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France- Après les émeutes le grand silence …..de Macron ?

France- Après les émeutes, le grand silence …..de Macron ?

Thierry Beaudet, Président du Conseil Économique, Social et Environnemental (CESE) estime que seul un débat public à l’instar du Grand débat national des Gilets jaunes permettra une réelle reconstruction sociale. « Le trait commun aux réactions politiques est de faire entrer cette éruption de violence dans une grille de lecture toute prête sans solliciter les habitants des quartiers malmenés, qui sont pourtant les premières victimes des émeutes. » (Thierry Beaudet, Président du Conseil Économique, Social et Environnemental)

Souvenez-vous. Nous sommes fin 2018. Depuis près de deux mois, le mouvement des Gilets jaunes occupe l’espace public, il est sur les ronds-points dans tout le territoire, dans les rues des villes moyennes, dans les quartiers aisés de la capitale… Les environs des Champs-Élysées, au cœur du pouvoir, deviennent un terrain d’affrontement physique et symbolique. En décembre, en sus de mesures d’urgence, est annoncé le Grand débat national. Celui-ci se déroule pendant trois mois, autour des grands thèmes imposés par le mouvement: la transition écologique, la fiscalité, l’organisation de l’État et des services publics, la démocratie et la citoyenneté. La participation est évaluée à 1,5 million de personnes.

Nous sommes fin juin 2023. À la suite de la mort du jeune Nahel lors d’un contrôle policier, la France s’embrase avec une rare violence, dans 66 départements et 516 communes. En cinq nuits, le bilan matériel dépasse celui des trois semaines d’émeutes de 2005 : 5.000 véhicules incendiés, 1.000 bâtiments dégradés ou brûlés, 250 attaques de commissariats ou de gendarmeries. Trois mois plus tard, le pays semble être passé à autre chose. Nos concitoyens vivant dans ces quartiers aimeraient sans doute eux aussi passer à autre chose. Ils n’en ont pas la possibilité tant leur quotidien semble immuable.

Bien sûr, ces deux événements ne sont pas de même nature, même s’ils expriment chacun un profond malaise social. Mais arrêtons-nous un instant. Dans un cas, nous nous sommes efforcés d’en sortir par le haut, en sollicitant la parole de millions de Français. Alors que dans l’autre, le champ de vision s’est restreint aux seuls fauteurs de violences, avec, le plus souvent, un prisme sécuritaire.

Depuis les émeutes, les explications se succèdent, reflétant trop souvent l’intérêt partisan de ceux qui les expriment : défaut d’autorité parentale, rapport entre police et population, immigration, manque de services publics, influence néfaste des réseaux sociaux ou des jeux vidéo. Sans doute y a-t-il une part de vérité dans ces hypothèses, mais aucune n’embrasse à elle seule la réalité dans son ensemble. Et puis sur quoi sont-elles étayées ? Un diagnostic administratif fondé sur la seule analyse des profils et motivations des délinquants interpellés ? C’est largement insuffisant.

Le trait commun aux réactions politiques est de faire entrer cette éruption de violence dans une grille de lecture toute prête sans solliciter les habitants des quartiers malmenés, qui sont pourtant les premières victimes des émeutes. On ne le dira jamais assez, celles et ceux qui subissent l’insécurité au quotidien et pâtissent des destructions matérielles, ce sont d’abord les habitants eux-mêmes. Il faudrait plutôt prendre la peine d’aller à leur rencontre : écouter les besoins, les ressentis, les attentes de cette population qu’on réduit trop souvent à sa fraction violente. Cesser de considérer les problèmes de ces quartiers comme étant les leurs, et pas les nôtres collectivement. Cette stigmatisation et ce défaut d’écoute figent peu à peu leur destin, et leur identité.

Il ne s’agit pas de trouver des « excuses sociologiques » aux fauteurs de troubles ni des excuses tout court. Il n’y en a jamais à la violence. Pas plus qu’il ne s’agit de sombrer dans une forme de mortification collective. Beaucoup de moyens ont été consacrés à la politique de la ville depuis des décennies. Ils sont indispensables. Toutefois, le renouvellement du bâti, aussi nécessaire soit-il, ne suffit pas à lutter contre la ségrégation et la ghettoïsation. Il nous faut reconstruire une société, pas seulement des immeubles. Les obstacles ne sont pas toujours matériels, et ceux qui ne le sont pas sont parfois les plus difficiles à repérer. Pour y parvenir, le meilleur moyen est d’écouter leurs habitants, de créer un espace dans lequel ils puissent délibérer, afin qu’ils s’accordent sur les problèmes, les priorités et entament une véritable coconstruction des solutions.

Je déplore qu’aucune démarche comparable par son ampleur et dans son esprit à celle du grand débat ne se fasse jour. Les braises sont encore chaudes, et certains semblent espérer que les violences urbaines ne se répètent que tous les dix-huit ans… Le grand débat avait pourtant massivement exprimé un besoin d’écoute. En témoignent, parmi les propositions recueillies à l’époque, le souhait d’un recours fréquent à la proportionnelle, la prise en compte du vote blanc, l’association des citoyens à la décision publique par le biais du tirage au sort, le référendum au niveau local… On peut discuter des modalités. Mais l’envie de s’exprimer et de contribuer était bien là. Cette volonté est toujours tenace. Nous pouvons lutter contre une crise grâce aux enseignements d’une autre crise en donnant corps à ces aspirations citoyennes.

Défaisons-nous d’une forme de condescendance à l’égard de ces quartiers relégués qui nous fait considérer leurs habitants comme des mineurs civiques. Tant qu’une émeute ne trouve pas de débouché politique, elle reste une émeute, condamnée tôt ou tard à se répéter. Il est encore temps de sortir cet épisode malheureux du vide politique où il est retombé. À travers le Conseil économique, social et environnemental, la société civile va se mobiliser, avec humilité, mais détermination. Je forme le voeu qu’elle soit rejointe rapidement par celles et ceux qui refusent la fatalité d’un retour de la violence.

Pouvoir d’achat : Le prochain grand conflit en France

Pouvoir d’achat : Le prochain grand conflit en France

Les médias et les experts en général sous-estiment largement le mécontentement des salariés et des ménages vis-à-vis de la chute de leur pouvoir d’achat. Pour l’instant, on se focalise sur des orientations illusoires ( écologie, sécurité, immigration etc.) faute évidemment de moyens à la hauteur des enjeux.

Dernièrement, la question du carburant a montré l’immobilisme total d’un gouvernement minoritaire non seulement à l’Assemblée nationale mais de plus en plus discrédité dans l’opinion. La première ministre et le ministre de l’économie en fait preuve à cet égard d’une grande hypocrisie concernant l’envolée du prix de l’essence. D’une grande irresponsabilité aussi par exemple en supprimant l’aide aux carburants du secteur déjà sinistré de la pêche.( Du coup, on importe de plus en plus).

Sans entrer dans une bataille de chiffres plus ou moins pertinents( on peut démontrer ce qu’on veut en fonction des méthodologies), on constate tout simplement et surtout la hausse de l’alimentaire de 20 % sur deux ans et envol du prix du carburant. Au total le pouvoir d’achat sur deux ans a diminué de 10 % pour les ménages.

Tout augmente pas seulement l’alimentaire ou le carburant mais toutes les dépenses contraintes (chauffage, assurances, électricité, taxe foncière, abonnements, les services en général etc.)

Ce sont les bas salaires et les couches moyennes qui font les frais de cette inflation galopante qui a permis aux grands groupes de spéculer et de réaliser des résultats financiers exceptionnels.

En réalité, l’inflation est un phénomène particulièrement pervers qui permet une redistribution à l’envers des ménages vers les profits des grandes sociétés. Comme une sorte d’impôt sur les achats mais sans passer par la case fiscalité officielle.

Certes, le pouvoir politique ne peut pas tout dans ce domaine mais il pourrait au moins d’une part inciter à la négociation pour faire baisser les prix, d’autre part inciter aussi à la discussion dans les branches et les entreprises pour augmenter les salaires. Pourtant le gouvernement actuel n’agit ni sur l’un ni sur l’autre se limitant à des discours creux voire mensongers.

Social- le prochain grand conflit , sur le pouvoir d’achat en France

Social- le prochain grand conflit , sur le pouvoir d’achat en France

Les médias et les experts en général sous-estiment largement le mécontentement des salariés et des ménages vis-à-vis de la chute de leur pouvoir d’achat. Pour l’instant, on se focalise sur des orientations illusoires ( écologie, sécurité, immigration etc.) faute évidemment de moyens à la hauteur des enjeux.

Dernièrement, la question du carburant a montré l’immobilisme total d’un gouvernement minoritaire non seulement à l’Assemblée nationale mais de plus en plus discrédité dans l’opinion. La première ministre et le ministre de l’économie en fait preuve à cet égard d’une grande hypocrisie concernant l’envolée du prix de l’essence. D’une grande irresponsabilité aussi par exemple en supprimant l’aide aux carburants du secteur déjà sinistré de la pêche.( Du coup, on importe de plus en plus).

Sans entrer dans une bataille de chiffres plus ou moins pertinents( on peut démontrer ce qu’on veut en fonction des méthodologies), on constate tout simplement et surtout la hausse de l’alimentaire de 20 % sur deux ans et envol du prix du carburant. Au total le pouvoir d’achat sur deux ans a diminué de 10 % pour les ménages.

Tout augmente pas seulement l’alimentaire ou le carburant mais toutes les dépenses contraintes (chauffage, assurances, électricité, taxe foncière, abonnements, les services en général etc.)

Ce sont les bas salaires et les couches moyennes qui font les frais de cette inflation galopante qui a permis aux grands groupes de spéculer et de réaliser des résultats financiers exceptionnels.

En réalité, l’inflation est un phénomène particulièrement pervers qui permet une redistribution à l’envers des ménages vers les profits des grandes sociétés. Comme une sorte d’impôt sur les achats mais sans passer par la case fiscalité officielle.

Certes, le pouvoir politique ne peut pas tout dans ce domaine mais il pourrait au moins d’une part inciter à la négociation pour faire baisser les prix, d’autre part inciter aussi à la discussion dans les branches et les entreprises pour augmenter les salaires. Pourtant le gouvernement actuel n’agit ni sur l’un ni sur l’autre se limitant à des discours creux voire mensongers.

Prix de l’alimentaire : du « panier au caddie inflation », le grand guignol du gouvernement

Prix de l’alimentaire : du « panier au caddie inflation », le grand guignol du gouvernement


Alors que l’inflation persiste et atteint des sommets notamment dans l’alimentaire et dans l’énergie, le gouvernement joue la stratégie de l’embrouille. Au lieu d’imposer aux professionnels de la distribution et aux industriels une renégociation des prix, le ministre de l’économie et l’inutile Olivia Grégoire, supposée ministre des PME, inventent un nouveau concept : le caddie anti inflation à la place du panier. Un panier anti inflation complètement virtuel; aucun résultat sérieux d’un point de vue statistique . Il a seulement généré le baratin du gouvernement. Dans le même temps évidemment on apprend que les dividendes dans le monde entier mais surtout à en France ont atteint des niveaux tout à fait exceptionnels.Le fonds monétaire international reconnaît lui-même que si les hausses sont dues à hauteur de 40 % à l’inflation par compte, 45 % provient de l’augmentation des profits.

Évidemment cette initiative de caddie anti inflation vise à masquer l’exceptionnel envolé des prix de l’alimentaire. Des prix qui ont augmenté d’au moins 20 % sur deux ans alors que les salaires ont été amputés de 4 à 5 % par l’inflation. Le gouvernement fait de l’agitation propre à propos du pouvoir d’achat. Il n’est même pas capable de mettre autour d’une table d’un côté les industriels de l’autre les supermarchés qui en définitive profitent de cette inflation.

Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie et Olivia Grégoire, aux PME reçoivent ce mercredi matin les représentants de la grande distribution (Auchan, Carrefour etc.) Le lendemain, ce sera au tour des industriels de l’alimentaire.

Pourtant, depuis des mois, l’exécutif veut que ces professionnels reprennent langue, se remettent autour de la table et rouvrent des négociations commerciales. Alors que le cours de plusieurs matières premières – blé, céréales etc -, est en baisse, il souhaite que ces réductions se répercutent sur les étiquettes, dans les rayons. Mais le gouvernement se montre incapable d’imposer cette négociation et ne la veut sans doute pas en réalité

« Les consommateurs se privent de produits essentiels », c’est en ces termes alarmistes, qu’Alexandre Bompard s’exprimait ce mardi matin, sur FranceInfo. Le PDG de Carrefour fait état d’un véritable « tsunami de déconsommation », enregistrant des baisses des ventes à deux chiffres sur de nombreux produits – dentifrice, serviettes hygiéniques, couches… mais aussi poissons, viande, fruits frais etc-. Et d’ajouter, « les Français sautent des repas, pour faire des économies….»

Même son de cloche du côté de Dominique Schelcher, le patron de Système U. Dans un post sur LinkedIn, il confirme les données d’une enquête LSA : « 75 % des Français déclarent avoir des fins de mois difficiles… ce chiffre est une alerte majeure, le bouleversement est profond. »

Dans ce contexte, le gouvernement craint que la colère des Français n’éclate. Septembre est un mois souvent difficile pour les familles. Beaucoup ne parviennent pas à boucler les budgets. Aussi, ce mardi, en marge de la REF, Bruno Le Maire, le ministre de l’Economie a-t-il insisté : « Payer moins cher est la priorité des Français. Et notre priorité. On doit tous se serrer les coude s».

Aussi le ministre compte-t-il demander aux industriels et distributeurs d’élargir le nombre de produits sur lesquels ils peuvent baisser les prix. « Je souhaite que plus d’industriels s’engagent contre la vie chère et plus fortement. Et je souhaite que ces décisions soient inscrites dans le temps. » Et du côté d’Olivia Grégoire, chargée des PME qui suit également le dossier, on veut leur demander de passer « du panier au caddie inflation. »…. Du vrai guignol !

Le grand enjeu : la répartition équitable de la valeur créée 

Le grand enjeu : la répartition équitable de la valeur créée 

Quatre ans après l’adoption de la loi Pacte qui promeut la responsabilité sociale des entreprises (RSE), Pierre Victoria, expert associé Fondation Jean Jaurès plaide, dans une tribune au « Monde », pour un partage de la valeur plus favorable aux salariés, dont le pouvoir d’achat est érodé par l’inflation.

Au creux de l’été, les entreprises du CAC 40 ont annoncé, pour la quasi-totalité d’entre elles, des résultats semestriels particulièrement satisfaisants : 85 milliards d’euros de profits, un bénéfice en hausse de 12,7 % par rapport au premier semestre 2022. Les grandes entreprises françaises vont bien et c’est une bonne nouvelle pour notre économie nationale et pour l’emploi en France.

Cependant ces annonces contrastent avec les conséquences de l’inflation pour les ménages, l’augmentation abusive de certains prix, à commencer par ceux de l’essence, au prétexte facile du conflit ukrainien et du prix des matières premières.

Force est de constater que l’inflation a pesé sur le pouvoir d’achat des Français et pas sur celui des marges des grandes entreprises. Le grand gagnant de ces six derniers mois, c’est l’actionnaire que 20 % des entreprises du CAC 40 souhaitent encore plus privilégier au cours du second semestre grâce à la procédure hautement contestable des rachats d’actions qui permet d’accroître artificiellement le bénéfice par action détenue.

Pourtant la loi Pacte (Plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), votée en 2019, avait pour ambition de faire croître les entreprises tout en précisant leurs responsabilités à l’égard de toutes leurs parties prenantes. Son volet sociétal avait été largement inspiré, à défaut d’être totalement repris, des quatorze propositions du rapport réalisé par Nicole Notat et Jean-Dominique Senard, à l’époque PDG de Michelin, à l’issue d’un long travail de concertation par l’ensemble des parties prenantes de l’entreprise.

Le législateur a construit un dispositif à trois étages qui se complètent : définition d’une raison d’être pour définir son utilité sociétale, possibilité de se doter de la qualité de société à mission pour le contrôle de la mise en œuvre effective de ses engagements sociaux et environnementaux par les parties prenantes et modification de l’objet social de la société commerciale.

Désormais toutes les entreprises doivent être gérées en prenant en considération les enjeux environnementaux et sociaux. Ainsi est reconnue l’idée essentielle que l’entreprise est une construction collective qui a des comptes à rendre, non seulement à ses actionnaires mais à l’ensemble de ses parties prenantes.

Toujours dans l’attente du plan grand âge

Toujours dans l’attente du plan grand âge

Le gouvernement ne semble pas avoir pris la mesure du défi que représente l’explosion à venir du nombre de personnes âgées de plus de 75 ans, estime Luc Broussy, responsable du cercle de réflexion Matières grises, dans une tribune au « Monde ». Il prône des investissements massifs.

« Notre maison brûle et nous regardons ailleurs », s’exclamait Jacques Chirac au Sommet de la Terre à Johannesburg, en 2002. Vingt ans plus tard, il serait tout aussi légitime d’ajouter : « Notre maison vieillit et nous regardons ailleurs », tant la certitude du réchauffement climatique n’a d’égale que l’inéluctabilité du vieillissement de la population.

S’il est impossible de prévoir le niveau des taux d’intérêt à six mois ou la météo à huit jours, on connaît en revanche à la virgule près le nombre de personnes qui seront âgées de 85 ans et plus en 2050. Et pour cause : les baby-boomeurs nés entre 1945 et 1965 sont potentiellement les nonagénaires des années 2035-2055.

Mais tous les « vieux » ne le seront pas au même moment et dans les mêmes conditions. Alors que le nombre de « 85 ans et plus » stagne peu ou prou entre 2020 et 2030, il succédera à cette étape de plaine une véritable « Alpe-d’Huez » démographique, puisque les « 85 ans et plus » passeront brutalement entre 2030 et 2050 de 2,5 millions à 4,8 millions – soit une hausse de + 85 % en vingt ans. Du jamais-vu dans l’histoire humaine !

D’autant que durant l’actuelle décennie 2020-2030, un autre défi se joue : celui de l’explosion des « 75-84 ans », dont le nombre va croître de 4 millions à 6 millions d’ici à 2030 (+ 50 %). Là encore, un phénomène tout à fait inédit dans son ampleur.

A ces deux périodes – avant et après 2030 – et à ces deux phénomènes démographiques – explosion du nombre des « 75-84 ans », puis des « 85 ans et plus » – correspondent deux types de politiques publiques.

Horizon 2030

La première consiste à permettre aux « 75-84 ans » de conserver le plus longtemps possible leur autonomie en bénéficiant d’un logement adapté (10 000 seniors meurent chaque année de chutes domestiques, d’où la bonne nouvelle du lancement en janvier 2024 de MaPrimeAdapt’), en sauvegardant des liens sociaux (500 000 personnes âgées vivent dans une situation d’isolement et de « mort sociale »), en évoluant dans un environnement urbain bienveillant (transports et mobilier urbain adaptés, voirie sécurisée, accès aux commerces, aux résidences seniors ou à un habitat inclusif…).

La seconde nécessite d’anticiper à l’horizon 2030 les solutions permettant de faire face aux défis de la dépendance : création d’établissements et de services, embauche de personnels supplémentaires, meilleure solvabilisation des bénéficiaires et des aidants… Dans ce domaine, une loi de programmation – que le député (Parti socialiste) Jérôme Guedj a proposée récemment à.

Société-Emeutes : le grand silence de Macron !

Emeutes : le grand silence de Macron !


Pour éviter la question des émeutes qui fâche et qui ternit sérieusement sa gouvernance, Macron n’a cessé de reculer sa prise de parole. Il a ainsi annulé la causerie habituelle du 14 juillet. Il devait parler les jours suivants mais finalement ce n’est que le 24 juillet loin de Paris à Nouméa qu’il s’expliquera sans doute de façon très ambiguë sur ce séisme sociétal. Encore KO debout après les émeutes dans la plupart des quartiers chauds de la France et même des quartiers plus calmes, le président de la république se montre d’une curieuse discrétion sur cette question. C’est à peine s’il l’a évoqué en réunissant ses ministres.Et récemment Il s’est contenté de renvoyer la balle aux familles mais rien sur l’école, le trafic de drogue et la sécurité en général Ce président si bavard pour intervenir à peu près sur toutes les questions qui dépendent du Premier ministre, des ministres ou même de l’administration s’est montré en la circonstance particulièrement absent. Rien pendant les événements et même rien après puisqu’il a même annulé la causerie habituelle du 14 juillet justement pour éviter d’avoir à s’expliquer sur ce sujet.

Cela démontre à l’évidence que le président de la république a été particulièrement secoué par un phénomène social qui a fait réémerger la crise de nombre de banlieues et de populations mal intégrées voire qui rejettent les valeurs républicaines ou tout simplement les valeurs sociétales.

Macron aurait eu du mal à se positionner lui qui a publiquement rejeté le plan global de Borloo en mai 2018. Un plan global justement élaboré avec les acteurs et qui proposait des actions dans toutes les dimensions économiques, sociales mais aussi formation, développement économique et intégration globale.

On notera que lors de son interview à Nouméa, le chef de l’État s’est efforcé de minimiser très fortement les émeutes allant même jusqu’à considérer que la situation avait été mieux gérée que lors des événements de 2005. Une comparaison tout à fait maladroite et malhonnête. En effet en 2005 le nombre de quartiers concernés avait été notoirement plus faible, la violence moins importante et les dégâts moins considérables. Macon a aussi dégagé la responsabilité de l’État à leur qu’une crise générale d’autorité l’affecte.

Emeutes : le grand silence de Macron !

Emeutes : le grand silence de Macron !


Pour éviter la question des émeutes qui fâche et qui ternit sérieusement sa gouvernance, Macron n’a cessé de reculer sa prise de parole. Il a ainsi annulé la causerie habituelle du 14 juillet. Il devait parler les jours suivants mais finalement ce n’est que le 24 juillet loin de Paris à Nouméa qu’il s’expliquera sans doute de façon très ambiguë sur ce séisme sociétal. Encore KO debout après les émeutes dans la plupart des quartiers chauds de la France et même des quartiers plus calmes, le président de la république se montre d’une curieuse discrétion sur cette question. C’est à peine s’il l’a évoqué en réunissant ses ministres. Ce président si bavard pour intervenir à peu près sur toutes les questions qui dépendent du Premier ministre, des ministres ou même de l’administration s’est montré en la circonstance particulièrement absent. Rien pendant les événements et même rien après puisqu’il a même annulé la causerie habituelle du 14 juillet justement pour éviter d’avoir à s’expliquer sur ce sujet.

Cela démontre à l’évidence que le président de la république a été particulièrement secoué par un phénomène social qui a fait réémerger la crise de nombre de banlieues et de populations mal intégrées voire qui rejettent les valeurs républicaines ou tout simplement les valeurs sociétales.

Macron aurait eu du mal à se positionner lui qui a publiquement rejeté le plan global de Borloo en mai 2018. Un plan global justement élaboré avec les acteurs et qui proposait des actions dans toutes les dimensions économiques, sociales mais aussi formation, développement économique et intégration globale.

On notera que lors de son interview à Nouméa, le chef de l’État s’est efforcé de minimiser très fortement les émeutes allant même jusqu’à considérer que la situation avait été mieux gérée que lors des événements de 2005. Une comparaison tout à fait maladroite et malhonnête. En effet en 2005 le nombre de quartiers concernés avait été notoirement plus faible, la violence moins importante et les dégâts moins considérables. Macon a aussi dégagé la responsabilité de l’État à leur qu’une crise générale d’autorité l’affecte.

Politique-Violences: le grand silence de Macron !

Politique-Violences: le grand silence de Macron !


Pour éviter la question des émeutes qui fâche et qui ternit sérieusement sa gouvernance, Macron n’a cessé de reculer sa prise de parole. Il a ainsi annulé la causerie habituelle du 14 juillet. Il devait parler les jours suivants mais finalement ce n’est que le 24 juillet loin de Paris à Nouméa qu’il s’expliquera sans doute de façon très ambiguë sur ce séisme sociétal. Encore KO debout après les émeutes dans la plupart des quartiers chauds de la France et même des quartiers plus calmes, le président de la république se montre d’une curieuse discrétion sur cette question. C’est à peine s’il l’a évoqué en réunissant ses ministres. Ce président si bavard pour intervenir à peu près sur toutes les questions qui dépendent du Premier ministre, des ministres ou même de l’administration s’est montré en la circonstance particulièrement absent. Rien pendant les événements et même rien après puisqu’il a même annulé la causerie habituelle du 14 juillet justement pour éviter d’avoir à s’expliquer sur ce sujet.

Cela démontre à l’évidence que le président de la république a été particulièrement secoué par un phénomène social qui a fait réémerger la crise de nombre de banlieues et de populations mal intégrées voire qui rejettent les valeurs républicaines ou tout simplement les valeurs sociétales.

Macron aurait eu du mal à se positionner lui qui a publiquement rejeté le plan global de Borloo en mai 2018. Un plan global justement élaboré avec les acteurs et qui proposait des actions dans toutes les dimensions économiques, sociales mais aussi formation, développement économique et intégration globale.

Poltique-Emeutes: le grand silence de Macron !

Poltique-Emeutes: le grand silence de Macron !


Pour éviter la question des émeutes qui fache et qui ternit sérieusement sa gouvernance, Macron n’a cessé de reculer sa prise de parole. Il a ainsi annulé la causerie habituelle du 14 juillet. Il devait parler les jours suivants mais finalement ce n’est que le 24 juillet loin de Paris à Nouméa qu’il s’expliquera sans doute de façon très ambiguë sur ce séisme sociétal. Encore KO debout après les émeutes dans la plupart des quartiers chauds de la France et même des quartiers plus calmes, le président de la république se montre d’une curieuse discrétion sur cette question. C’est à peine s’il l’a évoqué en réunissant ses ministres. Ce président si bavard pour intervenir à peu près sur toutes les questions qui dépendent du Premier ministre, des ministres ou même de l’administration s’est montré en la circonstance particulièrement absent. Rien pendant les événements et même rien après puisqu’il a même annulé la causerie habituelle du 14 juillet justement pour éviter d’avoir à s’expliquer sur ce sujet.

Cela démontre à l’évidence que le président de la république a été particulièrement secoué par un phénomène social qui a fait réémerger la crise de nombre de banlieues et de populations mal intégrées voire qui rejettent les valeurs républicaines ou tout simplement les valeurs sociétales.

Macron aurait eu du mal à se positionner lui qui a publiquement rejeté le plan global de Borloo en mai 2018. Un plan global justement élaboré avec les acteurs et qui proposait des actions dans toutes les dimensions économiques, sociales mais aussi formation, développement économique et intégration globale.

Emeutes: le grand silence de Macron !

Emeutes: le grand silence de Macron !


Encore KO debout après les émeutes dans la plupart des quartiers chauds de la France et même des quartiers plus calmes, le président de la république se montre d’une curieuse discrétion sur cette question. C’est à peine s’ils la évoquaient en réunissant ses ministres. Ce président si bavard pour intervenir à peu près sur toutes les questions qui dépendent du premier ministre, des ministres ou même de l’administration s’est montrée en la circonstance particulièrement absent. Rien pendant les événements et même rien après puisqu’il a même annulé la causerie habituelle du 14 juillet justement pour éviter d’avoir à s’expliquer sur ce sujet.

Cela démontre à l’évidence que le président de la république a été particulièrement secoué par un phénomène social qui a fait réémerger la crise de nombre de banlieues et de populations mal intégrées voir qui rejette les valeurs républicaines ou tout simplement les valeurs sociétales.

Macon aurait eu du mal à se positionner lui qui a publiquement rejeté le plan global de Borloo en mai 2018. Un plan global justement élaboré avec les acteurs et qui proposait des actions dans toutes les dimensions économiques, sociales mais aussi formation, développement économique.

Emeutes quartiers: le grand vide politique

Emeutes quartiers: le grand vide politique

« Tout se passe comme si les quartiers étaient dans un vide politique, comme si les rages et les révoltes ne débouchaient sur aucun processus politique » estime François Dubet le Professeur émérite de sociologie à l’université de Bordeaux, François Dubet qui a travaillé sur la théorie sociologique, la sociologie de l’éducation, les inégalités sociales et les sentiments d’injustice. Il est l’auteur de La préférence pour l’inégalité. Comprendre la crise des solidarités (Seuil, 2014), Le temps des passions tristes. Inégalités et populisme (Seuil, 2019) Tous inégaux, tous singuliers. Repenser la solidarité (Seuil, 2022).


Que vous inspirent la mort, à Nanterre, de Nahel M. par un policier et les émeutes qui ont éclaté ensuite dans la plupart des banlieues françaises ?

Chaque « bavure » policière, chaque révolte des banlieues est singulière mais c’est la répétition des événements qui devrait nous interroger.

Depuis les émeutes de la banlieue lyonnaise, dans les années 1980, nous avons connu plusieurs dizaines de révoltes – certaines locales, d’autres plus larges comme en 2005, certaines dans des grandes villes, d’autres dans des plus petites. Chaque fois, un ou plusieurs jeunes ont été tués ou blessés par la police et chaque fois, les jeunes ont saccagé les équipements publics de leur quartier – les mairies, les centres sociaux, les écoles… Chaque fois, la violence a débordé des cités et chaque fois, les pillages se sont mêlés à la révolte. Dans tous les cas, les parents ont compris ces jeunes qui sont leurs enfants tout en condamnant les violences qui détruisent leur quartier.

Chaque fois aussi, les uns condamnent les violences policières, la ségrégation, le racisme, la pauvreté et les ghettos urbains, alors que d’autres condamnent les immigrés et l’ensauvagement de la société. L’impuissance des acteurs politiques semble aussi se répéter .

Nouveau pacte financier mondial : un grand grand flou décevant

Nouveau pacte financier mondial : un grand grand flou décevant

Le résultat est forcément décevant car les thèmes étaient trop nombreux et trop flous. La seule avancée est d’ordre démocratique avec une place plus importante donnée à la voix des pays en développement. Pour le reste ,le mélange de la réforme du système financier (système de Bretton Woods notamment), l’aide à la pauvreté, la lutte contre le climat et la répartition des richesses à largement complexifié la problématique. Pour Macron, une partie de l’objectif est atteint et il s’agissait pour lui de renforcer sa stature internationale.

Le thème le plus prioritaire était sans doute de l’endettement de certains pays hors même sur ce thème aucune décision n’a été prise. Un endettement autour de 8000 milliards dont la moitié détenue par la Chine qui continue et en profite pour intensifier son néocolonialisme sur les pays pauvres notamment en Afrique dont elle pille les ressources.

Les besoins sont faramineux. Selon l’ONG Oxfam, les pays à revenus faibles et moyens ont besoin de 27 000 milliards de dollars d’ici à 2030 pour répondre aux besoins en matière de dépenses climatiques et sociales. Face à ces montants, les 100 milliards de dollars par an promis depuis la COP15 de Copenhague, en 2009, et finalement réunis pour la première fois cette année, ne suffisent pas à crier victoire. De même, l’annonce de la réallocation par les pays riches de l’équivalent de 100 milliards de dollars de droits de tirages spéciaux à destination du Sud n’est que la confirmation d’un engagement pris en 2021.

Ceux qui espéraient que le sommet soit l’occasion d’acter de nouveaux prélèvements – notamment sur les activités polluantes – sont repartis déçus. La possibilité de taxes internationales sur les transactions financières, sur les billets d’avion (comme c’est le cas en France depuis 2008) et sur les transports maritimes, n’a pas abouti.

En revanche, cette dernière option fait désormais l’objet d’un appui politique de plus en plus important. A tel point que ses promoteurs espèrent que cette piste se concrétisera au sommet de l’Organisation maritime internationale, prévu début juillet. « On a un club de ceux qui pensent comme nous et c’est à l’Organisation maritime internationale que la négociation doit se tenir et que nous la tiendrons », a promis Emmanuel Macron, en référence à la petite vingtaine de pays susceptibles de signer un accord.

Pour tout dire les résultats sont très modeste et les pays pauvres restent un peu sur leur faim. ces pays ont très clairement appelé à ce que les institutions financières aident les Etats à concrétiser leurs propres stratégies de développement. Ainsi, pour le président sud-africain, Cyril Ramaphosa, les nations du Sud attendent « non seulement une réforme de l’architecture financière internationale, mais aussi qu’elles se traduisent par des projets pratiques concernant notamment les infrastructures. C’est à cette condition que nous, les Africains, serons convaincus que cela vaut la peine de se rendre à ce genre de sommet, d’aller jusqu’en Europe et d’écouter toutes ces promesses », a-t-il prévenu.

À noter toutefois une avancée concernant l’endettement de la Zambie ( autour de 17 milliards) alors que plusieurs pays font face à l’aggravation de leur endettement face aux multiples crises. Les pays créanciers de la Zambie (notamment la Chine) ont accepté de restructurer 6,3 milliards de dollars de dette (soit environ 5,8 milliards d’euros), plus de deux ans après le défaut de paiement du pays.

« J’aime l’esprit de coopération et de partenariat que j’ai observé ici », a appuyé à la tribune le président kényan, William Ruto. « Je pense que c’est la bonne manière de travailler. » Si le système financier n’a pas été revu de fond en comble, la place accordée aux pays en développement dans ces discussions constituerait-elle déjà une forme de révolution ?

Sciences- Qu’est-ce qui est plus grand que l’infini ?

Sciences- Qu’est-ce qui est plus grand que l’infini ?
par
Julien Rouyer
Agrégé de mathématiques et doctorant en informatique., Université de Reims Champagne-Ardenne (URCA) dans The Conversation

Quel est le plus grand nombre que tu connais ? Quand on pose cette question à un tout jeune enfant, il répond souvent cent (100) ou mille (1 000), parfois un million (1 000 000). Mais, si on lui fait remarquer qu’il peut ajouter 1 à ce nombre et obtenir cent un (101) ou mille un (1 001) ou encore un million un (1 000 001), il réalise qu’il peut recommencer et obtenir à chaque fois un nombre encore plus grand. D’une certaine manière, mathématiquement, l’infini, c’est ça : pouvoir toujours ajouter 1 à n’importe quel nombre, aussi grand soit-il, et construire ainsi des nombres de plus en plus grands.

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On en vient donc à la conclusion qu’il n’y a pas de nombre plus grand que tous les autres.

Cependant, en mathématiques, quand un objet n’existe pas, comme « le nombre qui serait plus grand que tous les autres nombres », on a toujours la liberté de l’inventer ! Il faut seulement que ce nouvel objet n’entraîne pas de graves paradoxes logiques, c’est-à-dire des résultats contradictoires.

On peut alors dire que l’infini est un nouveau nombre, différent de tous ceux qu’on peut construire en ajoutant 1 encore et encore : l’infini est ce qui est au bout de ce processus… qui ne s’arrête jamais ! On a donc décidé de créer cet objet, l’infini, qui représente un nombre plus grand que tous les autres, et on a choisi un symbole pour le représenter (comme le symbole 1 représente le nombre un, 2 le nombre deux, etc.). Ce symbole, c’est : ∞.

Mais alors, me diras-tu, Pénélope, qu’obtient-on si on ajoute 1 à l’infini ?

Un nombre plus grand que l’infini, lui-même plus grand que tous les nombres usuels ?

Puisque la place de « nombre plus grand que tous les autres » est déjà prise par ∞ et puisque ∞+1 est lui aussi un nombre plus grand que tous les autres, eh bien on n’a qu’à dire que « l’infini plus un », c’est encore l’infini et donc on peut écrire ∞+1=∞.

On déduit de cela que ∞+2=∞+1+1=∞+1=∞, et ainsi de suite ∞+3=∞, ∞+4=∞, etc.

Autrement dit, l’infini serait un nombre qui absorbe tous les autres, un peu comme un trou noir absorbe et fait « disparaître » toute la matière qui s’en approche…

C’est bien joli tout ça mais c’est drôlement abstrait. Concrètement, c’est quoi l’infini ? Voilà le problème : l’infini est une construction de l’esprit humain, un concept mathématique utile aux progrès de la science autant qu’un concept philosophique. L’infini est, par essence, quelque chose d’abstrait, et certainement une preuve de la puissance de l’intelligence humaine, capable de concevoir des objets qui n’existent pas dans la nature.

L’infini est une idée qui permet de représenter le fait d’aller très loin ou d’attendre très longtemps, quel que soit le contexte. Si on s’intéresse aux étoiles et aux planètes, l’infini, ce serait plutôt des milliards de milliards de kilomètres.

L’infini est une chimère : dans le monde physique dans lequel on vit, l’infini n’existe pas : le nombre d’atomes dans l’univers est fini (ils ne sont pas en quantité infinie). Les ressources en eau sur Terre ne sont pas infinies non plus. Selon les théories scientifiques qui ont émergé depuis les travaux d’Einstein il y a 100 ans, même l’univers lui-même est fini : il est en expansion, de plus en plus grand à chaque instant qui passe depuis sa naissance lors du Big Bang il y a 14 milliards d’années (l’âge de l’univers n’est pas infini) : il a un bord, une limite qui s’éloigne de plus en plus de nous. Qu’y a-t-il en dehors de l’univers, au-delà des limites de l’univers ? Mystère infini…

Finalement, pour répondre à cette épineuse question « qu’est-ce qui est plus grand que l’infini ? », je ne vois qu’une seule réponse : l’esprit humain.

Industrialisation : le grand désastre

Industrialisation : le grand désastre

Macron va encore tenter de glorifier sa politique relative à la réindustrialisation de la France. Pourtant cette politique situe un véritable désastre. En moyenne depuis déjà longtemps, la France accuse en effet un déficit de leur de presque 100 milliards par an de la balance commerciale (les importations dépassent les exportations). Or la situation de la balance commerciale constitue l’indicateur fondamental de la compétitivité du pays relatif surtout à l’industrialisation. Pire en 2022 le déficit a atteint plus de 150 milliards. À noter que dans le même temps régulièrement l’Allemagne affiche un bénéfice annuel du commerce extérieur de 200 milliards environ.( Seulement 85 milliards en 2022 à cause de la crise internationale).

Le haut-commissariat au Plan s’est penché, dans une note publiée ce mercredi sur l’attrait de ses produits auprès des consommateurs internationaux . «Nous avons décidé de nous intéresser aux produits, notamment aux produits de la vie quotidienne, a expliqué François Bayrou, le haut-commissaire au Plan. Nous avons établi une liste de plus de 9000 d’entre eux. Il ressort que les deux tiers sont en déficit commercial, et plus de 1000 affichent des déficits supérieurs à 50 millions. Conclusion la très grosse partie des biens manufacturés consommés en France provient de l’étranger du fait de la faiblesse de l’industrie française.

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