Archive pour le Tag 'gouverneur'

Prix- le gouverneur de la Banque de France prévoit une nouvelle envolée de l’inflation en 2023

Prix- le gouverneur de la Banque de France prévoit une nouvelle envolée de l’inflation en 2023

Selon le gouverneur de la Banque de France ça ira mieux demain, à partir de 2024 ou 2025. En attendant, il faut s’attendre à une nouvelle explosion de l’inflation au minimum jusqu’en juin. Ensuite il promet une moindre augmentation mais rien n’est sûr.

De plus l’inflation constatée en 2022 évidemment se cumuler avec celle de 2023 de sorte qu’au total on pourrait aboutir à une augmentation de près de 15 % en deux ans.

Selon François Villeroy de Galhau, l’inflation en France devrait connaître un pic d’ici juin et redescendre autour de 2 % d’ici la fin de l’année prochaine ou début 2025.
n », a-t-il dit sur France 2. « Nous allons ramener l’inflation vers 2 % d’ici la fin de l’année prochaine ou début 2025. (…) C’est notre engagement », a-t-il par ailleurs assuré. « Le pic d’ici juin, ce sera peut-être même avant, et ensuite : décroissance », a-t-il encore résumé à propos des prix.

Récession exclue. Commentant la dernière enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France, publiée mercredi, François Villeroy de Galhau a également redit qu’on pouvait à ce stade exclure une récession mais une croissance à peine positive, en moyenne de 0,3 %, mais il y a de l’incertitude », a-t-il rappelé.

Nouvelle envolée de l’inflation en 2023 selon le gouverneur de la Banque de France

Nouvelle envolée de l’inflation en 2023 selon le gouverneur de la Banque de France


Selon le gouverneur de la Banque de France ça ira mieux demain à partir de 2024 ou 2025. En attendant, il faut s’attendre à une nouvelle explosion de l’inflation au minimum jusqu’en juin. Ensuite il promet une moindre augmentation mais rien n’est sûr.

De plus l’inflation constatée en 2022 évidemment se cumuler avec celle de 2023 de sorte qu’au total on pourrait aboutir à une augmentation de près de 15 % en deux ans.

Selon François Villeroy de Galhau, l’inflation en France devrait connaître un pic d’ici juin et redescendre autour de 2 % d’ici la fin de l’année prochaine ou début 2025.
n », a-t-il dit sur France 2. « Nous allons ramener l’inflation vers 2 % d’ici la fin de l’année prochaine ou début 2025. (…) C’est notre engagement », a-t-il par ailleurs assuré. « Le pic d’ici juin, ce sera peut-être même avant, et ensuite : décroissance », a-t-il encore résumé à propos des prix.

Récession exclue. Commentant la dernière enquête mensuelle de conjoncture de la Banque de France, publiée mercredi, François Villeroy de Galhau a également redit qu’on pouvait à ce stade exclure une récession mais une croissance à peine positive, en moyenne de 0,3 %, mais il y a de l’incertitude », a-t-il rappelé.

Liban : un détournement de 300 millions de dollars par le gouverneur de la banque centrale

Liban : un détournement de 300 millions de dollars par le gouverneur de la banque centrale

Le contenu de l’enquête suisse visant le puissant gouverneur de la Banque du Liban (BDL) se précise. Des documents officiels ayant fuité dans la presse indiquent que les autorités helvètes soupçonnent Riad Salamé, en poste depuis 1993, et son frère cadet, Raja, de « détournement de fonds au détriment de la Banque du Liban » et de « blanchiment d’argent aggravé » pour des montants estimés à plus de 330 millions de dollars. En novembre dernier, le ministère public de la Confédération helvétique (MPC) a adressé une demande d’entraide judiciaire aux autorités libanaises publiée par un site d’information.

Il y mentionnait en particulier un contrat signé le 6 avril 2002 par le gouverneur de la BDL et Forry Associates LTD, une société enregistrée aux îles Vierges britanniques et dont le bénéficiaire économique serait Raja Salamé. Ce contrat de courtage pour la gestion de produits financiers – bons du Trésor et eurobonds – aurait permis à Forry de toucher entre avril 2002 et octobre 2014 quelque 326 millions de dollars sur un compte à la banque HSBC en Suisse. Ces commissions auraient ensuite été reversées au bénéfice des frères Salamé « ainsi qu’à des membres de leur famille ou de leur entourage immédiat, dont Marianne Howayek », l’assistante du gouverneur, mentionnée dans le dossier sous le statut de témoin assisté.

Turquie : Erdogan limoge à nouveau le gouverneur de la Banque centrale

Turquie : Erdogan limoge à nouveau le gouverneur de la Banque centrale

Du fait des politiques agressives et improductives d’Erdogan, la Turquie subit une très grave crise économique interne qui se traduit notamment par un écoulement de sa monnaie et de son économie. La livre turque a clôturé vendredi à 8,5445 pour un dollar après avoir touché un point bas record de 8,58. Elle a plongé de 30% depuis le début de l’année, de 10% au cours des deux dernières semaines. Pour remédier à cette crise économique et financière Erdogan prend encore une mesure radicale en remplaçant un nouveau le patron de la banque centrale turque. Le quatrième changement de titulaire en cinq ans.

Les analystes considèrent Naci Agbal, bien que proche de Recep Tayyip Erdogan, comme un gestionnaire capable qui pourrait adopter une approche plus orthodoxe de la politique monétaire que son prédécesseur.

Murat Uysal avait été nommé à la tête de la banque centrale en juillet 2019 par le chef de l’Etat, mécontent que cette dernière ne baisse pas les taux d’intérêt pour stimuler l’économie.

“La gestion d’Uysal a été catastrophique. Agbal, ça pourrait être pire, évidemment”, a commenté sur Twitter Timothy Ash, de BlueBay Asset Management. “Il a une réputation de technocrate décent et il paraît qualifié pour le poste”, a-t-il toutefois ajouté.

Recep Tayyip Erdogan ne cesse de réclamer l’abaissement des taux d’intérêt. Le week-end dernier, il a affirmé que la Turquie livrait une guerre économique contre ceux qui tentent de l’enfermer “dans le triangle diabolique des taux d’intérêt, des taux de change et de l’inflation”.

A la dépréciation de la devise turque s’ajoute une inflation de près de 12%, bien au-dessus de l’objectif d’environ 5% fixé par la banque centrale. Le pays avait réussi l’an dernier à sortir de la récession mais la pandémie de coronavirus a tout remis en cause.

Le mois dernier, la Banque de Turquie n’a pas procédé à un relèvement de ses taux d’intérêt contrairement aux attentes, les maintenant à 10,25%, ce qui a contribué à une nouvelle baisse de la livre sur les marchés des changes. Un mois plus tôt, elle avait au contraire surpris les marchés en relevant ses taux.

Les opérateurs s’inquiètent de la baisse des réserves de change, des atteintes à l’indépendance de la banque centrale et du risque toujours latent de sanctions occidentales contre le pays en raison de sa politique étrangère et de défense.

Pour Erik Meyersson, économiste à Handelsbank, même si Murat Uysal était à blâmer pour sa gestion, la banque centrale est pieds et poings liés à Recep Tayyip Erdogan et son gouverneur “n’est qu’une marionnette”.

Écroulement de la monnaie et de l’économie turque : Erdogan limoge encore le gouverneur de la Banque centrale

Écroulement de la monnaie et de l’économie turque : Erdogan limoge le gouverneur de la Banque centrale

Du fait des politiques agressives et improductives d’Erdogan, la Turquie subit une très grave crise économique interne qui se traduit notamment par un écoulement de sa monnaie et de son économie. La livre turque a clôturé vendredi à 8,5445 pour un dollar après avoir touché un point bas record de 8,58. Elle a plongé de 30% depuis le début de l’année, de 10% au cours des deux dernières semaines. Pour remédier à cette crise économique et financière Erdogan prend encore une mesure radicale en remplaçant un nouveau le patron de la banque centrale turque. Le quatrième changement de titulaire en cinq ans.

Les analystes considèrent Naci Agbal, bien que proche de Recep Tayyip Erdogan, comme un gestionnaire capable qui pourrait adpoter une approche plus orthodoxe de la politique monétaire que son prédécesseur.

Murat Uysal avait été nommé à la tête de la banque centrale en juillet 2019 par le chef de l’Etat, mécontent que cette dernière ne baisse pas les taux d’intérêt pour stimuler l’économie.

“La gestion d’Uysal a été catastrophique. Agbal, ça pourrait être pire, évidemment”, a commenté sur Twitter Timothy Ash, de BlueBay Asset Management. “Il a une réputation de technocrate décent et il paraît qualifié pour le poste”, a-t-il toutefois ajouté.

Recep Tayyip Erdogan ne cesse de réclamer l’abaissement des taux d’intérêt. Le week-end dernier, il a affirmé que la Turquie livrait une guerre économique contre ceux qui tentent de l’enfermer “dans le triangle diabolique des taux d’intérêt, des taux de change et de l’inflation”.

A la dépréciation de la devise turque s’ajoute une inflation de près de 12%, bien au-dessus de l’objectif d’environ 5% fixé par la banque centrale. Le pays avait réussi l’an dernier à sortir de la récession mais la pandémie de coronavirus a tout remis en cause.

Le mois dernier, la Banque de Turquie n’a pas procédé à un relèvement de ses taux d’intérêt contrairement aux attentes, les maintenant à 10,25%, ce qui a contribué à une nouvelle baisse de la livre sur les marchés des changes. Un mois plus tôt, elle avait au contraire surpris les marchés en relevant ses taux.

Les opérateurs s’inquiètent de la baisse des réserves de change, des atteintes à l’indépendance de la banque centrale et du risque toujours latent de sanctions occidentales contre le pays en raison de sa politique étrangère et de défense.

Pour Erik Meyersson, économiste à Handelsbank, même si Murat Uysal était à blâmer pour sa gestion, la banque centrale est pieds et poings liés à Recep Tayyip Erdogan et son gouverneur “n’est qu’une marionnette”.

Répression Russie: Manif contre contre l’arrestation d’un gouverneur

Répression Russie: Manif contre contre l’arrestation d’un gouverneur

 

Pour le cinquième week-end consécutif, les manifestants ont parcouru les rues le samedi 8 août dans la ville de Khabarovsk, en Extrême-Orient,, scandant des slogans anti-Kremlin et en soutien au populaire ex-gouverneur de la région, transféré et emprisonné à Moscou.

Les habitants de Khabarovsk manifestent en masse tous les samedis, en plus de plus petits rassemblements quotidiens. Ce mouvement de protestation contre le gouvernement est le plus important depuis plusieurs années en Russie hors de Moscou.

Sergueï Fourgal avait été élu gouverneur en 2018, battant largement le candidat du Kremlin. Les habitants de la région estiment que son arrestation alors qu’il était très populaire, pour des meurtres présumés remontant au milieu des années 2000, est politiquement motivée et se demandent pourquoi il sera jugé loin de Khabarovsk.

Selon les journalistes sur place, la manifestation a réuni plusieurs dizaines de milliers de manifestants, tandis que la mairie de Khabarovsk a estimé que seulement 3.000 personnes se sont déplacées.

Le gouverneur de la Banque de France passe de la pommade à Macron

Le gouverneur de la Banque de France passe de la pommade à Macron

Exerce d’autosatisfaction du gouverneur de la Banque de France qui d’une certaine façon félicité Macron et sa politique. Aussi qui en profite pour prendre uen éventuelle option pour le poste convoité de président de la BCE. Interrogé sur Cnews ce mercredi, le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a estimé que l’économie française résistait «plutôt bien», alors que l’activité mondiale traverse une période de ralentissement. «Nous faisons, pour la première fois depuis longtemps, un peu mieux que la moyenne européenne», a-t-il commenté, ajoutant que la France faisait «deux fois mieux que l’Allemagne» et «quatre fois mieux que l’Italie».

Saluant les chiffres de l’emploi présentés par l’Insee, le gouverneur a résumé la bonne tendance perceptible ces derniers trimestres : au total, l’économie française a créé 740.000 emplois entre 2016 et 2018 et devrait en entraîner 150.000 de plus cette année. Le taux de chômage, au rythme actuel, devrait atteindre 8,1% en 2021

 

Risque de crise bancaire : le gouverneur de la Banque de France veut rassurer

Risque de crise bancaire : le gouverneur de la Banque de France veut rassurer

face aux risques de crise bancaire Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, a récusé samedi tout problème de solvabilité des banques européennes, malgré les inquiétudes sur Deutsche Bank et les mises en garde du FMI. « La priorité n’est pas aujourd’hui d’augmenter la solvabilité ou le capital des banques européennes de manière injustifiée », a déclaré le gouverneur lors d’une conférence de presse à Washington, au terme de la réunion d’automne du FMI et de la Banque mondiale (BM). Au milieu des inquiétudes sur la situation de Deutsche Bank, les participants à cette réunion du gotha financier mondial ont transmis un message de tranquillité : « un chiffre est revenu souvent, le ratio de solvabilité des banques européennes qui est passé de 9% en 2012 à 13% aujourd’hui, soit une amélioration de 1% par an », a-t-il souligné. « Le sujet est plutôt celui de leur rentabilité », a expliqué M. Villeroy de Galhau, pointant des difficultés dues à « la prolongation des taux bas » ou encore à la « question des créances douteuses qui pèsent sur la rentabilité des banques ».  « Je relève au passage que les banques françaises le traitent plutôt mieux que la moyenne des banques européennes », a-t-il assuré. « Elles sont aujourd’hui dans une situation de profitabilité plus favorable et elles montrent leur capacité d’adaptation », a-t-il ajouté. Mercredi, le FMI avait exprimé des inquiétudes sur l’état de santé des banques européennes.

 

(Agences)

« Volatilité excessive des marchés »: le gouverneur de la BdF raconte des salades

« Volatilité excessive des marchés »:  le gouverneur de la BdF raconte des salades

 

 

« Forward guidance, instruments macro prudentiels, régulation des excès du cycle financier »,  le gouverneur de la Banque de France a sorti de sa boîte à outils quelques  concepts obscurs pour masquer l’incapacité des autorités monétaires à influencer la baisse des marchés. Le gouverneur de la Banque de France dans sa grande sagesse considère que la volatilité actuelle des marchés boursiers est excessive et cela en regard des fondamentaux. Du bla-bla évidemment pour ce haut fonctionnaire qui est  à l’économie ce que le McDo est à la gastronomie. La vérité est plus cruelle, ce sont les fondamentaux dégradés qui sont à l’origine de la baisse des marchés. Avec évidemment des interactions. Il est de bon ton dans certains milieux économiques d’utiliser des concepts plus ou moins abscons notamment d’origine anglo-saxonne comme le forward guidance. C’est-à-dire le bla-bla que fait une banque centrale concernant l’orientation future de sa politique monétaire en particulier en matière d’évolution des taux. Un bla-bla largement anticipé par les acteurs économiques et qui ne fonctionne plus.-L’inefficacité du discours par exemple de la Fed ou des autres banques centrales pour faire remonter l’inflation, au-delà pour relancer la croissance. « Instruments macro prudentiels » encore une formule magique pour indiquer que les responsables de la politique monétaire ont les choses bien en main. Le gouverneur de la Banque de France fait notamment référence aux règles prudentielles imposées aux banques (renforcement des fonds propres en particulier). Le problème c’est qu’on ne connaît pas le niveau des risques de ces banques aussi bien en ce qui concerne le crédit que ses actifs en voie de pourrissement. Certes en Europe les règles ont été renforcées mais si les valeurs bancaires devaient s’écrouler dans le monde les valeurs bancaires européennes suivraient inévitablement. Cela d’autant plus qu’en France on s’est opposé sous la pression des lobbys à séparer les activités de dépôt et les activités dites d’investissement (en fait aussi de spéculation). Le gouverneur de la Banque de France ferait mieux de décrire l’état des fondamentaux plutôt que de jouer au techno de la finance. En réalité avec des mouvements de yo-yo les marchés financiers s’alignent sur des fondamentaux qui traduisent un net tassement économique et qui pourrait installer la croissance mondiale dans une perspective molle pendant plusieurs années. D’une certaine manière, le bla-bla du gouverneur de la Banque de France est contre-productif  et retarde d’autant plus les éventuelles mesures destinées à enrayer les chutes actuelles. « Les banques centrales européennes disposent des instruments macroprudentiels nécessaires pour remédier aux excès du cycle financier, adit François Villeroy de Galhau. « Les banques françaises sont (…) deux fois plus solides qu’elles ne l’étaient en 2007, avec un ratio de capital porté de 6 à 12% de leurs risques pondérés », dit-il. « Quand on compare les QE menés de part et d’autre de l’Atlantique, leurs effets sont à peu près comparables en termes d’inflation et de croissance. Par ailleurs, la volatilité des marchés boursiers est aujourd’hui excessive, face aux fondamentaux de l’économie réelle », ajoute-t-il. « Nous surveillons les choses de très près », et « tant au niveau de la zone euro qu’en France (…) ce cycle financier n’est pas au-dessus de sa moyenne historique », juge-t-il. « Si nécessaire, nous aurions des moyens dits ‘macroprudentiels’ pour remédier aux excès, en imposant par exemple des limites aux achats immobiliers finançables par crédit », explique le gouverneur de la Banque de France. A la question de savoir si la Banque centrale européenne (BCE) peut aller encore plus loin dans la politique de taux d’intérêt négatifs, il relève que « l’expérience récente (…) a appris que le zéro n’est pas une limite pour les taux directeurs des banques centrales. » « Les banques centrales (…) ont à leur disposition toute une palette d’instruments de politique monétaire: les taux négatifs, mais aussi les achats de titres avec le QE, ou la ‘forward guidance’ qui éclaire les taux futurs. Nous en faisons usage, comme c’est notre devoir », justifie François Villeroy de Galhau.




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