est quant à elle en constante augmentation : de 21 % en 2010, elle est passée à près de 72 % en 2017 [33]. Prix et pureté (2018, 2017, 2016) Depuis 2011, le prix médian du gramme d’herbe de cannabis payé par l’usager a augmenté [29, 32], évolution qui semble liée à la forte hausse des taux de THC. S’agissant du prix de la résine, la tendance semble plus modérée selon les sources. La teneur moyenne en THC de la résine de cannabis a presque triplé en quinze ans, pour atteindre 26,5 % en 2018, tandis que celle de l’herbe a augmenté de 40 %, pour atteindre plus de 11 % en 2018 [33].

 

 Emmanuel Macron reconnaît que les trafics de stupéfiants « explosent » et « forment la matrice économique de la violence dans notre pays ».

« Les éradiquer par tous les moyens est devenu la mère des batailles, puisque la drogue innerve certains réseaux séparatistes mais aussi la délinquance du quotidien, y compris dans les petites villes épargnées jusqu’ici. Ne laisser aucun répit aux trafiquants de drogue, c’est faire reculer la délinquance partout », souligne-t-il.

Tariq Ramadan, le charlatan, chante le tube du «grand remplacement»

Tariq Ramadan, le charlatan, chante le tube du «grand remplacement»

 

Le charlatan et mondain Tariq ramadan se reconvertit dans le showbiz et le slam en chantant les vertus du grand emplacement et tenter ainsi de faire oublier les affaires juridiques dans lesquelles il est impliqué. Enfin le vrai visage de celui qui a tellement séduit aussi dans les salons parisiens notamment pour sa modération !

 

«Cela fait des siècles que vous volez et mentez. Vous seriez venus, dites-vous, pour nous civiliser. Vous avez méprisé nos langues, nos cultures, nos religions, humilié nos mémoires, souillé nos traditions». Avant de reprendre en refrain: «Attendez ! Mais qu’est-ce que vous croyez ? Que l’on va rester là assis à vous regarder ? Piller nos terres, nos richesses, nos minerais ? Vous laisser tranquillement écrire l’histoire et la coloniser?»

 

 

Suivent les menaces à peine voilées: «Soit vous partagez, soit on se servira!». «Des peuples traversent la misère, restent fiers et dignes, et, même, ils se multiplient. Votre ordre et vos frontières n’auront raison ni de notre jeunesse, encore moins de la vie, pontifie-t-il. Demain, dans vos rues, nous marcherons, libres et sereins. Demain, entendez, la fraternité et la diversité seront seules garantes de votre sécurité».

: «Vous avez peur ? Vous allez perdre vos privilèges et votre identité ? La mixité serait donc votre perte et bientôt vous serez sauvagement remplacés ? Dormez en paix, amis de l’égalité, nous ne sommes venus ni pour remplacer, ni pour voler. Au-delà des couleurs, des religions, nous sommes une bonne nouvelle, un vent de liberté».

Une petite musique qu’il avait déjà entonnée dans son livre Devoir de vérité*: «La France est encore prisonnière de ses aspirations impériales et de ses penchants dominateurs: elle n’a réglé ni la question du colonialisme, ni celle de la xénophobie et du racisme», assénait Ramadan dans un chapitre intitulé «Prisonnier politique?». Énumérant des personnalités blanches accusées de viol, il s’interrogeait encore: «Comment se fait-il que je sois le seul en prison, un  »Arabe », bien sûr, un  »musulman », dont la plus grande faute est sans doute de gêner la classe politique et les intellectuels français?».

 

L’écrivain Mohamed Sifaoui, directeur de publication de la plateforme islamoscope.tv, n’y voit aussi que «du marketing»: «Ramadan a une détestation profonde pour la société française et occidentale, propre d’ailleurs aux Frères musulmans, analyse-t-il. Ce ressentiment s’est accentué avec son passage en prison. Malgré ces paroles qui cherchent à séduire les islamo-gauchistes, il sera très difficile pour lui de rebondir: il est désormais vomi par tous ceux qui étaient ses adeptes hier».

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