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Santé-Pollution: les PFAS, le plus grand danger

Santé-Pollution: les PFAS,  le plus grand danger

Face à l’offensive des industriels des PFAS, il est primordial de distinguer les usages réellement « essentiels » des substances polluantes de ceux qui pourraient être arrêtés dès maintenant, alerte un groupe d’experts indépendants dans une tribune au « Monde ».

La contamination de l’environnement par les substances per- et polyfluoroalkylées [PFAS, issus de la chimie de synthèse] – et l’exposition de centaines de millions de personnes qui en résulte – est un défi majeur. Il n’existe pas de solution facile. En termes de durée et de coûts, la contamination par les PFAS est le problème de pollution le plus grave jamais rencontré. Les PFAS ne se dégradent pas dans l’environnement et contamineront l’eau, le sol et les aliments pendant des décennies, des siècles, voire plus. Les PFAS absorbés par les humains sont toxiques et causent de sérieux problèmes de santé, comme des lésions hépatiques et rénales, un affaiblissement de la réponse immunitaire et certains cancers.

Proposée en 2023 [par l’Agence européenne des produits chimiques], la restriction des usages de PFAS dans l’Union européenne (UE) vise à traiter le problème d’une manière globale et efficace [en interdisant la fabrication, la mise sur le marché et l’utilisation de tous les PFAS au sein de l’UE]. Parce que la restriction aura des répercussions nombreuses et profondes, un processus sociétal complexe de discussion et de négociation se déroule actuellement. Il implique fabricants et utilisateurs de PFAS, organismes de réglementation au niveau national et européen, gouvernements et législateurs, scientifiques, institutions de santé publique, société civile, médias et bien d’autres.

Pollution: les PFAS, le plus grand danger

Pollution: les PFAS,  le plus grand danger

Face à l’offensive des industriels des PFAS, il est primordial de distinguer les usages réellement « essentiels » des substances polluantes de ceux qui pourraient être arrêtés dès maintenant, alerte un groupe d’experts indépendants dans une tribune au « Monde ».

La contamination de l’environnement par les substances per- et polyfluoroalkylées [PFAS, issus de la chimie de synthèse] – et l’exposition de centaines de millions de personnes qui en résulte – est un défi majeur. Il n’existe pas de solution facile. En termes de durée et de coûts, la contamination par les PFAS est le problème de pollution le plus grave jamais rencontré. Les PFAS ne se dégradent pas dans l’environnement et contamineront l’eau, le sol et les aliments pendant des décennies, des siècles, voire plus. Les PFAS absorbés par les humains sont toxiques et causent de sérieux problèmes de santé, comme des lésions hépatiques et rénales, un affaiblissement de la réponse immunitaire et certains cancers.

Proposée en 2023 [par l’Agence européenne des produits chimiques], la restriction des usages de PFAS dans l’Union européenne (UE) vise à traiter le problème d’une manière globale et efficace [en interdisant la fabrication, la mise sur le marché et l’utilisation de tous les PFAS au sein de l’UE]. Parce que la restriction aura des répercussions nombreuses et profondes, un processus sociétal complexe de discussion et de négociation se déroule actuellement. Il implique fabricants et utilisateurs de PFAS, organismes de réglementation au niveau national et européen, gouvernements et législateurs, scientifiques, institutions de santé publique, société civile, médias et bien d’autres.

Projet Budget : le grand bazar fiscal

 Projet Budget : le grand bazar fiscal

Un papier de la « Tribune » attire l’attention sur les divisions, les contradictions et les incohérences du débat de l’assemblée sur le budget. Le risque étant de faire perdre encore un peu plus de compétitivité à la France et donc de croissance et même de recettes fiscales ( extrait de la « Tribune »)

« Faire beaucoup avec peu », c’est la croix que doit porter ce « pauvre Mr Barnier », le nouveau surnom donné au locataire de Matignon qui, à Givors, a fait acte de franchise : « je ne me suis pas roulé par terre pour être Premier ministre » a-t-il lancé alors qu’à l’Assemblée nationale, l’absence de majorité fait des ravages. Les deux textes budgétaires, celui de l’Etat et celui de la Sécu, ont été complètement dénaturés par les extrêmes qui ont voté des amendements sans queue ni tête, dont la suppression de 5 milliards d’euros de la contribution française au budget européen, à l’initiative du RN. Le tout en profitant des divisions de la « coalition » hétéroclite Modem Renaisssance et LR censée soutenir le chef du gouvernement. Avec des amis comme ceux-là, on n’a pas besoin d’ennemis et le spectre du 49-3 plane donc sur l’examen du budget, en attendant sa transmission au Sénat.

La France continue de jouer avec le feu, sous le regard peu bienveillant des marchés et des agences de notation. Certes, Moody’s a accordé un sursis en ne dégradant pas à nouveau la dette française. Mais en la plaçant sous surveillance avec « implication négative », l’agence américaine maintient la pression sur Bercy.

A Washington aussi, les responsables du FMI ont adressé un sérieux warning en demandant au ministre de l’économie de crédibiliser la trajectoire du redressement budgétaire, notamment sur le volet dépenses, encore très très flou. Le FMI s’est en même temps inquiété de l’impact récessif de l’ajustement budgétaire sur la croissance française.

Le piège se referme sur ce « pauvre Monsieur Armand », le ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, bien à la peine pour trouver « l’équilibre entre consolidation budgétaire et attractivité » sans mettre à terre la croissance. Face aux dizaines de milliards de hausses d’impôts qui menacent de mettre à bas la politique de l’offre qu’il a instauré depuis dix ans, le chef de l’Etat a haussé le ton vendredi en accueillant 120 entreprises du « Fabriqué en France » à l’Elysée : « il y a une bataille de cohérence et une bataille macroéconomique. Tout cela, c’est pas possible si on monte les impôts, si on monte le coût du travail et qu’on pense qu’on règle les problèmes de déficit public en revenant totalement sur une cohérence de politique économique » a insisté Emmanuel Macron. En sortant ainsi de sa réserve, le président de la République adresse un carton jaune à son Premier ministre à qui il a en même temps légué des finances publiques très dégradées. Comment maintenir la politique de l’offre face à la pression de Bruxelles, du FMI et des agences de notation ? L’équation semble insoluble et la « cohérence de la politique économique » de Macron est bien forcée de faire marche arrière car avec la crise de la dette on découvre le pot aux roses. L’espoir de financer les baisses d’impôt par le retour au plein emploi a fait long feu…

Du coup, on risque de passer brutalement du « Choose France » au « Loose France », comme le craignent de plus en plus d’économistes. Nombreux sont les projets d’investissements gelés ou annulés du fait de l’incertitude politique et donc fiscale actuelle. Les entreprises font leurs comptes sur la facture à payer et elle est salée. Les plus grandes n’hésitent pas à menacer de partir vers des cieux fiscaux plus cléments… Tandis que nombre d’entreprises étrangères recommencent à se demander « Why France ».

Budget : le grand bazar fiscal

 Budget : le grand bazar fiscal

Un papier de la « Tribune » attire l’attention sur les divisions, les contradictions et les incohérences du débat de l’assemblée sur le budget. Le risque étant de faire perdre encore un peu plus de compétitivité à la France et donc de croissance et même de recettes fiscales ( extrait de la Tribune)

« Faire beaucoup avec peu », c’est la croix que doit porter ce « pauvre Mr Barnier », le nouveau surnom donné au locataire de Matignon qui, à Givors, a fait acte de franchise : « je ne me suis pas roulé par terre pour être Premier ministre » a-t-il lancé alors qu’à l’Assemblée nationale, l’absence de majorité fait des ravages. Les deux textes budgétaires, celui de l’Etat et celui de la Sécu, ont été complètement dénaturés par les extrêmes qui ont voté des amendements sans queue ni tête, dont la suppression de 5 milliards d’euros de la contribution française au budget européen, à l’initiative du RN. Le tout en profitant des divisions de la « coalition » hétéroclite Modem Renaisssance et LR censée soutenir le chef du gouvernement. Avec des amis comme ceux-là, on n’a pas besoin d’ennemis et le spectre du 49-3 plane donc sur l’examen du budget, en attendant sa transmission au Sénat.

La France continue de jouer avec le feu, sous le regard peu bienveillant des marchés et des agences de notation. Certes, Moody’s a accordé un sursis en ne dégradant pas à nouveau la dette française. Mais en la plaçant sous surveillance avec « implication négative », l’agence américaine maintient la pression sur Bercy.

A Washington aussi, les responsables du FMI ont adressé un sérieux warning en demandant au ministre de l’économie de crédibiliser la trajectoire du redressement budgétaire, notamment sur le volet dépenses, encore très très flou. Le FMI s’est en même temps inquiété de l’impact récessif de l’ajustement budgétaire sur la croissance française.

Le piège se referme sur ce « pauvre Monsieur Armand », le ministre de l’Economie, des Finances et de l’Industrie, bien à la peine pour trouver « l’équilibre entre consolidation budgétaire et attractivité » sans mettre à terre la croissance. Face aux dizaines de milliards de hausses d’impôts qui menacent de mettre à bas la politique de l’offre qu’il a instauré depuis dix ans, le chef de l’Etat a haussé le ton vendredi en accueillant 120 entreprises du « Fabriqué en France » à l’Elysée : « il y a une bataille de cohérence et une bataille macroéconomique. Tout cela, c’est pas possible si on monte les impôts, si on monte le coût du travail et qu’on pense qu’on règle les problèmes de déficit public en revenant totalement sur une cohérence de politique économique » a insisté Emmanuel Macron. En sortant ainsi de sa réserve, le président de la République adresse un carton jaune à son Premier ministre à qui il a en même temps légué des finances publiques très dégradées. Comment maintenir la politique de l’offre face à la pression de Bruxelles, du FMI et des agences de notation ? L’équation semble insoluble et la « cohérence de la politique économique » de Macron est bien forcée de faire marche arrière car avec la crise de la dette on découvre le pot aux roses. L’espoir de financer les baisses d’impôt par le retour au plein emploi a fait long feu…

Du coup, on risque de passer brutalement du « Choose France » au « Loose France », comme le craignent de plus en plus d’économistes. Nombreux sont les projets d’investissements gelés ou annulés du fait de l’incertitude politique et donc fiscale actuelle. Les entreprises font leurs comptes sur la facture à payer et elle est salée. Les plus grandes n’hésitent pas à menacer de partir vers des cieux fiscaux plus cléments… Tandis que nombre d’entreprises étrangères recommencent à se demander « Why France ».

« La France est entrée en légère récession », prévient Patrick Martin, le président du Medef. Toutes les enquêtes montrent des patrons désorientés par le chaud et froid fiscal qui entretient l’incertitude à un moment où la conjoncture économique bat de l’aile. Pour tenter de peser dans le débat public, surtout en prévision des prochaines échéances électorales, au calendrier encore incertain, le patronat s’organise. Jeudi, le Medef a dévoilé les axes de travail de son « Nouveau front économique » annoncé fin août. Ce « front » patronal va tenter de mener « le combat de la rationalité économique » face au grand bazar fiscal, promet le patron des patrons. Reste à savoir si le patronat saura faire son propre aggiornamento sur l’efficacité des politiques publiques à l’image du Crédit Impôt Recherche ou des allégements de charges. « Nous travaillerons sans a priori ni tabou », a promis l’économiste spécialiste de l’innovation Philippe Aghion, invité à participer à ce qui ressemble à une nouvelle commission Attali sur la croissance, version patronale. Le Medef veut avancer vite afin de livrer un rapport avant l’été prochain et la possible ou probable prochaine dissolution de l’Assemblée nationale. En attendant, le patronat a remporté une première « victoire » en obtenant le rejet de la réforme des allégements de cotisation sur les bas salaires. Mais nul ne sait par quoi seront compensés les 4 milliards d’euros de trou dans le budget.

Alors, faut-il vendre les bijoux de famille en cédant les participations de l’Etat dans des entreprises cotées pour profiter des 160 milliards d’euros de valorisation. Le fait que les marchés boursiers restent à des niveaux élevés suscite des tentations, mais ce « fusil à un coup » serait une solution de facilité distrayant le gouvernement de ses responsabilités, à savoir entamer enfin une vraie révision des dépenses publiques et des réformes structurelles.

Philippe Mabille, Directeur éditorial da la Tribune

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne

Finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne
Faute de vouloir et de pouvoir engager des réformes qui remettent en cause la nature et les modalités d’intervention de l’État, les gouvernements successifs se contentent de coups de rabot qui en fait ne font que prolonger les tendances de l’accélération des déficits et de la dette.

Pour chaque champ d’intervention de l’État, on trouve évidemment des corporatistes de tous les horizons pour défendre le montant des budgets et même pour l’accroître davantage que la richesse nationale. La vérité sans doute c’est que les dépenses publiques en France ne sont plus sous contrôle.

Personne ne contrôle plus les dérives par l’État bien sûr mais pas davantage les étagères inutiles que constituent les régions, les départements, les communautés de communes, les communes regroupées et les communes avec leur cortège de hiérarchie, de fonctions inutiles, de budgets et d’effectifs.

La comparaison avec l’Allemagne est intéressant dans la mesure où les dépenses publiques outre-Rhin se limitent à environ 48 % du PIB alors que pour la France elles représentent 58 %. Une différence de 10 % soit autour de 300 milliards pour la France, soit exactement ce qu’il conviendrait d’économiser pour équilibrer totalement les comptes nationaux et locaux.  ( À noter aussi la différence de PIB par habitant au profit de l’Allemagne qui témoigne du manque de travail en  France (rapports actifs-inactifs et productivité notamment). Autre comparaison, celle du nombre de fonctionnaires pour 1000 habitants 55 en Allemagne et 85 pour la France! Une différence que les particularités locales ne peuvent justifier.

Le problème c’est qu’il est facile de faire pleurer dans les chaumières à partir de cas qui ne rendent pas compte de la gabegie des moyens financiers publics.

Cela vaut pour tous les champs d’action de l’État et des collectivités locales, partout il y a un véritable gâchis de la dépense publique avec notamment partout en moyenne des sureffectifs. Le problème est qu’il faudrait procéder à des audits  permanents et très fin pour  éliminer le surplus des fonctions dites d’administration, de logistique et autres fonctions support.

Il y a cependant une difficulté majeure puisque la moitié ou les trois quarts du personnel politique résonnent comme des fonctionnaires puisque même issus de la fonction publique ou assimilés (cela vaut aussi pour les élus qui vivent en permanence de la politique). La crise n’est pas seulement financière elle est aussi sociologique avec une démocratie qui n’est pas représentative de la population et qui vit donc dans son propre monde virtuel.

finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne

Le grand finances publiques : le grand gaspillage de la France par rapport à l’Allemagne
Faute de vouloir et de pouvoir engager des réformes qui remettent en cause la nature et les modalités d’intervention de l’État, les gouvernements successifs se contentent de coups de rabot qui en fait ne font que prolonger les tendances de l’accélération des déficits et de la dette.

Pour chaque champ d’intervention de l’État, on trouve évidemment des corporatistes de tout poil pour défendre le montant des budgets et même pour l’accroître. La vérité sans doute c’est que les dépenses publiques en France ne sont plus sous contrôle.

Personne ne contrôle plus les dérives par l’État bien sûr mais pas l’avantage les étagères inutiles que constituent les régions, les départements, les communautés de communes, les communes regroupées et les communes avec leur cortège de hiérarchie, de fonctions inutiles de budgets et l’effectifs.

La comparaison avec l’Allemagne est intéressant dans la mesure où les dépenses publiques outre-Rhin se limitent à environ 48 % du PIB alors que pour la France elles représentent 58 %. Une différence de 10 % soit autour de 300 milliards pour la France, soit exactement ce qu’il conviendrait d’économiser pour équilibrer totalement les comptes nationaux et locaux.  ( À noter aussi la différence de PIB par habitant au profit de l’Allemagne qui témoigne du manque de travail en  France).

Le problème c’est qu’il est facile de faire pleurer dans les chaumières à partir de cas qui ne rendent pas compte de la gabegie des moyens financiers publics.

Cela vaut pour tous les champs d’action de l’État et des collectivités locales, partout il y a un véritable gâchis de la dépense publique avec notamment partout en moyenne des sureffectifs. Le problème est qu’il faudrait procéder à des audits  permanents et très fin pour  éliminer le surplus des fonctions dites d’administration, de logistique et autres fonctions support.

Il y a cependant une difficulté majeure puisque la moitié ou les trois quarts du personnel politique résonnent comme des fonctionnaires puisque même issus de la fonction publique ou assimilés (cela vaut aussi pour les élus qui vivent en permanence de la politique). La crise n’est pas seulement financière elle est aussi sociologique avec une démocratie qui n’est pas représentative de la population et qui vit donc dans son propre monde virtuel.

JO Athlétisme : le grand vide de la France

JO Athlétisme : le grand vide de la France

 

La France peut s’enorgueillir à juste titre de bons résultats globaux aux JO. À noter cependant qu’il s’agit de récompenses dans des disciplines relativement techniques voire parfois marginales et qui cachent le grand vide du pays dans l’épreuve reine de l’athlétisme. Heureusement pour la France avec le temps, on a multiplié les disciplines de toutes sortes où le pays peut parfois briller. Par contre dans l’épreuve reine au cœur des jeux à savoir l’athlétisme, c’est à peu près le vide absolu. En cause la politique sportive du pays qui a notamment pas très petitement disparu de l’enseignement scolaire et qui demeure encore marginale dans la population malgré quelques progrès dans ce domaine. Pour résumer comme le signale Teddy Riner la France n’est pas un pays sportif. En effet ses résultats sporadiques même brillants cachent l’indigence du sport dans le pays.

 

 

 

JO France: Des médailles qui cachent le grand vide de l’athlétisme

JO France:  Des médailles qui cachent  le grand vide de l’athlétisme

La France peut s’enorgueillir à juste titre de bons résultats globaux aux JO. À noter cependant qu’il s’agit de récompenses dans des disciplines relativement techniques voire parfois marginales et qui cachent le grand vide du pays dans l’épreuve reine de l’athlétisme. Heureusement pour la France avec le temps, on a multiplié les disciplines de toutes sortes où le pays peut parfois briller. Par contre dans l’épreuve reine au cœur des jeux à savoir l’athlétisme,  c’est à peu près le vide absolu. En cause la politique sportive du pays qui a notamment pas très petitement disparu de l’enseignement scolaire et qui demeure encore marginale dans la population malgré quelques progrès dans ce domaine. Pour résumer comme le signale Teddy Riner  la France n’est pas un pays sportif. En effet ses résultats sporadiques même brillants cachent l’indigence du sport dans le pays.

 

À la date du 7 août, encore trois médailles, mais aucune en or pour les Bleus. La délégation française reste quatrième au tableau des médailles avec 51 médailles, dont 13 en Or, 17 en Argent, 21 en Bronze. Si le podium est désormais composé des Etats-Unis, la Chine et de l’Australie qui a pris le large avec 18 médailles d’or, l’Equipe de France doit désormais regarder derrière. La Grande-Bretagne, la Corée et le Japon talonnent les Bleus avec seulement une médaille d’or de moins (12).

 

L’école de la république en grand danger d’après le Sénat

L’école de la république en grand danger d’après le Sénat

Un rapport du Sénat montre que l’école de la république est en grand danger en raison de la faiblesse du niveau mais aussi des pressions et des violences qui s’y déroulent. ( dans le Figaro)

 

 Pour François-Noël Buffet, L’un des rapporteurs la «communauté éducative est prise sous la violence». Il cite de multiples «formes de pressions et d’agressions», de l’«insulte misogyne» à l’agression physique. En sciences naturelles comme en histoire, de nombreux professeurs font le choix de l’autocensure, face à des professeurs et des élèves contestant leur enseignement. «Ils font le choix de ne pas aborder certaines œuvres, certains sujets», abonde le sénateur. Avant la tenue de sorties scolaires programmées, «certains parents téléphonent pour savoir (ce qu’il y sera dit), ce qu’il y aura sur scène, s’il y aura des personnes dénudées.»

Les enseignants ne sont pas les seuls frappés par ces chantages et réprimandes. «Les chefs d’établissement sont pris à partie directement par les parents, qui surgissent de manière inopinée dans leurs bureaux», poursuit François-Noël Buffet. «(Il y a aussi) les Conseillers principaux d’éducation (CPE) face à qui les élèves et de plus en plus leurs parents contestent le bien-fondé des sanctions – certains même viennent en rendez-vous avec leurs avocats.» Surveillants et agents d’accueil sont également «très vulnérables» face aux parents ou personnes extérieures «qui viennent pour s’expliquer avec le personnel» ou «régler des comptes» avec un élève.

Autre point soulevé par les sénateurs, et pas des moindres: l’islam radical, qui «est en train de se banaliser». Ils ont ainsi constaté au gré de leurs auditions la multiplication «de l’usage par certains élèves de la menace proférée à un enseignant de lui “faire une Paty”»«J’ai vu un professeur à la fin de sa journée, (qui s’est réjoui de) “ne pas avoir subi de Paty” aujourd’hui», a assuré le parlementaire LR. «Voilà la situation telle qu’elle existe. La montée des revendications identitaires et communautaires, et la manifestation de l’islam radical et de certaines nouvelles formes de spiritualité ne doit pas être ignorée», a-t-il ajouté, constatant qu’elles étaient favorisées par «l’effet amplificateur des réseaux sociaux, (dont les) rumeurs sont instrumentalisées par des groupes de pression.»

Politique -Macron : grand débat  » bla- bla  » avec les agriculteurs

Politique -Macron :  grand débat  » bla- bla  «   avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisageait un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures . Un grand débat qui ressemble surtout un grand meeting où le président se met en valeur. Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grandes messes pseudo démocratiques qui visent surtout à contourner les  organisations représentatives. Ce qu’il qualifie de grand débat se réduit en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Les organisations agricoles ne sont pas tombés dans le piège cette fois et la proposition de Macon a tourné au fiasco. En cause une participation particulièrement hétéroclite et des agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type « conseil de refondation » .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

C’est bien entendu une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond , on assistera à l’exercice préféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases , on soulignera  le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là Une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme médiatique.

Agriculture – grand débat : la mascarade, le fiasco et la claque pour Macron

Agriculture – grand débat : la mascarade, le fiasco et la claque pour Macron

Rarement un président de la république aura reçu une telle claque de la part du monde agricole. En effet Macon qui veut s’occuper de tout et qui sème la pagaille sur à peu près tous les sujets a dû reculer son projet de grand débat sur l’agriculture qui devait avoir lieu à l’ouverture du salon de l’agriculture.

Les syndicats agricoles se réjouissent de cette annulation qu’ils ont en fait imposé. En effet ils ont refusé ce nouveau grand raout rassemblant n’importe qui quand l’urgence est de restaurer les marges d’une agriculture en pleine souffrance.

« Les syndicats agricoles (…) avaient voulu un débat ouvert. Ils en demandent aujourd’hui l’annulation. Dont acte », a ainsi écrit le chef de l’Etat sur le réseau social X, en précisant qu’il invitera samedi matin « tous les syndicats agricoles avant l’ouverture officielle du salon ». « Je serai là pour l’ouvrir et irai au contact de tous ceux qui veulent échanger comme je le fais chaque année », a-t-il poursuivi.

Ce débat, qui devait durer deux heures, devait permettre d’« esquisser l’avenir » de la filière, d’après l’Elysée. Celui-ci était censé réunir les principaux responsables des syndicats agricoles (FNSEA, Jeunes agriculteurs, Coordination rurale, Confédération paysanne, etc.), mais aussi des représentants de la grande distribution et des industriels. Plusieurs responsables d’associations environnementales étaient également invités.

« C’est une très bonne nouvelle », a réagi dans la foulée sur franceinfo l’un des vice-présidents du syndicat agricole majoritaire FNSEA, Luc Smessaert. « On lui avait déjà dit qu’on n’avait (…) pas besoin d’un débat type « gilets jaunes ». On avait besoin surtout qu’un président de la République vienne dire aux agriculteurs français « On vous soutient » », a-t-il poursuivi.

La présidente de la Coordination rurale, 2e syndicat agricole français, Véronique Le Floc’h, a dit à l’AFP accepter le rendez-vous plus informel avec le président… « s’il peut rentrer » dans le salon. « Le président, il nous a fait un énorme bras d’honneur hier jeudi [avec les Soulèvements de la Terre, ndlr] alors ce qu’on attend maintenant c’est qu’il annonce des choses », a aussi commenté auprès de l’AFP Vincent Bouvrain, agriculteur en Seine-et-Marne, dans la manifestation parisienne, co-organisée vendredi avec le syndicat Jeunes agriculteurs (JA).

« Nous sommes prêts à continuer le dialogue pour peu que nous soyons respectés », a affirmé peu après Arnaud Rousseau, depuis une tribune installée devant le parc des expositions de la Porte de Versailles à Paris.

Politique -Macron : grand débat  » bla- bla  » avec les agriculteurs

Politique -Macron :  grand débat  » bla- bla  «   avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisage un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures d’un « grand débat » avec les agriculteurs . 

 

Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grandes messes pseudos démocratiques qui visent surtout à contourner les gens organisation représentatives. Ce qu’il qualifie de grand débat se réduit en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Il en sera de même sans doute pour ce grand débat avec les agriculteurs lors du salon. Encore une fois ce ne sont pas les organisations représentatives du secteur, les consommateurs, les responsables environnementaux qui prendront la parole mais les agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type « conseil de refondation » .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

C’est bien entendu une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond , on assistera à l’exercice préféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases , on soutiendra le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme médiatique.

Macron : « grand débat » bla- bla » avec les agriculteurs

Macron : « grand débat » bla- bla  » avec les agriculteurs

Macron qui est attendu au salon envisage un grand débat avec les agriculteurs. L’exercice lui a souvent réussi même si le show du président ressemble souvent un grand bla-bla où  il est le seul à s’exprimer pendant des heures d’un « grand débat » avec les agriculteurs . 

 

Si on devait caractériser Macron, on pourrait retenir qu’il est l’inventeur des sortes  de grande messe pseudos démocratiques qui visent surtout à contourner les gens organisation représentatives. Ce qu’il qualifie de grands débats se réduisent en général à un one-man-show bavard, confus et souvent condescendant.

Il en sera de même sans doute pour ce grand débat avec les agriculteurs lors du salon. Encore une fois ce ne sont pas les organisations représentatives du secteur, les consommateurs, les responsables environnementaux qui prendront la parole mais les agriculteurs pour l’essentiel choisis avec soin comme dans les conventions citoyennes et autres machins type conseil de refondation .

Encore une fois on pourra mesurer le temps d’intervention des participants réduit un peu de choses d’autant plus que la plupart des intervenants ne sont pas préparés à l’exercice.

Il s’agit bien entendu d’une caricature de la démocratie car il s’agit surtout d’un exercice visant à mettre en valeur l’orateur. Sur le fond on assistera à l’exercice rréféré des énarques. Parler parler pour ne rien dire, noyer le propos dans des explications pseudo- économiques , dire tout et son contraire et surtout endormir le public et les journalistes. Des journalistes toujours friands de ce genre de grand raout et toujours prêts à applaudir d’autant que la plupart n’en connaissent pas plus que le président.

On retiendra quelques phrases chaque, on soutiendra le haut niveau d’intelligence du président et quelques promesses. Cela fera là une de la presse pendant une journée et le lendemain on passe à autre chose en oubliant pendant longtemps le contenu du grand débat de ce président si intelligent qui  encore une fois aura réussi à  endormir. Ou la confusion entre intelligence et bonimenteur et la confusion entre courage et exhibitionnisme

Politique- Macron à la télé: encore Un grand numéro de bonimenteur

Politique- Macron à la télé: encore Un grand numéro de bonimenteur

Ce n’est pas par hasard si Macron a décidé de parler avant son premier ministre. Il a en effet récupéré une partie de ses propositions d’Attal en y ajoutant quelques mesures ici ou là dans un discours qui relève davantage de l’auberge Espagnole que de la stratégie politique. En fait, Macron s’est largement inspiré des préoccupations du moment qui émergent des sondages pour y répondre par des mesures très partielles voire anecdotiques : exemple le pseudo service national à partir de la seconde qui ressemble davantage à une colonie de vacances qu’un service militaire . Bref encore un grand numéro de bonimenteur capable de parler de et surtout de rien. Davantage de la com que de la politique.

Curieusement, le président a utilisé l’expression de réarmement civique, lui qui n’a pas jugé bon de faire son service militaire. Le président veut limiter l’usage des écrans pour les enfants et leur apprendre à chanter la marseillaise. Il reprend la proposition de « tenue unique » pour les élèves mais pas avant 2026…. enfin peut-être. Face à l’insécurité et en particulier au trafic de drogue, Macron promet des opérations très médiatisées chaque semaine.

La seule mesure un peu nouvelle, elle aussi qualifiée de « réarmement » dans le domaine démographique concerne la mise en place d’un congé de naissance de six mois pour chacun des parents.

Pour le reste, c’est du bric-à-brac. On va encore faire appel à davantage de médecins étrangers en matière de santé, mieux coordonner privé et public. Parallèlement les médicaments seront moins remboursés.

Une allusion aussi aux couches moyennes qui travaillent en leur promettant d’être mieux récompensées mais comment ?

Un tout petit mot très timide sur la question de la délinquance des jeunes avec entre guillemets une « réponse pénale plus claire ».

Forcément aussi quelques mots pour l’agriculture en même temps que pour l’écologie.

Le flou artistique aussi sur la politique internationale et le minimum à propos de Gaza et des otages français..

Bref comme d’habitude, avec Macron s’est laissé aller à un insupportable bavardage pour couvrir la totalité des sujets est bien montrer que c’est lui le patron qui impulse, dirige et innove.

Macon a seulement adressé un carton jaune à sa ministre de l’éducation considérant qu’Amélie Oudéa-Castéra « a eu des propos maladroits » sur l’école publique.

Emmanuel Macron a confirmé l’organisation d’une cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attentats du 7 octobre en Israël. « Le 7 février prochain, au monument pour les victimes du terrorisme » situé sur l’esplanade des Invalides à Paris, « je rendrai hommage à ces victimes aux côtés de leurs proches, de leurs familles et de tous ceux qui voudront nous y rejoindre ».

Le chef de l’Etat a rappelé que la France avait « perdu 41 de ses enfants » dans ces attaques et qu’elle avait « encore trois otages » français dans la bande de Gaza. « Nous nous battons pied à pied avec les autorités israéliennes, avec le Qatar, qui a un rôle décisif en la matière, avec plusieurs autres collègues pour les libérer », a-t-il insisté.

Politique–Macron à la télé: Un grand numéro de bonimenteur

Politique–Macron à la télé: Un grand numéro de bonimenteur

Ce n’est pas par hasard si Macron a décidé de parler avant son premier ministre. Il a en effet récupéré une partie de ses propositions d’Attal en y ajoutant quelques mesures ici ou là dans un discours qui relève davantage de l’auberge Espagnole que de la stratégie politique. En fait, Macron s’est largement inspiré des préoccupations du moment qui émergent des sondages pour y répondre par des mesures très partielles voire anecdotiques : exemple le pseudo service national à partir de la seconde qui ressemble davantage à une colonie de vacances qu’un service militaire . Bref encore un grand numéro de bonimenteur capable de parler de et surtout de rien. Davantage de la com que de la politique.

Curieusement, le président a utilisé l’expression de réarmement civique, lui qui n’a pas jugé bon de faire son service militaire. Le président veut limiter l’usage des écrans pour les enfants et leur apprendre à chanter la marseillaise. Il reprend la proposition de « tenue unique » pour les élèves mais pas avant 2026…. enfin peut-être. Face à l’insécurité et en particulier au trafic de drogue, Macron promet des opérations très médiatisées chaque semaine.

La seule mesure un peu nouvelle, elle aussi qualifiée de « réarmement » dans le domaine démographique concerne la mise en place d’un congé de naissance de six mois pour chacun des parents.

Pour le reste, c’est du bric-à-brac. On va encore faire appel à davantage de médecins étrangers en matière de santé, mieux coordonner privé et public. Parallèlement les médicaments seront moins remboursés.

Une allusion aussi aux couches moyennes qui travaillent en leur promettant d’être mieux récompensées mais comment ?

Un tout petit mot très timide sur la question de la délinquance des jeunes avec entre guillemets une « réponse pénale plus claire ».

Forcément aussi quelques mots pour l’agriculture en même temps que pour l’écologie.

Le flou artistique aussi sur la politique internationale et le minimum à propos de Gaza et des otages français..

Bref comme d’habitude, avec Macron s’est laissé aller à un insupportable bavardage pour couvrir la totalité des sujets est bien montrer que c’est lui le patron qui impulse, dirige et innove.

Macon a seulement adressé un carton jaune à sa ministre de l’éducation considérant qu’Amélie Oudéa-Castéra « a eu des propos maladroits » sur l’école publique.

Emmanuel Macron a confirmé l’organisation d’une cérémonie d’hommage aux victimes françaises des attentats du 7 octobre en Israël. « Le 7 février prochain, au monument pour les victimes du terrorisme » situé sur l’esplanade des Invalides à Paris, « je rendrai hommage à ces victimes aux côtés de leurs proches, de leurs familles et de tous ceux qui voudront nous y rejoindre ».

Le chef de l’Etat a rappelé que la France avait « perdu 41 de ses enfants » dans ces attaques et qu’elle avait « encore trois otages » français dans la bande de Gaza. « Nous nous battons pied à pied avec les autorités israéliennes, avec le Qatar, qui a un rôle décisif en la matière, avec plusieurs autres collègues pour les libérer », a-t-il insisté.

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